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une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - Version imprimable

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Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Puis il était revenu à la réalité et aux hanches de Sylvia qui se cambraient de plaisir. S'il ne pouvait pas la prendre maintenant, il allait tout de même faire tout son possible pour qu'elle jouisse. Le plaisir de Sylvia avait inondé les doigts de Tom et lui permis de venir caresser le périnée de la jeune fille, de glisser un autre doigt de sa main entre ses fesses. Sylvia se laissa faire, totalement soumise à ton plaisir. Peut-être avait-elle même l'habitude de stimuler cette zone.
Alors qu'il continuait de masturber puissamment Sylvia, Tom glissa l'un de ses doigts sur son anus. Il caressa l'orifice, le titilla fermement. A sa grande surprise, Sylvia esquissa un mouvement de ses hanches qui eut pour effet d'écarter un peu plus ses fesses sous elle, laissant ainsi plus de place au doigt de Tom. Le jeune homme comprit le message et reprit sa nouvelle stimulation avec fougue.
Ses doigts s'étaient synchronisés, pénétrant au maximum le minou trempé et frottant sur l'anus offert. Il était évident que ces nouvelles caresses multipliaient le plaisir de Sylvia. Elle réprimait à peine ses cris à chaque mouvement des doigts. Progressivement, Tom glissa son doigt dans l'anus de sa cousine qui le laissa faire avec un grand plaisir. Ainsi, il coordonnait ses doigts dans ses orifices et la pénétrait avec vigueur. Tom se demandait décidément si Sylvia n'avait pas l'habitude de stimuler sa zone anale car sa pénétration se faisait avec une facilité certaine.

Sous la double pénétration, Sylvia laissa exploser son plaisir. Elle implorait Tom de continuer, d'accélérer. Elle allait bientôt jouir et il pouvait la sentir se serrer sur ses doigts. Il accéléra donc encore ses mouvements, continuant à s'enfoncer en elle au maximum. Une minute suffit à Sylvia pour jouir puissamment. En quelques secondes, ses cris avaient emplit tout le salon, elle s'était accrochée au tapis et son corps s'était cambré à l'extrême. Elle avait jouit d'un coup et de manière prolongée. Tom avait ralenti ses mouvements et les avait synchronisés avec les spasmes du vagin de sa partenaire, la pénétrant avec fougue.
Sylvia finit par retomber allongée, essoufflée mais entièrement satisfaite. Au bout d'une dizaine de secondes, elle s'était redressée sur ses coudes, avait rougi en prenant conscience que tous la regardait, même Marina qui était sortie de sa torpeur.

- "Pfou, c'était génial ! J'ai adoré ! Merci beaucoup mon p'tit Tom" lâcha-t-elle.
- "Mais de rien, je n'ai fait que remplir mon gage", répondit-il humblement.
- "Je serais presque tentée de te débarrasser de cette érection que tu gardes d'une manière...très agréable" acheva-t-elle avec un regard coquin.
- "Ah, mais malheureusement, ce round est terminé!" coupa Franck. "Pour le dernier, on va de nouveau écrire..." commença-t-il avant d'être coupé par Marina qui lui chuchota quelque chose à l'oreille. "Ah oui, je n'avais pas vu. C'est vrai qu'il est tard et que les parents risquent de bientôt rentrer."
- "Quoi, tu veux arrêter là ??" répliqua Sylvia, choquée.
- "Non, on va pas laisser la soirée se finir comme ça" lui répondit Marina. "Ce que je propose pour le dernier round c'est que chacun aille se coucher...mais en choisissant son partenaire." Tout le groupe avait vécu la même vague de frisson d'excitation. Les filles pouvaient voir les pénis des garçons agités de spasmes entre leurs cuisses et ils pouvaient voir que les tétons des demoiselles s'étaient crispés. Le cœur de Pauline s'était mis à battre à tout rompre. Elle allait vraiment pouvoir choisir un autre garçon que Tom et coucher avec lui ? Son ventre se tordait de désir à cette idée. C'était mieux que tout ce qu'elle avait pu imaginer pour ce dernier round. Et d'un autre côté, elle voyait où voulait en venir Marina. C'était Tom qu'elle visait. Elle venait de se remettre de son orgasme et voulait encore plus. Mais d'accord, elle jouerait le jeu car s'était permis ce soir.

- "Alors, c'est simple, on va choisir avec qui on va aller se coucher. Les filles, à vous l'honneur" lança Franck, parfait dans son rôle de chef d'orchestre ce soir.

Ce fut Marina qui réagit la première, comme si elle n'attendait que ça. Elle se tourna vers Tom et il prit la main. Aucun mot ne fut échangé et Pauline les vit partir vers la chambre de Marina après avoir ramassé leurs vêtements. La chipie, elle en était sûre. Tom ne s'était même pas retourné vers elle avant de partir. Et bien soit, elle aussi allait bien s'amuser. De toute façon, elle en mourait d'envie. Sylvia prit l'initiative suivante et, comme elle ne pouvait pas choisir son frère, elle quitta la pièce en tenant la main de Anthony.

- "Et bien, il ne reste plus que nous, j'espère que je te conviens ?" déclara Franck.

Pour toute réponse, Pauline se rapprocha contre lui, se serra sur ton torse pour qu'il sente bien ses seins s'écraser sur lui et lui donna un baiser des plus sensuels. Elle sentit tout de suite la verge de son cousin se durcir contre son ventre et ses cuisses tremblèrent d'excitation. Sans un mot, ils quittèrent la pièce pour la chambre de Pauline, après avoir rangé rapidement le salon.


Tom se laissait entraîner le long du couloir par Marina qui lui tenait la main. Ils étaient restés nus. Il n’y avait aucune équivoque sur ce qui allait se passer dans la chambre de chacun ce soir. Le contact de la main de Marina dans la sienne semblait brûler Tom. Chaque mouvement que la jeune fille faisait, les ondulations de ses épaules, de ses hanches, le balancer de ses fesses à croquer devant lui…tout ne faisait qu’exacerber son désir. Plus de jeu, plus de groupe autour, plus Pauline…que Tom et Marina. Dans un coin de sa tête, le garçon faisait taire la culpabilité de ce qui pouvait ressembler à une infidélité. Pauline et lui étaient venus à ce jeu en sachant que cela pouvait déraper. Leurs regards avaient de nouveau échangé cet accord tacite durant les différentes phases du jeu. Il n’y avait pas à se sentir coupable. Il restait tout de même un pincement au cœur en imaginant que Pauline se préparait à faire la même chose avec Franck ou Anthony. Toutefois, le déhanché de Marina eut vite fait de balayer ce pincement.

Quand ils arrivèrent à la porte de la chambre, Marina ne se retourna pas, entra et entraîna Tom derrière elle. Elle n’alluma pas la lampe et laissa la pièce dans la pénombre. Tom entendit les vêtements qu’avait emportés Marina tomber au sol et il fit de même. Durant quelques secondes, qui parurent une éternité, le silence se fit dans cet espace noir et inconnu. Tom n’avait même pas idée de ce à quoi pouvait ressembler la chambre. Mais il savait qu’à côté de lui, quelque part, se trouvait une jeune femme magnifique qui avait envie de lui et qu’il désirait ardemment. Il l’imaginait, nue, ses cheveux bruns tombant sur ses épaules, ses seins…
Alors que la sensibilité de sa peau était exacerbée par son désir et l’attente, Marina vînt contre lui, se serrant contre son ventre et portant son visage à hauteur de son oreille. Elle chuchota, comme si elle avait honte de l’exprimer à haute voix.

-" J’ai tellement envie de toi…"
-" Ooh, moi aussi Marina…depuis que je t’ai vue dans la douche avec Franck…et ce soir…ce soir…"


Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Tom n’avait pas résisté au tressaillement brutal qui l’avait secoué sous le désir ardent que provoquait Marina contre lui. Il l’avait saisi dans ses bras pour l’étreindre fermement, lui faire sentir combien il la désirait. Il se sentait emporté par son désir à présent, dans cette obscurité, devant cette fille qui se dérobait à son regard. Tous ses muscles se bandèrent pour réprimer son élan.

- "Ouiii, je sens ça…"soupira-t-elle dans son cou. "Je suis à toi et tu es à moi pour la nuit…alors viens."

Sur ces mots, elle s’était écartée de Tom et le guida vers le grand lit où elle dormait habituellement avec Sylvia.
L’obscurité régnait toujours dans la pièce, rendant l’atmosphère étrange. Pourtant, l’idée d’allumer la lumière n’avait même pas effleuré Tom. Quelque part dans l’ombre, Marina l’attendait, toute nue, offerte à lui pour la nuit. Ses sens étaient exacerbés, son esprit dans une sorte d’éveil plus large que l’on ne connait qu’une fois privé de la vue. Chaque son qu’il entendait résonnait dans son esprit. Allongée quelque part devant lui, Marina avait soupiré « viens contre moi », à peine audible en temps normal mais un véritable cri dans la tête du jeune homme.
Il avait posé le genou sur le lit et sa peau qui frôlait les draps lui renvoyait de véritables décharges le long du dos. Qu’allait-il se passer quand il oserait la toucher ? Les mots de la jeune fille continuaient de résonner dans sa tête et il semblait guidé par eux.

Sa main gauche rencontra le mollet gauche nu de la jeune fille. Un frisson électrique le parcourut. Il continua à avancer, montant vers elle. Il laissa sa main le guider le long de la jambe de Marina, passa sur genou et glissant sur sa cuisse chaude. La caresse lui faisait bondir le cœur. Il pouvait sentir tout son corps palpiter, jusqu’à son gland gonflé entre ses cuisses. Il montait vers elle, suivant ses courbes de ses doigts, passant sur sa cuisse, effleurant son pubis et passant sur son ventre doux et chaud. Il l’avait senti frissonner sous sa main mais elle n’avait rien dit dans l’obscurité, retenant son souffle.

Tom posa sa main sur le flanc droit de Marina et son genou entre ses cuisses, se tenant ainsi au-dessus d’elle. Chaque centimètre de sa peau en contact avec celle de Marina était électrique et chaud à la fois. Tout à l’heure lorsqu’il avait été entre ses cuisses, cela avait également été dans le noir mais cette fois, personne n’était aux aguets. Cette fois, ce n’était pas pour le jeu. Il était là où il désirait être depuis le début de la soirée : dans le lit de Marina, avec elle pour lui seul.
Elle avait passé ses bras autour de son cou, l’avait attiré plus bas contre elle.

-"Embrasse-moi comme tu l’embrasses, elle" susurra-t-elle.

Et se penchant encore, Tom rencontra les lèvres de Marina pour la 1e fois. Plus rien n’exista au monde, hormis Marina contre lui, la sensation de sa bouche contre la sienne. Il n’était pas question de l’embrasser comme il l’aurait fait avec Pauline car sa sœur avait disparu de son esprit. Il l’embrassait en exprimant tout le désir qu’il avait pour elle, comme si elle était la seule femme au monde pour lui. Elle pouvait le sentir et ses bras se resserrèrent autour du jeune homme, sa bouche s’ouvrit davantage et sa langue vînt danser avec celle de Tom en exprimant toute la sensualité qu’elle avait en elle. Ils pouvaient le sentir malgré l’obscurité : ils brûlaient de désir. Mais pas seulement dû au jeu. Ils brûlaient de désir l’un envers l’autre et cette soirée n’avait été que l’opportunité de laisser ce désir s’exprimer. Ils étaient l’un à l’autre pour toute la nuit.
Sentant cette complicité entre eux, leur sensualité se libéra. Tom ne quittait pas les lèvres de Marina, ses doigts caressant les cheveux, la joue de la jeune fille. Elle le serrait encore plus contre lui, serrant sa poitrine contre le torse de Tom, son pubis contre sa verge tendue. Dans la nuit de cette chambre, leurs soupirs semblaient se perdre, étouffés.

Tom finit par relâcher les lèvres de Marina. Un instant le monde se suspendit entre eux, comme s’ils venaient de prendre conscience de l’ampleur du désir qu’ils avaient relâché pendant ce baiser et qu’ils avaient soudain peur de le laisser aller. Puis le temps reprit son cours, signalant que la menue digue qui les retenait encore venait de rompre délicieusement. Tom enfouit sa bouche dans le cou de Marina, qui retînt à peine un râle de plaisir en saisissant la tête du garçon contre elle. Il pouvait sentir le corps de la jeune fille frissonner contre le sien à chacun de ses baisers, chacune de ses morsures. Sa main étreignait la hanche fine de Marina et remontait vers sa poitrine.
Il avait été charmé dès qu’il l’avait vue, avait été subjugué quand il l’avait découverte nue sous la douche et durant cette soirée et maintenant il pouvait goûter sa peau, chaque parcelle de son corps, suivre chacune de ses courbes, la sentir gémir sous elle. Elle lui susurrait de continuer, qu’elle était à lui.
La main de Tom s’était refermée sur son sein droit et il se délectait de sentir sa forme la remplir. Même s’il adorait les seins de Pauline, ceux de Marina étaient plus pulpeux, plus lourds. Il serra ce sein tendrement, le massa, avant que ses baisers ne viennent seconder ses doigts. Marina, les yeux fermés, le laissait faire et savourait la chaleur de sa bouche. Il la sentit frissonner quand ses lèvres se refermèrent sur ton téton déjà durci par l’excitation et les caresses. Quel plaisir c’était de téter ce sein, de savoir que Marina s’abandonnait à ses caresses. Il titillait le téton de sa langue, le suçait, le mordillait même pour la faire frémir. Sous son ventre, il sentait les hanches de la jeune fille se cambrer quand il l’aspirait entre ses lèvres.
Elle ne parlait plus mais les râles qu’elle laissait échapper et ses doigts qui parcouraient les cheveux de Tom en disaient longs sur son excitation. Presque à regret, Tom relâcha le sein de sa jolie brune. Il voulait lui donner encore plus de plaisir mais aussi parcourir tout son corps de ses caresses et de sa bouche, chose qu’il n’avait pu faire dans le salon tout à l’heure. Marina avait relâché sa tête et enfoui ses mains sous les coussins autour d’elle. Elle se laissait faire et voulait savourer les caresses du jeune homme.
Les baisers de Tom étaient descendus sur son ventre, sa langue goûtait sa peau douce et parfumée par le désir. Ses mains caressaient les flancs de Marina, qui se tordait sous les frissons que cela lui procurait. Quand les baisers de Tom atteignirent le pubis de sa partenaire, il se redressa sur ses genoux, se campa entre les cuisses de la jeune fille. Il sentit qu’elle les écartait en les passant autour de son bassin, s’offrant avec pudeur, voilée dans l’obscurité. Comme un aveugle, il avait envie de la découvrir par le toucher, en entier, pour graver dans son souvenir ce corps qui l’avait fait chavirer.
Il posa à nouveau ses mains sur elle, sur le haut de ses cuisses. Il la sentit tressaillir quand leurs peaux entrèrent à nouveau en contact. Les yeux fermés, comme pour se concentrer plutôt que d’essayer de percer l’obscurité de son regard, Tom commença à parcourir le corps de Marina. Ses mains se firent tantôt douces tantôt plus fermes. Il l’étreignait en même temps qu’il l’enveloppait de caresses. Ses mains saisirent ses hanches, l’attirant contre lui, permettant ainsi à leurs sexes de se presser l’un contre l’autre. Tom pouvait sentir sa verge palpiter contre les lèvres de Marina. Un instant il pensa qu’il lui suffirait d’une poussée pour entrer en elle, autour de lui…mais pour l’instant il savourait de se retenir et de la découvrir lentement. Ils avaient cette unique nuit pour eux et il entendait en profiter pleinement.
Ses mains remontèrent vers les seins de Marina, les enserrèrent, les massèrent. Ils se durcirent encore sous l’excitation. Un peu taquin, il saisit les tétons de la jeune fille pour les pincer sensuellement. Elle gémit en se tordant d’excitation, les mains toujours perdues sous les draps. Les mouvements de Marina faisaient se frotter leurs sexes l’un sur l’autre de manière torride et des frissons parcouraient le dos de Tom. La tension montait encore entre eux. Les doigts de Tom griffaient tendrement maintenant la peau de la jeune fille, la faisant se cambrer. Les mains de Tom parcoururent le corps entier de Marina, la faisant frissonner sans arrêt.
Puis il descendit entre ses cuisses, relâchant son étreinte sur le minou trempé de Marina. Ses caresses suivirent le long de ses cuisses musclées, épousant chaque courbe, laissant la jeune fille dans un état docile. Elle tressaillit en sentant la bouche de Tom se poser à l’intérieur de sa cuisse. Elle susurra un encouragement, soumise à son plaisir. Doucement les baisers de Tom remontèrent le long de sa cuisse pour rejoindre les lèvres trempées par le désir. Sans attendre et poussé lui-même par l’envie de la posséder, Tom engouffra sa langue dans ce minou qu’il connaissait déjà.
La réaction de Marina fut immédiate et elle ne put retenir un cri de plaisir en saisissant la tête du jeune homme entre ses cuisses.

