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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Version imprimable

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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Je me réveille en sursaut. Mon réveil indique 3 heures du matin et quelque chose vient de bouger près de moi. J'allume ma lampe de chevet juste à temps pour voir Claire se faufiler hors de ma chambre. Les souvenirs remontent à la surface bien que je sois encore à moitié plongé dans le sommeil. Claire et moi avions discuté un long moment, côte à côte sous mes draps. Puis je m'étais endormi, bercé par le rythme de sa respiration. Elle avait dû décider de finir sa nuit dans sa propre chambre ce qui est plus prudent après tout.

En me réveillant pour de bon aux alentours de 9 heures du matin, la pièce est encore imprégnée de l'odeur de ma cousine. Je constate que la culotte rouge, que j'avais retirée de la fenêtre la veille pour la poser sur mon bureau, a disparu. Claire a dû l'emporter avec elle. Voilà qui m'évite les moqueries que j'aurais eu si j'avais dû la lui rendre en mains propres. Le temps dehors est magnifique : un temps superbe pour une journée qui devrait l'être tout autant. En tout cas, Claire m'a fait une promesse pour ce soir. Et je ne l'ai pas oubliée... Mais voilà que je commence à bander alors j'attends un peu de m'être calmé avant de descendre. En observant mon sexe dressé, je me demande si me branler quelques heures avant le début de la soirée pourrait m'aider à retenir mon éjaculation plus longtemps ?

Le temps me paraît très long en attendant 18h30, heure à laquelle les adultes doivent quitter la maison. Je passe l'essentiel de la journée cloitré dans ma chambre depuis laquelle j'attends l'heure fatidique. Au repas de midi, nos parents respectifs à Claire et à moi nous avaient paru très enthousiastes à l'idée de la soirée qu'ils allaient passé. Si ils savaient ce qui allait se produire dans leur dos...

J'ai décidé de ne pas me branler à l'avance. Je veux voir ce que je vaux et surtout tester ma résistance sans tricher. Les adultes se décident enfin à partir.

"- Il y a des restes dans le frigo, dit ma Tante. Cyril, tu te chargeras de les faire réchauffer. Soyez sages tous les deux et passez une bonne soirée !
- Bonne soirée ! répondons-nous en cœur Claire et moi.

La porte se referme derrière eux. Nous voilà seuls... Enfin...


Claire me fait un sourire que je lui rends aussitôt.

"- On dirait bien que nous sommes seuls, dit-elle.
- On dirait bien...
- Que dirais-tu de manger maintenant ? Ça nous laissera un peu de temps après pour nous préparer et puis ensuite toute la soirée sera à nous.

J'approuve et je passe en cuisine. Le dîner n'a rien de très romantique je l'avoue. J'aurais bien ajouté quelques chandelles pour bien donner dans le cliché mais je n'ai pas ça sous la main. Je mange très vite tellement j'ai hâte de passer à la suite et je me retrouve avec mon assiette vide alors que Claire n'est qu'à la moitié de la sienne.

- Tu es toujours aussi pressé... remarque-t-elle. En même temps je suppose que c'est plutôt flatteur pour moi !

Je rougis. Une fois le repas terminé et la cuisine rangée, Claire et moi nous montons dans nos chambres respectives.

- Rendez-vous dans une demie heure en bas, ok ?
- Ok...
- A toute à l'heure ! ajoute-t-elle en me lançant un coup d'œil coquin.

Depuis le début de la soirée, les battements de mon cœur se sont accélérés et je sens comme une boule au creux de mon estomac. Mon excitation est devenue de l'appréhension et je me surprends à trembler légèrement. Je me brosse les dents, et je prends une douche très rapide. Je m'habille d'une chemise blanche et d'un jean propre avant de me rendre compte que je suis presque en retard. Je quitte ma chambre en vitesse et je me dirige vers les escaliers. Je note que celle de Claire est encore éclairée et que je serai donc le premier arrivé en bas. Je descends les escaliers quand mes tremblements s'intensifient et je dois m'agripper à la rampe pour ne pas tomber. Je vais jusqu'au salon du rez-de-chausser et je m'avachis dans un fauteuil. Mince... Claire ne va pas tarder à arriver et moi je ne tiens plus debout. J'ai la trouille, bien plus que pour la dernière fois avec Marianne. Claire m'intimide... Parce qu'elle a plus d'expérience, parce qu'elle m'apprend des choses et qu'en même temps elle me teste. Ce qui fait son charme est également ce qui me fait peur en ce moment. Je ne veux pas la décevoir...

Soudain l'escalier grince. Je me redresse sur mon siège, stressé, tous mes sens en alerte. J'aperçois un pied puis un autre qui apparaissent dans l'escalier. Puis deux jambes puis Claire toute entière. Elle s'approche de moi et je me lève pour l'accueillir. Mes tremblements ont disparus, comme si là seule vue de ma cousine si resplendissante avait suffit à me calmer. Elle porte une robe noire serrée qui lui arrive à mi-cuisse et qui lui découvre les épaules. Surtout, la robe moule impeccablement ses jolies fesses et offre un décolleté plongeant qui suggère fortement la courbe de sa poitrine. Ses cheveux blonds contrastent merveilleusement avec le noir de la robe. Pour l'occasion, elle s'est faite une coiffure que je trouve originale avec une grosse mèche de cheveux qui part sur le côté et qui donne du volume à l'ensemble. Elle a également passé un peu de noir sur ses yeux ce qui rehausse son regard bleu. J'avoue que mon regard à moi s'attarde surtout sur son décolleté et qu'un début d'érection ne tarde pas à venir.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

- Je te plais comme ça ? demande-t-elle.
- Beaucoup... je réponds dans un souffle.
- J'ai pensé qu'on pourrait danser un peu, comme la dernière fois.

Je reconnais bien là le tempérament joueur de ma cousine. Voilà qu'elle recrée les conditions dans lesquelles nous avions sauté le pas l'autre fois. Elle lance une playlist en mettant le son assez bas. Au premier slow, mes bras passent derrière son dos et ses mains se posent sur mes épaules. Nous sommes si proches... La courbure de ses seins à travers la robe me touche presque. Claire ferme les yeux et se laisse guider par la musique et par mes mouvements. J'en profite pour jeter un regard plongeant dans son décolleté sans qu'elle s'en aperçoive. J'aperçois son grain de beauté entre les seins et j'ai soudainement envie de les toucher. Cependant, mes mains, plaquées contre son dos, descendent lentement jusqu'à ses fesses. Je prends une fesse dans chacune de mes paumes et je commence à les malaxer doucement. J'adore les pétrir et sentir leur contact moelleux mais ferme contre mes doigts. Claire rouvre les yeux, un peu surprise, et me fais un grand sourire. Puis je sens ses mains descendre le long de ma taille et me malaxer les fesses également. Ce contact me plait. Je tire ma cousine vers moi et ses seins viennent s'écraser contre mon torse. A cet instant, j'aimerais que Claire soit nue pour sentir ses tétons contre moi ! Mon sexe forme une bosse dure contre mon jean qui vient presque toucher le ventre de Claire. Je pose mon front contre son front et nous restons là à danser dans cette position.

Claire se recule un peu, rompant le contact entre ses seins et mon torse. Puis elle se hisse sur la pointe des pieds et me dépose une succession de petits baisers rapides sur la bouche. Répondant à son appel, je me penche vers elle et je lui rend un long baiser. Sans rien dire, Claire se retourne, me présentant son dos. Je comprends qu'elle veut que je descende la discrète fermeture éclaire de la robe. Ce que je fais, très lentement. La peau de ma cousine apparaît petit à petit, légèrement bronzée, elle contraste délicieusement avec la couleur de la robe. J'abaisse la fermeture jusqu'en bas, au commencement des fesses. Puis je pose mes mains sur ses épaules et je fais descendre le tissu de chaque côté de son corps. Tout son dos se dévoile à moi, barré par la lanière du soutien gorge. Je tire le tissu vers la bas. Sa culotte apparaît puis la robe tombe à ses pieds. Claire fait un pas de côté puis se tourne vers moi. Elle sourit.

Ses sous vêtements sont noirs comme sa robe. Je la regarde de haut en bas goulûment. Claire s'approche de moi et m'embrasse tout en déboutonnant ma chemise qui va rejoindre sa robe sur le sol. Je pose mes mains sur son soutien-gorge mais je ne le lui retire pas complètement. Je tire les deux bonnets vers la bas, juste assez pour dévoiler ses tétons roses et durs. Le soutien gorge couvre toujours le bas de ses seins et dans cette position, il les pousse légèrement vers le haut. J'approche ma bouche d'un des tétons de Claire et je lui donne des petits coups de langue tout autour. Je la sens frissonner et pousser un petit soupir en fermant les yeux. Je me rappelle qu'elle m'avait dit qu'elle était très sensible à cet endroit là. Je fais de même avec l'autre téton. À plusieurs reprises, la bosse de mon jean vient taper doucement contre son ventre tellement nous sommes proches.

Quand j'en ai fini, Claire me regarde et pose ses deux mains à plat sur mon torse.

- Je vais te montrer quelque chose... murmure-t-elle

Ses deux mains glissent vers mon ventre alors qu'elle s'accroupit devant moi. Dans cette position, surélevé que je suis, j'ai une belle vu sur son dos qui se prolonge par sa culotte noir. Je frissonne d'un coup : Claire déboutonne mon jean et le fait glisser le long de mes jambes. Elle fait de même avec mon caleçon. Le contact de ses mains froides contre mon bassin est terriblement excitant. Libéré de sa prison de tissu, mon sexe gonflé de désir se dresse fièrement tout près du visage de Claire. Elle pose un main autour de mon pénis et fait quelques va et vient puis elle le décalotte d'un coup. Une onde de plaisir me traverse déjà. Mon gland est rougi et impatient. Claire le regarde et à l'air satisfaite de voir qu'il est tout propre. J'ai peut être bien fait de prendre une douche finalement. Soudain, du bout de sa langue, elle se met à caresser mon gland et elle l'avale d'un seul coup. Je frissonne de surprise et de plaisir. La sensation humide et froide est nouvelle pour moi. Je sens la langue de Claire faire le tour de mon gland sans en épargner aucun endroit tandis qu'elle donne des mouvements de tête pour continuer le va et vient. Le plaisir monte rapidement en moi et je ferme les yeux pour savourer l'instant.

Mon jeans et mon caleçon sont autour de mes chevilles et m'empêchent de bouger librement mes jambes. J'ai l'impression d'être prisonnier et de ne pas pouvoir me libérer. Étrangement, cette sensation me plait. J'aime être à la merci de ma cousine. Bientôt, Claire s'aide d'une main, puis de deux, pour accentuer le va-et-vient et me donner encore plus de plaisir. Sa langue tourbillonne de plus en plus rapidement autour de mon gland. Un bruit aqueux se fait entendre à chaque aller retour le long de mon sexe parfaitement lubrifié. Je n'avais jamais ressenti ça avant. C'est tellement mieux qu'une simple branlette. Claire va très vite maintenant, vite et en même temps c'est très doux. J'arrive au bout de la résistance. Mon souffle s'est accéléré et dans un soupir je dis :

- Je vais jouir...

Claire ralentit jusqu'à s'arrêter complètement. Elle retire mon gland de sa bouche qui en sort tout brillant.

- Déjà ? Ah, c'est vrai que c'est tout nouveau pour toi alors pas étonnant... Mais c'est beaucoup trop tôt pour que tu jouisses ! J'en ai pas fini avec toi Cyril, je vais te croquer !

Sur ce elle se relève me pose en baiser sur les lèvres et retire doucement sa culotte. Je peux alors voir sa petite chatte d'où un peu de mouille ruissèle. Elle est maintenant entièrement nue à l'exception du soutien gorge toujours dans la même position. Ses tétons m'ont l'air encore plus durs et dressés que tout à l'heure. J'aimerais les mordiller mais elle ne m'en laisse pas le temps.

- Allonge toi sur le canapé, dit-elle.

J'obéis et je m'allonge sur le canapé, les bras le long du corps, la tête sur un coussin. Mon sexe est dressé vers le ciel, comme si ce premier voyage dans la bouche de ma cousine ne lui avait pas suffit. Claire monte sur la canapé et se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin, son orifice au dessus de mon pénis. Elle saisit mon sexe du bout des doigts et le guide vers l'entrée de son vagin. J'ai l'impression que mon sexe ne m'appartient plus et qu'elle peut en faire ce qu'elle veut. Elle caresse l'entrée de son vagin avec le bout de mon gland et je sens sa mouille se déposer dessus. Puis elle introduit mon gland dans son vagin tout doucement, de quelques centimètres seulement. Elle reste figée ainsi pendant un moment puis elle fait progresser mon sexe plus profondément en elle avant de faire une nouvelle pause. Je comprends qu'elle n'est pas assez lubrifiée et qu'il faut qu'elle y aille doucement pour ne pas se faire mal. Et d'ailleurs, j'adore ce moment : voir mon sexe rentrer par pallier de plus en plus profondément à l'intérieur de ma cousine m'excite au plus haut point.


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Mon sexe finit par rentrer complètement. Empalée dessus, Claire est assise sur moi et je sens ses fesses contre mes cuisses. Elle me fait un sourire et demande :

- Tu es prêt ?
- Oui...

Alors Claire commence des petits mouvements de son corps, de haut en bas. La sensation de chaleur autour de mon sexe apparaît. Je me sens bien : sur le même canapé ou j'avais pénétré Claire pour la première fois, cette même fille est entrain de me chevaucher. Dans cette position, c'est elle qui mène la danse et j'adore ça. J'adore que ma cousine, plus expérimentée, prenne les choses en main. Au fil du temps, les mouvements deviennent de plus en plus amples : Claire monte de plus en plus haut avant de se laisser retomber en s'empalant sur ma bite. J'ai même parfois l'impression de sentir mon gland buter contre le fond de son vagin. Je regarde Claire en contre-plongée. Son visage est magnifique de même que ses seins qui sont rehaussés par la position du soutien gorge. Ses tétons roses pointent. De temps en temps elle ferme les yeux.

- Ouhhh...

Un frisson me traverse. A voix basse, les yeux mi-clos, Claire vient de pousser un soupir de plaisir. C'est la première fois que je l'entends ainsi et j'en suis tout excité. Au fond de moi, je suis heureux que Claire puisse prendre du plaisir avec moi. Sa technique est incroyable : dans cette positon, elle me chevauche et arrive à se donner du plaisir tout en me maintenant dans un état de tension extrême. Le plaisir que je ressens est immense. A chaque aller retour de mon sexe dans son vagin, une onde de chaleur se répand dans mon corps. J'ai l'impression que je suis sur le point de jouir et pourtant, Claire maîtrise la vitesse pour que ça n'arrive pas. En entendant son premier gémissement, par réflexe, je donne des petits coups de reins pour accentuer la pénétration et essayer de lui donner encore plus de sensations. Mais elle me fait non de la tête. Elle pose ses mains sur mon torse et murmure :

- Laisse moi faire...


Avec ses doigts, elle caresse mes pectoraux puis descend sur mes abdos tout en continuant ses mouvements de bassin. Puis elle caresse mes bras et ses mains finissent au creux des miennes. Je lui tiens les mains du bout des doigts, à quelques centimètres au dessus du lit. J'ai l'impression de sentir ses doigts fins trembler sous l'effet du plaisir.

- Ouhhh...

A nouveau, un gémissement ... Sa voix est très basse et légèrement plus aiguë que d'habitude. J'ai l'impression de devoir tendre l'oreille pour entendre chacun de ses gémissements et cela m'excite encore davantage.

- Ouhhh... Ouhhh...

Les soupirs de plaisir de Claire se font maintenant entendre à intervalle régulier. Je tiens toujours ses petites mains dans les miennes et je regarde tantôt son joli visage, tantôt sa poitrine généreuses et ses tétons bien roses et bien dressés. Contrairement à la dernière fois, je suis certain que Claire prend du plaisir. Dans mon plaisir à moi, je dépasse un seuil : chaque aller retour m'envoie une décharge dans tout le corps. C'en est trop pour moi. Je sens que je vais jouir d'une seconde à l'autre... Claire s'arrête nette. Peut être a-t-elle senti que je serrais ses mains beaucoup plus fort qu'avant. Je sens que mon excitation retombe un peu et que mon pénis ramollit à l'intérieur même de vagin de Claire. Elle se redresse puis se relève. Mon sexe sort trempé et luisant et vient buter contre mes cuisses. Claire est accroupie au dessus de moi maintenant et de la mouille coule depuis son orifice sur mon ventre. Je l'étale avec mes mains pendant qu'elle descend du lit. Elle me regarde droit dans les yeux puis, le souffle court, la respiration haletante comme si elle venait de courir sur une longue distance, elle me dit :

- A toi de jouer maintenant.

Mon cœur s'accélère d'un coup. Claire m'a montré l'exemple en nous donnant beaucoup plaisir à tous les deux. Il est temps que je lui montre comme j'ai progressé. Je lui laisse la place sur la canapé où elle s'allonge sur le dos. Elle écarte les cuisses, d'abord un peu pour me laisser entrevoir sa petite chatte. Puis elle les écarte au maximum, ce qui a pour effet d'écarter ses lèvres et de me dévoiler son orifice. Je me place face à elle je fais quelques va et vient avec ma mains sur mon sexe pour m'assurer qu'il soit bien le plus dur possible. Lubrifié par la mouille de Claire, mon prépuce coulisse tout seul sur mon gland. Finalement, je m'allonge entre les cuisses de Claire. Mon penis rentre en elle sans difficulté avec un bruit aqueux. Je commence un va et vient.

Dans cette position que je connais bien maintenant, je retrouve les sensations de ma première fois. Je me concentre pour appliquer un rythme bien régulier à mes coups de reins. Je peux sentir mon sexe coulisser contre les parois du vagin de Claire et même parfois venir taper au fond.

- Ouhhh... C'est bien continu !

Claire apprécie. Et cette fois c'est moi qui lui donne du plaisir. Elle a fermé les yeux et se tête repose sur le coussin. D'une main, elle arrache son soutien gorge ce qui me permet de voir ses seins en entier. Ses tétons sont toujours aussi dressés par l'excitation. A chacun de mes coups de rein, le corps de Claire tremble et sa jolie poitrine bouge dans tous les sens. Elle a l'air tellement moelleuse... J'aimerais pouvoir la toucher en ce moment mais mes mains restent collées sur les hanches de Claire ce qui me permet de garder l'équilibre. Ma cousine attrape ses seins à pleine main et les pousse vers le haut pour les approcher de sa bouche. Elle se titille les tétons du bout de sa langue.

- Han !

Elle pousse un nouveau gémissement. Plus fort celui là. Claire libère ses seins et redresse un peu son buste. Elle regarde avec attention mon sexe qui fait des allers-retours à l'entrée de son vagin. Elle tend une main et commence à caresser son clitoris du bout des doigts. Elle joue avec et par moment, mon sexe rentre en contact avec sa main. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration de plus en plus forte. Je regarde ses deux seins qui bougent de haut en bas.

- Ha han ! Ha han !



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Le voix de Claire devient de plus en plus aiguë. Ses gémissements sont plus forts et plus fréquents qu'avant depuis qu'elle stimule son clitoris en même temps que je la pénètre.

- Changeons de position ! articule-t-elle entre deux soupirs de plaisir.
- Mets toi à quatre pattes s'il te plait.

Je me surprends moi même à dire une chose pareille. Claire aussi à l'air surprise mais elle me lance un regard coquin avant de s'exécuter en plaçant ses fesses au bord du canapé. Moi je me place debout, juste derrière elle. Je sens des picotements intenses dans mon sexe, j'ai très envie de la pénétrer à nouveau. Ma bite rentre sans problème à l'intérieur de sa chatte. Je pose mes mains sur ses hanches et je tire ses fesses un peu vers moi pour accentuer la pénétration.

- Ouhhh.

Claire à l'air d'apprécier cette position. C'est aussi en la prennent par dernière que j'avais pu faire jouir Marianne. Alors je donne tout ce que j'ai pour faire grimper Claire au rideau. J'accélère le rythme de mes va-et-vient. J'essaye de leur donner le plus d'amplitude possible. A chaque coup de reins, mon ventre vient claquer contre les fesses de Claire qui rougissent peu à peu.

- Han ! Han ! Continue Cyril, c'est bonnnn !

Le plaisir devient vraiment très intense pour moi. La chaleur et les picotements autour de mon sexe s'étendent à tout mon corps. Je suis traversé de spasmes tant l'excitation est grande. J'ai du mal à réfléchir et je me rends compte que moi aussi je gémis de plaisir.

- Ha Claire c'est trop bon !
- C'est... Han... Bon pour moi aussi ! Han !

D'un coup, mon corps se tend, ma tête part en arrière et mes mains s'agrippent désespérément aux fesses de ma cousine. Je pousse un cri de plaisir :

- Haaaaaa !!

Mon sexe tressaute dans le vagin de Claire et je sens un plaisir intense comme jamais me traverser tandis qu'au même moment, je me vide en elle. Je sens au moins quatre grosses giclées de sperme se reprendre dans son vagin.

- Hmmmm... J'aime quand tu jouis en moi...

Quel bonheur de pouvoir jouir à l'intérieur de Claire. De pouvoir donner libre cour à mon plaisir et de me vider en elle. Je commence à trembler, fatigué par l'acte, et je m'effondre sur elle. La voilà allongée sur le ventre et moi allongée sur son dos. Je passe mes mains sous son buste et je lui pelote les seins. La respiration de Claire est encore sifflante et elle a du mal à parler.

- Tu as vraiment progressé Cyril ! Je pensais pas que je prendrais autant mon pied ce soir...
- Mais j'ai pas réussi à te faire jouir... dis-je un peu déçu.
- C'est pas grave ! Tu m'as donné beaucoup de plaisir et c'est l'essentiel. Si tu avais tenu un peu plus longtemps, je suis sûre que tu aurais pu.

Nous restons allongés encore un moment.

- On range ? propose-t-elle.

J'approuve et nous commençons à ranger le salon pour effacer toute trace de nos ébats. Claire va chercher des mouchoirs. Quand elle revient, je regarde ses deux seins qui se balancent à chacun de ses pas. Elle me sourit. Nous somme encore complètement nus. Claire se penche en avant pour essuyer le canapé, trempé de sa mouille. Se faisant, ses seins balancent dans le vide et ses fesses pointent vers moi. Je regarde une seconde ses fesses et en dessous sa petite chatte encore brillante de mouille. Il n'en faut pas plus pour que mon sexe durcisse à nouveau. Sans réfléchir, je pose mes mains sur les hanches de Claire et je donne un coup de rein pour rentrer mon sexe en elle, d'un seul coup. Je commence immédiatement un va et vient.

- Ah Cyril arrête ! Qu'est-ce que tu fais ?

Claire s'appuie avec ses mains sur le canapé pour garder l'équilibre. Mes mains à moi glissent le long de son corps et vienne attraper ses seins qui balancent dans le vide. Je le malaxe fort et je sens ses tétons durcir entre mes doigts.

- Cyril arrête ! Ouhhh... Cyril...

Claire commence à ressentir du plaisir, je le sais parce qu'elle gémit à nouveau comme tout à l'heure. Elle a changé légèrement la position de ses fesses pour que ça soit plus facile pour moi de la pénétrer et elle se laisse maintenant malaxer la poitrine. Alors je continue mes va et vient.

- Oh Cyril, elle est plus grosse que la dernière fois ? Continue c'est tellement bon !



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

C'est vrai que j'ai l'impression de me sentir plus à l'étroit à l'intérieur de Claire. A chaque coup de rein, mon gland vient buter contre le fond de son vagin. Ses gémissement sont redevenus fréquents et aigus.

- Ha han ! Ha han ! Encore, oh oui comme ça !

La même sensation que tout à l'heure s'empare de moi. Mais je suis tellement dans les vapes que je ne réalise même pas que je vais jouir. Je profite juste de l'instant. Mon sexe tressaute à nouveau et je me vide pour la deuxième fois à l'intérieur de Claire en poussant un cri de jouissance.Aussitôt, je sens mon sexe ramollir dans son vagin. Je me retire et je m'assois sur le canapé, en regardant mes pieds.

- Désolé... dis-je.

Pas de réponse. Mais je sens que Claire s'est assise à côté de moi. Avec sa langue, elle me caresse la joue. Je tourne la tête vers elle et elle m'embrasse goulûment. Quand nos lèvres s'écartent, elle me murmure.

- Merci pour ce soir. Tu sais, quand je t'ai dit d'arrêter tout à l'heure, c'est parce que j'étais surprise mais je ne le pensais pas.

Je la regarde et je vois un grand sourire gourmand éclairer son visage. Alors je lui souris aussi. Puis nous finissons de ranger le salon. Je dévore Claire des yeux, son corps nu dans la pénombre, ses seins généreux dont les tétons sont moins dressés que tout à l'heure. Sa poitrine est encore rougie tant je l'ai malaxée, de même que ses fesses qui ont beaucoup claquées quand je la prenais en levrette. Et s'aperçoit que je la fixe des yeux.

- Je vais me rhabiller parce que je voudrais pas que tu me sautes dessus encore une fois !

Je rougis...

- C'est une blague cousin ! T'es bête ! ajoute-t-elle en riant.

Une fois la salon rangé, nous ouvrons grand les fenêtres pour aérer et nous décidons de regarder un film. Il n'est pas encore très tard.


Le lendemain, je me réveille de très bonne humeur. Enfoncé dans mon lit, je repense aux événements de la veille. Quelle soirée ! Les souvenirs me reviennent et déclenchent mon érection du matin. Pour me calmer, je prends une douche ; je m'habille et je descends. Claire est en bas, entrain de siroter une tasse de café.

"- Comment va mon cousin ce matin ? demande-t-elle d'une voie enjouée.
- Très bien et toi ?
- Ma mère a laissé un sms. Ils vont prendre leur temps pour rentrer et ils arriveront vers 14h00. Ils auront déjà manger mais ma mère dit que tu vas devoir cuisiner pour nous deux !

Je vais jusqu'au frigo et je regarde ce qu'il reste à manger.

- Une omelette ce t'ira ? demandé-je.
- Très bien ! J'aime quand tu cuisines pour moi Cyril...

Nous mangeons notre petit-déjeuner en bavardant sans faire allusion aux événements de la veille. Puis Claire se lève et déclare :

- Bon ! Vu qu'ils sont pas là, si on se mettait à l'aise ?

Sur ces mots, ma cousine enlève son t-shirt très lentement en faisant exprès de ne pas croiser mon regard. Puis elle dégrafe son soutien-gorge qui tombe à ses pieds. La voilà torse nu avec un mini short. Je la regarde interloqué. Ses deux seins généreux, sont la devant moi. Ils restent ronds et fermes malgré l'absence de soutien gorge. Les tétons sont d'un joli rose pâle.

- Tu es tout rouge Cyril. Si ça te gêne de me voir comme ça dès le matin, je me rhabille !
- Non non c'est bon ! m'exclamé-je. Ça t'arrive souvent de te balader nue quand tes parents sont absents ?
- A ton avis ?
- Euh... Oui ?
- Bien sur que non idiot ! C'est juste parce que tu es là !

Elle m'adresse un sourire complice. Je tends la main vers son sein droit. Au dernier moment, elle recule.

- Ah non ! Pas le droit de toucher Cyril !

Une fois de plus, Claire joue avec moi. Et je dois me plier aux règles qu'elle a choisi. Elle se penche en avant pour ramasser ses vêtement puis elle les jette un peu plus loin sur le sol. Au moment ou elle se penche, ses seins commencent à bouger dans le vide puis ils s'entrechoquent quand elle se redresse. L'envie de malaxer sa poitrine devient très forte et je bande dur dans mon short.

La matinée est comme une longue torture. J'ai beaucoup de mal à regarder ma cousine dans les yeux. Mon regard descend inlassablement vers ses deux seins, s'attarde sur ses belles épaules, sur son ventre plat. J'aime ce buste piqué de tâches de rousseur et de quelques grains de beauté. Sa peau légèrement bronzée et ses cheveux blonds contrastent intensément avec son mini short en jean. Je ne peux pas m'empêcher de repenser à ce qui s'est passé hier soir, à mon sexe entrant et sortant de sa chatte en cadence. À ces petits cris de plaisir aussi.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Mon érection ne diminue pas. Claire fait semblant de ne pas la voir de même qu'elle fait semblant de ne pas avoir remarqué que je la dévore des yeux... Elle discute avec moi comme si de rien était sans se soucier de ses deux seins qui s'agitent à chacun de ses mouvements. J'enrage de ne pas pouvoir les prendre dans mes mains... À midi, je prépare le repas comme prévu. Je me place devant la poêle et je surveille la cuisson de l'omelette. Soudain, Claire qui se trouve derrière moi passe ses mains autour de mon cou et colle son torse contre mon dos. Je sens ses deux seins bien fermes appuyer contre mes omoplates. Je commence à tourner la tête vers elle.

- Non, dit-elle. Concentre toi sur ta cuisine.

J'imagine le sourire qu'elle doit avoir sur les lèvres. La torture continue. Claire descend sa main droite jusque sur mon short.

- Je te fais toujours autant d'effet à ce que je vois !
- Hum...
- Je vais te soulager un peu.

Sur ces mots, Claire passe sa main sous mon short et sous mon caleçon. Le contact de sa main froide contre mon sexe bouillant me fait frissonner. Elle le prend entre ses doigts et commence à le malaxer. Je garde les yeux rivés sur la poêle mais je profite de chaque sensation : les seins de Claire dans mon dos, ses doigts autour de mon sexe, les petits baisers qu'elle me dépose dans le cou. Le plaisir monte en moi et ma respiration s'accélère. Je ferme les yeux et je m'abandonne aux bons soins de ma cousine. J'attends d'atteindre le point de non retour et qu'elle me fasse jouir entre ses doigts. Elle s'arrête brusquement :

- Je crois que c'est cuit. Passons à table !

Les seins de Claire quittent mon dos et sa main sort doucement de mon short. C'est vrai que l'omelette est cuite... Nous mangeons tranquillement en parlant de choses et d'autres. Je ne quitte pas ma cousine des yeux mais mon sexe, après cette matinée épuisante pour lui, n'a même plus la force de bander et reste mou dans mon caleçon. Quand nous avons terminé, nous débarrassons la table et Claire va s'allonger sur la canapé, prétextant l'envie de faire une sieste. Je me tiens debout à côté d'elle. Sa poitrine s'étale sur son torse et se soulève au rythme de sa respiration, très calme. C'est sur ce même canapé que je l'ai prise pour la première fois il n'y a pas si longtemps. Elle était allongée comme ça. Et c'est ici qu'hier soir encore nous jouissions tous les deux... Je suis sur que Claire fait semblant de dormir et qu'elle sait très bien que je l'observe. Ça doit beaucoup l'amuser.

Un bruit de voiture qui s'approche m'arrache à mes réflexions. Ce sont nos parents respectifs qui viennent de rentrer. La voiture se gare dans le petite cour, le bruit des pneus contre le gravier fait un bruit caractéristique. Claire écarquille les yeux, pousse un petit cri de stupeur, devient toute rouge et court jusqu'à l'escalier qu'elle gravit à grands pas. Alors comme ça elle ne veut pas que ses parents la voient en si petite tenue ? Je rigole, bien content d'avoir eu comme une petite revanche. Ensuite, je m'installe sur le canapé, juste avant que les adultes n'entrent dans la maison. La clé tourne dans la serrure, la porte d'entrée s'ouvre. Je viens juste de remarquer que Claire, dans sa précipitation, a laissé ses vêtements sur le sol. Son haut et son soutif traînent négligemment pas très loin de les pieds...La porte d'entrée de la maison s'ouvre et j'entends les quatre adultes rentrer. J'essaye de prendre un air détendu, assis sur la canapé, mais mon cœur bat la chamade. Les voilà dans le salon. Ils me saluent et j'entame la conversation sur ce qu'ils ont fait la veille. Tout en discutant, je m'efforce de ne pas regarder le tas de vêtements de ma cousine qui gît sur le sol non loin du canapé de peur d'attirer leur attention dessus. Mais je sais bien qu'ils finiront par le voir tôt ou tard et alors, qui sait ce qu'ils diront... Mais non, les voilà tous les quatre qui changent de pièce. J'ai à peine le temps de me détendre que ma tante revient sur ses pas et me demande :

" Ou est Claire ?
-A l'étage, réponds-je

Soudain, ma tante aperçoit le tas de vêtements. Je regarde dans le même direction qu'elle en prenant un air surpris.

- Roh... C'est pas possible ! dit-elle. Claire descend tout de suite !

Ma cousine apparait dans l'escalier. D'abord ses jambes, puis sa taille et enfin son joli visage souriant. Je constate qu'elle est habillée cette fois !

- Oui maman ?
- Regarde ça ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Essaye d'être un peu plus organisée, surtout quand on a des invités à la maison...
- Pardon maman... Je ferai plus attention la prochaine fois... Tu viens Cyril ?

Claire ramasse ses vêtements et me fait signe de la suivre. Je monte à sa suite dans l'escalier. Je me retrouve dans le couloir familier qui mène à nos chambres respectives. J'ai l'impression d'être sur mon territoire et j'arrive enfin à me détendre. Claire m'invite à rentrer dans sa chambre et verrouille la porte derrière nous. Nous nous asseyons côte à côte sur son lit.

- Ah la gaffe ! s'exclame-t-elle en riant de bon cœur.
- Tu crois que ta mère a compris ?
- Non, pas de risque, j'ai tendance à laisser trainer mes affaires partout de toute façon.
- Ça me rassure...

Claire me fait un sourire que je lui rends.

- Au fait, dis-je, ça y est tu arrêtes de te balader nue dans toute la maison ?
- Ça ne serait pas très prudent... Mais tu as aimé ça, pas vrai ? dit-elle pour me taquiner.

Pour toute réponse, j'approche ma main de son décolleté. Au moment où je vais la glisser dedans, elle me repousse.

- Eh ! Pas touche cousin !

Je préfère ne pas insister. Mais à son sourire complice, je comprends très vite qu'elle n'est pas fâchée mais qu'elle continue juste à jouer avec moi, comme ce matin.

- Bon, dit Claire, on devrait redescendre et discuter un peu avec nos chers parents. Je passerai peut-être ye voir dans ta chambre ce soir...

Sur ces mots, nous retournons dans le salon du bas, où nous retrouvons les adultes.


Les adultes nous racontent en long, en large et en travers le déroulement de leur soirée. Je m’ennuie profondément mais je fais mine de m’y intéresser pour ne pas les vexer. Finalement, je décide d’aller à la piscine. Le temps de remonter dans ma chambre pour me changer et pour prendre une serviette et me voilà au bord de l’eau. Je me mets en maillot et je m’allonge quelques instants sur la chaise longue. Soudain, je reçois un sms de Marianne.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Marianne et moi discutons assez souvent par sms. Je ne pense pas que Claire soit au courant d’ailleurs… Quand je parle avec la jolie brune, je sens toujours chez elle cette espèce de timidité et de retenue qui la caractérise, comme si elle ne se lâchait pas complètement. Malgré tout ce qui s’est passé entre nous, elle alterne entre des moments où elle ose être un peu coquine et d’autres où elle est sur la défensive. Mais c’est aussi ce qui fait son charme.

Je suis assez surpris par la teneur du sms. Elle m’écrit « J’ai besoin de ton avis. Lequel tu préfères ? » suivi de deux photos d’elle, prises avec son téléphone devant un miroir, dans deux maillots de bains différents. Je regarde les deux photos pendant un long moment, moins intéressé par les maillots de bain que par la courbe gracieuse de la poitrine de Marianne qu’ils me permettent d’entrevoir. Je souris en repensant à cette matinée à la plage, il y a une semaine, où elle m’avait également demandé de choisir pour elle entre deux maillots de bain. Clairement, elle fait allusion à cette journée mais c’est surtout l’occasion pour moi de pouvoir contempler son corps et j’en suis ravi.

Je me rends compte que je bande et qu’une bosse s’est formée sur mon maillot. Alors je réponds en vitesse à Marianne et je me jette à l’eau. Je nage pendant un long moment puis, comme je commence à avoir trop froid, je sors, je fais quelques pompes sur le bord de la piscine puis je me sèche à la va vite et je remonte à la chambre. Je décide de prendre une douche. Dans la salle de bain, je me déshabille et je monte dans la baignoire. Mon sexe est devenu tout petit à cause de la piscine et ça m’amuse de le voir dans cet état. Je joue un peu avec lui, je le titille puis je me glisse sous le jet d’eau. La chaleur de la douche me fait un bien fou ! Quand je ressors, c’est déjà l’heure du diner.

Après manger, je monte dans ma chambre. Je lis comme souvent, tout en continuant ma conversation par sms avec Marianne. Puis, sur le coup des dix heures, je me couche et je m’endors assez vite. Mais je suis réveillé une heure plus tard par le bruit familier de quelqu’un qui gratte à ma porte. Les yeux tous embués de sommeil, j’allume ma lampe de chevet pendant que ma cousine entre dans ma chambre.


« - Claire… balbutié-je.

Elle pose son doigt sur ses lèvres pour me dire de me taire et me fait un sourire. Elle porte une nuisette blanche assez courte et avec un jolie décolleté. Je peux voir par transparence son soutien-gorge, blanc également. J’avais complètement oublié qu’elle avait dit qu’elle passerait me voir ce soir… Claire retire les couvertures sous lesquelles je me trouve. Je suis en caleçon. Toujours en me faisant signe de ne rien dire et de ne pas bouger, elle retire mon caleçon pour libérer mon sexe. Ses mains effleurent mes hanches et mes jambes pendant l’opération, me faisant frissonner. Claire se place debout au bord du lit, perpendiculairement à moi. Elle se penche en avant, m’offrant ainsi une vue imprenable sur son décolleté et attrape mon sexe du bout des doigts. Elle le malaxe et le caresse doucement. Celui-ci se gonfle et devient dur entre ses doigts tandis qu’une sensation de chaleur caractéristique m’envahit.

Mon sexe a maintenant atteint se taille maximale. Claire le prend à pleine main et commence de petits va-et-vient. Puis elle décalotte mon pénis, révélant mon gland rougi. Ses gestes sont doux et lents pour ne pas me faire mal mais au fur et à mesure, elle accélère le mouvement. Je profite de l’instant en regardant tantôt les doigts de Claire qui entourent mon sexe, tantôt son décolleté qui me laisse voir la courbure de ses seins et le grain de beauté qu’elle a entre les deux. Cette vision m’excite encore davantage. La pièce est à peine éclairée par la lampe de chevet qui crée une lumière tamisée et intime.

Ma cousine me procure un bien fou. La sensation de bien être enveloppe tout mon corps. Chaque va-et-vient sur mon sexe envoie un décharge de plaisir dans mes membres. Pendant qu’elle continue son travail, je tends ma main vers elle, je soulève légèrement le bas de sa nuisette et je m’y faufile. Mes doigts rentrent en contact directement avec ses grandes lèvres, elle ne porte pas de culotte… Un frisson me traverse. Claire aussi est surprise, je le sens parce que pendant un bref instant, elle arrête ses mouvements. Mais elle reprend de plus belle et j’en déduis que j’ai son accord pour explorer son intimité. Mes doigts caressent doucement ses lèvres. L’entre-jambe de Claire est chaud et je le sens devenir humide sous mes caresses. Un coup d’œil sur le visage de ma cousine me confirme qu’elle apprécie ce moment autant que moi.

De mon côté, je ferme les yeux pour profiter au maximum de toutes les sensations que je ressens. Ma main continue ses caresses sur la chatte de Claire qui se retrouve trempée de mouille et la sensation de chaleur autour de mon sexe devient très intense. Claire et moi ne disons rien mais nous continuons à nous faire du bien. Ma respiration devient très rapide, je ne vais plus tenir très longtemps. Je rouvre les yeux, Claire me fixe du regard. Elle sent que je suis à bout et elle s’applique sur les derniers va et vient en allant un peu plus doucement mais en descendant bien jusqu’à la base de mon pénis et en remontant jusqu’en haut. Le plaisir que je ressens est immense. Soudain je m’exclame « Ahhhh » tandis que je jouis en quatre grosses saccades qui retombe sur mon torse. Claire a retiré sa main, elle me fait un dernier sourire et quitte ma chambre, me laissant allongé sur mon lit, complètement vidé, les bras ballant, le sexe ramolli entres mes cuisses.362



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

C’était un moment irréel. Réveillé au beau milieu de la nuit, je n’avais pas vraiment compris ce qui m’arrivait. A tel point qui si mon torse n’était pas couvert de sperme, j’aurais pu croire que j’avais rêvé… Claire et moi avions partagé ce moment, nous nous étions donné du plaisir sans dire un mot et j’avais particulièrement apprécié de faire ça silencieusement, doucement… je me rendors vite, comme si rien ne m’avait jamais réveillé…

Le lendemain je me réveille très en forme. Sous la douche, je repense à ce qui s’est passé hier soir. Je me demande toujours si je n’ai pas rêvé. Le souvenir de la silhouette de Claire rentrant dans ma chambre pour me faire jouir doucement et repartant aussi vite me fait bander fort dès le matin. Si c’était un rêve, c’était un rêve très agréable !


Au petit déjeuner pourtant, mes parents me rappellent que nous repartons à la maison dès demain en début d’après-midi et mon moral redescend… J’avais complètement oublié je dois dire… Mais c’est évident que l’on ne pouvait pas rester ici pour toujours. Claire a l’air déçu elle aussi. Nous nous retrouvons dans sa chambre pour discuter.


"- Cet après-midi, il y a un goûter organisé au lycée pour les anciens élèves, dit-elle. Je pense que je vais y aller, tu m’accompagnes ?
- Tu crois qu’ils me laisseront rentrer ?
- Oui sans problème !
- Avec plaisir alors !

Aux alentours de 16h00, nous nous retrouvons donc dehors pour aller au lycée. Claire porte un chemisier blanc et une jupe jaune pale plutôt courte. Ses cheveux sont dénoués et elle a mis de petites boucles d’oreilles discrètes. Nous marchons quelques minutes jusqu’à l’arrêt de bus, puis après dix minutes de route, l’autocar nous dépose juste devant le lycée. Nous entrons.

- On dirait qu’il n’y a personne… fais-je remarquer.
-C’est parce qu’on est super en retard. C’est au deuxième étage dans le gymnase, suis moi !

Nous montons l’escalier de pierre. Claire passe devant et de ce fait, ma tête se retrouve juste au niveau de ses fesses. La jupe se froisse et se défroisse au rythme des mouvements de ma cousine, laissant deviner le galbe de ses fesses. Dans me position, j’essaye de voir en dessous mais sans succès… Arrivée au premier étage, ma cousine fait une pause et me regarde.

-Tu bandes ! dit elle en riant.

Je rougis. C’est vrai que mon sexe fait une bosse bien visible sur mon jeans.

-Euh… Oui, c’est toi… Enfin c’est ta jupe, euh...
-Et encore tu n’as rien vu ! je n’ai pas mis de culotte aujourd'hui !

Claire me fait un clin d’œil puis commence à relever tout doucement sa jupe comme pour me prouver qu’elle n’a pas menti. Je suis tout rouge et dans mon caleçon, mon sexe a atteint sa taille maximale. Soudain, des bruits de pas résonnent depuis le rez-de-chaussée.

-Quelqu’un vient ! fait Claire en m’attrapant par le bras. Par ici, vite !

Elle me pousse dans un casier qui se trouve contre le mur et referme la porte derrière nous. C’est le genre de casier qui, en temps normal, doit servir à ranger des affaires des cours. Il est juste assez haut pour que je puisse y tenir debout mais pas très large. Tellement peu large en fait que j’ai le dos collé contre le fond du casier et que Claire se retrouve face à moi, comprimée elle aussi. Sa poitrine s’écrase contre mon torse tandis que mon sexe toujours en érection vient appuyer contre son ventre. J’aime ce contact et je passe mes mains dans son dos pour qu’elle reste bien serrée contre moi. Le bruit de pas se rapproche. Claire et moi sommes tous rouges, nous nous regardons en silence.


Mon cœur bat fort. Je savoure le contact de la poitrine de Claire, écrasée contre mon torse. Il me prend l'envie de vérifier ce qu'elle m'a dit sur son absence de sous-vêtements. Mes mains glissent doucement sous sa jupe, remontent le longs de ses cuisses pour arriver jusqu'à ses fesses, douces et rondes. Effectivement, elle n'a pas de culotte... Je malaxe doucement ses deux fesses entre mes doigts, elles ne sont ni trop fermes ni trop molles, juste terriblement excitantes. D'ailleurs mon sexe est à l'étroit dans mon pantalon et forme une bosse qui vient buter contre le ventre de ma cousine. Claire a l'air de paniquer.

"-Qu'est ce que tu fais... murmure-t-elle. C'est pas le moment...
- C'est bon si on ne fait pas de bruit.

C'est vrai que j'en oublierais presque que nous nous sommes cachés dans un casier après avoir entendu un bruit dans l'escalier. D'ailleurs, les pas se rapprochent. Je malaxe les fesses de Claire de plus en plus fort. J'avoue que ça m'excite énormément de me dire que quelqu'un va passer juste devant nous sans nous voir et sans savoir ce que nous faisons. J'ai même envie d'aller plus loin ! En faisant glisser mes doigts, je trouve l'anus de Claire. Je le titille un peu, c'est la première fois que j'ai cette envie. Puis, sans prévenir, je rentre le bout de mon index à l'intérieur, sur quelques millimètres seulement. La tête de Claire part en arrière tandis qu'elle étouffe un petit cri de surprise. Elle gigote et me supplie du regard. Pour une fois, ce n'est pas elle qui s'amuse avec moi. La personne qui monte les escalier doit être juste à coté du casier maintenant et je sens que Claire a vraiment peur que nous soyons découverts. Moi aussi, les battements de mon cœur s'accélèrent.

Mais le bruit de pas s'éloigne. Je vois que Claire se détend. Alors je décide de continuer mon exploration avec le trou que je connais le mieux. Mes mains quittent les fesses de Claire. Avec la main droite, je repasse sous sa jupe, j'écarte doucement ses grandes lèvres et je commence à caresser sa petite fente qui mouille déjà un peu. Avec la gauche, je déboutonne mon jean et j'entreprends de libérer mon sexe qui se dresse vers la haut. En comprenant où je veux en venir, Claire colle ses lèvres contres les miennes et m'embrasse fougueusement. Puis, elle me murmure à l'oreille :

- Pas ici, je connais un endroit...

En continuant de caresser sa petite chatte, je sens qu'elle mouille de plus en plus. Alors je remonte mon jean tandis qu'elle remet sa jupe en place et nous ouvrons la porte du casier. Heureusement pour nous, le couloir est désert et Claire me prend par la main en me disant de la suivre. Nous rions bêtement et un peu fort, au risque de nous faire remarquer. Ma cousine s'arrête devant une salle de cours. Elle sort une petite clé, la tourne dans la serrure et la porte s'ouvre. Nous rentrons précipitamment puis elle ferme à double tour derrière nous. Elle me fait un grand sourire.

- Comment ça se fait que tu aies les clés ?
- J'étais déléguée des élèves l'année dernière alors j'avais un accès à la plupart des salles. Je devais profiter de la fête d'aujourd'hui pour rendre la clé, mais ça attendra !
- C'est une salle de quoi ?
- C'était mais salle d'anglais. Mais tu veux vraiment que je te raconte ma vie ou on est là pour autre chose ?

Elle me sourit et j'entreprends de me déshabiller. Elle fait de même et nous voilà pieds nus, moi en caleçon et elle avec seulement son soutien gorge, sa culotte étant restée chez elle dans un placard ! Je m'approche d'elle et je passe une main dans son dos pour dégrapher le soutien gorge qui tombe à nos pieds. Sa poitrine se dévoile dans toute sa splendeur. Je prends doucement son sein droit dans mes mains et je lèche le téton du bout de ma langue. Je sens Claire frissonner. Tandis que ma langue s'active, ma main droite redescend vers sa chatte et reprend ses caresses de tout à l'heure. Je sais que Claire prend du plaisir à sa respiration qui se fait de plus en plus saccadée. Puis je place ma tête entre ses deux seins, le temps de donner quelques petits coups de langue sur le grain de beauté que j'aime tant ! Enfin je me redresse.

Je regarde l'effet qu'ont eu mes caresses sur ma chère cousine. Son téton droit est rougi par mes coups de langue et sa chatte est brillante d'excitation. Elle a même l'air un peu déçue que j'en ai déjà fini. Mais le sourire qu'elle me lance, en baissant mon caleçon, est radieux. Elle semble hésiter un moment sur le traitement à faire subir à mon sexe. Puis, après quelques secondes de réflexion, elle le décalotte délicatement, dévoilant mon gland gonflé et rougi de désir, puis entame de doux va-et-vient du bout des doigts. Je me laisse aller à ses caresses en fermant les yeux. Quand je les réouvre, mon pénis est plus dur que jamais.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

- Tu veux commencer comment aujourd'hui ? demande Claire. Je te laisse choisir.
- Tu peux te mettre face au mur s'il te plait ?

Claire sourit en comprenant où je veux en venir puis elle se positionne face au mur de la salle, à côté du tableau. Elle se tient au mur avec ses mains et se penche légèrement en avant pour faire ressortir ses fesses. Je me place derrière elle. Mon cœur accélère d'un seul coup comme si je venais de réaliser. Nous sommes nus dans une salle de classe et je m'apprête à prendre Claire. Mon gland rentre en contact avec la chatte de ma cousine que je sens frissonner. Je fait glisser mon sexe dans le vagin de Claire, il y rentre centimètre par centimètre. Puis quand je suis complètement à l'intérieur d'elle, je pose mes mains sur ses hanches et je commence des va-et-vient.

C'est la première fois que Claire et moi nous baisons en plein jour. Et je crois que c'est encore mieux. Dans la lumière je peux admirer chaque détail de son corps. Ses hanches et son dos qui vibrent à chaque coup de rein, sa nuque, ses cheveux blonds, la couleur de sa peau. Tout le spectacle se son corps s'offre à moi dans la lumière du soleil. Mais déjà je panique. Comme à chaque fois, Claire m'intimide et j'ai peur de ne pas la satisfaire. Alors je fais n'importe quoi. Dès son premier soupir de plaisir, la machine s'emballe et je perds le contrôle. Mes mouvements de bassin sont beaucoup trop rapides et imprécis, leur rythme est chaotique. Et j'ai l'impression d'être déjà sur le point de jouir. Dans un effort surhumain, je retire mon sexe et je prends de grandes inspirations pour me calmer.

- Tu vas y arriver, me dit Claire. C'est très bien pour l'instant. Essaye juste de rester bien régulier.

Les encouragements me font chaud au cœur et je me remets en position. Cette fois, je suis calme. Mon sexe rentre d'un seul coup et très facilement dans la chatte de ma cousine. Je pose à nouveau les mains sur ses hanches et je reprends mon rythme. A chaque mouvement, mon bassin claque contre les fesses de Claire qui deviennent rouges. Des décharges de plaisir me traversent tout le corps. Plusieurs fois, je ralentis pour ne pas jouir trop vite.

- Ahhhh...

Claire pousse un premier gémissement. Elle soupire de plaisir depuis un moment déjà mais c'est son premier gémissement et c'est déjà une victoire pour moi. Ca veux dire qu'elle prend son pied autant que moi et aussi, ça veut dire que je progresse et je suis assez fier !

- Ahhhh Cyril c'est vraiment bon là...

Sa voix est légèrement plus aiguë que d'habitude. Mais je vois qu'elle se force à gémir à voix basse. Il ne faudrait pas oublier que nous sommes au lycée et qu'on pourrait nous surprendre... En tout cas je tiens le bon bout. Claire gigote et bouge ses fessés d'avant en arrière pour accentuer la pénétration. Mais je ralentis mes mouvements pour faire durer son plaisir et le mien. Je fixe des yeux le dos de Claire. Il est lisse, légèrement bronzé, piqué ça et là de petits grains de beauté. La marque légère de sa colonne vertébrale descend gracieusement jusqu'à ses fesses qui n'en finissent plus de claque contre mon ventre au rythme de mes va-et-vient. Ma cousine, toujours en appui contre le mur, est cambrée de plaisir. Et j'ai presque du mal à croire que c'est moi qui lui fait autant de bien. Mon plaisir à moi est de plus en plus intense et mon sexe est bouillant. J'ai l'impression que je vais jouir d'une seconde à l'autre mais je fais tout ce que je peux pour me retenir. Mes mains remontent sur les côtes de Claire puis j'attrape ses seins par en dessous. Je les sers entres mes doigts et je m'appuie sur eux pour stabiliser mes mouvements. La tête de Claire part légèrement en arrière puis tout son buste tandis qu'elle se redresse. Avec mes mains toujours sur sa poitrine, je la tire vers moi. Dans cette position, j'ai plus de mal à maintenir mon rythme mais les pénétrations sont plus profondes et encore plus agréables. J'en profite pour malaxer les deux seins de Claire.

- Ahh !

Cette fois c'est moi qui lâche un petit cri de plaisir. J'ai atteint ma limite, si je continue ne serait-ce qu'un peu, je vais jouir. Mon corps tout entier est enveloppé d'une douce chaleur et mes muscles sont tendus dans l'attente de l'éjaculation. Mais non, je ne veux pas déjà jouir ! Je retire mon sexe du vagin de Claire et je libère se poitrine de l'emprise de mes mains. Et se tourne vers moi mais avant qu'elle puisse dire quoi que ce soit, je la pousse contre le mur et je l'embrasse comme jamais. Nos lèvres fusionnent et mes mains caressent ses joues et ses cheveux avec tout la tendresse dont je suis capable.

- Pourquoi tu t'es arrêté ? demande-t-elle avec un air gourmand.
- C'était bien ? demandé-je sans répondre à sa question.
- Tu progresses Cyril, ça c'est sur ! Si on était à la maison, crois moi j'aurais crié beaucoup plus fort !

Je suis vraiment flatté par les compliments que me fait la cousine. C'est la première fois que j'ai le sentiment qu'elle a pris autant de plaisir que moi.

- Tu veux qu'on continue comment ? demandé-je.

Claire regarde autour d'elle et je vois son regard s'allumer d'une lueur malicieuse comme si elle venait d'avoir une idée.

- Suis moi ! dit-elle.

Elle m'amène au fond de la salle et s'allonge sur un des bureaux. Je lui lance un regard interrogateur.

- C'est sur ce bureau que j'ai eu cours toute l'année.

Claire passe ses mains sous sa tête et s'en sert comme d'un oreiller ce qui a pour effet de révéler ses jolies aisselles et de faire s'étaler sa poitrine sur son buste. Ma cousine est toute frissonnante.

- Claire, tu trembles.
- Si tu savais comme ça m'excite de le faire ici ! Y a un mois j'étais assise ici en cours d'anglais et maintenant je vais me faire prendre dans mon lycée, dans ma salle, sur mon bureau ! Je peux plus attendre Cyril !
- Tes tétons pointent vraiment beaucoup...

Disant cela, elle positionne l'entrée de sa chatte bien au bord du bureau et elle écarte les cuisses. Ca petit dialogue, de même que la vue de Claire complètement offerte, a remis mon sexe en état de marche. Je n'avais jamais vu ma cousine comme ça ! Elle tremble d'excitation comme si elle allait réaliser un fantasme à tel point que j'ai peur de la décevoir...



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

- Donne tout ce que t'as Cyril s'il te plait...

À ces mots, je m'engouffre entre ses jambes. Mon sexe rentre dans son vagin mais j'ai l'impression d'être plus à l'étroit.

- Oh Cyril ! Elle est plus grosse que la dernière fois !

Une fois complètement à l'intérieur d'elle, je me penche en avant, je pose une main de chaque côté du bureau pour me stabiliser et je commence des mouvements de bassin d'avant en arrière. Tout de suite, la sensation de chaleur et de plaisir caractéristique commence à irradier depuis mon sexe jusque à tous les membres de mon corps. À chaque coup de reins, je frissonne. J'imprime à mes mouvement un rythme lent et aussi régulier que possible pour profiter de chaque aller-retour dans l'intimité de ma cousine.

- Mhhhh continue...

Claire m'encourage par de petits gémissements. Parfois, elle me demande d'accélérer mais j'essaye de rester au même rythme pour ne pas perdre le contrôle. Je soulève une de ses jambes que je place en équilibre sur mon épaule ce qui a pour effet de changer légèrement l'angle de la pénétration pour le plus grand plaisir de Claire.

- Comme ça... T'arrête surtout pas !

Claire est toute rouge. Elle a vraiment l'air de prendre son pied. Ses seins ballottent de haut en bas au rythme de mes mouvement et m'excitent terriblement. D'une main, elle commence à caresser son clitoris en même temps que je la pénètre ce qui a l'air de lui faire encore plus de bien. Elle fronce les sourcils et se mordille les lèvres sous l'effet du plaisir tout en soupirant. Tout son corps est moite et brillant de transpiration, ses tétons pointent tellement fort qu'on dirait qu'ils vont exploser.

- Baise moi ! Baise moi !

Claire se rend compte qu'elle a crié beaucoup trop fort. Elle rougit encore un peu plus et elle pose sa main sur sa bouche comme pour étouffer les sons qui pourraient en sortir. Je fais descendre sa jambe de mon épaule puis j'empoigne ses deux seins, un dans chaque main. Je les malaxe fort. Ma voix, plus grave que d'habitude, et la sienne, plus aiguë, se mélangent tandis que que nous crions ensemble notre plaisir.

- Ahhhhh !

Les seins de Claire deviennent rouges sous mes doigts. J'ai peur de lui faire mal mais au contraire, elle en redemande. Je m'applique particulièrement dans mes mouvements. A chaque coup de rein, mon sexe sort presque entièrement du vagin de Claire pour le pénétrer à nouveau d'un seul coup, le plus profondément et le plus intensément possible. J'ai du mal à tenir debout mais je donne tout ce que j'ai pour Claire. Je la regarde droit dans les yeux mais elle ne me regarde pas. Elle a les yeux fermés comme pour profiter au maximum de l'instant. Quand soudain, elle est prise de violents tremblements. Tout son corps tremble des pieds à la tête pendant de longues secondes, ses grands yeux bleus-verts s'ouvrent d'un seul coup et fixent le vide. Tout son dos se cambre et sa tête part en arrière. Elle ouvre la bouche :

- Je jouis Cyril, au mon Dieu je jouis !!

Puis elle retombe sur le bureau comme une poupée, complètement vidée de son énergie par l'intensité de l'orgasme. Mon sexe rentre en elle et ressort deux ou trois fois jusqu'à ce qu'à mon tour, je laisse échapper un cri de plaisir et, retirant mon penis à la dernière seconde, je jouis sur le ventre de Claire comme je n'avais encore jamais joui. Cinq ou six rafales de spermes se déversent sur le ventre de ma cousine. À chacun d'elle, une onde de plaisir tellement intense me traverse que j'ai l'impression que je vais tomber. Nous restons comme ça plusieurs secondes sans rien dire, à reprendre notre souffle. Nos respirations sont sifflantes, la poitrine de Claire se soulève au rythme de ses inspirations.

- C'est malin, on a rien pour essuyer maintenant... murmure Claire avec un sourire malicieux.

Je regarde mon sperme sur son ventre. J'ai vraiment joui énormément... Sans lui répondre, je commence à étaler ma semence sur le corps de ma cousine avec mes mains. Sur son ventre et sur ses jolis seins que j'enduis de partout. Tout le buste de Claire est brillant. Quand j'ai fini, je m'allonge doucement sur elle, profitant du contact de ses tétons sur mon torse et je l'embrasse fougueusement...Claire et moi nous nous embrassons longuement. Quand je me relève enfin, mon sexe pend mollement entre mes jambes. Ma cousine est toujours allongée sur le bureau, sa poitrine s'étale sur son buste, son souffle ne s'est toujours pas calmé. Elle est incroyablement belle. J'ai envie d'elle, j'aimerais le prendre à nouveau, la faire jouir comme tout à l'heure mais j'ai déjà tout donné et je n'ai même plus la force de bander... Je me remémore avec délice ses cris de plaisir. Pour la première fois, nous avons vraiment joui à deux. Pour la première fois, j'ai réussi à lui donner autant de plaisir qu'elle m'en avait donné les autres fois ! Et je suis assez fier de moi. Je tend la main à Claire pour l'aider à se relever. Elle est toute frissonnante, comme si elle avait encore du mal à se remettre de son orgasme. Je la prends dans mes bras pour la soutenir. Nos corps nus se soudent, ses seins viennent s'écraser contre mon torse et elle enfouit sa tête dans mes cheveux. Quand elle reprend ses esprits, elle me sourit et dit : "Rentrons".

Nous nous rhabillons en silence mais je dévore ma cousine des yeux. Je ne me lasse pas du spectacle de son corps nu. Au moment où elle se penche pour ramasser ses vêtement qui gisent sur les sol, ses deux seins balancent dans le vide. J'ai comme un début d'érection et je comprends que je suis presque prête à repartir pour un tour. Mais pour l'heure, nous devons quitter le lycée et le plus discrètement possible. Une fois nos vêtement enfilés, nous sortons de la salle de classe sans prendre la peine de nettoyer les traces de nos ébats qui demeurent ici et là. Claire referme la porte à clef et je la suis dans l'escalier. Nous sortons enfin du bâtiment sans avoir croiser personne. Il est un peu moins de 18 heures et la fête doit toujours battre son plein la haut. Respirer l'air frais du dehors me fait le plus grand bien et me calme un peu. Nous marchons vers l'arrêt de bus Claire et moi sans dire un mot. J'ai pourtant très envie de lui demander ce qu'elle a pensé de notre petite session. Nous n'avons pas à attendre le bus très longtemps. Il n'est pas très plein et nous prenons deux places assises, au fond, un peu à l'écart. Nous avons bien besoin d'une douche... Le trajet me parait durer une éternité. Quand finalement nous atteignons notre point d'arrivée, nous descendons et marchons jusqu'à la maison.

Une fois arrivés, nous adressons quelques mots à nos parents respectifs qui discutent dans le salon. Puis nous montons à l'étage. Je me sens parfaitement détendu. Après cette expédition risquée en terre inconnue et toutes ces péripéties, ça me fait un bien fou de retrouver ce couloir que je connais bien. J'ai l'impression d'y être chez moi, comme en sécurité. Claire m'invite à la suivre dans sa chambre. Dès qu'elle a fermé la porte, comme si elle se sentait soulagée elle aussi, elle soupire et se met à parler.


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

"- Ah, ça fait du bien de rentrer chez soi !
- Tu l'as dit !
- Quelle aventure ! Je suis épuisée.

En disant cela, elle commence à retirer ses vêtement qu'elle pose sur la chaise et son bureau.

- Tu te mets à l'aise ? Demandé-je amusé et très heureux de la voir à nouveau en sous vêtements.
- C'est ça ! Fais pareil si tu veux.

Je ne me fais pas prier et je me mets tout nu pendant qu'elle retire sa culotte et son soutien gorge. Je m'assois sur le canapé-lit tandis que Claire reste debout devant moi. En voyant son superbe corps se dévoiler à moi pour la deuxième fois aujourd'hui, mon pénis se redresse d'une manière bien visible.

- Oh Cyril je vois que tu as encore de l'énergie...
- Excuse moi... bredouillé-je.
- Laisse moi faire ! dit elle.

Elle s'accroupit devant moi et pose sa main sur mon sexe. Elle commence un lent va et vient. Dans cette position, j'ai une superbe vue sur le haut de sa poitrine. Le contact de sa main froide sur mon sexe bouillant me fait un bien fou. Mais je décide de faire comme si de rien n'était et je continue la conversation sur un ton que j'espère naturel.

- Ca faisait longtemps que tu voulais le faire au lycée ?
- Qu'est-ce qui te fait croire que je voulais le faire au lycée ? répond-elle avec un air amusé.
- Bah, vu comme tu réagissais, ça avait l'air d'être un sacré fantasme.
- Ahah tu n'as pas tord ! Tu trouves ça bizarre ?
- De se faire prendre sur son bureau, dans sa salle de classe ? À ta place ça m'aurait excité aussi je pense.

Tout en discutant, Claire à continué ses vas-et-vient, lents et réguliers. Notre conversation m'excite au plus haut point et je sens mon sexe grossir entre ses doigts. Mon gland rougi picote un peu et de petites décharges de plaisir commencent à me traverser.

- C'était bien ? finis-je par demander.
- C'était génial ! Sincèrement Cyril, ça faisait longtemps que je n'avais pas joui aussi fort. Dommage qu'on ait pas été dans un lieu désert, j'aurais vraiment aimé pouvoir crié plus.

Pendant qu'elle raconte tout ça, sa main s'est crispé autour de mon pénis et elle a accéléré le rythme de ses mouvements.

- Tu sais que tu t'es vraiment amélioré ! ajoute-t-elle.
- C'est grâce à toi...
- Et un peu grâce à Marianne aussi.

Des images de Marianne me reviennent en tête, de nos ébats dans la chambre et je rougis devant Claire qui rigole. Au même moment, mon sexe arrive au bout de sa résistance. Le plaisir et les picotements à chaque aller-retour des doigts de Claire sur mon sexe sont de plus en plus faire.

- Je vais bientôt jouir... préviens-je Claire dans un souffle.

Elle oriente alors mon pénis vers ses seins tout en accélérant la cadence.
Je ne tiens plus et je jouis en lâchant un petit cri : "Ahh". Mais pas une goutte de sperme ne sort de mon sexe.

- Oh mon pauvre Cyril, dit-elle, on dirait que tu as trop joui tout à l'heure ! Tu es à complètement à sec. Ca me donne des idées... Bon, si on allait prendre une douche maintenant ?"

Et c'est le sexe en émoi que je suis la cousine dans la salle de bain.



Tous nus, nous rentrons dans la salle de bain et ma cousine verrouille la porte.

« - Les dames d’abord ! dis-je en désignant la baignoire.

Claire monte dedans et au moment ou elle enjambe le rebord, je peux apercevoir sa petite chatte qui me fait décidément toujours très envie ! Claire ouvre le robinet et je la rejoins sous le jet d’eau. La chaleur de la douche est délicieuse, toute cette vapeur me détend et j’en oublie presque le corps nu de ma cousine tout près de moi.

- Si tu me lavais Cyril ?
- Euh… maintenant ?
- A ton avis ? répond-elle en ricanant.

Alors j’oriente le jet d’eau vers Claire pour qu’elle soit bien mouillée de partout et je commence à la savonner. Je me mets derrière elle et avec la paume de mes mains je lui savonne le dos doucement.

- Et dire que je rentre à la maison demain… murmuré-je avec lassitude.
- Ouais… même les meilleures choses ont une fin… Tu vas me manquer Cyril ! répond-elle sur le même ton. En même temps, on a bien profité de notre dernière journée ensemble, pas vrai ?
- Oui c’est vrai, c’était cool ! dis-je avec un sourire.
- C’est drôle, je t’ai demandé de me savonner mais tu es entrain de me faire un massage. C’est plus fort que toi…

Je rougis. Elle a raison, inconsciemment mes mains se sont posées sur ses épaules pour les masser.

- Oh désolé…
- Mais non, continue ! Tu sais bien que j’adore ça !
- Ca nous rappelle les premiers jours des vacances…
- Ouais ! répond-elle. Ca me parait bien loin déjà…

Je libère ses épaules et je descends un peu mes mains pour m’attarder sur ses omoplates. Puis je continue toujours plus bas. J’effleure au passage ses côtes du bout des doigts. Avec le savon, sa peau est incroyablement douce. Enfin, je lui masse le bas du dos, juste au dessus des fesses en prenant garde à ne pas toucher celles-ci. Toujours positionné derrière elle, je l’entoure de mes bras et avec mes mains je caresse son ventre et ses seins pour les enduire de savon. Puis j’en prends un dans chacune de mes paumes et je les malaxe doucement. Je les pousse tantôt vers le haut, tantôt l’un contre l’autre en appréciant leur fermeté. La respiration de Claire s’accélère un peu et je sens ses tétons durcir légèrement. Quant à moi, mon sexe se redresse et vient frotter contre les fesses de Claire. Ma cousine ne dit rien.

Je m’accroupis alors derrière elle pour avoir mon visage au niveau de ses fesses. J’y dépose des petits baisers tandis qu’avec mes mains je caresse ses cuisses.

- Cyril ?
- Oui ?
- Tu te rappelles de ce que je t’ai dit tout à l’heure ? Qu’on avait bien profité de notre dernière journée ?
- Oui c’était vraiment une super journée ! dis-je avec enthousiasme.
- Ben… Je pense qu’on a peut-être pas profité assez finalement… murmure-t-elle.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Ce que je veux dire c’est que… euh… j’aimerais bien te sentir en moi encore une fois… Si tu veux bien…



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Disant cela, elle écarte davantage les jambes et se penche un peu vers l’avant. Elle m’offre ainsi une vue imprenable sur sa chatte, à quelques centimètres de mon visage. Je décide d’essayer quelque chose de nouveau. J’attrape ses jambes avec mes mains pour me stabiliser et j’approche mon visage de sa fente. Du bout de ma langue, je passe sur ses petites lèvres. Le corps de Claire est parcouru d’un grand frisson, comme si elle était surprise. Mais elle écarte les jambes encore plus et je déduis que j’ai son accord pour continuer. Avec ma langue, je parcours la chatte de Claire sur toute sa longueur. Assez vite, je sens ma cousine se tortiller sous mes coups de langue. Elle pousse même de petits soupirs quand je m’aventure plus loin et plus profondément.

Mon sexe est en ébullition. Je me relève, je pose mes mains sur les hanches de Claire et je lui murmure à l’oreille :

- Tu es prêtes ?
- