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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Version imprimable

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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-12-2020

Mon sexe a repris de sa vigueur et je le laisse aux bons soins de Claire qui, avec ses mains, lui redonne sa taille maximale. Je me remets en position au dessus de ma cousine. Elle a de nouveau les yeux fermés. Mon gland est à l’entrée de sa fente. Avec un coup de rein, j’enfonce mon pénis d’un seul coup et en entier. Claire pousse un petit cri de surprise mais je pense que ça lui a plu parce qu’elle sourit. Je reprends mon va-et-vient au même rythme que la fois précédente en essayant de rester le plus doux possible et quand je sens le plaisir monter, je ralentis. Au bout d’un moment, même ralentir ne suffit plus alors je suis les conseils de Claire et je sors mon sexe de sa chatte pendant quelques instants pour faire redescendre mon excitation. Après cette pause, quand je retourne, j’ai l’impression que mon pénis est encore plus dur et les sensations sont encore plus intenses.


A nouveau, j’oublie de réfléchir et j’agis par instinct : je fais des mouvements de hanches les plus amples possibles. Les sensations autour de mon pénis sont de plus en plus fortes et se propagent dans tout mon corps ; je sais que je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Alors je pose une main sur les seins de Claire que je caresse doucement, je donne quelques coups de reins et au moment où je renfonce mon pénis dans son vagin, je jouis à nouveau en elle, moins abondamment que la première fois mais tout aussi intensément.
A nouveau, je bredouille des excuses. Mais Claire me rassure :


- Ne t’en fais pas, tu t’es bien débrouillé pour ta première fois. Et tu as tenu plus longtemps cette fois-ci.
- Mais j’ai encore…
- Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Aller, prends-moi dans tes bras !


Claire et moi nous nous allongeons sur le flanc, face à face sur le canapé. Son corps nu se détache du décor en nuances de gris dans l’obscurité. Je passe un bras par-dessus ses épaules pour la serrer contre moi puis je caresse son dos en suivant sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Avec mon autre main, je caresse ses seins du bout des doigts. De temps en temps, je dépose des petits baisers sur son visage et au creux de son cou. Au fil du temps, mon pénis retrouve son état excité. Je le sens se redresser en venir frotter contre le bas ventre de ma cousine.


- On dirait que tu es à nouveau d’attaque ! me dit Claire.
Tiens, comme tu as bien progressé, tu as mérité une petite gâterie. Assois-toi sur mon ventre.


Je m’exécute et je me pose sur le ventre de Claire, un genou de chaque côté. Avec ses mains, elle glisse ma bite entre ses seins pour une branlette espagnole. Elle la frotte avec sa poitrine tandis que de mon côté, je donne des petits coups de bassin presque par réflexe. J’ai le sexe en feu et chaque aller-retour me fait presque mal tout en libérant une onde de plaisir.


- Ça arrive ! dis-je à Claire pour la prévenir.


Elle accélère le rythme de ses caresses avec ses seins et voilà que pour la troisième fois ce soir, je jouis. Mais ce ne sont que quelques gouttes qui tombent sur le cou de Claire. Rien à voir avec les quantités que j’avais éjaculé plus tôt.


- Tu t’étais complètement vidé à l’intérieur ! me dit Claire en souriant. »


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-12-2020

Ma cousine et moi nous nous levons du canapé. Je constate que celui-ci est trempé de sueur là ou Claire avait posé son dos et qu’il est taché de sperme là où elle avait sa chatte.


« - Il va falloir laver tout ça, remarque Claire. Je vais m’en charger, toi, va te coucher !
- Mais…
- Nan nan, tu as bien travaillé ce soir. Tu dois prendre du repos. »


Je ne sais pas si j’ai bien travaillé mais c’est le genre de travail que je suis prêt à faire encore et encore. Je ramasse mes vêtements par terre et je dis au revoir à ma cousine en l’embrassant tendrement. Puis je monte dans ma chambre sur la pointe des pieds, nu comme un ver. J’imagine Claire, toute nue, entrain de nettoyé le canapé, couvert de sa sueur et de mon sperme. J’imagine ses seins pointés vers le bas quand elle se penche en avant, son petit minou, ses fesses... J’essaye d’imaginer à quoi ressemblaient nos ébats vu de l’extérieur. Mais je n’ai même plus la force de bander. Je m’endors rapidement.


Le lendemain, tout se passe comme si de rien n’était. Je retrouve le salon comme je l’avais laissé sauf que le canapé a été nettoyé et que la pièce a été aérée. Rien ne trahit ce que nous y avons vécu, Claire et moi, hier soir. C’est d’ailleurs ce matin que les adultes doivent revenir. Et demain que Marianne doit repartir… Tous les trois, nous poussons le mobilier pour le remettre à sa place d’origine. Les adultes reviennent peu avant midi, les bras chargés de victuailles. Ils ont vraisemblablement fait les courses et nous mangeons comme des ogres.


L’après-midi et la soirée se passent sans événements notables. Cependant, il me semble que Marianne, qui a bien récupéré de la soirée de la veille, minaude beaucoup. En tout cas, j’ai l’impression qu’elle se penche toujours en avant pour me laisser une jolie vue sur son décolleté. Mais peut-être que je me trompe après tout. Peut-être que mes récents ébats avec Claire me font imagier des choses… En parlant de Claire, quelque chose me tracasse et j’aimerais lui en parler. Je trouve un moment dans la soirée pour lui dire un mot en tête à tête.


- Claire… tu n’as pas joui une seule fois hier, n’est-ce pas ?
- Ne te tracasse pas pour ça ! dit-elle en posant sa main sur mon épaule. C’était très bien pour une première fois.
Un peu rassuré, je m’apprête à la laisser quand elle me rappelle et me murmure à l’oreille:
- Eh, Cyril ! Je suis sûr qu’un jour on jouira tous les deux ensemble.


Elle avait dit cette dernière avec un clin d’œil et un petit sourire. Sur ces mots, j’étais allé me coucher. Mais le sommeil, cette fois ci, tardait à venir. La dernière phrase de Claire m’avait terriblement excité et, allongé sur mon lit dans le noir, j’imagine des scénarios où nous atteignons l’orgasme au même moment. Un peu comme l’avaient fait ma sœur et son copain des années plus tôt. Car hier, c’est Claire qui m’a donné un plaisir è sens unique alors je me promets de parvenir à lui en donner en retour !


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-12-2020

En me levant le lendemain je suis un peu triste. Après tout, c’est le dernier jour avant le départ de Marianne. Je m’étais habituée à sa présence et son joli visage va me manquer. Au petit-déjeuner, je ne laisse rien paraître de mon humeur. Puis je monte dans ma chambre. Alors que je me demande où a bien pu passer Claire à qui il faut que je dise quelque chose, on frappe à ma porte. Je vais ouvrir, c’est Marianne.


« Salut, lui dis-je.


Elle s’assied sur mon lit et nous discutons un moment. L’expression de son visage n’est pas calme, comme si quelque chose la tracassait.


