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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Version imprimable

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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - bech - 16-10-2020

Assez original le massage des fesses par un pénis en érection. En tout cas, si ça sollicite les bras et les abdos de Cyril, ça lui fait aussi du bien ailleurs.

Cyril regrette que l'arrivée de Marianne risque de mettre un terme à sa complicité avec sa cousine, mais on verra plus tard ce qu'il en est.


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 22-10-2020

Nous nous faisons la bise. Ses joues sont froides… et douces. J’ai du rougir parce que les deux filles me regardent en riant. Quand elle sourit, Marianne a des fossettes qui se creusent de chaque côté de sa bouche, ça lui donne un air câlin et enjôleur. Nous rentrons à l’intérieur de la maison.

Nous passons toute la journée tous les trois, dans la chambre de ma cousine. Marianne est une fille charmante et pleine d’humour bien qu’au fil de la conversation il a pu lui arriver de se montrer timide. Elle forme un joli duo avec Claire et nous nous entendons tous très bien.


Le soir, Claire propose un « action ou vérité » ce que nous acceptons. Ma cousine s’assoit sur son lit, Marianne sur le canapé-lit et moi sur la chaise de bureau de Claire. Le jeu commence calmement avec des questions sans indiscrétion et des défis bon-enfant. Puis, sans préambule, ma cousine décide que le jeu doit prendre une autre tournure.


« - Cyril, action ou vérité ? demande-t-elle.
- Vérité.
- Est-ce que tu as déjà fait l’amour ?
- Non.


J’ai répondu sans réfléchir et maintenant je regrette : les filles vont se moquer de moi. Mais au contraire, je vois s’allumer dans les yeux de Claire une lueur de satisfaction, comme si c’était la réponse qu’elle attendait. C’est à mon tour de poser une question.


- Marianne, action ou vérité ?
- Vérité.
- Je te pose la même question que Claire.
- Oui, une seule fois… Claire, action ou vérité.
- Vérité, répond ma cousine.
- Même question.
- Oulà ! Oui, bien plus d’une fois ! dit-elle avec un sourire.


Quand j’y pense, cette conversation est assez surréaliste et je m’étonne que Marianne et moi ayons répondu sans trop de gène aux questions qui nous étaient posées alors que nous venons à peine de nous rencontrer. Un nouveau tour de table commence.


- Cyril, commence ma cousine, quel est ton plus grand fantasme ?


Le rouge me monte aux joues et je réalise que je n’ai pas du tout envie de répondre.


- Bon euh… j’en ai marre de ce jeu, je vais me coucher.


Et je sors de la chambre de ma cousine en claquant la porte. Mais, je reste devant et je jette un œil par le trou de la
serrure en tendant l’oreille.


- La pauvre ! dit la voix de Marianne. Tu lui as mis la honte, il était tout rouge.
- C’est sûr ! Il ne va pas sortir de sa chambre de si tôt ! Il est encore un peu coincé mais je fais ce qu’il faut pour que ça change.
- En tout cas il est très beau ton cousin, t’as de la chance !
- Ouais ! Et encore tu l’as pas vu torse nu, il est vachement bien foutu !
- Moi ça m’a excité cette discussion, dit Marianne en parlant moins fort.
- Roh… un rien t’excite, répond Claire sur le même ton. Tu veux que je te doigte ?
- Arrête Claire c’est pas drôle !
- Si on ne peut plus plaisanter… »

Le lendemain, je me lève vers 8h30. Mes parents, mon oncle et ma tante sont déjà debouts, dans le jardin, en plein conciliabule. Je décide alors de préparer le petit-déjeuner pour les filles. Je fais toaster du pain et je prépare des œufs au plat avec du jambon. Claire arrive.


« - Salut cousine, ça va ?
- Oui et toi, je suis encore un peu fatiguée, répond-elle en baillant.
- J’ai préparé le petit-déj, Marianne n’est pas là ?
- Elle finissait de prendre sa douche, attends, je vais voir où elle en est.
- Non non, laisse-moi faire ; toi, mange pendant que c’est chaud, dis-je galamment en lui servant une portion d’œuf.


Je monte à l’étage et je rentre dans la chambre de ma cousine.


- Marianne, tu es là ?
- C’est toi Cyril ? Tu peux me rendre un service s’il-te-plaît ? me répond une voix à travers la porte de la salle de bain.
- Oui bien sûr.
- J’ai oublié de prendre des vêtements propres en entrant dans la douche, tu pourrais m’en passer. Ils sont dans ma valise, au pied du lit.
- Euh… je dois pouvoir faire ça. Tu veux quoi comme vêtements ?
- N’importe.


Je sélectionne un mini short noir et un t-shirt marron à motifs en espérant qu’ils iront bien ensemble. Je toque à la porte de la douche que Marianne entrouvre et je lui passe les vêtements en regardant ailleurs.


- Merci beaucoup ! Oh attend, il va me falloir des sous-vêtements aussi.


Je l’entends rigoler et je me tape la honte une fois de plus. Je retourne à la valise, j’y prends une petite culotte grise et un soutien gorge assorti, assez transparent du reste. J’ai l’idée de regarder l’étiquette : 85D. C’est à peu près la taille que j’avais pronostiquée . Et c’est pour moi la mesure parfaite : pas trop imposant mais quand même généreux. Et puis c’est surtout adapté à sa morphologie et à ses proportions. Je lui passe les sous-vêtements.


« - Pas la peine de rougir ! s’esclaffe-t-elle.
- Comment tu sais que je rougis ?
- C’est pas dur à deviner… »


A-t-elle aussi deviné que j'ai une légère érection ? J’attends qu’elle se change puis quand elle sort de la douche, je lui fais un compliment sur sa tenue. Enfin, nous rejoignons Claire en bas.

A midi, les adultes nous font part de leur grand projet :


« - Les jeunes, commence mon oncle, nous allons profiter du retour du soleil pour partir deux jours en camping en pleine nature afin de découvrir et d’observer les oiseaux de Bretagne. Est-ce que vous voulez venir avec nous ?

- Non merci ! Claire et moi répondons en cœur.


Je ne commenterai pas ici leur passion pour l’ornithologie qui après tout ne vaut pas moins qu’une passion pour le bobsleigh ou pour GTA V…


- On se doutait que vous répondriez ça, dit ma tante. On part demain matin très tôt et on vous confie la maison.
- Tu peux compter sur moi pour faire à manger Tata ! dis-je, un brin fayot. »


Les filles et moi nous nous réjouissons du départ des adultes. Même s’ils ne nous gênent pas au quotidien, l’idée d’avoir la maison pour nous tous seuls n’est pas pour nous déplaire. Nous décidons d’occuper la journée du lendemain par une séance de plage et par un pique-nique. Claire m’annonce que je vais devoir faire les sandwichs…


Mais j’avoue que j’ai hâte d’être à demain. La corvée des sandwichs sera vite oublier quand j’aurai sous les yeux… euh… le bleu étincelant de la mer. Le soir, je fais la bise aux deux filles pour leur souhaiter une bonne nuit et j’en profite pour murmurer à l’oreille de Marianne :


« - Demain je veux bien t’aider à choisir tes vêtements aussi. »


Elle me répond par un clin d’œil que j’interprète comme un signe d’approbation. 307


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 22-10-2020

Le lendemain, je me lève tôt mais malgré ça, quand je descends, je m’aperçois que les adultes sont déjà partis. Alors je vais au salon du rez-de-chaussée et je regarde la télé jusqu’à ce que Claire se réveille et me rejoigne.