-"Oooh, ouiiii…j’adore ta langue, Tom" soupira-t-elle. "Continue comme ça…"

Galvanisé par les encouragements de Marina, Tom laissa libre court à son désir. Il glissa sa langue en elle, aussi loin qu’il le pouvait, la dévorait. Les reins de Marina se cambrèrent tandis qu’elle le pressait contre son minou en haletant. Il allait et venait en elle, prenant soin de s’attarder sur les zones sensibles qu’il avait découvertes plus tôt. Quand il remonta sa langue sur le clitoris gonflé de Marina, ses doigts se glissèrent à leur tour en elle, pour son plus grand plaisir. Les cris de la jeune fille redoublèrent. Il la pénétrait avec vigueur tout en massant son bouton d’amour de ses lèvres, le suçait, le titillait. Il pouvait sentir les contractions du vagin de Marina autour de ses doigts. Elle prenait son pied et il aimait la sentir ainsi.



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Tout à coup, Marina se redressa, se libérant de l’étreinte de Tom. Encore haletante de plaisir, elle se pencha sur le jeune homme.

-"Je veux aussi m’occuper de toi" lui lança-t-elle. "Tu vas voir ce que vaux ma bouche. "
-"Je n’osais demander" fit Tom sur un ton taquin.
-"Tu peux tout oser ce soir" répliqua-t-elle, laissant le cœur de Tom exploser dans sa poitrine.

Elle repoussa Tom sur le lit, l’allongea et passa au-dessus de lui, se positionnant pour un 69. Il sentait le corps de Marina frotter contre le sien dans l’obscurité et c’était un délice d’essayer de deviner ses mouvements, de la deviner en train de tâter son corps pour savoir où bouger. Il sentait les seins lourds de la jeune fille caresser son ventre tandis que ses bras passaient derrière les cuisses de Marina pour saisir ses hanches. Quel bonheur de sentir la main de cette si jolie brune s’enrouler autour de son sexe palpitant, la chaleur de son souffle sur son gland…
Dans l’obscurité de la chambre, le plaisir induit par la simple caresse de leurs peaux était accru. Tom serrait le corps de Marina contre le sien, le ventre de la jeune fille contre sa poitrine. Au-dessus de lui, Marina parcourait l’intérieur de ses cuisses de baisers enfiévrés. La sentir active cette fois était délicieux. Il pouvait enfin goûter à sa bouche sur son corps. Les longs cheveux de la jeune fille caressaient ses cuisses et son bas-ventre à chaque mouvement de la tête.
Puis il sentit soudain le contact de la bouche de Marina englobant son gland de sa chaleur humide. Le temps se figea et Tom ne perçut plus que les pulsations électriques qui partaient de son sexe au fur et à mesure que Marina enfonçait sa verge dans sa bouche. Il revînt à lui quand elle entama un va-et-vient langoureux le long de sa verge. Il ne put retenir un long râle. Que c’était bon…Elle avala son gland avec douceur, serrant ses lèvres tendrement autour de lui tandis qu’elle serrait fermement sa verge en le masturbant. Il pouvait sentir son gland palpiter quand elle le libérait de son étreinte avant de le glisser à nouveau tendrement entre ses lèvres. Ses reins se contractaient à chaque mouvement de la jeune fille, suivant le va-et-vient de sa bouche sur lui.
Mais il ne pouvait pas rester ainsi et son envie d’elle s’était encore accrue. Il serra les hanches de Marina entre ses mains et vînt poser à nouveau sa bouche sur ses lèvres trempées. Le corps de Marina se contracta sous les caresses retrouvées de la bouche et elle écarta davantage ses cuisses pour rapprocher son minou de la bouche de son amant. Tom massait les fesses rondes de la jeune fille, les griffait pendant qu’il lapait son clitoris, le titillant du bout de sa langue avant de replonger celle-ci entre ses lèvres gonflées, provoquant un nouveau râle de plaisir.
Ils étaient ainsi connectés, rivalisant de technique pour faire monter l’orgasme chez leur partenaire. La bouche de Marina s’enfonçait toujours davantage le long de la verge de Tom, enduisant abondamment le membre de salive. Parfois, elle s’arrêtait pour se concentrer sur le gland, l’aspirer lentement entre ses lèvres, le suçoter ou le titille de sa langue chaude. Tom activait sa langue sur le clitoris hypersensibilisé de Marina tandis que deux de ses doigts pénétraient langoureusement son minou, toujours plus loin. De plus, d’un autre doigt libre, il avait commencé à titiller l’anus offert de la jeune fille, le caressant sans chercher à le pénétrer. Marina semblait apprécier car ses reins se cambrèrent au nouveau contact et Tom pouvait la sentir ronronner en le suçant.
Le plaisir était maintenant torride entre les deux jeunes. L’obscurité ne semblait plus suffire à étouffer leurs gémissements. D’ailleurs, en tendant l’oreille, ils pouvaient entendre d’autres gémissements provenant de la chambre voisine dans laquelle devaient se trouver Sylvia et Anthony. Cela les excita encore davantage et Marina finit par relâcher le gland de Tom pour se redresser, toujours sur lui.

-"Je ne tiens plus, j’ai envie de la sentir en moi ! " lui lança-t-elle dans le noir complet.
-"Ooh, moi aussi…" parvînt d’abord à articuler Tom, le souffle coupé par l’excitation. "Mais je viens de penser que je n’ai pas amené de préservatif. "
-"C’est pas grave, je prends la pilule. Et puis, je suis sûre que tu es un gars sérieux qui ne couche qu’avec sa chérie" lui répliqua-t-elle d’un ton taquin.
-"Mais c’est tout à fait vrai ! " avoua-t-il en riant.
-"Alors on y va ! Laisse-toi faire…"

Docile, il la laissa se repositionner sur lui. Toujours à l’envers sur lui, elle avança simplement son corps au-dessus de son bassin. Il la sentit saisir son sexe et le pointer à l’entrée de son minou. Lentement, elle s’empala sur lui, laissant le gland écarter doucement ses lèvres pour se glisser au fond de son ventre. Elle joua d’abord avec son gland, le faisant seulement entrer et sortir. Tom frémissait de tout son corps. D’ordinaire, il était habitué aux rapports protégés avec Pauline et de sentir ainsi le minou de Marina sans préservatif était très intense. Il sentait sa peau glisser entre les lèvres de la jeune fille, goûter la chaleur humide de son ventre puis ressortir. C’était torride. Elle le possédait totalement.

Lentement, Marina s’empala en entier sur le pénis palpitant de Tom, le faisant disparaître en elle. Elle gémit longuement de le sentir au fond de son ventre. Puis elle se pencha en avant pour s’appuyer sur le matelas et commença un va-et-vient langoureux. Cette position était toute nouvelle pour le garçon et l’absence de préservatif rendait la pénétration encore plus intense. Chaque fois que Marina s’empalait sur lui, des vagues électriques ébranlaient son dos. Sans s’en rendre compte, il avait saisi les hanches de Marina et accompagnait ses mouvements de contractions des reins. Ils gémissaient en cœur à chaque coup de rein. Marina s’était cambrée et modifiait régulièrement l’angle de pénétration pour augmenter le plaisir. Tom pouvait voir comme elle aimait se donner sans complexe.

-"Tu aimes ?" lui demanda-t-elle en se retournant.
-"J’adore ! C’est trop bon. " avoua Tom dans un souffle.
-"Ah oui ? Et comme ça ? "

Sur ces mots, Marina s’était redressée et empalée complètement sur la verge de Tom. Elle faisait maintenant des mouvements circulaires langoureux du bassin, promenant le sexe du jeune homme dans son ventre. Les mains de Tom s’étaient crispées sur ses hanches et il n’avait pu répondre que par un long gémissement. Il pouvait entendre Marina glousser au-dessus de lui. Il eut soudain une furieuse envie de l’embrasser.
Saisissant les hanches de la jeune fille, il la repoussa tendrement sur le lit à côté d’elle, se libérant de son minou. Avant qu’elle ait pu protester, il avait posé sa bouche sur la sienne. Sans attendre, elle avait mêlé ça langue à la sienne et ils purent ainsi exprimer toute la sensualité qu’il y avait entre eux. La main de Tom s’était emparée du sein droit de Marina pour en torturer tendrement le téton avant de descendre entre ses cuisses. Sans peine, il entra deux doigts en elle et commença une masturbation vigoureuse. De son côté, alors que sa langue dansait toujours avec celle de Tom, la main de Marina avait saisi le pénis palpitant de son partenaire et le serrait dans sa main en le branlant. Chacun gémissait dans la bouche de l’autre, leurs corps de frottaient, ondulaient de désir.
Puis Tom roula sur le corps de Marina, se positionnant entre ses cuisses ouvertes.

-"Maintenant, c’est à moi de jouer" fit-il.
-"Oh ouiiii, entre en moi encore…" répliqua Marina.

De son gland, Tom massait le clitoris et les lèvres trempées de la jeune fille avant d’entrer vigoureusement en elle. Elle cria de plaisir en le sentant à nouveau au fond de son ventre. Tom resta ainsi quelques secondes, laissant son gland palpiter au fond du vagin de Marina. La jeune fille ronronnait en ondulant les hanches. Puis il entama une pénétration soutenue, puissante. A chaque mouvement, il ressortait son gland de son minou pour la pénétrer à nouveau de toute sa longueur. Marina criait de plaisir à présent en se cramponnant au dos de Tom. Il alterna ensuite des mouvements plus langoureux durant lesquels la jeune fille se cambrait pour jouer avec le gland en elle.
Tous les deux étaient hors d’haleine. La soirée avait été torride et les sensations dans cette chambre noire étaient décuplées. Tout leur corps tremblait de désir. Marina griffait le dos de Tom, lui la pénétrait avec force de toute sa longueur.

-"Je veux que tu jouisses avec moi" lui cria-t-elle. "Jouis en moi…" ajouta-t-elle dans un soupir.



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Ce fut comme si ces mots avaient été la sensation de trop. Tom sentit l’orgasme venir. Marina l’avait aussi senti, son gland palpitant plus fort en elle. Elle aussi allait jouir, ils allaient jouir ensemble. Puis ce fut un déferlement de cris de jouissance. Ils se serrèrent l’un contre l’autre, oubliant tout autour d’eux : les autres couples, les petits cousins qui dormaient, les parents qui risquaient de rentrer. Au fond du ventre de Marina, Tom se contractait et jouissait par saccades puissantes. C’était la 1e fois pour lui que l’orgasme était aussi intense, aussi riche en sensations. La chaleur du minou de Marina, ses muscles qui se contractaient sur lui, il pouvait tout sentir. Marina avait également joui intensément avant de s’abandonner dans les draps, épuisée. Le jeune homme s’était allongé à côté d’elle et ils reprenaient leur souffle au même rythme, lui sa main posée sur le ventre de sa partenaire, elle la tête enfouit dans son cou. Ils s’embrassèrent doucement.

-"C’était génial" finit par dire Tom.
-"Oui, j’en avais tellement envie. Pauline a de la chance."
-"Euuh, tu n’es pas choquée d’avoir compris ça ?"
-"Vous êtes mignons tous les deux, vous avez juste pas eu de chance de naître ainsi."
-"C’est gentil. J’ai de la chance de l’avoir aussi."
-"En tout cas, cette nuit, tu as été à moi ! " ajouta-t-elle avec défi.

Doucement, le sommeil les prit et ils s’endormirent l’un contre l’autre. Pauline et Franck avaient été les derniers à quitter le salon. Comme tous les autres, ils étaient partis nus à travers la maison, emportant avec eux leurs vêtements. Pauline marchait devant Franck. Elle pouvait le sentir tout l’émoi de son cousin. Il ne pouvait s’empêcher d’éteindre sa hanche au détour d’un couloir, d’effleurer ses fesses quand elle marchait devant lui. Elle frissonnait de sentir le désir du jeune homme, son regard sur son corps. En marchant, elle pouvait sentir l’air glisser entre ses cuisses, contre son minou trempé. Cela lançait des frissons qui lui remontaient le dos. Durant cette courte promenade, elle réalisait combien elle était tremblante de désir, combien la transe du jeu l’avait désinhibée. Bon sang, elle avait sucé son cousin devant tout le monde, devant Tom. Et là, elle se dirigeait vers sa chambre pour passer la nuit avec Franck, pour faire…ce qu’ils voulaient, sans qu’on les voie.
Alors qu’elle pensait à cela, Franck la saisit par les hanches alors qu’ils passaient devant la chambre des garçons. Il la sera contre lui. Elle pouvait sentir sa verge en partie gonflée contre ses fesses.

-"Je fais juste une halte pour récupérer des préservatifs dans la salle de bain et je te rejoins" lui murmura-t-il à l’oreille.

Sans lui donner le temps de répondre, il avait déposé un baiser brûlant dans son cou et avant filé par la porte. Elle rejoignit seule sa chambre. Revoir ce sanctuaire, à Tom et elle, repenser à tous les câlins qu’ils y avaient faits, augmentait encore son désir charnel. Inconsciemment, sa main passa sur son ventre nu, son pubis et glissa sur ses lèvres. Elle réalisa combien elle était trempée. Les vagues de plaisir que cette simple caresse avait générées lui rappelèrent depuis combien de temps elle endurait le jeu, proche de l’orgasme. Tout son corps était électrique. Elle voulait…elle voulait…tout ! Elle voulait s’abandonner à ses désirs, ne plus penser, n’être qu’un être sexuel, jouir encore et encore.

C’est à ce moment que Franck entra à son tour dans la chambre et referma la porte derrière lui. Toujours enivrée par ses pensées, Pauline se retourna et avança vers lui d’un pas décidé. Elle lâcha ses vêtements au sol avant de repousser Franck contre le mur, d’attraper ses mains et de les plaquer dans les siennes contre le mur. Sans attendre de réaction de Franck, qui se soumettait joyeusement, elle plaqua sa bouche contre la sienne et lui communiqua tout son désir par un des baisers les plus torrides qu’elle ait donné.

Pauline était enivrée par le désir et l’ascendant qu’elle avait pris sur Franck. Ses seins se serraient contre la poitrine du jeune homme, son ventre contre sa verge tendue. Tout en l’embrassant, elle frottait son corps contre le sien, caressant ses tétons contre sa peau. Elle gémissait de désir dans la bouche de Franck, continuait à faire danser leurs langues. Au fond de son esprit, loin sous les brumes du désir, elle avait peur de quitter sa bouche car elle ne pourrait plus se retenir. Pourtant son bas ventre se contractait d’excitation, ses reins se cambraient pour qu’elle s’écrase toujours plus contre cette verge tant désirée.
Elle ne put résister bien longtemps. Elle relâcha les mains de Franck, laissa ses ongles griffer sa peau tout le long de ses bras puis le long de son torse et de son ventre au fur et à mesure qu’elle s’agenouillait devant lui. Franck se laissait faire en mordant sa lèvre inférieure sous la douce douleur et l’excitation de voir le visage de Pauline devant son sexe.

Quand elle posa ses yeux sur le pénis gonflé du jeune homme, Pauline sentit ses reins se contracter sous le coup de l’excitation intense. Il n’était plus temps de réfléchir devant ce gland rouge de désir. Elle enserra la verge dressée dans sa main droite et enfourna sans attendre le gland de Franck dans sa bouche. Que c’était bon de le sucer à nouveau, de l’aspirer entre ses lèvres, de sentir la verge palpitée dans sa main serrée et Franck qui gémissait au-dessus d’elle. Elle ne le ménageait pas et le pompait littéralement, enfonçant toujours plus loin le gland dans sa bouche. Une petite voix lointaine dans son esprit semblait l’avertir qu’elle perdait le contrôle mais elle la refoulait aussitôt.

Ne tenant plus dans son corps brûlant de désir, Pauline relâcha la verge tendue à l’extrême. Franck soupira presque de soulagement, proche qu’il était de jouir une nouvelle fois. Elle se releva face à lui puis recula sans se retourner, sans le quitter des yeux, jusqu’au lit. Elle s’y allongea sur le dos en gardant son regard dans le sien, puis écarta les cuisses pour l’inviter à la prendre. Elle vit Franck tressaillir et venir la rejoindre d’un pas affamé. Devant elle, il enfila un préservatif qu’il avait amené et monta la rejoindre sur le lit.
Pas de préambule, pas de baiser. Pauline, les bras tendus au-dessus de sa tête, les mains enfouies dans les coussins s’offrait toute entière. Elle sentit le gland de Franck se poser à l’entrée de son minou et glisser en elle sans aucune difficulté. Il la pénétra en une fois, d’une seule poussée et jusqu’à avoir enfoui en elle toute sa verge. Elle avait relevé ses genoux pour lui permettre de le faire. Quand elle le sentit entré à fond, elle lâcha un long gémissement de plaisir, comme si elle avait attendu ce moment toute la soirée. Le plaisir était décuplé. Pour lui aussi. Il restait là, au fond de son ventre, immobile. Elle le sentait palpiter en elle.
Elle l’enserra dans ses bras et lui murmura de la prendre comme il le voulait.

Il n’en fallut pas plus à Franck pour libérer ses reins et entamer un va-et-vient puissant. Le visage enfoui dans le cou de son amant, ses mains crispées dans son dos et ses cuisses largement ouvertes, Pauline tremblait de tout son corps à chaque coup de reins de Franck en elle. Chaque mouvement en elle, chaque pénétration de cette verge dure dans son minou lui faisait trembler le ventre. Elle pouvait se sentir contractée autour de lui, de cet homme qui la prenait enfin. Chaque fois qu’il entrait en elle, une secousse puissante explosait dans son ventre, parcourait son dos, ses seins et explosait dans sa tête. Et chaque fois cette secousse s’amplifiait…encore…encore…tou​jours plus puissante…noyant son esprit dans une explosion de plaisir sans cesse augmenté.

Comme dans un brouillard, elle sentait que des cris sortaient de sa bouche. Elle les entendait à peine mais devinait qu’ils étaient forts. Ses ongles s’étaient enfoncés dans le dos de Franck, qui continuait à la prendre avec autant de vigueur. Il n’avait fallu qu’une dizaine de pénétration pour la mettre dans cet état. Devant la rapidité de son plaisir et son intensité, elle prit peur et voulut crier à Franck de s’arrêter, d’arrêter, que son corps ne pourrait pas supporter autant de plaisir. Pourtant, ses supplications étaient noyées par ses cris arrachés par chaque coup de rein de Franck.
Elle perdait pieds, serrée contre le corps de Franck, essayant de retenir tout le plaisir contenu durant toute la soirée et qui déferlait enfin dans son corps sans retenue. Mais c’était trop tard, c’était trop…Un ultime coup de rein eut raison de son esprit et elle céda toute entière à l’orgasme monumental qui la secouait des pieds à la tête.

Franck n’avait pas compris l’ampleur du plaisir de Pauline, n’avait pas vu la torture de plaisir charnel qu’elle avait vécu et n’avait durée somme toute d’une minute maximum. Il fut totalement surpris par l’orgasme soudain et démesuré de la jeune fille et la sentait se contracter autour de sa verge avec force.
Comme perdue dans un vertige, Pauline jouissait encore et encore. Franck n’avait pas cessé de la prendre et chaque nouveau coup de son gland dans son ventre décuplait le plaisir qui l’inondait. Ses cris n’étaient mués en un cri long et aigu tandis que tout son corps se raidissait autour de son minou. Elle avait tenté de résister mais elle avait succombé aux décharges qui parcouraient son corps. Chaque coup en elle faisait s’estomper sa conscience. Elle revoyait toute les scènes de la soirée, son minou gonflé frottant sur le tapis du salon, la verge de Anthony devant laquelle elle s’était masturbée, la langue de Franck entre ses fesses puis sa verge dans sa bouche. Elle revoyait tout et jouissait encore et encore…

Elle n’avait pas compris quand cela s’était arrêté. A un moment, elle avait perdu conscience de ce qui se passait. Elle reprenait ses esprits, allongée dans les draps de son lit, son corps encore engourdi. Les douces caresses de Franck, allongé à côté d’elle, faisaient doucement frissonner son corps. Elle réalisait que son visage arborait un sourire radieux, presque hébété et qu’un rire montait dans sa gorge. Elle ne chercha pas à le retenir et son rire clair envahit la chambre et contamina Franck. Tous deux riaient ensemble, comme de beaux amants qui ne pensaient pas au lendemain. Ils riaient de leur abandon l’un à l’autre pour une nuit, riaient de ce qu’ils avaient accompli ensemble, riaient pour remercier la vie d’avoir créé tant de plaisir. Pauline s’était tournée et avait enlacé Franck, se serrant contre lui. Son rire s’était tu dans son cou.



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

-"Merci" parvint-elle à murmurer.
-"Tu as été hallucinante, Pauline. Je n’ai rien compris."
-"Moi non plus…tout cette excitation retenue pendant la soirée…ça a été trop pour moi. Je n’ai rien pu contrôler " avoua-t-elle.
-"J’ai vu ça. Quand tu as fini de crier, j’ai cru que tu t’étais évanouie en retombant dans les draps. "
-"Je n’en sais rien…c’était…trop. "

Ils restèrent ainsi de longues minutes, enlacés l’un contre l’autre, leurs respirations se synchronisant. Les doigts de Franck parcouraient le dos, les fesses de Pauline tendrement et son corps continuait à être secoué de petits frissons.

-"Je crois que je ne peux plus rien faire pour ce soir…" confia-t-elle.
-"Comment ça ? "
-"Tout mon corps est super sensible. Même tes caresses toutes douces me donnent des frissons qui me font sursauter. Je ne crois pas que tu puisses me toucher plus que ça…"
-"Je crois comprendre" fit Franck, un soupçon de déception dans la voix.
-"Oh…je suis désolée. C’est vrai que toi, tu restes sur ta faim, mon pauvre. "
-"Un peu mais ce n’est pas grave. Je suis heureux de t’avoir donné autant de plaisir ! " lança-t-il plus vaillamment.
-"Tu veux que je te fasse jouir avec la bouche ? " proposa-t-elle avec une intonation trainante de tentatrice. Franck sembla hésiter une seconde. Pauline put sentir sa verge commencer à se raidir contre son ventre.
-"Non, tu m’as déjà donné ce plaisir ce soir" finit-il par lâcher d’un ton plus affirmé que nécessaire et trahissant son conflit intérieur. Cela amusa Pauline de le voir tenter d’être gentleman avec elle et l’attendrit.
-"Dans ce cas, tu auras le droit de me demander ce que tu veux d’ici la fin du séjour ! " déclara-t-elle solennellement.
-"Oooh, voilà de quoi te faire pardonner… "
-"Hola, tu me fais peur, toi…"
-"Je ne suis pas un méchant garçon, ne t’inquiète pas. Mais tout de même…" acheva-t-il en rougissant.
La jeune fille gloussa en voyant l’émoi de Franck. Puis ils se laissèrent glisser doucement dans le confort du sommeil. Une proposition inattendue

Le lendemain matin, certains se réveillèrent dans une chambre qui n’était pas la leur. Il y eu des mouvements furtifs de personnes entre les couloirs, à l’insu des parents. Ainsi, Tom retrouva sa chambre alors que Franck l’avait déjà quittée pour aller se doucher. Pauline était encore au lit, somnolant, allongée sur le côté. Elle attendait également le retour de son bien-aimé.
La soirée avait semblé une éternité pour l’un et l’autre. Maintenant qu’ils se retrouvaient en tête-à-tête, ils avaient l’impression de ne pas s’être vu depuis plusieurs jours. Tom rejoignit Pauline dans le lit en silence, se coucha contre elle dans son dos et l’enlaça avec tendresse. Leurs retrouvailles remettaient en mémoire tout ce qui s’était passé durant la soirée. Il leur revenait les différentes émotions qu’ils avaient éprouvées : le désir, la jalousie, l’abandon à l’autre, l’acceptation, l’amour, la surprise, la découverte de limites repoussées…Et puis, il y avait eu cette fin de soirée durant laquelle ils n’avaient même plus été ensemble.
Un silence s’était installé. Aucun des deux ne semblait assez fort pour le rompre. Pourtant, il fallait parler, parler de ce qui s’était passé hier, de ce qui n’avait pas été qu’un simple jeu à peine coquin. Mais par où commencer ? Même si hier soir ils semblaient avoir accepté la situation qui dérapait et semblaient sur la même longueur d’ondes, cela pouvait être simplement du au désir, à l’excitation et ce matin, tout serait différent.

-"Est-ce qu’on a été trop loin ? " finit par lâcher Tom, même si ses paroles étaient tout autant la formulation à voix haute de ses pensées.
-"Je ne sais pas…" répondit doucement Pauline. "Tu crois, toi ? "

Un silence revînt, plus court cette fois-ci, moins dense. Tom prenait le temps de mettre ses idées en place, ses émotions, pour donner la réponse la plus fidèle à ses pensées.

-"Nous étions prêts à ce que ça aille dans cette direction mais j’avoue que je ne pensais pas à ce point. " Nouveau silence. "Pourtant, c’est clair que j’ai adoré, et toi aussi visiblement. Alors est-ce qu’il faut s’en vouloir ? "
-"Est-ce que ça a changé quelque chose entre nous pour toi ? " demanda Pauline.
-"Je ne sais pas pour toi mais moi j’ai découvert beaucoup de choses sur nous hier soir. J’ai découvert que je pouvais être très jaloux car tu y as été fort quand même hier…"
-"Oui, je sais…" le coupa Pauline, d’un ton un peu honteux.
-"…Mais il est clair aussi que tu es quelqu’un qui part au quart de tour et j’aime te voir avoir du plaisir. J’ai découvert aussi que je n’assumais pas autant ce désir charnel que j’ai en moi et que, me lâcher hier soir, m’a permis d’être plus en accord avec cette partie de moi. "
-"Oui, j’aime sentir cette partie de toi, savoir que tu me désires. " reprit Pauline. "Et puis, hier soir, je n’aurais jamais fait ça si tu n’avais pas été là. C’était important que tu sois avec moi parce que je ne veux rien te cacher et je veux découvrir tout ça avec toi. " Nouveau silence. "Bon, j’ai sans doute perdu le contrôle mais j’ai senti à un moment dans ton regard que tu l’acceptais, que tu m’acceptais, et j’ai su que j’étais en sécurité avec toi. "
-"Je suis content de savoir ça" avoua Tom dans un sourire apaisé. "J’ai bien compris hier aussi que tu pouvais désirer d’autres hommes et ça, je dois l’intégrer. Tout comme moi, j’ai désiré Marina et Sylvia. "
-"Ah, ça j’ai vu ! " rétorqua Pauline, moitié jalouse, moitié moqueuse. "Et puis, j’ai bien vu l’effet que tu as fait à Marina quand la lumière était éteinte ! "
-"Ahaha " rit à son tour Tom, heureux de voir que l’atmosphère se relâchait enfin et qu’ils arrivaient à en parler sereinement. "Hey, j’ai vu aussi le gros effet que tu as fait à Franck juste avant ! Ce n’était que juste retour des choses. "
-"Pas faux" fit-elle dans un gloussement. "Mais quand même, je suis allée un peu loin, non ? "
-"Je dois avouer que ça a mis le feu aux poudres. Mais on était déjà tous pas mal excités. "
-"Et…comment s’est passé la fin de ta nuit avec Marina ? " finit-elle par s’enquérir. Après un petit silence, Tom répondit.
-"Tu veux vraiment savoir ? "
-"Oui" fit Pauline en hochant la tête.
-"C’était génial. Je dois avouer que toute la soirée, je l’avais regardée. J’avais envie d’elle et pouvoir la retrouver seule dans sa chambre, ça a été... Et je dois m’excuser parce qu’à ce moment, tu n’étais pas du tout dans mes pensées. Mais, comme tu disais tout à l’heure, je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas senti que tu étais d’accord toi aussi."
-"Je comprends…et je dois dire que c’est quelque chose que je dois intégrer aussi. T’avoir partagé, te partager peut-être encore à l’avenir…je ne sais pas. Mais je sais que tu es toujours le même ce matin et que tu m’es revenu, même un peu différent. "
-"Je t’aime Pauline et ça n’a pas changé. Tu es toujours celle qui habite mon cœur et si tu savais comme je suis heureux de la complicité et de la confiance que nous nous sommes découverts hier soir. "
-"Oui, c’est vrai, c’est ça qui compte après tout. Nous avons fait un écart hier soir mais c’était très plaisant. L’important, c’est que nous soyons toujours l’un à l’autre. Je t’aime Tom" acheva-t-elle en se retournant vers lui et en posant sa bouche sur la sienne pour un long baiser.

Une fois le moment de tendresse passé, la curiosité de Tom revint à la charge.

-"Est-ce que c’est nécessaire de savoir comment ça s’est passé avec Franck cette nuit ? Je crois que toute la maison a du entendre ! " lâcha-t-il en riant.
-"Sérieux ? C’était à ce point ? Je ne me suis rendu compte de rien…"
-"Ah oui ? Mais j’avoue que je suis curieux de savoir ce qu’il a bien pu faire pour te faire jouir comme ça. "
-"Oh, tu vas être déçu. J’étais dans un tel état que dès que nous avons commencé, il ne m’a fallu qu’une minute pour jouir comme ça. Et c’était tellement fort que je n’ai rien pu faire ensuite. " Tom rit encore en écoutant le récit.
-"Mais à ce propos…" reprit Pauline, "Franck est resté sur sa faim car il ne pouvait même plus me toucher. Alors…je lui ai promis quelque chose…"
-"Quoi ? " s’enquit Tom, soudain sérieux.
-"…Avec le recul, je me rends compte qu’une fois sorti du contexte de la soirée de jeu, c’était peut-être pas une bonne idée. Je lui ai promis qu’il pourrait me demander ce qu’il voulait en échange de l’orgasme qu’il m’a donné. "

Tom garda le silence, resta pensif.

-"En effet, c’était peut-être un peu présomptueux. Mais je comprends pourquoi tu l’as dit, sur le coup" répondit-il.
-"Je vais lui dire que j’ai changé d’avis, que je ne peux plus faire ça ! " se précipita Pauline en regardant Tom dans les yeux.
-"Non, ce ne serait pas correct pour lui. Mais quand même…je n’ai pas envie de te laisser à lui, comme ça. "



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Pauline était tout de même rassurée de voir que Tom était encore possessif, même après la soirée de hier. Elle avait peur que de l’avoir vue avec d’autres garçons ne l’ait éloigné d’elle, qu’il la désire moins, qu’il l’aime moins. Elle était encore sa bien-aimée et il ne voulait pas qu’un autre dispose d’elle comme ça.

-"Ecoute, je vais en parler avec lui et voir ce qu’il en pense. " proposa-t-elle. "Peut-être que maintenant que la soirée est passée, ses idées ont changé. Après tout, il est aussi en couple avec Marina et elle a sans doute son mot à dire. "
-"Oui, tu as raison" acquiesça Tom. "Allons, maintenant, on va peut-être pouvoir prendre une douche ? "

Les deux frère et sœur se rhabillèrent et se préparèrent à quitter la chambre. Ils s’enlacèrent une dernière fois et échangèrent un long baiser empli de tendresse, d’amour et de désir. Puis ils ouvrirent la porte et retrouvèrent les autres.


L’atmosphère était différente entre les cousins, même au milieu des parents. Ils avaient parfois les uns pour les autres des regards amusés, voire coquins, mais pas gênés. Pourtant, ils respectaient ce qui s’était passé pendant cette soirée de jeu et qui ne devait pas en sortir. Il n’y avait pas de gestes déplacés ou de tentative de flirt. Curieusement, alors que Sylvia avait montré un intérêt assez marqué pour Tom pendant la soirée, après cette nuit passée avec Anthony, son désir semblait davantage aller vers le jeune homme. Tom en fut soulagé. Non pas qu’il ne trouvait pas Sylvia attirante, surtout depuis qu’il l’avait découvert en lingerie puis entièrement nue, mais il était à Pauline. Ceci dit, c’était en partie un faux prétexte car quand il croisait les yeux de Marina, son cœur subissait une petite accélération et son sexe réagissait au souvenir de cette nuit passée ensemble. Elle semblait partager ce frisson, à en juger par ses rougissements rapidement cachés.
Toutefois, le reste de la journée se passa normalement. Chacun vaqua à ses occupations, tous s’amusèrent en famille, que ce soit dans la piscine ou en discutant avec les grand-parents au cours d’une promenade. En se promenant dans le jardin, Pauline avait senti son ventre se crisper en passant devant la vieille cabane à outils. Elle avait repensé à ce moment passé avec Tom et ses tétons s’étaient crispés sous son débardeur. Elle s’était vite ressaisie et était passée à autre chose.

Plus tard, dans l’après-midi, elle avait croisé Marina. Celle-ci l’avait entrainée à l’écart pour discuter.

-"Franck m’a dit ce que tu lui avais promis cette nuit... " commença-t-elle.
-"Oui, je suis désolé à propos de ça. Je me rends compte que c’était déplacé en dehors du jeu…" la coupa Pauline pour s’excuser.
-"Peut-être un peu oui. Et j’imagine que Tom n’est pas très chaud non plus ? "

Pauline avait sursauté en l’entendant prononcer le nom de Tom. D’abord parce que ça montrait clairement qu’elle savait pour la relation qu’elle avait avec son frère. Toutefois, elle ne semblait pas en être choquée. Mais allait-elle les dénoncer ? Puis parce que ça lui rappelait qu’elle avait passé la nuit avec son frère et que cette nuit avait été "géniale" pour lui. Comprenant qu’elle avait tendu un peu la jeune fille, Marina ajouta rapidement :

-"Mais rassure-toi, je ne dirai rien pour vous deux. Il t’aime, ça se voit et je trouve ça très beau. Vous n’avez seulement pas de chance. "

Ces mots avaient rassurés Pauline sur la confiance qu’elle pouvait avoir envers Marina. Elle était aussi très contente de savoir que Marina s’était rendu compte de l’intensité de l’amour de Tom pour elle. Ça voulait dire aussi que, même si ils avaient eu une nuit ensemble, Marina avait été consciente qu’elle n’avait fait que lui emprunter Tom.

-"Non, Tom n’est pas très chaud. " décida-t-elle de continuer. "C’est pour ça que je voulais en parler avec Franck et savoir si ça l’embêtait qu’on ne fasse rien finalement. "
-"Au vu de l’effet que tu lui faisais hier soir et du récit de votre nuit ensemble, oui ça l’embêterait je pense. Mais il comprend qu’un petit moment entre vous deux, en dehors du jeu, ça peut peser sur moi ou Tom. Oui, j’ai dû lui dire pour Tom et toi mais rassure-toi, ça l’a plus excité qu’autre chose, cet idiot ! "
-"Ok" fit Pauline, visiblement contrariée que tant de gens soient au courant de ce secret. "Donc, c’est arrangé ? "
-"Oh, non, ma jolie ! " rétorqua Marina avec énergie, surprenant Pauline. "Franck t’a donné un orgasme de folie cette nuit, j’ai pu l’entendre moi aussi, alors tu lui es redevable. " Marina se tut un instant et reprit, avec une certaine gêne. "Alors je lui ai proposé un truc…qu’il a accepté tout de suite d’ailleurs. Maintenant, ça dépend de toi…"

La curiosité de Pauline était piquée, même si elle pouvait sentir qu’elle n’était pas sortie d’affaire. Qu’est-ce que Marina essayait de lui proposer ? Pourquoi cette gêne tout à coup chez cette fille d’habitude si directe ? Et puis tous ces gens qui connaissaient le secret de son amour pour Tom…elle avait peur soudain.

-"Bon, je vais arrêter de tourner autour du pot" se reprit Marina, même si sa gêne, qui était davantage de la timidité comme le comprenait Pauline, était toujours là. "Disons que j’ai souvent eu le fantasme de…d’essayer avec une fille, et que, comme je te trouve très séduisante, j’aimerai bien faire ça avec toi. "

Dès le moment où Marina avait avoué son fantasme, ses mots avaient été très rapides, laissant Pauline toute interloquée. Pourtant, il ne pouvait y avoir d’autre sens à ces mots que ce qu’elle avait entendu. Marina lui proposait de coucher avec elle…La surprise de Pauline et son silence mirent Marina mal à l’aise, qui reprit :

-"Je sais que ça parait un peu fou mais comme ça, tu ne dois plus rien à Franck" tenta-t-elle maladroitement.
-"Tu veux dire que je suis obligée par ma promesse ? " finit par répondre Pauline en sortant de sa stupeur.
-"Non, non, pas du tout. Je t’ai dit que ça dépendait de toi. C’est toi qui choisis si tu es d’accord ou pas" s’empressa d’expliquer Marina. Pauline garda le silence quelques secondes.
-"Je peux réfléchir ou il faut que je réponde maintenant ? Parce que là…je sais pas quoi dire. "
-"Bien sûr que tu as le temps de réfléchir, je ne te force pas" rassura Marina, un peu soulagée de voir que Pauline était plus déstabilisée que fâchée par sa proposition.
-"Ok, je…je vais voir…avec Tom, déjà. " conclut Pauline, pressée de partir en sentant qu’elle rougissait.119


Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

Les deux jeunes filles se séparèrent donc rapidement et revinrent dans le groupe. Tom avait noté que Pauline discutait avec Marina et rougissait à son retour. Il se glissa près d’elle et lui demanda.

-"Y a quelque chose qui ne va pas ? "
-"Non, non, rassure-toi. Je…je t’en parlerai tout à l’heure. " Cet après-midi-là avait fini avec une partie de belotte entre ses grand-parents, sa mère et Pauline. D’ordinaire assez efficace, la jeune fille avait enchainé quelques erreurs et semblait avoir l’esprit ailleurs. La proposition de Marina lui revenait sans cesse en tête et ses mots "Je voudrais essayer avec une fille"… Ça avait été une telle surprise. Une autre fille la trouvait assez séduisante pour avoir envie d’elle. Et c’était Marina, une fille carrément canon ! Mais à quoi elle pensait ?! Est-ce qu’elle envisageait sérieusement de…Non, elle trouvait Marina vraiment belle, bien foutue, charmante mais pas au point d’avoir envie d’elle !

Ses pensées dérivaient pourtant et elle se remémorait la soirée d’hier, le strip-tease de Marina, ses seins bien ronds, ses hanches bronzées…son pubis brun…soigneusement taillé en un petit triangle…au-dessus de ses lèvres…Puis elle se secouait la tête et se forçait à revenir à la partie. Un pli, deux plis. Ah zut, elle aurait pu couper avec l’atout. Les seins de Marina, ses tétons tout crispés…quel goût pouvait avoir le téton d’une fille ? Est-ce que ça lui ferait bizarre de poser sa bouche dessus ? Nouvelle secousse de la tête. Mais à quoi elle pensait ?!
Heureusement, la partie venait de finir. Elle était enfin libre et décida de trouver une activité qui lui occupe plus l’esprit. En se levant, un filet d’air passa sous sa jupe. Elle était toute mouillée ?! Elle rougit en le découvrant et eu l’impression que tout le monde pouvait s’en rendre compte. Elle se précipita à l’étage, dans sa chambre, pour retrouver un peu de calme. Elle s’allongea sur le lit et se força à se calmer, à penser à autre chose. Mais elle n’y arrivait pas. Elle voyait encore le visage timide de Marina lui proposer d’"essayer avec une fille". Elle, avec une fille ?!

C’est à ce moment que Tom entra dans la chambre et referma derrière lui. Il avait vu sa sœur quitter la table et monter. Sa mère lui avait dit qu’elle avait peut-être quelque chose qui n’allait pas car elle semblait ailleurs. Tom avait dit qu’il allait voir si tout allait bien. Elle se tourna vers lui quand il entra, les yeux un peu trop égarés.

-"Ça ne va pas ? " s’enquit-il immédiatement.
-"Je sais pas…je sais pas. C’est bizarre" parvînt-elle à dire, timide.
-"C’est en rapport avec ce dont tu as discuté avec Marina ? "
-"Oui. Je…Elle voulait me parler de la promesse que j’avais faite à Franck…"
-"Et ? "relança Tom, voyant que sa sœur hésitait.

Pauline s’était assise sur le lit, adossée au mur, ses bras enlaçant ses genoux repliés sous son menton. Tom pouvait voir sa culotte car sa sœur portait une jupe. Il fut parcouru d’un frisson de désir mais se força à revenir à ce qui semblait préoccuper tant Pauline.

-"Elle était d’accord avec ce dont on avait discuté ce matin, que c’était peut-être abusé que Franck et moi on fasse un truc tous les deux en dehors du jeu. Mais elle a proposé autre chose à la place…"
-"Quoi ? " fit Tom, un brin nerveux.
-"Elle a proposé qu’on fasse quelque chose entre filles" acheva-t-elle avec la même précipitation que Marina. "Elle et moi. Elle m’a dit qu’elle me trouvait jolie et qu’elle voulait essayer avec une fille depuis quelques temps. " ajouta-t-elle comme si elle devait se justifier.
-"Mais…mais…" articula Tom, abasourdi. "C’est sérieux ? "
-"Je crois bien, oui. Elle m’a dit que je pouvais y réfléchir, que je n’étais pas obligé. Mais elle a aussi dit que j’étais redevable de l’orgasme que Franck m’avait donné. " dit-elle, embarrassée.
-"En gros, Marina n’était pas d’accord pour que tu fasses quelque chose avec son copain, mais elle est d’accord pour que ce soit avec elle ?! C’est n’importe quoi. En quoi ça change quelque chose au fait que vous deux, vous vous faites votre truc dans votre coin ? "
-"Euh, je crois qu’elle sous-entendait que vous puissiez regarder" avoua-t-elle, rougissante.

Pauline n’en revenait pas du tour que prenaient les choses. Elle était en train d’essayer de convaincre Tom du bien-fondé de la proposition de Marina ?! Elle rougit encore et enfonça son visage derrière ses genoux. Tom, lui était encore sous le choc. Qu’il puisse regarder Pauline faire l’amour avec une autre fille l’avait…mis sur orbite. En voyant la jeune fille cacher son visage, il revint sur Terre. Elle semblait une petite fille ayant fait une bêtise.

-"Et tu as accepté ? " demanda-t-il.
-"Non, bien sûr. " répondit-elle sans relever son visage. "Ça m’a tellement surpris que j’ai pas su quoi dire. Mais depuis, j’arrête pas d’y repenser. Ça tourne dans ma tête. "
-"Comment ça ? "
-"Bin, j’ai jamais pensé à faire ça avec une fille mais j’arrête pas de penser à elle, à son corps nu pendant la soirée de hier. Je me demande ce que ça ferait…"
-"Tu veux essayer ? " demanda-t-il sans arrière-pensée, uniquement curieux de ce que pouvait penser sa sœur.
-"…peut-être…mais je ne sais pas si j’en serai capable…et je ne veux pas que vous soyez là au cas où je ne puisse pas. "

Tom était totalement surpris par Pauline. Il n’avait jamais imaginé ce genre de chose venant d’elle. Pourtant, n’était-ce pas aussi une question d’opportunité ? Ce ne serait sans doute jamais venu à son esprit si une fille ne lui avait pas demandé. Et là, elle était prête à l’envisager, toute timide qu’elle était.

-"On fera comme tu voudras, ma chérie" déclara-t-il en se rapprochant d’elle et en l’enlaçant.
-"C’est vrai ? " La tension semblait avoir quitté le corps de la jeune fille.
-"Oui, c’est toi qui décide comment ça se passera. " Elle lui rendit son étreinte.




Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

Ils pouvaient éprouver le bien-être d’être serré contre celui et celle qui nous accepte, que rien ne peux éloigner. Quand ils desserrèrent leur étreinte, visage contre visage, ils échangèrent un baiser tendre d’abord qui se mua en baiser sensuel. Leurs langues avaient trouvé le chemin de la bouche de l’autre et dansaient ensemble. Il n’avait fallu que quelques secondes pour que leurs respirations s’accélèrent et leurs mains se crispent sur le corps de l’autre.
Tom sentait son corps se raidir sous l’effet du désir. Il resserra son étreinte contre le corps de Pauline. Elle s’était progressivement laissée glissée de sa position assisse à allongée et Tom, coincé entre ses cuisses, avait suivi le mouvement. Ils étaient l’un sur l’autre et, sans s’en rendre compte, synchronisaient les caresses de leurs corps l’un contre l’autre. Tom avait saisi les mains de Pauline et les tenait de chaque côté de la tête de la jeune fille, davantage dans une volonté de rester serrés l’un contre l’autre que de domination. Quand leurs bouches se quittèrent, celle de Tom glissa dans le cou de sa sœur, lui arrachant des gémissements dont l’intensité montrait l’état d’excitation avancé dans lequel était Pauline.

-"J’ai envie de toi" lui glissa-t-elle à l’oreille, dans un soupir qui ébranla Tom des pieds à la tête.
-"Maman m’a envoyé pour voir si tu allais bien. Je ne sais pas si nous avons beaucoup de temps. "
-"Alors prends-moi maintenant" le supplia-t-elle. "Je suis déjà trempée. "

Relevant la tête avec un sourire taquin, Tom libéra une des mains de sa sœur et glissa la sienne le long du corps de son amoureuse. Une fois entre ses cuisses, il posa ses doigts sur la culotte fine qui s’avéra en effet trempée.

-"On dirait bien oui" confirma-t-il.

Se relevant complètement, Tom fouilla dans la table de chevet et en sortit un préservatif. Alors qu’il allait commencer à retirer son T-shirt, Pauline l’arrêta.

-"Ne te déshabille pas, on n’a pas le temps. Enfile-la et viens en moi" lui demanda-t-elle.

Joignant le geste à la parole, elle avait passé ses mains sous sa jupe et avait fait glisser sa petite culotte blanche le long de ses jambes avant de l’abandonner au pied du lit. Tom n’avait pas perdu de temps non plus. Il avait déboutonné son short et l’avait baissé avec son boxer suffisamment pour libérer sa verge déjà tendue de désir. Une fois le préservatif enfilé, il revînt vers Pauline, qui l’accueillit en écartant les cuisses et les bras.

Sans attendre, il avait présenté son gland à l’entrée des lèvres gonflées de son amante. Dans une parfaite coordination, elle avait enroulé ses jambes autour de sa taille et c’est elle qui le poussa en elle. Elle gémit en sentant Tom entrer en elle jusqu’au bout. Trempée comme elle était, il n’y avait eu aucun mal. Tom pouvait la sentir se contracter autour de lui. Décidemment, Pauline était chaude comme la braise depuis hier.

Il entama un puissant va-et-vient, enivré par le désir et sachant qu’ils avaient peu de temps. Chacun d’eux essayait de contenir ses gémissements, que l’excitation croissante rendait toujours plus intenses. Ils avaient joints leurs bouches pour se bâillonner mutuellement. Pauline avait enlacé le cou de Tom et le gardait contre lui. Lui faisait de grands mouvements des reins lui permettant de ressortir quasiment complètement sa verge avant de l’enfoncer à nouveau en elle. D’ailleurs elle l’assistait dans la pénétration en pressant ses reins contre son minou à chaque qu’il la prenait.

Tout s’accélérait. Pauline se raidissait encore dans ses bras. Lui, presque euphorique de faire à nouveau l’amour à son amoureuse depuis la soirée de la veille, se rapprochait de l’orgasme. Dans ces conditions, ce fut un miracle qu’ils entendent les pas dans le couloir. Quelqu’un venait vers la chambre, c’était sûr. Le temps se figea l’espace d’une seconde. C’est d’un élan commun que Tom se retira de sa sœur et qu’ils se relevèrent du lit. Mais que faire ??! Ils étaient là, au milieu de la chambre, trop rougissants et débraillés pour que ce qu’ils fassent ne soit pas équivoque. Pauline supplia Tom du regard. Dans ces moments-là, la pensée atteint une vitesse rarement égalée. Où se cacher ? Sous le lit ? Trop bas. Derrière la porte ? Trop risqué à deux.

Il ne restait que l’étroit placard encastré dans le mur à côté de leur lit et dans lequel ils avaient pendu leurs affaires. Sans réfléchir à la faisabilité réelle de la chose, Tom empoigna sa sœur et la guida vers le placard. Il ouvrit la porte, tassa les affaires d’un mouvement et de l’autre libéra Pauline qui avait compris le plan. Ils eurent à peine le temps de refermer la porte sur eux que celle de la chambre s’ouvrait. Ils ne pouvaient pas voir qui était venu les voir mais ils pouvaient entendre.

-"Bah, où sont-ils passés ? Je pensais qu’ils étaient montés ? " s’étonna leur mère à haute voix.
-"Ils sont pas là ! " cria le petit cousin Thomas en entrant dans la chambre.
-"Ils sont pas là ! " répéta sa sœur Clémentine en l’accompagnant.
-"Bon, on repart les enfants ! " ordonna leur mère. Mais déjà les enfants avaient pris possession de la chambre qu’ils ne connaissaient pas et se couraient après en sautant sur le lit. "Ok, restez-là pendant que je les cherche encore. Mais après vous redescendez. Et vous ne touchez à rien, c’est promis ? "
-"Promiiiiis" firent les enfants de concert.

Tom et Pauline entendirent les pas de leur mère s’éloigner dans le couloir. Soulagés, ils lâchèrent un soupir ensemble, qu’ils pensèrent à étouffer juste à temps. Ils n’étaient pas encore sortis d’affaire puisque Clémentine et Thomas jouaient à se courir après dans la chambre. Ils pouvaient les entendre passer sur et sous le lit, se courir autour en criant des provocations. Ils n’avaient pas le choix, il fallait attendre.

Pourtant, une fois l’adrénaline de la surprise retombée, le souvenir de l’excitation revînt en eux. Il faut dire que l’étroitesse du placard les maintenait serrés l’un contre l’autre. Les mains de Tom se glissèrent autour de la taille de Pauline et la serrèrent contre son ventre. Pauline put sentir la verge à nouveau gonflée de son frère. D’abord stressée par la situation et les cris des enfants, elle comprit que le feu qui habitait encore son ventre ne demandait qu’à être éteint. Se mordant la lèvre inférieure et elle provoqua Tom du regard en enroulant ses bras autour de son cou.

Autant que possible, Tom l’appuya contre le mur derrière elle, contre les vêtements qu’ils avaient tassés. Le minuscule grincement des cintres sur la tringle leur semblait décuplé dans le secret de leur refuge. Ils se figèrent un instant mais leurs petits cousins ne semblaient pas avoir entendu. Pourtant, il n’était pas question de s’arrêter là. Pauline releva sa jambe droite, ouvrant un passage entre ses cuisses à son frère. Tom saisit sa cuisse et la serra contre sa hanche, glissant ainsi contre sa sœur.

Joueur, il passa d’abord son pénis dressé contre les lèvres trempées de Pauline, la caressant ainsi dans un mouvement sensuel de va-et-vient. Puis, n’y tenant plus, il pointa son gland à l’entrée de son minou et se glissa en elle. Bien sûr, il ne pouvait entrer beaucoup dans cette position, les deux amants faisant presque la même taille. Pourtant, ainsi, sa verge venait presque frotter le clitoris de Pauline, ce qui la rendait folle.
La jeune fille eut à peine le temps d’enfouir son visage dans le cou de Tom avant d’un gémissement ne quitte sa gorge. Tom passa son autre main sur la fesse gauche de sa sœur et la serra contre lui à chacun de ses mouvements de pénétration.

L’atmosphère était torride dans ce placard. Chaque soupir qu’ils retenaient leur semblait un signal au monde entier de leur plaisir. Avec une prise de conscience assez diffuse du risque encouru, ils ne comprenaient pas comment les enfants ne pouvaient pas les entendre. Les ongles de Pauline griffaient les épaules de Tom tant elle essayait de se maintenir debout. La situation, et leur position sans doute, avaient décuplé leur plaisir. Tom se délectait de cet angle de pénétration et ne retenait pas ses coups de reins. Il sentait que Pauline faiblissait sous le plaisir et luttait pour rester debout. Pourtant, il a prenait encore et encore, s’enivrant de la chaleur étouffante du placard.



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

A travers les nimbes de leur plaisir, Tom avaient entendu leur mère qui rappelait les enfants depuis le rez-de-chaussée. Disciplinés, ceux-ci avaient répondu tout de suite à l’ordre et courrait hors de la chambre. C’est à ce moment que Pauline faiblit contre lui.
Sans réfléchir, Tom libéra son étreinte sur la fesse de sa sœur et se saisit de son autre cuisse. D’un mouvement de bassin, il se planta complètement en elle pendant qu’il la soulevait dans ses bras et l’appuyait à nouveau contre la cloison. Le bruit de son bras heurtant la porte du placard n’avait plus d’importance puisque la chambre était vide. De toute façon, au vu du long râle que poussa Pauline en sentant Tom glisser en elle avec autant de force, ce n’est pas ce bruit qui les aurait trahit.

Sans sortir du placard, Tom reprit ainsi la pénétration, s’enfonçant en entier dans le ventre de sa sœur. La jeune fille ne parvenait plus à retenir ses cris et cette fois, c’était la porte fermée du placard qui les sauvait. Elle le suppliait de continuer. Chaque fois que le gland de Tom touchait le fond de son minou son cri était plus puissant.

-"Viens…viens en moi…"

Ces mots à peine audibles dans un soupir de Pauline à son oreille déclenchèrent l’orgasme de Tom. Ils jouirent ainsi l’un contre l’autre, étouffant leurs cris dans le cou de l’autre. Tom sentait de puissants jets parcourir son pénis tandis qu’à chaque mouvement de bassin, il jouissait en Pauline, encore et encore. Il l’aimait. Il l’aimait tellement que tout le reste n’avait pas d’importance. Elle était son amour, elle était dans ses bras et elle jouissait avec lui. La peur d’être surpris était loin déjà.
Quand leur orgasme se calma, Tom relâcha Pauline mais continua de la maintenir contre lui, le temps qu’elle reprenne des forces. A peine, sortis du placard, ils furent frappés par la fraicheur de la chambre en comparaison. Pourtant, il n’y avait pas de temps à perdre. Ils se rhabillèrent. Pauline attrapa une culotte propre et la passa avant de rejoindre Tom qui arrivait à la porte pour vérifier que personne ne trainait dans le couloir. Ils descendirent à pas de loup et, heureusement, ne rencontrèrent personne.

Le jour avait bien diminué et quand ils retrouvèrent leur mère, assise avec les autres, ils firent mine, avec un jeu d’acteur admirable, être partis faire une promenade pour changer les idées de Pauline.La fin d’après-midi s’était passée agréablement en famille. Pourtant Pauline gardait en tête la proposition de Marina. Elle avait d’abord été choquée d’imaginer faire un câlin avec une autre fille mais les mots de Marina et Tom lui revenaient sans cesse en tête. Elle se rendait compte également que ce séjour dans la maison de campagne avait teinté les lieux d’érotisme avec ses moments avec Tom, la visite du château, cette soirée avec les autres…Des idées coquines lui passaient sans cesse en tête et, depuis hier soir, des papillons ne cessaient de danser dans son ventre.
Qu’allait-elle faire ? Qu’avait-elle envie de faire ? Elle pouvait profiter de la proposition de Marina pour découvrir autre chose, peut-être pour la seule fois de sa vie. Mais elle avait aussi peur de tenter cette expérience. Comment allait-elle réagir face au corps d’une autre fille, à une fille qui la toucherait, l’embrasserait ? Allait-elle oser la toucher à son tour ?
Et pourtant, elle se rendait compte que, malgré l’appréhension, elle commençait à mouiller. Alors, dans un élan spontané, elle saisit le bras de Marina, qui passait à côté d’elle, pour l’entrainer à l’écart.

-"Alors, euuh, j’ai bien réfléchi et…"commença Pauline, rougissante, "je suis d’accord pour essayer avec toi. " Mais devant le sourire de Marina, elle s’empressa d’ajouter : "Mais je ne sais pas si je serai capable de…alors j’ai pas envie que les garçons soient là. "
-"Je comprends" répondit Marina puis ajouta "Mais je me doute que Franck va être déçu. C’était sa récompense à la base. "
-"C’est vrai" conclut Pauline avec embarras. "A la rigueur, on peut essayer toutes les deux et si j’y arrive, on peut appeler les garçons pour qu’ils regardent discrètement ? "
-"Ouiii, c’est une bonne idée. Mais tu sais, je suis aussi stressée que toi. Je me disais juste que tu étais celle avec qui je voudrais le tenter et que…après la soirée de hier, on était un peu sur cette longueur d’onde. "
-"C’est ce que je me dis aussi" ajouta Pauline, toujours rougissante. "Alors on tente ça ce soir ? "
-"Ok, je viendrai te rejoindre dans ta chambre une fois que tout le monde sera couché. Tom n’aura qu’à attendre avec Franck ou dans le salon. Enfin…si tu veux comme ça ? "
-"Ou…oui, pas de soucis" bredouilla Pauline, pour qui la proposition prenait un tour plus concret.

Sur ces mots, les jeunes filles se séparèrent et retrouvèrent les autres pour dîner.

Durant le dîner, Marina et Pauline ne pouvaient s’empêcher de chercher l’autre du regard puis de rougir en le détournant. Pauline sentait que l’excitation montait en elle et que son appréhension en était un peu endormie. Elle avait glissé à Tom qu’elle avait accepté la proposition de Marina, ce à quoi il avait répondu par un simple sourire où Pauline avait plus vu de la joie pour elle que de l’excitation face au fantasme lesbien. Ceci dit, quand elle lui dit qu’il pourrait les rejoindre quand elles auraient commencé si elle se sentait à l’aise, elle avait vu cette lueur de concupiscence passer dans son regard. Qu’il est mignon, avait-elle pensé.

Après le repas, Pauline avait été prendre une douche toute seule. Elle voulait se détendre au maximum car l’approche de…la rendait nerveuse. Comment faire ? Comment se rapprocher d’une fille ? Est-ce que c’était pareil qu’un garçon ? Allaient-elles s’embrasser ? Allait-elle pouvoir lui toucher les seins, les embrasser ? Elle se forçait à chasser ces idées de son esprit car la tension montait. Quand elle sortit de la douche, elle enfila ses sous-vêtements. Mine de rien, elle avait choisi un ensemble bleu turquoise qui contrastait bien avec sa peau brune et bronzée. Elle voulait être belle pour une autre femme ? Elle s’amusa de réaliser cela en sortant de la salle de bain, enroulée dans sa serviette.
Dans la chambre, Tom bouquinait. Il posa son livre en la voyant entrer.

-"Tu es déjà toute nue, là-dessous ? " demanda-t-il.
-"Ne sois pas bête" fit-elle en se débarrassant de sa serviette.
-"Wow ! Mais tu es superbe ! Ai-je le droit de goûter ? "
-"Non, pas ce soir ! " lança-t-elle en faisant un tour sur elle-même, comme pour le provoquer.
-"Ooh. Alors je préfère te laisser. Je serais trop tenté. "
-"Où vas-tu ? "
-"Je descends au salon. Il ne reste que les parents et je vais mater un film avec eux en attendant que tu m’appelles peut-être. " fit-il avec un clin d’œil.
-"On verra ça, obsédé. " conclut-elle avant de déposer un baiser sur ses lèvres.

Puis elle se retrouva seule dans la chambre. Elle alluma seulement l’une des lampes de chevet, créant une lumière très douce. Puis elle s’allongea sur le lit et, sur le ventre, se changea les idées en feuilletant un magazine de mode. Elle ne fallut que 10 minutes avant que quelqu’un frappe à la porte. Sans attendre de réponse, Marina ouvrit et glissa sa tête.

-"Tu es seule ? s’enquit-elle.
-"Oui, c’est bon" fit Pauline d’une voix se voulant ferme.

A ces mots, la jeune fille se glissa dans la chambre. Pauline était toujours sur le ventre et s’était à demi tournée sur côté pour voir Marina, cambrant ainsi ses fesses seulement vêtues de sa culotte. Elle s’en rendit compte en voyant une lueur de désir dans le regard de Marina qui la rejoignait. Sans réfléchir, elle se repositionna sur le lit. Marina se mit à l’aise en ôtant sa robe de nuit. Elle portait elle aussi une jolie lingerie, blanche à pois noirs, clairement sexy. Marina vînt s’assoir à côté d’elle. Un silence s’installa dans la chambre.

C’est Marina qui prit l’initiative. D’un geste gracieux, elle posa sa main droite sur la cuisse repliée de Pauline et la caressa doucement, avec tendresse. Le contact surpris la jeune fille, mais elle fut davantage surprise par la douceur de cette main sur sa peau. Une caresse, c’était vraiment ça. Marina remontait doucement, et un peu timidement, sa cuisse et elle la ressentait comme un drap qui glisse sur sa peau. C’était ça une caresse de fille ?

-"Tu sais ce qui m’a fait penser à te demander d’essayer un câlin entre filles ? " demanda Marina, d’une voix douce, de velours.
-"Non" put seulement répondre Pauline dont l’émotion suscitée par la caresse l’avait déjà troublée.
-"Parce que j’ai eu envie de toi…" glissa Marina dans un soupir timide qui voilait son aveu.
-"Ah ? " ne put que répondre Pauline, surprise et qui se reprochait de ne pas pouvoir faire sortir autre chose de sa bouche.
-"Ca ne m’était jamais arrivé vraiment. J’y pensais par curiosité, comme ça de temps en temps mais sans envie. Quand je t’ai rencontré, j’ai été attiré par toi. Et puis, je t’ai découverte hier soir et…"

Marina s’interrompit et son regard lâcha celui de Pauline pour descendre sur son corps, vers sa cuisse où sa main continuait à prodiguer à la jeune fille des caresses tendres et amples.



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

-"…j’ai eu envie de toi" continua-t-elle d’un ton plus envoûtant. "J’ai eu envie de caresser tes jambes. " Tout en parlant, Marina accentua sa caresse le long de la cuisse de Pauline. "J’ai eu envie de caresser ton ventre. " La main de Marina s’associait à ses mots et remonta la cuisse de Pauline pour passer sur sa hanche puis son ventre.

Pauline avait l’impression que son cœur s’était mis à battre par bonds. Le contact de la peau de Marina contre la sienne l’avait déjà émue. Mais depuis qu’elle s’était mise à parler de son désir et que ses caresses s’étaient accentuées, le corps de Pauline était parcouru de petits frissons. Elle sentait son cœur battre plus fort. Ca commençait ? Cette expérience entre filles commençait maintenant ? Elle se laissait complètement faire, ne sachant pas quoi dire ou même penser. Est-ce qu’elle aimait cela ? C’était étrange, pas pareil qu’avec un garçon. Pas pareil, mais…

-"J’ai eu envie de caresser tes jolis seins tout ronds" continuait inexorablement Marina, tout en regardant le corps de Pauline. Sa main était passée du ventre de la jeune fille à son sein gauche.

Pauline s’était raidie en sentant la main de Marina sur son sein. Elle s’était refermée sur lui et, même à travers son soutien-gorge, elle pouvait sentir son étreinte. Son souffle s’était accéléré un peu, elle s’en rendait compte. Ce n’était pas pareil qu’un garçon mais c’était bon. Cette main sur elle était plus tendre, plus petite, plus…pas pareil. Et le regard de Marina sur son corps... Comme durant la soirée de la veille, se sentir regardée et désirée avait un effet certain sur Pauline.

-"J’ai eu envie de venir goûter ta peau…embrasser ton cou…" La voix de Marina se faisait plus faible. Il était évident qu’elle subissait aussi un désir fort pour la jeune fille.

En entendant les mots "embrasser ton cou", Pauline eu un frisson. Allait-elle réellement le faire ? Elle la caressait comme elle parlait depuis tout à l’heure. Allait-elle l’embrasser aussi ? Son corps était chaud tout à coup. Son cou semblait la brûler.
Mais déjà, elle voyait que Marina se penchait sur elle. Le temps semblait filer trop vite. Elle ne contrôlait rien. Soudain elle sentir la chaleur des lèvres de Marina se poser dans son cou, à droite, et la chaleur dans son corps augmenta encore. Il n’y avait pas que la bouche de Marina qui la touchait. Du fait qu’elle s’était penchée sur elle, leurs corps se frôlaient, se touchaient un peu plus. La main de Marina n’avait pas relâché son sein et le serrait toujours tendrement. Ses longs cheveux châtains avaient glissé sur sa poitrine et chacun d’eux avaient été une nouvelle caresse. Et puis ces lèvres qui la goûtaient. Si chaudes, si douces, elles glissaient sur sa peau comme une caresse, remontaient depuis son épaule dans son cou.

-"Mmmh"

"Oh, mon Dieu" pensa-t-elle, surprise de n’avoir pas pu retenir un gémissement de plaisir. Elle aimait cela ? Les baisers d’une fille ? Les lèvres qui remontaient dans son cou lui ôtaient le doute au fur et à mesure. C’était bon. Elle aimait cela.

-"J’ai eu envie d’embrasser tes lèvres…" soupira Marina à son oreille.

Un frisson parcourut tout le corps de Pauline. Ses lèvres ? Un vrai baiser ? Maintenant ? Un baiser avec Marina ? Déjà la main sur son sein remontait du côté gauche de son cou, ajoutant encore cette caresse si douce sur sa peau. Elle avait senti le souffle de Marina passer sur son oreille quand elle avait quitté son cou. Tout allait trop vite. Aimait-elle ça ? Voulait-elle continuer ? Déjà, les mains de Marina se posaient sur ses joues et la tournait vers elle. Marina avançait son visage vers le sien. Qu’est-ce qu’elle faisait ? Qu’est-ce qu’il fallait faire ?
Mais sans réfléchir, Pauline ferma les yeux et reçu les lèvres de Marina sur les siennes. Un frisson parcourut à nouveau son corps et elle sentit que c’était pareil pour Marina. Leurs lèvres semblèrent se chercher d’abord, s’effleurer. Le contact n’était pas désagréable. Le baiser d’une fille ? C’était bon aussi. Une fois leurs lèvres habituées l’une à l’autre, le vrai baiser commença. Pauline se surprit à entrouvrir les lèvres, toujours soumise à l’étreinte de Marina. La douceur du baiser lui plaisait. Sans réfléchir, ses mains étaient venues se poser dans le dos de Marina. Elle sentait la peau nue sous ses doigts et elle sentit son ventre se contracter de désir.

Pauline avait soudain senti le bout de la langue de Marina venir caresser ses lèvres timidement. Elle ne l’avait pas repoussée et avait libéré la sienne. Chacune expérimentait ce qu’était un baiser entre filles et aimait cela. Rapidement, leurs bouches s’ouvrirent et leurs langues vinrent danser ensemble. Pauline sentait son souffle s’accélérer, comme celui de Marina. Elle sentait les mains de Marina se serrer sur ses joues, comme les siennes étreignaient plus fort le corps entre ses bras.

Leurs bouches ne se lâchaient plus, si ce n’était pour leur permettre de reprendre leur souffle. Il n’avait fallu qu’un baiser. Comme si chacune avait attendu de vérifier si cela lui plairait. Et elles aimaient cela. Marina avait libéré le visage de Pauline pour enlacer son corps elle aussi. Apres avoir gouté à la langue l’une de l’autre, les deux jeunes filles commençaient à explorer la sensualité de ce baiser nouveau. Elles alternaient des baisers plus légers, comme des caresses sur leurs lèvres, des jeux du bout de leur langue et des danses endiablées, lèvres étroitement jointes.
Pauline sentait la poitrine de Marina s’écraser sur la sienne, ses seins durs contre les siens. Elle ne pouvait retenir des gémissements de plaisir quand la bouche de Marina la prenait. Elle s’accoutumait au contact de la peau féminine sous ses doigts et commençait à en explorer les courbes, se laissant envahir par l’excitation de leurs baisers torrides. Plus de questions, plus de doutes. Seulement le moment présent et le plaisir à la fois débridé et tendre de ce baiser entre filles.

Les mains de Marina caressaient le dos de Pauline et celle-ci pouvait deviner les frissons de plaisir de sa partenaire aux crispations de ses doigts sur sa peau. Marina était clairement dans le même état qu’elle. Les caresses qui parcouraient sa peau donnaient l’impression à Pauline de se fondre en Marina. Elle se donnait à elle, en toute confiance. Marina serrait son corps contre le sien, leur chaleur s’échangeait, leurs gémissements se confondaient. Pauline sentit à peine les doigts de Marina dégrafer son soutien-gorge. Mais elle s’en rendit compte quand sa partenaire s’écarta un peu d’elle et que ses seins se libérèrent du sous-vêtement. D’un geste plein de douceur, de précaution et de désir, Marina fit glisser ses mains sur les épaules de Pauline et entrainant les bretelles du soutien-gorge avec elles. Docile, Pauline se laissa dévêtir, rougissant encore mais plongeant son regard dans celui de Marina. Les deux jeunes filles se regardaient pour la première fois depuis le début de ce baiser et chacune pouvait lire dans le regard de l’autre le feu du désir et l’envie d’explorer ces nouveaux plaisirs.
Elle eut un léger frisson en sentant l’air passer sur ses seins nus. Mais cette sensation fut de courte durée.

"Que tu es belle", avoua Marina en découvrant ses seins. "Laisse-moi les toucher…"

Pour toute réponse, Pauline se mordit la lèvre inférieure en bombant légèrement le torse. Elle sentit son ventre se contracter d’excitation en voyant la pulsion de désir dans les yeux de sa partenaire d’un soir. Marina n’attendait que cette invitation.
Pauline ronronna en sentant les mains de la jeune fille se refermer sur ses seins. Marina fut maladroite d’abord mais trouva rapidement ses marques. Pauline avait l’impression que tout son corps se réduisait à la peau effleurée, caressée, serrée par les doigts agiles de Marina. Ses caresses n’étaient pas celles d’un homme, c’était une sensation nouvelle étrange. Alors que les mains de Tom et des autres garçons semblaient se saisir d’elle et lui arracher du plaisir autant qu’elles en prenaient, la posséder, celles de Marina l’exploraient, la découvraient, se faisaient plus hardies, plus spontanées, plus joueuses aussi. Ces mains découvraient les courbes féminines d’une autre fille mais s’ingéniaient à rechercher les zones, les mouvements procurant du plaisir à Pauline.

La jeune fille soupirait en sentant les mains épouser la forme de son sein, les doigts venir titiller son téton dressé de plaisir. Au fil de la découverte, Marina se faisait plus hardie, saisissant ses seins, les pressant entre ses mains, éprouvant leur volume. Pauline avait fermé à nouveau les yeux et se livrait au plaisir en soupirant. Elle sentait, entre ses cuisses que son minou désirait plus. Toutefois, une nouvelle vague de plaisir vînt la secouer quand elle sentit les longs cheveux de Marina venir caresser son épaule et sa poitrine puis sa bouche chaude se poser à nouveau dans son cou. Encore une fois, Pauline se délecta des lèvres douces et humides de la jeune fille, de ces baisers qui la suçaient et la mordillait en même temps. Déjà, des gémissements s’échappaient de sa gorge sans qu’elle cherche à les retenir. Ses doigts s’étaient glissés dans ces cheveux à l’odeur si entêtante.130



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - admirateur17 - 04-01-2021

Toujours plus brûlant...


Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 11-01-2021

Puis elle frissonna quand cette bouche glissa le long de son cou, de son épaule, descendit vers ses seins. Pauline avait retenu son souffle, redoutant presque de découvrir les sensations de ces baisers sur ses seins. Lentement, peut-être parce que Marina aussi était timide de découvrir ce contact, les lèvres passèrent sur le haut de son sein droit, suivirent sa courbe. Pauline sentait parfois la langue de Marina se joindre à ses baisers, comme pour la goûter. Puis soudain, cette bouche adorée se referma sur son téton. Pauline laissa échapper un petit cri de surprise avant de sentir une chaleur intense partir de son sein et se diffuser vers son minou et sa tête.

Déjà, cette bouche impétueuse suçait son téton, jouait avec du bout de sa langue, lui arrachait des gémissements toujours plus longs. La main de Pauline s’était crispée dans les cheveux de Marina, serrant sa tête contre son sein. Celle-ci se laissait également gagner par l’excitation. Sa main libre vînt se saisir du sein droit libre pour venir le torturer de plaisir à son tour. Marina avait saisi le téton gauche de Pauline entre ses doigts et l’y faisait rouler suavement, le pinçait, arrachant de nouveaux gémissements à Pauline. Puis la douce torture du sein gauche fut soulagée par la bouche chaude de la jeune fille. Pauline se tordait de plaisir, à genoux, appuyée sur ses fesses et contre Marina. Elle sentait son minou fondre entre ses cuisses. La bouche de Marina sur elle, saisissait son sein pour le téter, ses mains serraient sa poitrine avec tendresse et fermeté, comme si elles savaient déjà comment elle aimait qu’on s’occupe de ses seins.

Puis Marina relâcha sa poitrine et se redressa face à elle, le regard emplit de désir.

-"Est-ce que tu veux qu’on appelle les garçons maintenant ou…tu as encore des doutes sur le fait de faire un câlin avec une autre fille ? "
-"Petite maline", fit Pauline d’un sourire mutin. "Je leur envoie un texto. " Pauline sortit un peu de l’état d’hébétude dû à l’excitation et se retourna pour saisir son portable sur la table de chevet. Ainsi allongée sur le ventre, elle offrait à Marina une superbe vue sur ses petites fesses encore enfermées dans sa culotte turquoise. Alors qu’elle était en train de taper son sms d’une main fébrile, Pauline sentit les cheveux de Marina remonter d’une caresse le long de ses cuisses, de ses fesses, de ses reins avant de sentir à nouveau la chaleur de la bouche de Marina sur son épaule. Elle frémit encore et lâcha un long gémissement pour encourager sa partenaire à continuer.
Les baisers de Marina se firent plus sensuels sur le corps de Pauline. Ils étaient associés aux caresses tendres de ses mains douces, des caresses qui la parcouraient, de ses épaules, à son dos, ses flancs, ses reins, ses hanches…Pauline se délectait de ces caresses. Ses reins se cambraient entre les cuisses de Marina, qui l’avait enjambée pour venir sur son dos.
Marina descendit lentement sur le corps de Pauline, goûtant parfois sa peau de sa langue humide, la mordillant de désir. Même si c’était la 1e fois pour Marina, Pauline comprenait combien elle en avait envie et, sachant qu’elle n’en avait pas fantasmé avant leur rencontre, elle en fut d’autant plus flattée.

-"Mmmh, jusqu’où vas-tu descendre comme ca ? " ronronna Pauline.
-"Tu verras bien", répliqua Marina d’un ton de défi.

C’est à ce moment que les garçons entrèrent dans la chambre. La tête enfouie entre ses bras, Pauline aperçût à peine Tom qui se faisait discret au fond de la chambre, leur laissant le plus d’intimité possible.
Elle savourait les baisers de Marina qui descendaient sur ses reins, ses doigts qui glissaient sur ses hanches, le bord de ses fesses, le haut de ses cuisses. On eut dit que Marina était encore timide à l’idée de s’emparer des fesses de Pauline car ses baisers se firent hésitants. Pauline la titilla en cambrant encore ses reins et en ondulant doucement des fesses contre la poitrine de la jeune fille. Elle eut le délicieux plaisir de sentir les mains de Marina se saisir ardemment de ses fesses pendant que sa bouche venait se poser sur le coton de sa culotte, au milieu de sa fesse gauche.

Pour répondre à la provocation de Pauline, Marina la mordillait sensuellement, pinçant sa peau à travers le tissu. Ses doigts exploraient ses fesses, glissant parfois sous le tissu, faisant descendre progressivement la culotte de ses hanches. Pauline savourait les caresses de Marina sur une des zones les plus érogènes de son corps. Ses hanches continuaient d’onduler malgré elle, sous les baisers de sa partenaire. Les mains saisissaient ses fesses, les massaient, épousant ses courbes, glissant des doigts curieux vers son minou. Les cuisses de Pauline s’écartaient sans qu’elle en ait conscience, laissant les mains de Marina suivre la courbe intérieure de ses cuisses. Puis ces mains revenaient écarter un peu plus ce tissu devenu gênant, dévoilant toujours un peu plus les fesses bronzées de Pauline et laissant les baisers de Marina goûter encore à sa peau. Celle-ci perdait sa timidité progressivement, laissant sa langue parcourir les fesses de Pauline, la faisant frémir entre ses mains. De plus en plus souvent, ses doigts venaient se perdre entre les cuisses de la jeune fille, effleurant d’abord le tissu barrant encore l’accès à son sexe, puis le caressant plus sensuellement. Pauline ronronnait sous ces caresses, savourant les mouvements doux et sensuels d’une fille sur son corps. Elle aimait sentir la bouche chaude de Marina parcourir ses fesses tandis que ses mains glissaient entre ses cuisses, contre son minou, qu’elle savait déjà trempé.

Ses fesses étaient à moitié nues. Imaginer Marina saisir sa culotte pour la faire glisser le long de ses cuisses tordait son ventre de désir. Etre nue devant elle, à nouveau…mais contre elle…Comme si elle avait compris, Marina passa ses doigts sous l’élastique de sa culotte, autour de ses hanches et fit glisser le tissu turquoise au bas de ses fesses. En cambrant ses reins, Pauline facilita le passage du tissu et se laissa dévêtir, le visage rougissant dans son coussin.
Elle était toute nue maintenant, toute nue dans son lit, contre une fille qui la couvrait de baisers. Jusqu’où allaient-elles aller ? Son corps frissonnait à cette idée. Il n’y avait pas de Tom, pas de Franck. Juste Marina et leur désir. Elle se retourna tandis que Marina remontait le long de son corps jusqu’à venir se poser sur elle. Se savoir et se sentir complètement nue contre le corps de Marina firent frémir Pauline des pieds à la tête.



Re : une baignade qui dérape ( frère /soeur) (reprise docti) - pinmaritime108 - 11-01-2021

Déjà, leurs bouches s’unissaient à nouveau pour un long baiser sensuel. Leurs langues avaient appris à se connaitre, leurs lèvres se caressaient, se pinçaient. Les mains de Pauline s’étaient posées sur les hanches de Marina et remontaient le long de son dos, la serrant contre elle. Ses doigts rencontrèrent l’attache du soutien-gorge et il sembla tout de suite à Pauline que ce sous-vêtement était de trop. Elle voulait découvrir à son tour la poitrine si belle de Marina, celle que son frère avant tant reluqué la veille.
D’une main experte, elle fit sauter l’agrafe et, d’une caresse sensuelle, fit tomber les bretelles des épaules de la jeune fille. Marina sourit contre les lèvres de Pauline et se redressa, assise sur les cuisses de la jeune fille. Plantant son regard dans celui de Pauline, elle libéra ses seins de son joli soutien-gorge. Pauline sentit son ventre se contracter. Elle n’avait jamais été attirée par les filles avant ce soir mais ces seins…ronds, pleins, fermes, bronzés…elle les désirait.

Sans réfléchir, elle se redressa à son tour. Contre Marina, les bras autour d’elle pour l’enlacer, elle savourait la chaleur de leurs deux poitrines serrées l’une contre l’autre. Pour la première fois, et tout à fait spontanément, sa bouche vint se poser dans le cou de sa partenaire. Comme si elle l’avait toujours fait, elle embrassa la peau à pleine bouche. Sentir cette poitrine de femme contre la sienne avait été comme un déclic. Elle avait été dans un état d’excitation toute la journée en pensant à la proposition de Marina, avait imaginé le corps de Marina sous ses vêtements, s’était souvenue de la soirée de la veille. Maintenant ce corps superbe était contre elle. Son odeur l’enivrait, la caresse de sa peau la rendait électrique. Elle voulait la goûter, la découvrir à son tour, lui donner du plaisir. Pas pour qu’elle lui appartienne, comme elle le faisait avec Tom, mais pour elle seulement, pour le plaisir de la voir se tordre de désir, tout comme elle l’a fait pour elle juste avant.

Marina gémissait au-dessus d’elle. Elle avait passé ses doigts dans ses cheveux et lui caressait la tête dans son cou. Pauline savourait le goût de cette peau de fille, l’odeur de soleil, son grain, ses frissons quand elle passait sa langue dessus. Elle découvrait combien Marina aimait les baisers dans le cou. Elle sentait son ventre se serrer contre le sien, ses hanches onduler sur elle. La bouche de Pauline glissa sur son épaule nue, la mordit tendrement tandis que ses mains quittaient son dos pour venir s’emparer de ses seins.
En refermant ses mains sur les seins de Marina, Pauline l’entendit ronronner longuement. La jeune fille se cambra pour dégager sa poitrine et laisser plus de place à Pauline. Quel délice c’était de sentir ces seins emplir ses mains. Ils étaient trop gros pour entrer en entier dans sa main de fille mais sa paume et ses doigts en épousait les contours, les caressait, les massait. Malicieusement, Pauline passait ses pouces sur les tétons de Marina, les fit se crisper avant de jouer avec, arrachant de nouveaux gémissements à sa partenaire. Très vite l’envie de les goûter devînt puissante. Sans attendre et le ventre crispé de désir, Pauline laissa sa bouche quitter l’épaule de Marina et glisser sur sa poitrine. Sa langue suivit la courbe de son sein gauche jusqu’à son téton. Un frisson remonta son dos comme elle goûtait pour la première fois au sein d’une fille et y succomba sans retenue. Sa bouche vînt se refermer sur ce téton, l’embrasser, le sucer. Pauline le pinçait entre ses lèvres, le titillait du bout de sa langue, encouragée par les nouveaux gémissements de Marina.

Ses mains étreignaient ces seins ronds et pleins et les présentaient à sa bouche qui ne voulait plus les quitter. Pauline se délectait de ce corps de fille et des soupirs de sa partenaire. Ses lèvres passèrent au sein droit et le goûta à pleine bouche à son tour. Elle suçait le téton avec désir tandis que sa main droite quittait le sein gauche de Marina pour se glisser sur sa hanche et ses fesses. Pauline saisit ces fesses rebondies à pleine main pour venir serrer son ventre contre celui de sa partenaire. Elle savourait leurs chaleurs mêlées.

Puis Marina arracha Pauline à son sein en enfermant son visage entre ses mains. Elle vînt poser sa bouche sur la sienne. Ce baiser n’était pas le même que les précédents. Pauline pouvait sentir combien Marina avait été excitée par sa bouche et ses baisers. La jeune fille se tortillait, se cambrait de désir entre ses bras. Et sa langue torride qui dansait avec la sienne montrait qu’elles n’allaient pas en rester là.
Marina repoussa Pauline contre le lit. Elle admira une nouvelle fois le corps de la jeune fille, ses seins à croquer, ses cheveux châtains bouclés et ses petites taches de rousseur qui entouraient ce sourire malicieux. Puis elle s’allongea contre elle et l’embrassa à nouveau. Pauline ronronna en sentant à nouveau la chaleur de Marina contre elle. Leurs seins s’écrasaient mutuellement. Elles pouvaient sentir leurs tétons frotter l’une contre l’autre. L’excitation venait d’augmenter sérieusement.

Pauline frissonna en sentant une main de Marina glisser sur son sein droit et saisir sa hanche puis sa fesse. Marina remonta son genou entre les cuisses de la jeune fille et vînt effleurer son minou gonflé de désir. Une nouvelle vague électrique remonta le corps de Pauline et elle ne put retenir un petit râle de plaisir. Déjà, la main sur sa fesse la serrait contre ce genou et sans qu’elle ne s’en rende compte, Pauline ondulait des hanches pour se frotter contre la jambe de Marina. Elles gémissaient toutes les deux, leurs bouches se bâillonnant mutuellement.

-"J’ai envie de te goûter…" soupira Marina contre les lèvres de Pauline.
-"Je suis à toi" lui répondit-elle dans le même soupir érotique.
Pauline put sentir l’étreinte du genou contre son minou se resserrer sous l’effet de l’excitation que sa réponse avait provoquée. Puis la bouche de Marina relâcha la sienne et elle ferma les yeux pour savourer les baisers sur sa peau nue. Elle était totalement nue contre Marina, se livrait à elle et au plaisir qu’elle éveillait en elle. Elle sentit sa bouche descendre sur son sein gauche, sa langue glisser jusqu’à son téton avant que ses lèvres ne l’emprisonnent à nouveau pour le sucer quelques secondes. Les mains de Marina glissaient sur ses flancs, ses hanches, son ventre et chaque effleurement, chaque légère griffure la faisait frissonner. Elle ronronnait langoureusement, écartant ses bras et glissant ses doigts dans les draps en savourant.



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Les baisers de Marina descendirent encore sur son corps. Ils accompagnaient ses caresses sur son ventre puis glissèrent sur son bas-ventre, sur le haut de sa cuisse tandis que les mains de Marina écartaient tendrement ses cuisses. Soumise, Pauline la laissait disposer de son corps. Elle gémit de plaisir en sentant la bouche chaude passer sur son aine et le haut de sa cuisse. Marina était passée entre ses cuisses, agenouillée. Elle avait relevé l’une des cuisses de Pauline et promenait sa bouche tout son long jusqu’au genou. Sa main gauche remonta l’autre cuisse dans une caresse sensuelle qui se glissait encore et encore vers son sexe trempé.
Le ventre de Pauline s’était crispé, son souffle se faisait court. Elle semblait attendre. Qu’allait-elle ressentir quand la main d’une autre fille viendrait se poser entre ses cuisses, quand elle viendrait caresser son minou ? Elle était déjà dans un tel état d’excitation et redoutait de perdre le peu de contrôle qui lui restait. Pourtant, les doigts de Marina remontaient encore et encore, glissaient à l’intérieur de sa cuisse, la massaient en même temps. Et cette bouche chaude sur son autre jambe la rendait ivre de plaisir. Bon sang, elle voulait plus ! Elle voulait que Marina la prenne. Elle la voulait, elle, maintenant. Et ses vœux furent exaucés quand la main de Marina rencontra ses lèvres humides.
Marina était aussi à fleur de peau. Toucher le sexe d’une fille pour la 1e fois la rendait folle d’excitation. Ses doigts vinrent s’écraser contre les lèvres douces et chaudes de Pauline. Elle les caressa, remonta vers le clitoris sensible et recommença encore et encore, toujours plus hardie. Chaque caresse arrachait un râle de plaisir à Pauline. Sentir cette main contre son minou, qui la caressait, la découvrait la rendait folle. Elle pouvait sentir les doigts glisser un peu entre ses lèvres trop trempées pour les retenir mais ne pas encore oser aller plus loin. C’était un délice.

Puis son ventre se serra à nouveau en sentant la bouche de Marina qui remontait sa cuisse à son tour, baissant sa jambe au fur et à mesure que la jeune fille se penchait entre ses cuisses. Sentir cette main entre ses cuisses était déjà si intense. Comment allait être cette bouche ? Les lèvres de Marina…chaudes…qui remontaient sa cuisse…allait bientôt…s’emparer de son minou…Pauline sentait qu’elle s’abandonnait, corps et âme, qu’elle subissait les caresses de Marina sur son corps et se livrait à elle en toute confiance.
La bouche de Marina était arrivée en haut de sa cuisse. Elle pouvait sentir le souffle chaud de sa bouche contre son sexe. Son cœur battait à sortir de sa poitrine. Marina semblait ne pas oser puis succomba au désir. Pauline sentit sa bouche se poser sur ses lèvres, venir les embrasser d’abord timidement puis avec passion. Marina parcourait ses lèvres de baisers torrides. Puis elle sentit sa bouche s’entre-ouvrir et sa langue remonter le long de ses lèvres. Pauline se sentit littéralement couler contre la bouche de sa partenaire. Elle ne put réprimer un long et puissant gémissement tandis qu’elle se cambrait doucement.

-"Mmmmmh….c’est si boooon…encoooore…" parvint-elle à articuler, les yeux toujours fermés.

Comme pour lui obéir, Marina libéra sa langue sur son minou, lapant sensuellement ses lèvres, les remontant doucement pour venir effleurer du bout de la langue son clitoris gonflé. Pauline tressaillait à chaque fois. La bouche de Marina se serrait davantage sur le sexe trempé de la jeune fille. Ses mains se refermaient sur les hanches de Pauline, caressaient son ventre tendrement tandis que sa langue découvrait toujours plus de la jeune fille.
Encouragée par les gémissements de Pauline, Marina glissa sa langue entre ses lèvres. Comme pour répondre à cette nouvelle caresse, les reins de Pauline se cambrèrent tandis qu’elle étouffa un long gémissement en fermant la bouche. Elle sentait la langue exploratrice de Marina glisser en elle, allant et venant, toujours plus loin en elle. Heureusement que Marina la retenait contre sa bouche car, sous l’effet de l’excitation, Pauline avait du mal à contrôler ses hanches.

Dans des moments de lucidité, la jeune fille était étonnée de ressentir de telles choses. C’était comme si c’était son premier cunnilingus, comme si Tom ne l’avait jamais embrassée ici, jamais explorée de sa langue, jamais faite jouir encore et encore. Marina était comme sa 1er partenaire, effaçant le reste. Il était évident qu’elle n’avait pas une technique supérieure à celle de Tom, étant également sa 1e expérience lesbienne. Pourtant, cette technique était différente, à l’instar de ses caresses et de ses baisers. Elle la goûtait, la découvrait tout en cherchant à lui donner le maximum de plaisir. Il était également certain que Marina se basait sur son expérience pour savoir comment la stimuler. Et tout cela donnait des sensations nouvelles, intenses, terriblement érotiques.
Pauline avait encore écarté ses cuisses et sa main avait quitté les draps pour venir s’enfouir dans les cheveux de la belle brune entre ses jambes. Marina suivait le rythme des ondulations du bassin de Pauline. Sa bouche épousait les lèvres gonflées de sa partenaire pour l’explorer et s’enivrer du goût d’une fille, du pouvoir de l’excitation suscitée sur elle. Puis elle la relâchait pour venir caresser à nouveau ses lèvres de sa langue et prendre soin de ce clitoris si réactif. Les gémissements de Pauline changeaient et se faisaient plus intenses quand Marina venait le titiller, le sucer.

Pauline était surprise de la technique de Marina et du plaisir qu’elle arrivait à lui donner et se laissait enivrer par lui, gémissant encore et encore, laissant ses doigts tremblants caresser son corps. Ouvrant à peine les yeux, elle avait croisé le regard de Tom qui assistait silencieusement à la scène depuis un coin de la chambre. Elle se mordit la lèvre pour lui communiquer le plaisir qu’elle prenait, avant refermer les yeux et de se laisser aller encore davantage aux délices de cette langue entre ses cuisses, de glisser doucement dans la ouate du plaisir charnel.

Dans les nimbes de ce plaisir, elle sentit à peine l’étreinte de Marina se desserrer autour de sa hanche et l’une de ses mains glisser entre ses cuisses. Pourtant, une nouvelle vague de sensation crispa son ventre et remonta dans son dos quand elle sentit un doigt se glisser lentement entre ses lèvres.

-"Mmmmmmmh…ooooooh…" fut tout ce que Pauline put articuler à la découverte de cette nouvelle caresse.136



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Ce doigt qui glissait en elle décuplait encore le plaisir que la bouche de Marina lui donnait. La jeune fille se glissa lentement en elle, savourant également cette caresse. Puis elle entama un langoureux va-et-vient, s’enfonçant toujours davantage dans le minou trempé. Les mains de Pauline s’étaient à nouveau crispées autour des draps. Ses reins se cambraient à nouveau tandis que les lèvres de Marina prenaient d’assaut son clitoris. La longue chevelure la jeune fille caressait l’intérieur de ses cuisses au rythme de la masturbation, rappelant à Pauline que c’était bien une fille qui lui donnait autant de plaisir.
Quand Pauline pensait qu’elle ne pouvait éprouver plus de plaisir, Marina glissa un 2e doigt au fond d’elle et fit sauter les dernières retenues de la jeune fille. Ce n’étaient des plus des gémissements et des râles de plaisir qu’émettait Pauline mais des cris à chaque fois que ces doigts s’enfonçaient en elle au même rythme que cette langue lapait son clitoris. Elle avait saisi un des coussins autour d’elle pour le plaquer contre sa bouche et étouffer ses cris. Si elle avait le même orgasme que la veille, toute la maison serait au courant de ce qui se passait dans cette chambre.
La respiration de Pauline s’accéléra. Elle tenta de reprendre pieds mais chaque vague qui remontait de son ventre la subjuguait.

-"Oh, mon Dieu…je crois…je crois que je vais jouir…"parvînt-elle à souffler entre deux cris.
-"Alors ne te retiens pas" lâcha Marina juste avant que sa bouche ne reprenne possession du clitoris de Pauline.

Comme si ces mots avaient libéré les dernières appréhensions de la jeune fille, elle sentit qu’elle ne contrôlait plus son plaisir. Chaque mouvement puissant des doigts de Marina en elle et de sa langue lui arrachait un cri plus fort, la faisait davantage frissonner. Une dernière vague électrique qui ébranla tout son corps eut raison d’elle.

-"Je viens…je vieeeeens…" avertit-elle avant de libérer son orgasme de sa gorge avec un grand cri.

Le coussin contre sa bouche fut salvateur. Le long cri de Pauline marqua le puissant orgasme que Marina lui donna. Tout le corps de la jeune fille fut secoué de spasmes. Son ventre était en feu tandis que Marina continuait d’aller et venir en elle, continuait de masser son clitoris gonflé. Son orgasme survînt en vagues lentes et successives, renouvelant le plaisir encore et encore et chacun accompagné d’un nouveau cri étouffé. Chaque orgasme tendait tout son corps, explosait dans sa tête pour en chasser toute pensée sinon l’extase due à cette langue.
Puis son corps s’était fatigué, n’avait pu endurer cela plus de quelques dizaines de secondes. Pauline était retombée dans les draps, haletante, tandis qu’elle repoussait le coussin de sa bouche. Marina l’avait libérée de son étreinte, le sourire aux lèvres, frémissant également d’excitation. Elle remonta le long du corps de Pauline, laissant ses mains le caresser tendrement, caresser ses cuisses tremblantes, son ventre en feu, sa poitrine durcie par le désir. Elle s’était allongée contre elle, à son côté. Elle laissa passer une minute, durant laquelle la respiration de Pauline s’apaisa.

-"Alors ? " interrogea-t-elle simplement.
-"Alors…c’était fantastique. " confessa Pauline. "Tu es sûre que tu ne l’as jamais fait avec une fille ? "
-"Idiote ! Tu es ma 1e." fit Marina avec une moue complice. "Mais c’est peut-être parce que je suis une fille exceptionnellement douée. "ajoute-t-elle par provocation.
-"Tu crois ? Il me semble que c’est à mon tour maintenant ! "

Sur ces mots, Pauline roula sur Marina et se retrouva au-dessus d’elle, ses genoux de chaque côté de la jeune fille. Marina la regardait avec un sourire provoquant. Pauline aimait cela et ne put résister à poser à nouveau sa bouche sur ses lèvres pulpeuses. Une fois de plus leurs langues se mêlèrent et la chaleur envahit le corps de Pauline. Les deux jeunes filles se serrèrent l’une contre l’autre, leurs poitrines s’écrasant délicieusement. Marina passa ses bras autour des hanches de Pauline et la serra contre elle tout en laissant danser sa langue avec la sienne. Pauline ronronna tout en gardant sa bouche contre celle de Marina. Ses reins se cambrèrent sous l’étreinte. Elle savoura de sentir les mains de Marina glisser sur ses fesses et les saisir, les masser, les écarter sensuellement. Elle sentait l’air passer contre son minou trempé et l’excitation remonta en flèche dans son corps.

Tout en continua de se serrer contre Marina, elle glissa contre son corps, laissa sa bouche descendre dans le cou de la jeune fille et sur sa poitrine. Le décalage de sensation que pouvait ressentir Pauline au début de ces câlins avec Marina, de ces 1eres caresses du corps d’une fille avait disparu avec son orgasme. Elle adorait cette peau, cette odeur et cela lui paraissait normal parce que c’était bon. C’était bon de saisir le sein de Marina dans sa bouche, d’en téter le téton avec désir. Elle aimait cela et il n’y avait que cela qui comptait en cet instant.
Ses lèvres pinçaient amoureusement le téton droit de Marina et elle se délectait des soupirs de sa partenaire. Elle aimait sentir son sein gauche enfermé dans sa main, à sa merci. Marina était soumise à ses caresses à présent. Elle avait un corps magnifique. Cette brune au teint bronzé, ce regard tendre et provoquant à la fois, cette odeur de monoï, de vanille. Elle était une fille mais Pauline était enivrée de promener sa bouche et ses mains sur son corps. Et elles étaient proches en cet instant, dans ce lit, complices dans la découverte et le désir de l’autre. Le ventre de Pauline se serrait à l’idée de donner du plaisir à cette Marina envoûtante, à celle qui avait aussi envoûté son frère bien-aimé.

Elle relâcha le sein de Marina presque à regret et glissa encore le long du corps de la jeune fille. Marina écartait doucement les cuisses pour laisser Pauline s’installer entre elles. Leurs corps se frottaient l’un à l’autre, se caressaient sensuellement. Les baisers de Pauline parcouraient le ventre de Marina, sa langue la goûtait. La jeune fille n’eut même pas une hésitation quand sa bouche passa sur le bas-ventre de Marina puis sur son pubis taillé court pour venir se loger dans son aine. La main de Marina vint se poser dans les cheveux de Pauline, comme pour l’encourager. Elle écarta encore les cuisses tandis que les mains de Pauline les caressaient sensuellement, remontant doucement entre elles.

-"J’aime ce que tu me fais…" soupira Marina, les yeux fermés.
-"J’aime ta peau, j’ai tellement envie de te goûter…" confessa Pauline, le ventre crispé de désir sauvage.
-"Je suis à toi…" souffla une Marina qui s’abandonnait réellement.

Le cœur de Pauline fit un bond et elle sourit contre la peau de Marina. Le plaisir la grisait. Tout comme l’abandon de sa partenaire. Elle laissa sa bouche glisser dans l’aine de Marina. Ses lèvres caressèrent l’intérieur de sa cuisse. Elle sentait Marina retenir son souffle au fur et à mesure qu’elle approchait de son joli minou. La jeune fille se sentait enivrée par le doux parfum du savon et du désir de Marina. Sans aucune autre pensée que celle du désir charnel brut, elle posa ses lèvres sur le sexe humide tant désiré.
Un courant électrique passa dans tout son corps quand elle réalisa une fraction de seconde qu’elle embrassait le sexe d’une autre fille, comme un courant de tabou qui se rompt, un courant qu’elle connaissait bien.
Puis ses baisers parcoururent les lèvres gonflées de Marina, les exploraient, les caressaient, goutant le jus de la jeune fille. Pauline fut surprise de découvrir un goût suave, presque sucré. Décidemment, Marina était superbe. Sans vouloir réprimer davantage le désir qu’elle éprouvait, Pauline laissa sa langue glisser le long de ces lèvres chéries. En entendant le long gémissement de Marina, elle s’enhardit encore. Ses mains se serraient autour des cuisses de la jeune fille et elle libéra sa langue sur le minou offert. Son désir augmentait avec celui que prenait Marina. Chaque fois que sa langue glissait sur ses lèvres, les gémissements à peine étouffés de la jeune fille la faisait trembler de plaisir.

Finalement, elle osa passer sa langue entre les lèvres trempées. Dans un long râle, Marina cambra ses reins et serra encore davantage la bouche de Pauline sur son sexe. Alors la jeune fille continua et s’enfonça encore plus en elle, explorant le plaisir qu’elle pouvait donner à une autre fille. Chaque mouvement de la langue de Pauline arrachait un nouveau gémissement à Marina si bien qu’elle du rapidement bâillonner sa bouche avec un des coussins.
Pauline savait maintenant comment sa partenaire aimait prendre du plaisir et elle laissa sa langue explorer tantôt sa grotte humide tantôt son bouton d’amour, se délectant de le titiller du bout de sa langue. Elle pouvait entendre les encouragements étouffés de Marina ainsi que la pression de sa main sur sa tête qui augmentait pour lui indiquer ce qu’elle aimait. Pauline se plut à faire durer le plaisir de sa partenaire, alternant des phases de caresses tendres et d’autres plus torrides, enfonçant sa langue au maximum en elle. Marina haletait et subissait avec délice cette douce torture. Ses reins ondulaient au rythme des caresses de Pauline.