- Tu t’en vas à quelle heure ? demandé-je.
- Juste après le repas…
- Tu vas me manquer Marianne, tu sais !
- Qu’est ce qui va te manquer chez moi ?


Je suis un peu désarçonner par sa question et j’essaye de répondre sans bafouiller.


- Ben… euh, tout ! T’es une fille sympa, jolie…
- Tu es gentil, dit-elle avec un sourire timide. Moi, c’est ça qui va me manquer, ta gentillesse. Tu sais, je n’ai eu qu’un seul copain dans ma vie, c’était il y a deux ans. Il disait qu’il m’aimait mais tout ce qui l’intéressait c’était le sexe… On l’a fait ensemble, une fois, pour lui faire plaisir. Mais il m’a fait mal, il en avait rien à faire. Alors je lui ai dit que je n’étais pas prête à le refaire et il m’a quitté…


Je ne vois pas trop ou Marianne veut en venir. Elle regarde ses pieds en me racontant tout ça, la mine sombre. Je m’assois à côté d’elle sur le lit et je lui passe un bras autour des épaules pour la réconforter. Elle continue :


- Depuis je ne l’ai jamais refait, je voulais trouver quelqu’un qui me respecte…


Nous restons ainsi pendant longtemps : assis sur le lit, collés l’un contre l’autre, personne n’ajoute un mot pendant plusieurs minutes.


- Au fait, tu as dit que tu me trouvais jolie ? remarque Marianne sur un ton un peu plus léger et avec une esquisse de sourire.
- Euh… oui c’est vrai que je te trouve jolie… dis-je en rougissant.
- Et comme ça tu me trouves comment ?


A peine a-t-elle fini sa phrase qu’elle retire son débardeur beige. Elle se trouve en soutien-gorge à côté de moi, les joues rouges. Je suis rouge aussi. Elle colle encore un peu plus son épaule nue contre mon bras qu’elle attrape avec ses deux mains. La dernière fois que je l’avais vue en si petite tenue, c’était à la plage. Son corps est comme dans mon souvenir : son teint halé, son ventre plat, sa belle poitrine…


- Marianne qu’est ce que tu fais ?
- Tu voudrais les voir ? Ca ne me gène pas si tu les vois…
- Quoi ! Non ! Enfin si… je sais pas…


Je bafouille sans savoir ce que je dis. Marianne sourit et décide de répondre pour moi à la question. Elle passe doucement une main derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge en me regardant dans les yeux. Le sous vêtement tombe sur ses cuisses et sa poitrine se dévoile. Ses deux seins sont un peu plus petits que ceux de Claire mais plus fermes aussi. Ils ont une jolie courbure bien ronde, très sensuelle et qui reste en place même sans soutien gorge... Ses tétons sont plus sombres et un peu plus larges que ceux de Claire, ils pointent déjà légèrement.


Il doit être 10h00 et le soleil inonde ma chambre. Dans cette lumière qui sublime son teint halé, Marianne est magnifique.
Marianne m’attrape le poignet avec sa main et me guide vers sa poitrine. Mes doigts rentrent en contact avec son sein.


« Touche moi… murmure-t-elle.


Je pose une main sur chacun de ses seins et je les malaxe doucement. Ils sont vraiment exceptionnels : avec leur taille et leur forme, ils tiennent dans mes mains et sont délicieusement fermes. En continuant de lui peloter la poitrine, je sens ses tétons durcir contre mes paumes. Symétriquement, je commence à jouer avec les tétons de Marianne du bout des doigts. J’approche ma tête de la sienne et nous nous embrassons. Contrairement à ceux de Claire, les baisers de Marianne sont plus hésitants. Je sais qu’il faut que j’aille doucement avec elle.


Ma main gauche passe sous un des seins de Marianne et le pousse vers le haut tandis que je continue à l’embrasser. Ma main droite descend le long de son ventre, s’attarde sur son nombril puis descend encore. Elle passe sous son jean, sous l’élastique de sa culotte, rentre en contact avec le haut de ses grandes lèvres. De surprise, Marianne pousse un petit cri et rompt le contact de nos bouches. Je retire immédiatement ma main. Marianne pousse un soupir, ferme les yeux et quand elle les rouvre, elle me dit :


- C’est bon, vas-y. »


Nous reprenons notre baiser tandis que ma main retourne vers le bas ventre de Marianne. Je sens à nouveau tout son corps frissonner mais elle me laisse explorer plus avant. Du bout des doigts, je découvre son intimité. Avec mon index, je masse son clitoris doucement. J’ai l’impression que ça lui plait même si c’est difficile d’en être sur tant elle est sur la défensive. Mes doigts viennent frotter à l’entrée de son orifice. Je remarque que c’est légèrement humide… J’introduis la première phalange de mon index dans son trou et je fais de touts petits va et vient. Je peux sentir que Marianne mouille de plus en plus : elle est prête à passer à l’étape suivante mais encore faut-il qu’elle le veuille.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-12-2020

Elle se lève, déboutonne son jean et le retire. Puis elle se met dos à moi et retire sa culotte. J’ai d’abord vu sur ses jolies fesses. Je me rappelle qu’à la plage, j’avais eu l’occasion de les admirer à travers le tissu du maillot mais là, le spectacle est merveilleux. Quand elle se retourne, Marianne a placé ses deux mains devant sa vulve comme pour cacher sa nudité. Bien sur c’est un geste ridicule dans la situation actuelle mais il me permet de prendre conscience d’une chose : Marianne est terrorisée, elle a peur du sexe depuis sa mauvaise expérience et elle fait déjà un effort surhumain pour me laisser la toucher.


Je me lève à mon tour et ma plante en face d’elle. J’attrape ses poignets avec mes mains et je la guide vers ma chemise pour qu’elle la déboutonne. En faisant ça, je l’oblige aussi à révéler au grand jour son intimité, parfaitement épilée. J’essaye de la débarrasser de sa pudeur et de ses appréhensions. C’était tellement simple avec Claire, elle se laissait aller sans problème. Avec Marianne c’est différent et je sais que je vais devoir m’adapter parce que si elle ne se décontracte pas, elle ne prendra jamais de plaisir…333



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Arnoc1972 - 16-12-2020

Toujours aussi sympa a lire Smile
Je ne sais pas comment tu fais pour écrire les 3 histoires en parallèle, mais bravo et merci


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 18-12-2020

Elle déboutonne ma chemise, dévoilant ainsi mon torse. Elle pose ses mains à plat sur mes pectoraux et commence à les caresser. Je la laisse faire et découvrir mon corps à son rythme. Je ne veux surtout pas la brusquer. Elle m’enlève elle-même mon short avant de se rassoir sur le lit. Je retire alors mon caleçon et je lui dévoile mon sexe. Inutile de dire que je bande déjà beaucoup et regarder Marianne, complètement nue, assise sur mon lit, n’arrange pas les choses. Nous restons là à nous regarder en silence pendant quelques instants


« - Prends moi… finit par murmurer Marianne.
- Ici ? Maintenant ? Tu es sure que c’est ce que tu veux ?
- On fait ça une fois et après on oublie… S’il-te-plaît…


Bien sur j’en ai très envie mais je ne veux pas qu’elle se sente forcée par les circonstances. En même temps, c’est bien elle qui demande. Alors je la couche doucement sur le lit. Je pose mes mains sur ses hanches et je la tire vers moi pour lui positionner les fesses juste au bord du matelas et je me place face à elle, le sexe dressé. Elle a les jambes écartées et je vois que son trou ruisselle de mouille. J’approche mon pénis…


- Attends ! dit-elle. Sois doux, ok ?
Je me couche sur elle pour lui murmurer à l’oreille :
- C’est promis. Il faut que tu me fasses confiance.


A ces mots, je sens son corps se détendre et j’en profite pour lui déposer un petit baiser sur le front. Puis je me redresse et je me mets en position, debout devant le lit. Je décalotte mon gland et je le fais frotter doucement contre les petites lèvres de Marianne. Puis je le fais rentrer dans son orifice. Petit à petit, par de lents allers-retours. Finalement, mon pénis rentre entièrement en Marianne ce qui lui arrache un petit cri.


Le vagin de Marianne est beaucoup plus étroit que celui de Claire. Mon sexe s’y trouve un peu serré et j’ai plus de mal à faire des va-et-vient. Quand je commence mes mouvements, la respiration de Marianne s’accélère. J’ai l’impression que je pourrais entendre son cœur battre. Assez rapidement, Marianne commence à pousser des soupirs et des petits gémissements. Je me rends compte qu’elle ressent du plaisir beaucoup plus vite que Claire, peut-être parce qu’elle a moins d’expérience… Ce qui est sur, c’est que de voir Marianne allongée sur le dos, les yeux mi-clos entrain de pousser des gémissements m’excite au plus haut point. Dans cette position, sa poitrine s’étale un peu sur son torse et a l’air plus grosse. Elle roule au rythme de sa respiration et de mes va-et-vient.


Inutile de dire que moi aussi je prends du plaisir. Le vagin étroit de Marianne me procure des sensations intenses à chaque mouvement. Une douce chaleur envahit tout mon corps, particulièrement au niveau de mon pénis. Je résiste à la tentation d’accélérer le mouvement. Marianne pousse un gémissement plus fort que les autres et je lui fais signe de faire moins de bruit. Je viens de réaliser que nous ne sommes pas seuls dans la maison et que nous risquons de nous faire attraper à tout moment. Marianne a compris aussi et je vois qu’elle se mordille les lèvres pour étouffer ses gémissements.


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 18-12-2020

J’attrape doucement les jambes de Marianne et je les positionne sur mes épaules. J’ai un de ses pied de chaque côté de ma tête. Ceci à pour effet de resserrer ses cuisses et de surélever légèrement ses fesses. Dans cette position, j’ai l’impression que les pénétrations sont plus profondes, que les mouvements sont plus amples. Le plaisir monte d’un cran pour moi. Les gémissements de Marianne ont changé également. A intervalles réguliers elle lâche des
« Mmmmmmh Han ! » comme si elle retenait sa respiration le plus longtemps possible et qu’au moment de reprendre son souffle elle ne pouvait pas réprimer un petit cri aigu.
La situation est très différente de la fois avec Claire. Ici, nous sommes de jour, en pleine lumière et je peux voir tous les détails du corps de Marianne jusqu’à l’expression de son visage. Et puis les gémissements, à la fois excitants et stimulants, me confirment que j’arrive à lui donner du plaisir. Chaque coup de rein me rapproche de la jouissance. Les gémissements de Marianne, quant à eux, deviennent plus aigus et plus rapides. Ils suivent le rythme de sa respiration.


« - Ha Han, Ha Han, Ha Han !


Elle essaye de les étouffer comme elle peut en se mordillant les lèvres ou en mettant une main devant sa bouche. Comme je sens que je vais bientôt jouir, je retire mon sexe de la chatte de Marianne. Il en ressort trempé de mouille. Mon excitation se calme un peu et j’espère ainsi pouvoir tenir plus longtemps.


- Pourquoi tu t’arrêtes ? demande Marianne tout doucement.
- Pour que tu puisses reprendre ton souffle, dis-je.
-Merci…


C’est un petit mensonge mais en même temps, ça me permet de garder Marianne en confiance. Sa respiration se calme un peu et elle demande :


- Tu crois qu’on pourrait changer de position ? J’aimerais essayer… autre chose.


Je me rends compte que l’attitude de Marianne a changé depuis tout à l’heure. Elle qui était sur la défensive, voilà qu’elle en redemande. Je crois que j’ai vaincu ses réticences grâce à ce moment de plaisir partagé et qu’elle me fait confiance à présent.


- Tout ce que tu veux ! réponds-je à voix basse.


Alors elle se retourne et se met à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses. Je déduis qu’elle veut essayer la levrette. Mon pénis qui avait un peu ramolli reprend sa vigueur devant le spectacle de ses jolies fesses pointées vers moi. Les battements de mon cœur s’accélèrent. Si elle reste dans cette position, en étant debout au pied du lit, je suis pile à la bonne hauteur pour la prendre par derrière. J’approche mon sexe du trou de Marianne. Vu de derrière, il semble encore plus excitant et ruisselle de mouille. Je rentre mon sexe tout doucement en savourant l’instant. Il s’enfonce avec un bruit aqueux, beaucoup plus facilement que la première fois. J’essaye de prendre mes repères avec cette positionne toute nouvelle pour moi comme pour elle. Je regarde Marianne qui tient en équilibre sur ses genoux et sur ses bras tendus. Son dos est plat, parallèle au lit et ses seins pointent vers le bas. Je reprends mes mouvements de hanches.


Mon pénis rentre et sort en cadence du vagin de Marianne. Les gémissements de cette dernière ont repris. De plus en plus aigus…


- Han han ! Ah han ! Ah han.


Je pose mes mains sur ses hanches et je m’en sers pour tirer ses fesses vers moi et ainsi accentuer la pénétration. Je viens presque buter contre le fond du vagin de Marianne à chaque coup de rein. Cette position sauvage, presque bestiale, m’excite beaucoup et semble donner à Marianne plus de plaisir que jamais. J’aimerais que ce moment dure éternellement. Mais je ne pense pas que j’aurai la force de tenir beaucoup plus longtemps…336


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

- Oh oui plus vite ! Plus vite ! » lâche Marianne dans un souffle.

Mais je suis incapable d’aller plus vite. Mes muscles tétanisent et surtout, je sens que je suis à deux doigts de jouir. Alors à la place je ralentis la cadence jusqu’à m’arrêter complètement, le sexe à moitié enfoncé à l’intérieur de la chatte de Marianne. Cette dernière ramène sa main gauche vers son bas ventre et je devine qu’elle se caresse doucement le clitoris. Puis elle commence à donner des petits coups avec ses fesses pour faire rentrer et sortir mon sexe de son vagin sans que j’ai à esquisser le moindre mouvement. Je suis surpris de voir à quel point elle se laisse aller au plaisir maintenant. Et je sais que quoi que je fasse, je ne vais pas pouvoir retenir mon éjaculation beaucoup plus longtemps. Marianne semble prête à jouir… Alors je décide de tout donner dans un dernier assaut.


Je reprends mon va et vient en donnant des coups de reins de plus en plus rapides en essayant de faire pénétrer mon sexe le plus profondément possible à l’intérieur de Marianne. De son côté, les gémissements sont devenus de longs râles :


« Haaannnnnnnnn ! Haaaaaaannnnnnn !


Je sens que je vais bientôt jouir. Et je crois que elle aussi. A cette idée, je redouble d’effort en essayant de m’appliquer à bien faire les mouvements.


- Ha han ! Ha han ! Oh oui continue, ha han !


Les cris aigus reprennent. Je me penche en avant et je pose une main sous chacun des seins de Marianne et je ramène son buste vers moi. Avec mes mains, je l’empêche de repartir en avant tout en malaxant sa poitrine. Ses tétons sont plus durs que jamais.


- Ha han ! Ha han !


Encore quelques coups de reins. J’ai atteint ma limite, je ne vais plus pouvoir tenir. Soudain, Marianne pousse un grand cri, tout son corps frissonne puis se tend. Elle s’effondre alors sur le lit, épuisée. Moi, je maintiens fermement ses fesses à ma hauteur avec mes mains et je donne deux derniers coups de reins. A cet instant, je sens que je vais éjaculer : alors au tout dernier moment, je retire mon sexe en feu de la chatte de Marianne, je relâche ses fesses et je jouis comme jamais sur son joli dos bronzé en poussant un soupir d'extase. Plusieurs grosses saccades de sperme jaillissent de mon sexe, puis des plus petites, envoyant des décharges de plaisir dans tout mon corps. Tout mon être tremble tandis que je me vide sur Marianne.


Quand mon éjaculation s’arrête, j’ai l’impression de planer complètement. Je reste debout auprès du lit, les bras ballant, le souffle court, bercé par un sentiment de plaisir et de soulagement. Je regarde Marianne, qui est toujours allongée sur le ventre, le visage enfoncé dans un oreiller. La cambrure de son dos est couverte de mon sperme. Mon sexe a ramolli et vient frotter contre mes cuisses. Avec mes mains, j’étale ma semence sur le dos de Marianne. Puis je m’allonge sur elle en prenant garde de ne pas l’écraser. Mon pénis vient buter contre ses fesses mais je n’ai même plus la force de bander de toute façon… Je lui dépose quelques baisers dans les cheveux. C’est là que je me rends compte que Marianne est entrain de pleurer doucement.


Je n’ai pas le temps de lui en demander la raison que le pas lourd de mon oncle dans l’escalier me rappelle que nous ne sommes pas seuls dans la maison.






Mon sang se glace dans mes veines. C'est vrai que nous n'avons pas été très discrets, surtout à la fin. Marianne avait bien réussi à retenir ses cris mais au moment de l'orgasme elle n'avait pas pu réprimer un hurlement de plaisir. Suffisamment fort pour être entendu depuis le rez-de-chaussé. Les pas de mon oncle semblent se rapprocher alors qu'il gravit les marches et le grincement de l'escalier me paraît soudainement plus inquiétant. La porte de ma chambre ne ferme pas à clés, il n'a qu'à ouvrir la porte pour découvrir notre petit manège... Et dans la position dans laquelle nous sommes... Marianne est allongée sur les ventre, la tête enfouie dans l'oreiller, et je suis posé sur elle, mon sexe mou entre ses deux fesses. Difficile de faire croire que nous étions entrain de jouer aux cartes. Je sens le corps de Marianne se tendre et se raidir en entendant mon oncle. Mais, épuisée par nos ébats, incapable de bouger, elle reste figée sur le lit en sanglotant doucement. Moi même je n'esquisse pas le moindre geste. A quoi bon ? Tout ce que je peux faire, c'est attendre l'arrivée de mon oncle et essayer de gérer au mieux la situation. Je murmure à Marianne un "ça va aller" mais je n'en suis pas vraiment sur...

Mon oncle arrive en haut de l'escalier.

"- J'ai entendu quelqu'un crier. Tout va bien ? demande-t-il depuis le couloir.

Sa voix est calme et enjouée, comme d'habitude. On dirait bien qu'il n'a aucune idée de ce qui s'est passé. Il n'a pas réalisé que le cri qu'il avait entendu était un cri de jouissance. C'est déjà une bonne chose mais ça ne change rien au problème . Il doit être à quelques mètres de la porte de ma chambre maintenant. Et que faire si au lieu de rentrer dans ma chambre, il nous appelle Claire, Marianne et moi ? Je ne sais pas où est Claire mais je sais que je ne risque pas de sortir nu accompagnée de la jolie brune...
La voix de Claire résonne :

- Papa, Papa !


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

Alors elle était à l'étage elle aussi. Impossible qu'elle n'ai pas compris ce qui se passait entre se meilleure amie et moi. En plus sa voix à l'air affolée. Mon cœur s'emballe. Et si elle avait décidé de nous dénoncer à son père ? Après tout, à sa place je ne pense pas que l'idée que mon cousin couche avec ma meilleure amie dans ma propre maison m'aurait fait plaisir.

- Papa c'est moi qui ai crié ! Je me suis cogné le pied contre mon bureau. On a de la glace à la cuisine ? Ca fait vraiment super mal !
- Mais ma chérie tu boites ? Bouge pas je vais te porter jusqu'en bas.

La voix de mon oncle à l'air affolée elle aussi tout à coup. Je l'entends redescendre les escaliers, probablement en portant Claire dans ses bras. Puis c'est le silence. Marianne et moi sommes seuls à l'étage. Deux choses sont certaines : Claire sait que nous avons couché dans la pièce d'à côté et Claire a menti à son père pour nous sauver la mise.

Je reprends mes esprits.

- Il faut pas qu'on reste comme ça... murmuré-je dans l'oreille de Marianne.

Je note qu'elle a arrêté de pleurer. Peut-être qu'elle aussi à été particulièrement marquée par le geste de Claire.

- Tu es allongé sur moi, je peux pas bouger... me fait remarquer Marianne sur un ton presque amusé.

Je peux sentir que son corps s'est détendu. Moi aussi d'ailleurs je commence à me détendre. Le pire est passé et nous n'auront pas de problèmes avec les adultes grâce l'intervention de ma chère cousine. Je me redresse et je m'assois au bord du lit, le sexe toujours aussi mou. En me détachant du corps de Marianne, je me rends compte que mon ventre et son dos sont légèrement collés entre eux par mon sperme séché. C'est vrai que j'avais éjaculé sur son dos avant de m'allonger sur elle.

Marianne s'assied à côté de moi au bord du lit. Nos épaules se touchent presque. Ses jolis seins tombent vers le bas mais gardent une forme bien ronde et sa petite chatte, encore humide, tâche légèrement les draps. Elle regarde fixement ses pieds et me dit presque à voix haute :

- Merci Cyril... Vraiment...
- De rien... Enfin je veux dire, heu... Merci à toi aussi. C'était... vraiment bien !

Nos regards se croisent. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Alors je dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de me lever et de dire :

- Aller Marianne ! Il faut qu'on bouge de là !
Je la regarde se rhabiller, et je l'aide à rattacher son soutien-gorge dans le dos. Je me surprends même à bander légèrement.
- Faudrait qu'on prenne une douche, fais-je remarquer.
- J'aimerais qu'on puisse le prendre ensemble mais ça serait trop risqué pas vrai ? répond Marianne.
- Ouais, on l'a déjà échappé belle une fois..."

Alors Marianne quitte ma chambre non sans m'avoir fait un sourire et un bisou dans le cou.

J'ouvre grand la fenêtre de ma chambre pour aérer et je fais mon lit rapidement. Les draps sont tachés de la mouille de ma partenaire. Je file ensuite à la douche. Je me savonne en insistant bien sur mon gland encore rouge puis je me sèche et je revêts des vêtements propres. Enfin, pour essayer de penser à autre chose qu'à Marianne, je prends un livre en attendant l'heure du repas de midi.
L'heure du repas arrive. Nous nous attablons et discutons tous calmement. Je remarque que Marianne a changé de vêtements depuis ce matin. Elle aussi à du se doucher en vitesse. Claire quant à elle a un bandage autour des orteils de son pied droit. Elle se déplace en boitant légèrement. Je me fais la remarque qu'elle joue très bien la comédie et qu'elle prend très à cœur son rôle de blessée ! Mais dans le même temps, j'ai le sentiment qu'elle évite de croiser mes regards. Je n'en suis pas vraiment sur mais après tout ce serait compréhensible. Ça me rend un peu triste...

"- Tu as apprécié notre séjour parmi nous ? demande ma tante à Marianne.

C'est vrai que ma jolie brune s'en va juste après le repas... J'avais presque oublié ce détail dans l'émotion de la matinée.

- Oh oui Madame ! Merci encore de m'avoir invité, j'ai passé une semaine formidable.

Je ne peux m'empêcher de penser avec fierté que j'ai été le bouquet final de la semaine de Marianne. Et d'ailleurs, je sens son pied qui commence à frotter contre ma jambe sous la table comme pour me le confirmer. Je regarde résolument mon assiette. Croiser son regard ou lui sourire à ce moment là aurait pu sembler suspect.

Après le repas, les adultes disent au revoir à Marianne puis Claire et moi la raccompagnons dans la cour, jusqu'à ça petite voiture d'étudiante. Ma cousine salue sa meilleure amie et les deux filles promettent de se revoir vite. Moi, je prends un ton solennelle et je dis : " au revoir Mademoiselle " puis je lui serre la main. Mon petit numéro la fait rire ainsi que Claire. Mais j'en ai surtout profité pour glisser discrètement dans sa main un petit bout de papier sur lequel j'ai écrit quelques mots : " Merci pour tout. Restons en contact. Je ne veux plus jamais te voir pleurer " suivi de mon numéro de téléphone. Avec un petit geste d'adieu, Marianne remonte dans la voiture et disparaît dernière les grilles de la propriété.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

Nous voilà seuls Claire et moi mais sans m'adresser un regard, elle tourne les talons et rentre dans la maison. Le temps a commencé à changé : les nuages s'amoncellent et un petit vent soulève en cadence les bord de la jupe de Claire. Alors que je la regarde s'éloigner, un coup de vent plus fort que les autres me dévoile l'arrière de ses cuisses et même le bas de sa culotte rouge. Mais je ne profite pas vraiment du spectacle tant il me paraît évident qu'elle est fâchée.

Pour me changer les idées et bien que le temps se gâte, je décide d'aller faire quelques longueurs dans la piscine. L'eau fraîche me fait le plus grand bien. Puis je commence à avoir froid. Alors je nage encore plus vite pour me réchauffer jusqu'à ce que la pluie se mette à tomber et me chasse hors de l'eau. Je remonte à ma chambre et je me sèche puis je m'allonge sur mon lit, sur le dos, complètement nu. J'écoute le bruit de la pluie qui tombe dehors et je me sens au chaud, en sécurité. Je me relaxe complètement et je peux enfin penser dans le calme aux événements de la journée.

Mon sexe pend mollement entre mes jambes. A cause de l'eau froide de la piscine, il est actuellement à sa taille minimale. Ça m'amuse de penser qu'il y a quelques heures, ce même pénis, rougi et gonflé de désir, rentrait et sortait de la chatte de Marianne au rythme de ses gémissements... En parlant de Marianne, je suis quand même un peu déçu : sur le coup, j'avais eu l'impression d'avoir retenu mon éjaculation pendant très longtemps ce qui avait permis à ma partenaire de jouir. Mais en fait, en regardant l'heure sur la petite horloge de ma chambre au début et à la fin du rapport, j'avais pu constater que j'avais tenu à peine plus longtemps qu'avec Claire. Il y avait bien une progression mais pas significative... Le conclusion que j'en tire c'est que Marianne est comme moi au fond : elle est inexpérimentée et du coup elle jouit vite. Après tout ce n'était que sa deuxième fois, tout comme pour moi. Son petit vagin étroit doit lui donner rapidement de plaisir ; beaucoup plus rapidement qu'à Claire en tout cas.

Cette pensée m'excite un peu et mon pénis se trouve dans un état intermédiaire : gonflé mais encore mou. Je joue avec du bout des doigts et une douce chaleur se fait sentir dans mon entre-jambe. Et Claire ? Que pense-t-elle ? Puisqu'elle a tout entendu il faudra bien que l'on en parle. Et je dois la remercier pour nous avoir sauvé la mise, même si c'est un peu délicat... En tout cas je dois crever l'abcès avec elle. Quand je regarde mes draps attentivement, je constate qu'ils sont tachés par la mouille de Marianne qui font comme de petites auréoles un peu plus sombres sur les draps blancs. Je porte le tissu à mon nez : une légère odeur s'en dégage. Sentir sur mes draps le fruit de l'excitation de Marianne... C'en est trop pour mon pénis et je bande fort à présent. Mon gland qui a été beaucoup sollicité aujourd'hui est rouge et me fait un peu mal. Alors j'essaye de penser à des choses moins excitantes... Dehors, la pluie c'est arrêté et le soleil de la fin d'après-midi apparaît timidement derrière les nuages.

Nous mangeons tôt ce soir là. La conversation est assez peu animée et à plusieurs reprises je sens le regard de Claire se poser sur moi. Mais cette fois c'est moi qui évite ses regards en rougissant un peu. Après, je reste une demie heure au rez-de-chausser. Quand je décide de retourner dans ma chambre, la luminosité du dehors à bien baissée. J'emprunte les escaliers qui grincent sous mes pas. Il fait un peu sombre dans le couloir et un léger rai de lumière sort de la chambre de Claire. La porte de sa chambre n'est pas fermée complètement et j'entends un bruit d'eau : elle doit être entrain de prendre sa douche. Je marche jusqu'à ma chambre, je me mets en pyjama et je m'assois sur mon lit. L'envie me prend de rentrer discrètement dans la chambre de Claire pendant qu'elle est dans la salle de bain. Alors je me relève sur la pointe des pieds je sors de ma chambre et je pousse le porte de celle de Claire. La pièce est éclairée seulement par la lampe de chevet allumée sur le bureau qui offre une lumière tamisée. Le bruit de la douche se fait toujours entendre. Devant la porte de la salle de bain, sur le sol, se trouve la petite culotte de Claire. La culotte rouge, celle que j'avais aperçu sous sa jupe il y a quelques heures... Je la prend dans mes mains, elle est encore chaude. Pouvoir tenir entre mes doigts l'objet qui recouvrait les jolies fesses de Claire et sa petite chatte me fait un effet formidable. Je commence à bander assez fort et mon pénis forme une belle bosse à la surface de mon pyjama. Je colle mon oreille contre la porte de la douche : la dernière fois que j'étais rentré en douce dans la chambre de ma cousine, elle était également entrain de prendre sa douche et j'avais cru entendre de petits gémissements comme si elle se doigtait... Mais je n'entends rien de plus que le bruit de l'eau cette fois.

Je respire avec délice l'odeur de la culotte de Claire. D'une main, je libère l'élastique de mon bas de pyjama qui tombe à mes pieds, libérant ainsi mon sexe dressé. J'imagine Claire les yeux fermés, savourant la chaleur de la douche. Ma main entoure mon sexe et commence un lent va et vient. J'imagine l'eau ruisselant sur son corps nu, sur ses seins, sur ses cuisses. La sensation de chaleur autour de mon sexe se répand dans tout mon corps. Je l'imagine se savonner doucement, la poitrine, le ventre, descendre jusqu'à sa chatte. Je l'imagine soupirer quand ses doigts rentrent en contact avec ses lèvres. J'accélère la cadence de mes va et vient, mon plaisir grimpe en flèche. J'imagine son doigt rentrer plus profondément dans sa grotte, j'imagine qu'elle pousse un premier gémissement de plaisir. Mon corps se raidit d'un seul coup, mon dos se cambre ; une onde de plaisir me traverse et je me vide en grosses saccades sur la culotte de Claire. Autour de moi, tout est calme et l'on entend que le bruit de ma respiration sifflante, mêlée à celui de la douche.


Je suis un peu tremblant sous l'effet du plaisir. Dans mes mains, la culotte rouge de Claire est trempée de sperme. Je reste bêtement dans cette position pendant de longues secondes. Le bruit de l'eau de la douche s'arrête ce qui me tire de ma rêverie. Je commence à paniquer : il faut que je quitte la pièce au plus vite et je ne peux pas laisser la culotte ici. Alors le plus vite et le plus discrètement possible, je remonte mon bas de pyjama, je quitte la pièce en tirant la porte et je file dans la salle de bain du couloir. Je la verrouille et j'entreprends de nettoyer la culotte de ma cousine avec de l'eau tandis que mon érection se calme. Cela fait, je retourne à ma chambre, j'ouvre la fenêtre et je pose la culotte sur le rebord pour qu'elle sèche pendant la nuit. Je décide de dormir avec la fenêtre et les volets ouverts et je me couche dans mon lit en regardant les nuages et les étoiles qui se détachent dans le ciel noir.

Le lendemain, je suis réveillé très tôt pas les rayons du soleil. Mon réveil indique 7h00. Je n'avais pas pensé en laissant fenêtre et volets ouverts hier que la lumière du jour me tirerait si tôt du sommeil. Mais il fallait bien que la culotte de Claire sèche... Je décide qu'il est trop tôt pour me lever alors je me mets un oreiller sur la figure pour me plonger artificiellement dans l'obscurité. Je parviens à me rendormir pour me réveiller aux alentours de 10h. Je me lève et je retire mon haut de pyjama puis je fais quelques étirements pour échauffer mes muscles encore endormis. La gaule du matin forme une légère bosse à la surface de mon bas. Je m'approche de la fenêtre. La culotte de Claire est sèche... mais ce n'est pas ça qui retient mon attention. Souvenez vous, ma chambre est la seule pièce de la maison qui donne sur la piscine. Et au bord de la piscine, sur un des transats, se trouve la propriétaire de la culotte... Ma cousine est allongée sur le dos, prenant un bain de soleil. Ses bras son écartés et, dans cette positon, sa poitrine s'étale sur son buste. Elle a les jambes repliées, dissimulant à moitié le bas de son maillot. Son maillot, justement, est couleur rose saumon et brille sous le soleil. Le corps de Claire lui aussi semble briller. Je prête alors pour la première fois attention au temps superbe qu'il fait dehors.

Ma légère érection matinale est entretenue par cette vision de ma belle cousine. Elle ne regarde pas dans ma direction et j'éprouve une vive excitation à l’idée de pouvoir la regarder sans être vu. Même à cette distance, je crois pouvoir distinguer le grain de beauté qu'elle a entre les deux seins, celui là même que j'essayais de voir par dessous son décolleté au début des vacances et que j'avais pu admirer de près par la suite. J'envisage de me détourner et de descendre prendre mon petit-déjeuner quand Claire esquisse un mouvement auquel je ne m'attendais pas et qui lui rend toute mon attention.

Sa main droite se met en mouvement et s'approche lentement de son entre jambe. Au même moment, elle passe sa main gauche derrière sa nuque et s'en sert comme d'un oreiller. Ses jambes sont toujours repliées et je vois la main glisser sous la culotte puis en ressortir, puis rentrer à nouveau. Même si de là ou je suis, je vois mal et je n'entends rien, je devine aisément ce que ma douce cousine est entrain de faire. Ma gaule du matin est devenue une belle et forte érection. Je retire rapidement mon bas de pyjama pour libérer mon sexe en gardant le regard rivé sur Claire. Instinctivement, je commence un va et vient avec ma main. Je devine que Claire fait rentrer et sortir un doigt, peut-être deux, de son vagin en cadence. Et j'essaye d'appliquer le même rythme à mes propres mouvements.

Soudain, elle s'arrête.

"- Qu'est ce que tu attends pour descendre ?

C'est elle qui vient de parler. Je reste incrédule, immobile, ma main enserrant toujours mon pénis. Elle lève la tête directement vers moi.

- C'est à toi que je parle Cyril.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

Je réalise alors ce qu'il se passe. Des sueurs froides me parcourent le dos et je débande presque instantanément. Depuis le début, Claire savait que j'étais là, la regardant. Je suis pris la main dans le sac... Mais comment est-ce possible ? Pas une seule fois elle n'avait regardé vers moi. Et je n'ai pas fait le moindre bruit.

- Allez je t'attends.

Mon cœur bat la chamade et je n'ose pas lui répondre. Pourtant son visage a l'air calme. Je ne sais pas quoi penser... Alors j'enfile en vitesse mon maillot de bain. Je me couvre les épaules avec une serviette et je file au rez-de-chausser. Claire ne pouvait voir que le haut de mon buste dans l'embrasure de la fenêtre. Mais avait-elle deviné que j'étais complètement nu en dessous ? Pire, avait-elle compris que je m'étais branler en la regardant se faire du bien. Allait-elle trouver ça vulgaire, serait-elle vexée, déçue ? Toutes ces questions se bousculent dans ma tête et je passe devant mes parents, mon Oncle et ma Tante sans les voir.

- Eh bonjour Cyril ! Tu nous as oublié ? s'exclame ma mère.

Je bafouille des excuses et je salue un à un tous les adultes. Ma tante jette un coup d'œil à mon maillot et me dit :

- Tu vas à la piscine ? Claire y est, tu la retrouveras la bas.
- Ah ? dis-je en feignant la surprise. Plus on est de fois plus on rit. Aller, à toute à l'heure."

Et je sors, je contourne la maison pour arriver à la piscine. Claire est là, allongée, les jambes repliées et les bras écartées. Elle tourne la tête vers moi et me dit d'un air ironique :

- Tu en as mis du temps.
- Excuse moi, je suis tombé sur mes parents... et sur les tiens par la même occasion.
- J'espère qu'ils n'ont pas trop prêter attention à ton short...

C'est vrai que je me suis remis à bander depuis que Claire se trouve devant moi, allongée comme une sirène. Mais je suis sur que je ne bandais pas quand je suis passé devant les adultes alors pas de risque. Ma cousine s'assied en tailleur à une extrémité du transat. Je m'assied donc en tailleur de l'autre côté. Nous sommes proches l'un de l'autre. Sa poitrine, fermement tenue par le haut de son maillot, est à la même hauteur que mes yeux. Difficile de regarder ailleurs. J'aperçois néanmoins distinctement une tâche de mouille sur sa culotte. Quant à moi, je sais que mon maillot un peu moulant laisse deviner la forme de mon sexe en érection.

Claire plante son regard bleu dans le mien.

- Il faut qu'on parle ! dit-elle.344


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

" - Faut qu'on parle.

Ça va sans doute être ma fête... Je m'efforce de regarder Claire dans les yeux bien que, même dans cette situation, la tentation soit grande de glisser un regard vers son haut de maillot.

- Comment tu as fait pour savoir que j'étais là haut ? demandé-je timidement.
- J'ai vu ton ombre sur le sol.

Elle sourit et je souris aussi tellement ça me paraît ridicule. Se faire avoir à cause d'un détail aussi bête... parfois je suis vraiment idiot !

- Mais je n'étais pas non plus là par hasard, continue-t-elle. J'espérais bien que tu regarderais par la fenêtre en te levant.
- Écoute Claire, je suis désolé pour ce qui s'est passé avec Marianne. J'ai...
- Désolé de quoi ? Tu sais je n'ai jamais eu l'intention de te garder pour moi toute seule. Et je suis content pour Marianne aussi, c'était bien que ce soit toi pour sa deuxième fois.
- Vous en aviez parlé toutes les deux ? demandé-je
- Possible... répond-elle avec un sourire énigmatique.

Je ne sais trop quoi répondre alors je garde le silence.

- En tout cas ça m'a fait beaucoup d'effet de vous entendre tous les deux l'autre jour ! enchaine Claire. Je suis même sortie de ma chambre pour mieux entendre. Et puis j'ai...

Elle ne termine pas sa phrase mais passe ses doigts sur son entrejambe par dessus son maillot.

- Tu vois ce que je veux dire ? ajoute-t-elle avec un clin d'œil.

Je vois très bien... La conversation est devenue beaucoup plus détendue. Claire n'a pas l'intention de me faire des reproches apparemment. Alors je me relaxe et je savoure la conversation. Après tout, ce n'est pas la première fois que nous parlons de sexe ma cousine et moi. En tout cas, mon érection ne semble pas vouloir se calmer.

- Je suis quand même un peu jalouse. Marianne avait l'air de prendre vraiment beaucoup de plaisir ! Tu crois que tu arriverais à me faire jouir moi aussi ?
- Je ferai de mon mieux ! promis-je en rougissant.
- Ahah ça fait plaisir de te voir comme ça ! J'avais l'impression que tu m'évitais depuis hier.

Je suis surpris.

- Ah bon ? Et moi j'avais l'impression que tu évitais mes regards. Je croyais que tu étais fâchée...
- Je te l'ai dit, je n'ai pas de raison d'être fâchée. Mais tu n'as pas senti quand je t'ai fait du pied sous la table ?

Je ris alors de bon cœur et Claire me regarde sans comprendre.

- Je croyais que c'était Marianne ! expliqué-je.
- Idiot ! réplique-t-elle en riant à son tour. Ce serait bien que nos parents fassent une sortie un de ces soirs et qu'ils nous laissent la maison rien que pour toi et moi.
- Ca serait génial ! murmuré-je alors que mon cœur s'accélère à cette idée.
- J'ai envie de voir si tu as progressé ! Et puis j'ai encore des choses à t'apprendre !
- Apprends moi comment te faire grimper au rideau Claire s'il te plait !

Sans réfléchir, j'avance ma main droite vers elle et je commence à peloter un de ses seins. Je le malaxe doucement par dessus le maillot. Elle ne me repousse pas et au contraire, elle me regarde avec bienveillance.

- Tu es super chaud Cyril ! dit-elle en tâtant mon sexe à travers le tissu de mon short de bain.

Elle se lève et marche jusqu'au bord de la piscine puis me fait signe de la rejoindre. Je vais jusqu'à elle, mon sexe en érection compressé contre ma cuisse par le maillot, me gêne un pour pour marcher. Claire pose ses deux mains à plat sur mes pectoraux, se hisse sur la pointe des pieds et me murmure à l'oreille.

- Tu as envie de moi ?

Pour toute réponse, j'approche mes lèvres des siennes pour l'embrasser. Soudain, d'un coup sec, Claire me pousse et je tombe dans l'eau. Quand je ressors, je la trouve en plein fou rire.

- Du calme, du calme ! articule-t-elle entre deux éclats de rire. Le moment viendra Cyril, c'est promis.

Elle commence à s'éloigner puis se retourne vers moi.

- Au fait, tu me rendras ma culotte. J'ai le soutien-gorge assorti alors ça m'ennuierait de la perdre... dit elle, toujours souriante. Si tu veux vraiment garder une de mes culottes, je t'en donnerai une, y a pas de problème tu sais.

Puis elle enfile une petite tunique blanche et quitte les lieux en accentuant le dandinement de ses petites fesses. Je suis tout rouge et encore sonné par ma baignade brutale. Je la regarde s'éloigner et je reste dans l'eau jusqu'à ce que mon érection se calme. Claire m'a joué un sale tour mais en même temps elle m'a fait une promesse : elle a encore des choses à m'apprendre d'ici la fin des vacances...


Je sors de l'eau, je me sèche en vitesse puis je décide de profiter moi aussi du soleil. Alors je m'allonge sur le transat où nous nous étions assis Claire et moi pour discuter et je bronze pendant un moment. Puis je retourne dans la maison. A midi, nous mangeons du poulet rôti. Claire et moi discutons avec les adultes et rions de bon cœur. L'ambiance à table est beaucoup plus agréable que lorsque je la croyais fâchée. Soudain, je sens un pied nu, le sien, rentrer en contact avec ma jambe et venir la frotter. Je fais comme si de rien n'était et je continue à manger.

"- Papa, Maman, dit Claire, vous avez parlé à nos invités du festival de LeTallec ?
- Qu'est ce que c'est ? demande mon père.
- C'est un festival qui dure 4 jours tous les ans. Il y a une projection en plein air de films et noir et blanc tous les soirs.
- C'est chouette ! dit ma mère.
- En plus on y est pas allé depuis des années ! renchérit ma tante.

Devant l'enthousiasme des adultes, Claire m'adresse un clin d'œil. Je vois où elle veut en venir.

Claire et moi passons l'après midi ensemble, dans le petit salon du premier étage. Nous disputons plusieurs parties d'échec qu'elle remporte presque toutes. Puis nous jouons aux cartes, ce qui est plus propice aux bavardages.

- Alors tu me fais du pied à tous les repas maintenant ? Faudrait pas que ça devienne une habitude ! dis-je sur un ton faussement contrarié.
- Bah, je suis sur que ça t'a plu au fond ! répond-elle en riant. Et puis cette fois ça ne pouvait pas être le pied de Marianne !

La référence à notre conversation de la matinée me fait sourire. Mon portable sonne m'indiquant que j'ai reçu un sms. Je le sors de ma poche ; le numéro de l'envoyeur m'est inconnu du coup je n'ouvre pas le sms. J'ai mieux à faire, c'est à dire discuter avec ma cousine et gagner cette fichue partie de cartes.

- Comment tu as trouvé ma remarque sur le festival ? demande Claire.
- Brillante !
- Tes parents avaient l'air intéressé. Avec un peu de chance, ils vont nous annoncer qu'ils ont décidé d'y aller et on l'aura notre soirée tous les deux.
- Ça serait l'idéal ! J'aime beaucoup ton t-shirt au fait !
- Merci ahah !



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 20-12-2020

En effet, Claire porte un t-shirt bleu ciel avec un décolleté bateau qui lui découvre une épaule et volontairement court en bas qui laisse voir son nombril.
L'après-midi ce passe et j'attends avec impatience le repas du soir pour connaître la décision des adultes concernent le festival. Nous passons à table à 20 heures. Comme prévu, mon Oncle prend la parole :

- Les enfants, nous allons aller à LeTallec demain soir.
- C'est le dernier soir, il y aura un feu d'artifice, ajoute la tante. Vous nous accompagniez ?

Claire et moi nous nous regardons et nous éclatons de rire. Pas pour les raisons que nos parents respectifs imaginent...

- Roh ces jeunes... incapables d'apprécier les films en noir et blanc ! se désolé mon père. Vous n'avez rien de mieux à faire alors venez !
- Nan ça ira mais merci de proposer... dis-je.
- Bon, on vous confit la maison. Cyril, je compte sur toi pour faire à manger. On dormira probablement à l'hôtel alors ne nous attendez pas.

Le repas se termine et chacun retourne dans sa chambre respective. Je sors mon téléphone portable et je me souviens du sms au numéro inconnu que j'avais reçu plus tôt dans la matinée. Je l'ouvre :

" Merci pour ton message et pour ce que tu sais ! Bien sûr qu'on reste en contact ! Bisous, Marianne"

C'est donc la douce Marianne qui avait envoyé ce sms. J'aurais dû m'en douter et je m'en veux un peu de ne pas y avoir pensé... En même temps, Claire m'avait donné de nombreux sujets de distraction ces derniers temps. Je m'empresse de lui envoyer une réponse ou je lui demande si elle est bien rentrée chez elle. J'essaye de lancer la conversation sur autre chose que les événements des vacances : il faut qu'elle et moi on se connaisse mieux. Même si on se connaît déjà... bien. Elle ne répond pas immédiatement alors j'éteins mon portable et après avoir lu un peu, j'éteins la lumière et je me mets au lit.

Vers Minuit, on gratte à ma porte : c'est Claire qui se faufile dans ma chambre tout doucement. Si vous vous souvenez bien, c'est à cette heure ci que tous les soirs, avant l'arrivée de Marianne, elle venait me chercher pour une de nos discussions nocturnes. Discussions qui s'étaient assez vite transformées en massages, mes premières découvertes du corps d'une femme. J'avais fait du chemin depuis notre première réunion de nuit...

- Qu'est-ce que tu fais là ? demandé-je

Sans me répondre, Claire se dirige vers mon lit en tâtonnant dans le noir. Elle se glisse à mes côtés sous les draps. Sentir son corps chaud si près du lien me fait de l'effet. Mais je suis surtout surpris.

- On ne devrait pas attendre demain soir ?
- On attend demain soir, répond-elle. Je voulais juste être avec toi, c'est tout. Si ça te dérange je m'en vais.
- Non non ça me dérange pas !
- je m'en doutais... dit-elle d'un ton gentiment ironique.

Soudainement, Claire pose sa main sur mon pyjama au niveau de mon sexe.

- Roh ! Mais tu bandes ! s'exclame-t-elle.
- Euh... bafouillé-je.
- C'est pas possible de bander pour si peu.

Nous ricanons tous les deux et la conversation commence.

- Les adultes vont dormir à l'hôtel donc on sera tranquilles jusqu'au lendemain matin.
- Fais gaffe, ils ont dit qu'ils dormiront "probablement" à l'hôtel...
- Pas de panique, je suis déjà allé au festival. Ça finit vraiment très tard et c'est à une heure de route d'ici. Même si ils ne dorment pas à l'hôtel, ils arriveront à la maison vers 4 heures du matin. Donc on est large !
- Tu as vraiment eue une idée de génie en leur proposant d'y aller !
- C'est parce que je suis une fille ! dit elle malicieusement.

Nous pouffons tous les deux et je me réjouis de la complicité que nous avons développé Claire et moi. Elle ne laisse présager que le meilleur pour nos moments plus intimes !348




Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Arnoc1972 - 21-12-2020

J'ai l'impression de me répéter,  mais encore une très belle suite, 3 histoires en parallèle avec des intrigues différentes,  bravo ?


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - admirateur17 - 21-12-2020

Rien a ajouter à ce commentaire, très belle suite d'une très belle histoire Smile