« - Marianne a besoin de ton aide là haut ! m’annonce-t-elle.


Je suis content de voir que Marianne a accepté ma proposition mais je feins la surprise.


- Pour faire quoi ?
- Elle veut que tu l’aides à choisir son maillot de bain pour notre sortie à la plage.
- Ah… et tu ne peux pas t’en charger toi ?
- Elle dit qu’elle veut l’avis d’un mec.


Je monte donc à l’étage, assez satisfait de ma performance de comédien. Je toque à la porte de la chambre et la voix de Marianne me répond :


- Cyril ? Attends une seconde, je suis toute nue… Attends... Voilà, c’est bon tu peux entrer.


J’entre donc et je la trouve enroulée dans une serviette, les cheveux détachés. Je suis arrivé avec un mauvais timing et je suppose qu’elle a du cacher sa nudité avec le premier truc qu’elle avait sous la main. Sa tenue ne dévoile pas grand-chose de ses formes ce qui m’évite de rougir en la voyant ainsi.


- Claire t’a dit ? J’hésite entre deux maillots de bains et comme tu avais gentiment proposé ton aide hier soir…
- Et puis c’est toujours mieux d’avoir l’avis d’un mec quand on parle de maillot, dis-je en plaisantant.
- C’est l’idée, répond-elle sur un ton décontracté. Tu m’attends ici une seconde, le temps que je me change ?


Je hoche la tête et je la vois s’engouffrer dans la salle de bain. Une minute après, elle ressort les cheveux attachés et vêtue d’un maillot deux pièces vert.


- Voilà le premier, annonce-t-elle en faisant un petit tour sur elle-même alors que je la dévore des yeux.
Elle retourne dans la salle de bain, ferme la porte et ressort avec un nouveau maillot deux pièces. Celui là est bleu avec des poids blancs. Je le préfère largement au précédant : il dévoile plus de sa jolie poitrine, les bretelles sont plus fines et la couleur lui va mieux au teint. Je m’attarde sur le haut, il maintient ses seins fermement en place en leur donnant une jolie forme arrondie. Le bas du maillot épouse bien le galbe de ses fesses et les met en valeur.


-Alors tu préfères lequel ?
- Celui là, sans hésitation.
- C’est vrai que c’est celui qui t’a fait le plus d’effet ! »


Je regarde mon short. Le tissu est gonflé par un début d’érection. Merde…


« - Encore entrain de rougir ! s’amuse Marianne. Tu ferais mieux de rejoindre Claire en bas pendant que je finis de me préparer… à tout de suite. »


Elle m’avait murmuré cette dernière phrase à l’oreille en effleurant la bosse sur mon short du bout des doigts avant de s’engouffrer dans la salle de bain en fermant la porte.
J’attends quelques instants que mon excitation retombe avant de descendre retrouver Claire à la table du petit-déjeuner.


Une heure après cette scène, nous voilà entrain de parcourir le chemin qui mène à la plage, les filles en tête et moi à l’arrière du cortège, entrain de porter les sacs.
Nous marchons jusqu’au bout de la plage pour trouver un endroit calme et relativement isolé. Puis nous posons les serviettes et nous enlevons nos vêtements sous lesquels se cachent nos maillots de bain. Je constate avec plaisir que Marianne a choisi le maillot que je lui avais conseillé, il lui va parfaitement bien et les couleurs sont magnifiques, surtout avec le reflet du soleil sur sa peau. Claire quant à elle porte un maillot deux pièces qui met sa poitrine joliment en valeur. Du coin de l’œil, je peux apercevoir son grain de beauté entre les seins…


« - Crème solaire ! annonce ma cousine.


Elle s’approche de moi et commence à m’en étaler sur le torse.


- Qu’est ce que tu es musclé cousin ! Viens voir Marianne !


Marianne, sans aucune gène, fait de même et commence à me caresser les abdos. Ca a l’air de beaucoup les amuser. Quant à moi, Je regarde ses deux jolies filles presque collées à moi entrain de me tripoter le torse. Elles sont côte à côte, leurs maillots gonflés par leurs belles poitrines me touchent presque. Comme je suis plus grand qu’elles, j’ai une vue plongeante sur leurs décolletés et une étincelle de désir s’allume en moi. J’ai soudain envie d’arracher leurs maillots et de pouvoir les caresser à mon tour, de voir la poitrine de Claire qui m’est toujours inconnue malgré mes nombreux massages, de toucher celle de la très entreprenante Marianne.


Une main m’effleure le pénis à travers le tissu, c'est justement celle de Marianne. C’est là que je réalise que je bande fort : difficile à cacher en short de bain. Je regarde Marianne, elle me sourit et pose à nouveau sa main sur mon sexe. Claire, toujours occupée à m’enduire de crème, n’a rien vu de ce qui s’est passé… ou bien fait elle semblant de ne pas avoir vu ?


- Cyril, à toi de nous mettre de la crème ! déclare ma cousine. »

Si je dois leur étaler de la crème, je crois que mon short va exploser et Claire verra forcément l’effet qu’elle me fait. Je sens toujours la main de Marianne, posée sur mon maillot, qui a commencé une espèce de massage. C’est à la fois terriblement agréable et terriblement gênant.


« - Le dernier à l’eau porte les sacs au retour ! m’écrié-je en courant jusqu’à la mer.


J’avance jusqu’à ce que l’eau me couvre le maillot et le froid fait redescendre mon érection. Les deux filles m’ont regardé courir en riant et finissent par me rejoindre dans l’eau, sans même avoir pris le temps d'enduire leur corps de crème solaire. Nous jouons dans l’eau pendant des heures. A plusieurs reprises, je sens la main de Marianne caresser mon maillot et je lui fais un sourire. Elle a du comprendre que ça me plait beaucoup parce que dès qu’elle a l’occasion de m’effleurer le sexe sans que Claire s’en aperçoive elle le fait.


En nageant sous l’eau, Marianne s’approche de moi sans que je la voie venir et elle baisse complètement mon maillot, laissant mon sexe flotter dans l’eau. Toujours sans remonter à la surface, je sens qu’elle pose la main sur mon pénis et qu’elle commence un va-et-vient. Elle fait ça pendant quelques secondes puis elle remonte mon maillot. Enfin, elle ressort de l’eau quelques mètres plus loin. Heureusement que l’eau de la mer est opaque, sinon Claire qui était entrain de ma parler à ce moment là n’aurait eu aucun mal à voir ce qui se passait. Je suis impressionné par le talent de Marianne pour l’apnée. Par son audace aussi…


Quand nous sortons de l’eau pour aller manger, il est déjà tard. Après le pique-nique, les filles décident de bronzer un peu et s’allongent sur leurs serviettes respectives en fermant les yeux. L’une est sur le ventre, l’autre est sur le dos et je peux donc admirer à la fois les fesses de Marianne et le décolleté de Claire. Après une heure, alors que Marianne s’est endormie sur le sable, ma cousine se rend compte que je l’observe. Elle vient s’assoir en tailleur à côté de moi.


- Alors, t’as rien de mieux à faire que de regarder les filles bronzer ? me demande-t-elle à l’oreille en riant.


Je lui réponds par un clin d’œil.


- Marianne est jolie tu ne trouves pas ? continue ma cousine.
- Toi aussi tu es jolie.


Elle a l’air satisfaite par cette réponse.


- Bon Cyril, je pense qu’on va bronzer pendant une petite heure encore… Alors savoure la vue pendant le temps qu’il te reste ».


Elle me tire la langue et retourne s’allonger.



C’est à moi que revient la lourde tâche d’annoncer aux filles qu’il est l’heure de rentrer à la maison. Elles sont assoupies sur le sable et s’est à contrecœur que je pose ma main sur leurs épaules respectives pour les réveiller. Elles se lèvent et entreprennent de se rhabiller. Claire enfile directement ses vêtements sur son maillot de bain séché par le soleil. Marianne quant à elle s’approche de moi et me tend sa
serviette :


« - Tu pourrais te servir de la serviette pour me cacher pendant que je me déshabille s’il-te-plaît ?
- Tu ne veux pas garder ton maillot ? demandé-je.
- Nan, il est plein de sable, ça gratte.


Alors que Claire est toujours entrain de se rhabiller, je tends la serviette entre mes bras et je m’en sers comme d’un écran entre le corps de Marianne et le regard des badauds installés un peu plus loin sur la plage. Je devine au bruit qu’elle fait que Marianne a commencé à se déshabiller mais je regarde résolument ailleurs. Ma cousine a revêtu sa tenue de ville et me voit entrain de tenir la serviette derrière laquelle sa meilleure amie se change. Elle sourit en voyant que je regarde mes pieds. Ou bien sourit-elle en voyant ma légère érection ? Je ne vous cacherai pas qu’être à seulement quelques centimètres du corps chaud et nu de Marianne m’excite au plus haut point. Je n’ai qu’à tourner la tête… mais je résiste.


Nous rentrons à la maison et le temps d’arriver, il est 18h00. Ça fait bizarre que les adultes ne soient pas là. Nous allons pouvoir passer la soirée entre nous, tranquilles. Et ce n’est pas pour me déplaire… Nous discutons un moment dans la chambre de Claire puis nous décidons de prendre une douche afin de nous débarrasser du sable et du sel. Gentiment, je propose aux filles de prendre leur douche en premier puis je m’en vais d’en ma chambre. Quelques minutes après, ma cousine vient toquer à ma porte.


« - Marianne prend sa douche dans ma chambre, commence-t-elle
- Tu n’as qu’à utiliser la salle de bain du couloir !
- Oui mais… j’aimerais te proposer quelque chose.
- Ah, et quoi donc ?
- Tu vas peut-être trouver ça un peu fou…


Claire a piqué ma curiosité. Je ne l’avais encore jamais vue aussi mal-à-l’aise et je lui fais un sourire pour l’encourager à continuer.


- J’aimerais qu’on prenne notre douche ensemble ! finit-elle par lâcher.
- Maintenant ? Mais… tu es sûre que c’est ce que tu veux ?
- Tu n’as pas envie toi ? demande-t-elle.
Si elle regardait la bosse sur mon short, elle aurait la réponse à sa question.
- Bien sûr que j’en ai envie ! Mais Marianne est juste à côté, elle pourrait nous surprendre…
- Justement, répond Claire avec un sourire gourmand, ça m’excite encore plus ! »


Ma cousine n’a pas tord, c’est vrai que l’idée de pouvoir être découverts par Marianne est très stimulante ! Je me rappelle que quand je lui faisais des massages le soir, j’avais peur que nos parents nous surprennent et dès que j’entendais un grincement dans l’escalier, l’adrénaline augmentait mon plaisir. Ça avait été particulièrement vrai la fois où j’avais frotté mon sexe contre les fesses de Claire pour les lui masser.


Sans un mot, je me lève et je suis Claire dans la salle de bain du couloir. Nous entrons et elle verrouille la porte derrière nous. Nous sommes face à face dans la petite pièce. Elle commence à se déshabiller…

Claire enlève ses chaussettes puis son short, puis son haut. La voilà en sous-vêtements. Je l’ai déjà vu comme ça lors de nos massages mais j’avoue que je ne m’en lasse pas. Elle descend sa petite culotte en rougissant un peu. Elle garde les jambes serrées mais entre ses cuisses je devine la forme de ses grandes lèvres. Elle a le maillot parfaitement épilé à l’exception d’un ticket de métro blond. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge, libérant ainsi sa belle poitrine. Ses seins sont volumineux mais fermes, ils tiennent tous seuls et pointent légèrement vers le haut. Je peux voir son grain de beauté entre les deux, celui que j’aimais regarder discrètement en posant un regard plongeant dans son décolleté. Ses tétons son assez petits en proportion et d’un rose assez pâle.


Pour la première fois, le corps de ma cousine se dévoile totalement à moi. Son teint est clair malgré un bronzage subtil et si l’on ajoute à cela ses cheveux blonds, elle a vraiment l’air lumineuse… voire angélique. Elle est vraiment bien proportionnée, sa poitrine ne parait même pas trop grosse, juste enivrante.


Je me suis déshabillé en même temps qu’elle et nous voilà tous les deux, face à face, nus comme des vers. Je vous laisse imaginer l’état dans lequel se trouve mon pénis qui, débarrassé de sa prison de tissu, a tout le loisir de prendre du volume. Mais mon érection n’a pas l’air de déranger Claire, je crois même qu’elle est satisfaite de l’effet qu’elle me fait. Elle monte dans la baignoire et au moment ou elle lève la jambe, j’ai une jolie vue sur sa petite chatte. Elle fait couler l’eau de la douche et oriente le jet de manière à ce qu’il arrose le sol sans trop éclabousser. Elle me fait un sourire et m’invite à la rejoindre.


Elle s’est arrangée pour que le jet d’eau fasse un bruit de fond mais ne nous arrose pas. De cette façon, si Marianne venait à nous écouter, elle croira que Claire est entrain de prendre sa douche et nous pourrons continuer à faire ce que nous avons à faire discrètement et au sec.


Ma cousine se hisse sur la pointe des pieds et dépose un baiser sur mes lèvres. Ses lèvres sont douces, le contact est délicieux. Je n’y tiens plus, alors je pose mes mains sur ses hanches et je l’attire vers moi. Nos corps se collent. Je la sens frissonner. Je frissonne aussi. Mon sexe dressé est coincé entre mon ventre et le sien. Ses seins sont écrasés contre mon torse. Je n’ai jamais rien ressenti de tel que le contact de sa poitrine moelleuse contre moi. Je peux sentir l’endroit ou se trouvent ses tétons grâce à la sensation différente que procure leur contact avec ma peau.


Nos lèvres se soudent pour un baiser rapide. Puis nos regards se croisent et je vois dans les yeux bleus de ma cousine la même étincelle d’envie qui illumine mes yeux. A nouveau nos lèvres se rejoignent et je l’embrasse maladroitement d’abord puis plus langoureusement. Nous ne rompons le contact que pour respirer avant de revenir à se baiser délicieux...Je ressens le besoin presque sauvage de découvrir le corps de Claire. En continuant à l’embrasser, je passe mes mains derrière son dos que je caresse de haut en bas. Les mouvements des mes mains sont rapides et je colle bien mes paumes contre sa peau pour en ressentir tous les détails en toute la douceur. Elle aussi a placé ses mains derrière mon dos et s’en sert pour nous maintenir l’un contre l’autre. Elle s’agrippe à moi comme pour ne pas tomber. Je descends mes mains jusqu’à ces fesses que je malaxe entre mes doigts. Elles ne sont pas très rebondies mais elles ont un joli galbe et surtout, elles sont très fermes. Je continue à les pétrir de plus en plus fort puis je m’arrête de peur de lui faire mal. Je laisse mes mains se balader aléatoirement sur toutes les parties du corps de Claire qui leur sont accessibles tandis que je me concentre sur le baiser.

Depuis que je suis rentré dans cette salle de bain, je sens l’excitation monter en moi. Je ressens comme une espèce de chaleur dans le bas ventre. Mon pénis, toujours plaqué entre mon ventre et celui de Claire, est dur et gonflé. Je ne réfléchis plus. Instinctivement, je pose mes mains sur le bas des fesses de ma cousine et je commence à donner des petits coups de reins pour que mon sexe frotte contre le ventre de Claire. Immédiatement, une onde de plaisir me traverse.

Claire met un terme à notre étreinte et à notre baiser. Elle recule d’un bas et regarde mon pénis fièrement dressé. Puis elle me fait un sourire et me dit à l’oreille :

« -Tu ne peux vraiment plus te retenir, pas vrai ? »

Et sans attendre ma réponse, elle pose la main sur mon pénis et commence un va-et-vient. La sensation est indescriptible. Je n’aurais jamais imaginé à quel point ça pouvait être agréable quand c’est une fille qui le fait. Mon gland apparait et disparait derrière mon prépuce au rythme des mouvements de ma cousine. Je ferme les yeux pour me concentrer uniquement sur le plaisir qu’elle me donne. Au même moment, je la sens augmenter le rythme.

Quand je rouvre les yeux, la vision de ma cousine penchée vers moi entrain de ma branler m’excite encore plus et le plaisir augmente. Les seins de Claire se balancent dans le vide pendant que ses mains continuent leur jeu avec mon sexe. Je la regarde, elle est tellement belle. Je regarde sa peau, j’aperçois ses tâches de rousseur, ses grains de beauté : l’idée que je connaisse le corps de ma cousine dans les moindres détails m’excite plus que tout ! Je suis proche de l’éjaculation et je pousse un petit gémissement pour avertir ma cousine. Au lieu d’accélérer le rythme, elle ralentit. Elle a décidé de me torturer.

Je sens que je suis tout prêt de l’orgasme mais le va-et-vient de ma cousine est devenu tellement lent que je sais qu’à ce rythme je n’y parviendrai pas. Claire me maintient dans un état de plaisir intense mais me torture en m’empêchant d’atteindre la jouissance ultime. J’ai presque envie d’attraper mon pénis et de finir la masturbation moi-même. Mais je résiste… c’est elle qui mène la dance… depuis le premier jour. C’est elle qui a permis que nous ayons des contacts physiques de plus en plus sensuels. Ma cousine a de l’expérience et elle sait ce qu’elle fait.


Les seins de Claire sont a portée de main. Je devine la marque de bronzage de son maillot de bain. Sa poitrine que je rêve de voir depuis le début des vacances, voilà qu’aujourd’hui je pourrais la toucher : je n’ai qu’à tendre la main. Mes doigts rentrent en contact avec son sein gauche. Je la regarde comme pour lui demander la permission et elle me fait un clin d’œil d’encouragement. Comme Claire est penchée vers l’avant, ses seins pointent vers le bas. Je me sers de ma main comme d’un plateau que je mets en dessous du sein gauche. Je le soupèse puis je commence à le malaxer un peu comme j’avais fait avec ses fesses mais plus doucement. La peau est particulièrement douce et mes doigts s’enfonce tant le sein est moelleux. On dirait du beurre.


Ma cousine semble satisfaite que je prenne une initiative et, comme si elle n’attendait que ça pour continuer, elle reprend ses va-et-vient à un rythme plus soutenu. J’ai toujours son sein dans ma main et plus j’approche de l’éjaculation plus je le sers fort. Mon sexe est maintenant bien lubrifié et à chaque aller-retour, Claire décalotte complètement mon gland. Ses mouvements sont de plus en plus amples et terriblement agréables. Elle a compris que je suis au bord de la jouissance alors elle accélère.


« - Mmmmmh !


Avec un petit gémissement, je me vide en grosses saccades qui finissent au fond de la baignoire et sur les jambes de Claire. A chaque nouveau jet de sperme, une onde de chaleur se repend depuis mon pénis jusque dans tout mon corps. La dernière fois qu’une masturbation m’avait donné autant de plaisir, c’était quand j’avais écouté ma sœur faire l’amour à son copain. Et encore, là c’était mieux. Je me rends compte qu’au moment de jouir, j’ai serré le sein de Claire très fort et que j'y suis encore agrippé. Je retire ma main. Le sein est rougi à l’endroit ou j’ai serré mais je ne crois pas que Claire ait eu mal… peut-être même est-ce le contraire. Nous nous redressons et je plante mon regard dans le sien.


- Merci… murmuré-je. »
« - Tu en as mis partout ! dit-elle à voix basse sur un ton faussement contrarié. Tu vas devoir me laver maintenant.


C’est vrai que comme je faisais attention à la marque sur le sein de Claire, je n’avais pas réalisé que j’avais éjaculé sur ses jambes. Ou plutôt qu’elle avait dirigé mon sexe vers ses jambes au moment de l’éjaculation. L’avant de ses cuisses et ses genoux sont couverts par des trainés blanchâtres et visqueuses. Je prends le pommeau de la douche et je commence par rincer mon gland. Je constate au passage que mon pénis a bien ramolli. Puis je dirige le jet d’eau vers les jambes de Claire que je rince abondamment. Quand elles sont bien propres, je m’amuse à envoyer de l’eau vers sa petite chatte dont je peux apercevoir les grandes lèvres quand elle écarte un peu les cuisses.


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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 30-10-2020

Ma cousine et moi reprenons notre étreinte et nous nous embrassons à nouveau. Ses mains qui viennent de ma branler se posent sur mes épaules, je lui enserre les hanches, nos lèvres ne font plus qu’un. Je mets fin à ce long baiser et j’approche ma bouche des seins de Claire. J’embrasse le téton. Puis avec ma langue, je commence à tracer des cercles autour de ce dernier. Je sens un petit gout de sel m’envahir la bouche : c’est le sel de l’eau de mer qui s’est déposé sur le corps de ma cousine pendant la baignade. Le gout est agréable et m’incite à continuer.


Quand je passe sur le téton, je le sens durcir sous mes coups de langue. J’en déduis que mon initiative plait à Claire et l’excite. Je commence à suçoter le téton de Claire, un peu comme un bébé qui tète. Je vois ma cousine sourire : je crois qu’elle aime ça… ou bien elle trouve ça drôle. Avec mes dents de devant je commence à mordiller le téton de Claire. Elle jette la tête en arrière avec un petit cri. Je crois d’abord que c’est un cri de plaisir mais elle me regarde avec des yeux indulgents et murmure :


- Il faut que tu le fasses plus doucement… Je suis très sensible à cet endroit là. »


Cette confidence de ma cousine m’excite un peu. D’ailleurs, depuis peu, mon sexe a repris de la vigueur. Les tétons de Claire sont sensibles. Je me promets d’être plus doux la prochaine fois. Je passe à l’autre sein et je fais de même avec ma langue. Je sens le téton durcir sous ma langue et c’est une sensation délicieuse. Quand il est bien dur, je commence à le mordiller lui aussi cette fois en étant le plus doux possible. Et Claire a l’air d’apprécier…


Je recule d’un pas pour contempler ma cousine. Elle est resplendissante. Ses tétons tout durs pointent vers le haut, prolongeant ainsi la courbure naturelle de ses seins. Elle prend ma main et me guide vers sa chatte…


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 28-11-2020

Je ne suis plus qu’à quelques centimètres de la chatte de ma cousine. Elle a légèrement écarté les cuisses et m’offre ainsi une meilleure vue. Je constate qu’elle mouille un peu. Je tends les doigts. Plus que deux centimètres…
Marianne toque à la porte.
« - Claire, c’est toi qui est la dedans ?
Je regarde ma cousine avec un air effrayé mais elle me sourit et me fait signe de me taire. Elle coupe le jet d’eau.


- Oui oui, tu as fini ?
- Oui, je t’attends dans ta chambre. Dépêche-toi trainarde !
- Ahah j’en ai plus pour très longtemps ! Tu pourrais aller chercher Cyril pour lui dire que la place est libre ? Je crois qu’il est au bord de la piscine.
- Pas de souci je vais le chercher.


Ma cousine est décidément très maligne. Elle vient d’éloigner le danger. Nous attendons sans bruit pendant une minute puis elle me regarde et me dit :


- J’ai fait diversion. Je crois que c’est le moment idéal pour que tu t’enfuies !


Et elle me pousse gentiment hors de la salle de bain ; j’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive que me voilà dans le couloir, les jambes mouillées et le sexe en semi-érection. Je me précipite dans ma chambre, me sers de mes draps comme d’une serviette, m’habille, puis je file en bas pour aller à la rencontre de Marianne.
Je la croise dans la cuisine.


- Te voilà ! me dit-elle. Claire m’a dit que je te trouverai à la piscine.
- Je suis allé me balader, réponds-je évasivement. La douche est libre ?
- Oui ! Mais avant je voulais te dire… tu te rappelles ce matin, tu t’es jeté à l’eau sans nous mettre de la crème solaire à Claire et à moi. Et ben regarde.


Elle soulève son t-shirt au dessus de son nombril pour me montrer son ventre. Je regarde en rougissant un peu mais je ne vois pas où elle veut en venir.


- J’ai pris un coup de soleil ! dit-elle.


Ça ne serait pas étonnant vu le nombre d’heures qu’elle a passé à bronzer. Mais j’ai beau regarder, je ne vois pas la moindre trace de coup de soleil. Son ventre est naturellement halé, comme son teint, et je n’y vois pas la moindre rougeur… Est-ce que ça serait une astuce pour me montrer son ventre ? Peut importe, je décide de rentrer dans son jeu.


- Je connais un bon remède contre les coups de soleil, lui dis-je.


Et sans plus attendre, je me mets à genoux devant elle et je commence à lui embrasser le ventre du bout des lèvres.


- Je sens que le coup de soleil disparait ! s’exclame-t-elle. Continue !


Je dépose donc de petits baisers partout sur son ventre. Puis je donne de petits coups de langue pour la chatouiller. Elle rigole et je rigole avec elle. Je m’attarde sur son nombril avec le bout de ma langue, je dépose un dernier baiser puis je me relève. Je m’installe sur une chaise de la cuisine et j’attire Marianne vers moi. Elle s’assoit sur mes cuisses.


Ma douche avec Claire m’a rendu plus audacieux alors je passe une main sous le t-shirt de Marianne et je commence à lui caresser le ventre. Elle doit forcément sentir mon érection contre ses fesses. Je passe ma main de haut en bas et de plus en plus haut jusqu’à effleurer le bas de son soutien gorge. Son corps se raidit comme si elle ne voulait pas ou qu’elle ne se sentait pas prête. Je ne veux pas la forcer. Alors je lui dépose un petit baiser dans le cou et nous nous relevons.


Elle me prend la main et nous remontons tous les deux à l’étage

Une douche froide me remet les idées en place. J’essaye de réfléchir calmement à ce qui s’est passé aujourd’hui. Pour une première journée sans les parents, on n’a pas chômé…
Claire m’entraine de plus en plus loin sur le chemin de l’intimité. Elle a fait ça petit à petit depuis mon arrivée ici : d’abord des sous-entendus puis des massages de plus en plus sensuels, puis enfin cette douche… La question c’est : où s’arrêtera-t-elle ? Moi j’ai bien l’intention de me laisser guider aussi longtemps et aussi loin qu’elle le voudra !


En revanche, je n’arrive pas bien à comprendre Marianne. Elle qui n’a pas cessé de me chauffer depuis son arrivée, elle n’a pas supporté que j’ai les mains trop baladeuses tout à l’heure. C’est un peu paradoxal et j’attends de voir ce qui va se passer…


Après le diner, nous recevons un coup de fil des parents de Claire qui prennent de nos nouvelles. Ils se préparent de leur côté pour leur première nuit sous la tente. Pour occuper la soirée, nous décidons de regarder un film : je m’installe sur le canapé, entre les deux filles. Dès le début du film, je pose ma main sur la cuisse de Claire. Elle ne me repousse
pas. Marianne a vu mais ne dit rien.


Cette nuit, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je me tourne et me retourne dans mon lit en me posant des questions. Comment Marianne réagirait-elle si elle savait ce que Claire et moi avions fait. Et que dirait Claire si elle savait les caresses faites à Marianne. Elles me chauffent toutes les deux et elles me font de l’effet toutes les deux. Mais peut-être qu’elles en parlent entre elles après… Peut-être qu’elles se racontent tout ça le soir quand je suis allé me coucher. Qui sait ? Il faudra que je résolve ce mystère.


Le lendemain, suite à ma mauvaise nuit, je me réveille plus tard que d’habitude. Je descends donc après les filles. Arrivé dans la cuisine, je vois les restes de leur petit déjeuner sur la table. Mon couvert est mis et dans mon bol se trouve un bout de papier plier contenant un petit mot : « Rejoins nous au garage ». Il y a aussi un cœur dessiné. Voilà qui me met de bonne humeur dès le matin ! Sans prendre le temps de manger, je m’en vais donc au lieu de rendez-vous. Je sors dans la maison et j’arrive dans la petite court en gravier où sont garées les voitures ( sauf celle de mon oncle puisque les adultes sont partis avec ). La garage, petit bâtiment cubique isolé du reste de la maison, se trouve un peu plus loin.


Je me demande pourquoi les voitures ne sont pas garées dans le garage… ça aurait semblé logique. Ou bien peut-être qu’il a été aménagé pour d’autres activités ? C’est ce que je vais savoir d’ici quelques minutes.
Je rentre dans le garage par une petite porte sur un des côtés. Les filles sont perchées sur des vélos d’appartement et quand elles m’aperçoivent, elles s’arrêtent et viennent me faire la bise.


« - Te voilà cousin ! s’exclame Claire.


Je constate que le garage a été changé en petite salle de sport avec deux vélos d’appartement, des tapis de sol et toute une collection d’altères. Devant mon air surpris, Claire m’explique :


- C’est une idée de Papa, comme on pouvait très bien garer les voitures dans la court il a décidé d’optimiser les mètres carré !
- Très bonne idée ! réponds-je.


Et les filles remontent sur les vélos. Je m’assieds par terre et je discute avec elles en les regardant. Claire porte un survêtement relativement moulant et un débardeur tandis que Marianne s’est habillée en sous-vêtements de sport qui laissent voir une partie de son ventre et surtout qui épousent bien la forme de sa poitrine. Je me fais à moi-même la réflexion qu’avec leurs corps fins et élancés, elles sont loin d’avoir besoin de faire du sport pour perdre du poids.


Marianne décide de faire des abdos. Elle prend un tapis de sol et s’allonge sur le dos. Elle se met en position et fait une ou deux remontées de buste avant de me demander de l’aide. Je m’accroupis face à elle et, avec mes mains, je lui maintiens les pieds collés au sol pour lui faciliter l’exercice. J’ai tout le loisir de l’observer pendant qu’elle remonte et descend son buste en cadence. Je compte à voix haute son nombre de répétitions et je lui fais des sourires pour l’encourager.


Quand j’y regarde de plus prêt, je peux voir son petit ventre se soulever au rythme de sa respiration et se poitrine rouler de haut en bas selon qu’elle monte ou qu’elle descend le buste. Ses tétons font une petite bosse presque invisible sur le tissu noir du sous-vêtement. Presque invisible mais suffisante pour me faire fantasmer… Et voilà que je bande. Marianne ne peut pas s’en rendre compte mais Claire, du haut du vélo d’appartement, a dû repérer mon petit manège. Je n’ai pas osé la regarder, depuis que j’aide Marianne à faire ses abdos, de peur qu’elle ne me lance un regard de reproche.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 28-11-2020

Finalement, épuisée, Marianne s’arrête et s’allonge complètement sur le tapis, le souffle court, en sueur, la respiration sifflante, les yeux mis clos. Un peu comme si… comme si elle venait de faire l’amour. Tout ça ne va pas m’aider à calmer mes fantasmes…


La respiration de Marianne se calme un peu et elle s’assoit en tailleur.


- J’ai un peu la tête qui tourne, murmure-t-elle.


Ma cousine, inquiète pour son amie, descend du vélo et lui pose une main réconfortante sur l’épaule. Je tends une bouteille d’eau à Marianne pour qu’elle boive un peu. Après quelques minutes, elle se sent mieux. Rassuré, je propose qu’on mette fin à leur séance de sport pour aujourd’hui. En plus je commence à avoir faim…


- Vous devriez vous étirer les filles ! annoncé-je.


Elles s’exécutent. Claire s’étire les cuisses tandis que Marianne se penche vers l’avant jusqu’à toucher ses pieds avec ses mains. Sauf qu’en faisant ça, elle a orienté ses petites fesses directement vers moi. Le tissu les moule bien et c’est un spectacle délicieux. Je me rince l’œil autant que je peux jusqu’à ce qu’elle change de position. Je peux constater au cours de la séance d’étirement que Marianne est très souple ! Peut-être est elle gymnaste ? Faudra que je pense à lui demander un de ces jours. En tout cas, cette souplesse me donne des idées de positions… heu… voilà que je fantasme à nouveau. En même temps, c’est dur de faire autrement dans ma situation !


Nous quittons le garage et retournons dans la maison. Les filles montent à l’étage pour prendre une douche tandis que je prépare le repas de midi. A table, nous décidons de planifier ce que nous allons faire de cette dernière après-midi et soirée avant le retour des adultes prévu pour le lendemain matin. 320



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - admirateur17 - 02-12-2020

merci pour cette suite !



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 06-12-2020

« - Ce soir on pourrait danser un peut ! propose Claire.
- Oui, génial ! s’exclame Marianne.


Comme les deux filles ont l’air ravi, je ne veux pas gâcher leur plaisir en leur disant que j’ai horreur de danser. A la place, j’approuve l’idée.


- Et pour cet après-midi ?
- On joue aux cartes ? dis-je.
- Oh non… répond Claire.
-Mais si ça va être sympa ! Attendez-moi ici.

Je reviens une minute plus tard avec un jeu de Tarot.
- Vous connaissez les règles toutes les deux ?
Elles hochent la tête même si l’absence de motivation est visible, particulièrement sur le visage de Claire. Nous finissons le repas et nous débarrassons la table de la cuisine. Puis nous montons à l’étage, dans le petit salon et nous nous installons autour de la table à jeux.


- Puisque vous voulez jouer et pas moi, si je gagne, vous devrez vous embrasser tous les deux ! annonce Claire.


Je la regarde, interloqué, tandis que Marianne rétorque à sa meilleure amie:


- Ça va pas, non ? Ou alors, si je gagne, c’est toi qui devras l’embrasser !
- Dans ce cas, si je gagne, vous vous embrasserez toutes les deux, les filles.


J’avais dit ça pour plaisanter mais au fil de la conversation, je comprends que Claire et Marianne sont bien décidées à tenir parole. Nous jouons toute l’après-midi, en silence, concentrés. Aucun de nous n’est prêt à laisser la victoire aux deux autres. Puis vient le temps du comptage des points. Je calcule les totaux. Claire, 620 points. Moi, 580 points. Je peux déjà renoncer à mon idée de voir les deux filles s’embrasser. Tout l’enjeu est maintenant de savoir avec laquelle des deux je vais devoir le faire. Marianne 700 points. Nous avons donc une gagnante… et je vais devoir embrasser ma cousine. Après tout, ce n’est pas comme si nous ne l’avions jamais fait. Mais la dernière fois, c’était bien cachés dans la salle de bain, à l’abris des regards extérieurs.


Marianne a l’air satisfaite du résultat et semble désormais attendre que Claire et moi remplissions notre part du contrat. Je lance un regard dubitatif à ma cousine auquel elle répond par un sourire d’encouragement. Nous nous levons donc et nous nous mettons face à face. Marianne, assise sur la côté nous regarde de profil avec intérêt.


Je regarde ma cousine dans les yeux puis j’approche mes lèvres des siennes. Je l’embrasse tout doucement, timidement, avec l’intention de vite m’arrêter mais elle pose ses mains sur mes hanches et m’attire vers elle. Elle a pris les commandes et le baiser devient de plus en plus fougueux. Pendant quelques secondes, je me laisse aller en oubliant complètement la présence de Marianne. Claire détache ses lèvres des miennes, retire ses mains de mes hanches et se tourne vers son amie :


- C’est bon tu es contente ?
- Quand je vous vois je regrette presque d’avoir gagné le jeu, réplique-t-elle avec malice.


Quant à moi je reprends contenance. Je suis tout rouge. Les deux filles s’en aperçoivent et éclatent de rire.

La situation est gênante, c’est vrai. Et en même temps, j’ai pris beaucoup de plaisir dans ce baiser à tel point que si Claire n’y avait pas mis fin d’elle-même, je l’aurais continué encore quelques temps… L’heure est arrivée de préparer le repas et les deux filles retroussent leurs manches et mettent la main à la pâte. Puisque nous avons décidé d’organiser une petite « soirée » pour nous trois, nous préparons de nombreux apéritifs de toutes sortes. Puis nous poussons les meubles du salon contre les murs pour dégager un plus grand espace. Claire nous amène un ordi portable et des enceintes pour la musique ainsi que quelques bouteilles d’alcool. Une fois toute la mise en place effectuée, il ne nous reste plus qu’à attendre qu’il soit l’heure de manger.


Les filles m’annoncent qu’elles remontent dans leur chambre pour se préparer. Je décide de faire de même. Je me mets un peu d’eau sur le visage, je me recoiffe puis j’enfile une chemise et un beau pantalon. Je redescends au salon et je m’assois sur le canapé en attendant le retour des deux filles. Elles finissent par arriver. Claire est vêtue d’une superbe robe à bustier d’un bleu intense qui moule sa poitrine et sa taille avant de s’arrêter au dessus de ses genoux. Tout son corps est mis en valeur, y compris ses cheveux blonds dont la couleur contraste avec celle de la robe. Marianne est vêtue plus simplement d’une jupe noire et d’un haut blanc assez élégant. Elle n’a pas dû prendre de robe de soirée dans sa valise ce qui est bien normal. Et elle s’en tire très bien puisqu’elle ne fait pas pâle figure à côté de ma cousine.

« - Voilà mes deux cavalières ! m’exclamé-je.


Les filles rigolent et nous discutons sur un ton léger tout en mangeant les apéritifs. Les filles se servent un verre d’alcool. Moi je n’aime pas ça, j’ai horreur du goût, mais pour faire comme tout le monde, je m’en sers un aussi. Nous continuons à discuter. Au cours de la soirée, ni Claire ni moi ne nous sommes resservis en alcool mais Marianne a bu quelques verres de plus, toujours dans la limite du raisonnable. Nous décidons d’aller danser. D’abord sur des musiques qui bougent, des tubes à la mode : nous nous déhanchons en riant sur notre piste de danse improvisée. Puis sur une musique plus douce, Marianne m’invite pour un slow en expliquant à Claire que comme elle avait eu le droit de m’embrasser c’était normal qu’elle la laisse danser avec moi.


Je pose mes mains sur les hanches de Marianne. Je fais en sorte que le contact soit très léger de peur de la mettre mal à l’aise. Je me rappelle en effet de sa pudeur quand mes mains s’étaient montrées baladeuses. Elle enroule ses bras autour de mon cou et se laisse guider. Moi qui n’aime pas danser, j’avoue que la situation est agréable. Du coin de l’œil, je vois que Claire imite nos mouvements comme si elle dansait avec un cavalier invisible. Je ferme les yeux pour profiter au maximum de l’instant, de la fraicheur de la joue de Marianne contre la mienne, des ses bras autour de mon cou.


Puis la musique plus énergique reprend. Nous dansons encore jusqu’à ce que Marianne aille s’assoir sur le canapé.


- Ça ne va pas ? demandé-je.
- J’ai un peu la tête qui tourne…
- Mince… Tu veux aller te coucher ? Attends, je vais t’accompagner jusque là haut.
- Moi je commence à ranger, dit Claire. De toute façon il est tard. Même les meilleures choses ont une fin.




Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 06-12-2020

Je souris ainsi que Marianne qui n’a pourtant pas l’air dans son assiette. Elle se lève du canapé et titube jusqu’à l’escalier en s’appuyant sur moi. Je comprends qu’elle ne pourra pas monter les marches toute seule et je décide de la porter. Je la soulève avec une main sous son dos et l’autre sous ses jambes. Elle est très légère. Comme elle a les jambes en hauteur, sa jupe s’est rabattue vers son ventre si bien que je peux voir un bout de sa petite culotte. Mais je me force à ne pas regarder pour me concentrer sur les escaliers. J’arrive à la chambre de ma cousine et je dépose Marianne sur le canapé lit. Nous nous sourions. Je la borde et je lui souhaite une bonne nuit. Elle dormira toute habillée mais ce n’est pas si grave. Je me dirige vers la porte mais elle me rappelle :


- Cyril !


Elle me fait signe de m’approcher comme si elle voulait me dire quelque chose à l’oreille.


- Merci… murmure-t-elle.


Et elle me dépose un baiser sur la joue. La pénombre cache ma rougeur. Après lui avoir souri, je sors et je vais rejoindre Claire.323


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 09-12-2020

Je trouve ma cousine entrain de ranger quelques assiettes sales.


« - Attends, laisse moi faire ! dis-je. Tu vas tacher ta jolie robe.
- Elle te plait ?
- Oui beaucoup, elle te va très bien… bredouillé-je.
-Je suis contente, j’espérais qu’elle te plairait, dit-elle avec un sourire.


En même temps, à qui cette robe pourrait-elle déplaire ? Elle dévoile juste ce qu’il faut de corps de Claire et le met en valeur. Pour dire les choses, ma cousine est terriblement excitante dans cette tenue. Je réponds :


- C’est pour ça que je ne veux pas que tu la salisses.
- Tu es beaucoup trop galant Cyril ! Attends, regarde.


Ma cousine est face à moi. Elle passe doucement une main dans son dos et dégrafe une à une les attaches de sa robe. Puis elle descend le bustier, révélant ainsi son soutien gorge sans bretelles. Elle enlève alors complètement la robe en dévoilant d’abord son nombril, puis sa culotte assortie au soutif et enfin la haut de ses cuisses. La voilà en sous-vêtements et en talons hauts, souriante, en face de moi.


- Qu’est-ce que tu fais ? demandé-je un peu confus.
- Comme ça je vais pouvoir t’aider à ranger sans risquer de
salir la robe. Tu devrais faire pareil tu sais.


Sur ce, elle s’approche de moi et déboutonne ma chemise en commençant par le haut. Elle révèle le haut de mon torse puis mes abdos qu’elle semble apprécier toujours autant. Je me laisse faire comme un enfant, y compris quand elle m’enlève mes chaussures et qu’elle déboutonne mon pantalon. Me voilà nu comme un ver à l’exception de mon caleçon devenu trop étroit pour mon sexe, à côté de ma cousine elle aussi en sous vêtements. Comme si de rien n’était, Claire continue à ranger. Je lui prête main forte. Quand nous avons fini, elle remet la musique en baissant le son : un slow.


- J’aimerais qu’on danse ensemble, dit-elle en me prenant la main et en m’entrainant au centre du salon.
- Et Marianne ? Je ne voudrais pas qu’elle nous trouve comme ça…
- Pas de risque. Elle ne tient pas bien l’alcool. Tu as vu dans quel état elle était après seulement quelques verres ? Elle doit dormir à poing fermé.


Je ne peux pas m’empêcher de penser que ma cousine aurait très bien pu planifier ce qui se passe maintenant… Si elle savait que Marianne serait K.O. après quelques verres, avait-elle fait exprès de proposer de l’alcool ? Elle en serait bien capable mais plutôt que de réfléchir à tout ça, je préfère me laisser aller. On n’a pas tous les jours la chance de danser en sous-vêtements avec une fille comme Claire.


Mes mains posées sur ses hanches sont en contact avec sa culotte. Ses bras sont autour de mon cou, sa joue contre ma joue. Nous sommes suffisamment collés pour que son soutien gorge vienne s’écraser contre mon torse. A plusieurs reprises, sans que je fasse exprès, la bosse sur mon caleçon vient frotter contre la culotte ou contre le ventre de Claire. La musique s’arrête… beaucoup trop tôt à mon goût. Mais nous restons dans la même position et je dépose un premier baiser sur les lèvres de ma cousine. Comme elle porte des talons et que je suis pieds nus, nos bouchent sont à la même hauteur. Elle me rend mon baiser avec fougue. J’ai toujours une main sur ses hanches mais l’autre s’amuse à caresser ses seins alors que nos lèvres sont toujours jointes.


Le baiser devient bestial : Claire et moi respirons fort et nos lèvres ne se séparant que lorsque nous avons besoin de reprendre notre souffle. Claire a ses deux mains sur mon cou, elle s’en sert pour maintenir mon visage collé au sien. Sa main droite s’envole vers son dos et dégrafe le soutien gorge qui tombe à nos pieds, me permettant ainsi de caresser ses seins directement. Puis tout en m’embrassant elle commence à masser mon sexe par-dessus le tissu.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 09-12-2020

Tout à coup, elle commence à donner des petits coups de bassin pour faire frotter sa culotte contre la bosse de mon caleçon. Je me rappelle que sous la douche, c’est moi qui avais fait ce geste quand mon excitation avait atteint son paroxysme. Je décide de prendre un peu d’initiative. D’une main, j’attrape l’interrupteur et j’éteins toutes les lumières du salon. Puis je pousse doucement Claire vers le canapé. Elle s’y allonge sur le dos et je m’allonge par-dessus elle.Elle est comme ça, sur le dos, en sous-vêtements. Elle a les jambes ouvertes, ces talons toujours aux pieds. Moi je suis allongé sur elle, entre ses jambes, mon caleçon contre sa culotte, ma bouche contre sa bouche. Nous continuons de nous embrasser mais nous donnons chacun des petits coups de bassin qui font se frotter nos sous vêtements l’un contre l’autre. La bosse de mon caleçon tape en cadence contre la culotte de Claire et je donnerais cher pour que le tissu qui nous sépare disparaisse. Nous mimons l’acte dans cette position pendant un long moment qui me parait bien trop court. Puis Claire me demande de lui retirer ses talons, ce que je fais. Elle se redresse et c’est moi qui me retrouve sur le dos. Elle s’assied sur mon sexe et mime une position d’Andromaque. Elle se penche en avant vers moi ce qui fait pointer ses seins nus vers le bas. Elle approche sa bouche de mon visage. Je crois qu’elle veut m’embrasser mais à la place, elle me dit à l’oreille :


« - Comment tu te sens, Cyril ?
- Je crois que j’ai envie de toi… Et… et toi ? murmuré-je sans assurance.
- Vois par toi-même, retire moi ma culotte.


Mon cœur bat la chamade. Je me lève du canapé tandis que Claire se remet sur le dos et oriente ses jambes vers moi. J’attrape la culotte du bout des doigts et je la fais glisser le long des belles jambes de ma cousine. La culotte va rejoindre le soutien gorge et les talons sur le sol. Mes yeux sont bien habitués à l’obscurité et j’aperçois à présent la petite chatte de Claire. Je me rends compte que je tremble, mais, est-ce d’excitation ou de peur ? Je m’assieds à côté des hanches de ma cousine et j’approche ma main de son entre-jambes. Je la regarde et demande :


- Je peux ?
- Bien sûr, répond-elle avec un sourire gourmand.


Je pose alors un doigt sur sa fente et je me rends compte que ma cousine mouille beaucoup. Ça m’encourage à aller plus loin bien que je n’ai pas la moindre idée de comment procéder. Je rentre un doigt dans le vagin de Claire. Je suis surpris de voir avec quelle facilité j’y suis parvenu. Je tente de petits allers-retours avec mon doigt tandis qu’avec mon autre main, je caresse son petit clitoris. Je lance un regard à ma cousine qui me fait signe de continuer. Quelques temps après, elle se redresse et libère mon sexe de sa prison de tissu. Ma queue est bien droite et dressée presque au maximum. Claire la prend dans sa main et me branle doucement. Puis elle décalotte mon sexe et me regarde.


- Tu peux la mettre dedans si tu te sens prêt.


Je ne suis pas prêt, la preuve, je tremble comme une feuille. En revanche, j’en ai tellement envie… Je me repositionne entre les cuisses de Claire et j’approche mon sexe de l’ouverture. Avec ma main, j’oriente mon gland que je fais frotter contre les lèvres de ma cousine. Puis je le rentre dans sa fente. Je donne des petits coups de bassins pour faire pénétrer mon pénis de plus en plus profondément. Finalement, je rentre mon pénis complètement. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, le vagin de ma cousine est chaud et humide à la fois. Il est aussi plus large que ce à quoi je m’attendais et mon sexe n’est pas trop à l’étroit. Je réalise alors que je suis sur le point de perdre ma virginité. Dans peu de temps, j’aurai franchi un cap. Mais cette pensée, loin de m’arrêter, me motive et m’excite.


- Tu te débrouilles bien me dit Claire. Vas-y, fais de ton mieux ! »



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 09-12-2020

J’ai l’autorisation de Claire pour aller plus loin. Mais je crains de ne pas être à la hauteur. Ma cousine est une fille avec de l’expérience et j’ai peur de la décevoir. Devant son sourire encourageant, je me lance. Je me concentre pour savourer l’instant. Claire a fermé les yeux. Je regarde son doux visage, elle a l’air calme dans l’attente de son plaisir. Plus bas, je vois sa superbe poitrine dont les tétons bien durs pointent vers moi. Plus bas son ventre puis sa petite chatte dans laquelle mon pénis est glissé. Nous sommes dans l’obscurité. C’est entre Claire et moi. Je commence un va-et-vient.


Je commence doucement et je vais de plus en plus vite. J’essaye de trouver un rythme acceptable tandis que le plaisir monte et que mon excitation grimpe en flèche ! Mes mains sont posées de chaque côté des épaules de Claire et je tiens en équilibre sur les bras tout en essayant de donner des coups de reins réguliers. Le corps de Claire est secoué à chacune des pénétrations de mon sexe dans son vagin. Ces seins notamment, vibrent et roulent en cadence Cette vision m’excite terriblement de même que le visage de ma cousine qui a gardé les yeux fermés mais qui respire désormais par la bouche, plus rapidement et plus fort.


La sensation autour de mon sexe est délicieuse et le plaisir irradie dans tout mon corps. Mais je fatigue vite… Mon corps se tend, mes bras tétanisent. Sans réfléchir, j’accélère comme pour jouir le plus vite possible, avant que mes muscles fatigués ne me lâchent. Je vois Claire ouvrir les yeux, je l’entends me dire : « contrôle, contrôle ! »


Mais je n’arrive pas à ralentir, mon plaisir augmente à chaque coup de rein et j’ai l’impression de ne plus être maître de mes mouvements. Mon pénis rentre et sort de la chatte de ma cousine à un rythme effréné Le plaisir monte toujours plus haut quand soudain… Je pousse un « Mmmmmhh » de soulagement tandis que je sens des jets de sperme sortir de mon pénis et remplir le vagin de Claire. Le plaisir est intense, intense comme jamais. Et mes bras fatigués se dérobent sous moi et je m’effondre sur le corps de ma cousine.


Ma respiration est sifflante. Contre mon torse, je sens les seins de Claire. Mon pénis a bien ramolli maintenant mais il est encore dans son vagin. Je viens de prendre mon pied comme jamais mais j’ai l’impression d’avoir mal agis vis-à-vis de ma cousine. Je me suis complètement laissé aller à mes pulsions et j’ai honte. Je n’ose pas la regarder en face. Ses lèvres se collent aux miennes et m’embrassent, me prouvant qu’elle n’est pas fâchée. Ça me rassure. Je donne un coup de rein pour faire sortir mon pénis de sa chatte. Celui-ci, mou et trempé de sperme vient frotter contre les jambes de Claire. Cette dernière passe ses mains derrière mon dos et me caresse.


« - Désolé… d’avoir joui à l’intérieur… balbutié-je.
- C’est pas grave, tout le monde fait ça la première fois. Mais il faut que tu te retiennes pour que l’acte dure plus longtemps, sinon ta partenaire ne prendra pas suffisamment de plaisir pour atteindre l’orgasme.
- Je comprends… réponds-je d’un air penaud.
- Je vais t’apprendre.


Je suis extrêmement reconnaissant envers Claire. Non seulement elle ne me tient pas rigueur pour mon emportement mais en plus elle veut m’aider à progresser. Je lui dépose des petits baisers dans le cou qui la font sourire.


- Il faut que tu arrives à contrôler ton excitation pour retarder l’éjaculation. C’est comme quand tu te branles et que tu veux faire durer le plaisir, soit tu arrêtes tes mouvements pendant quelques secondes, soit du penses à autre chose.
- J’aimerais réessayer, lui dis-je.
- Mais bien sûr que tu va réessayer !  »328


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Arnoc1972 - 10-12-2020

Encore une belle histoire,  hâte de lire la suite Smile


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - admirateur17 - 13-12-2020

La température est montée considérablement !


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - jkf - 13-12-2020

J'avais pris un peu de retard dans la lecture.
Bien sympathique cette histoire.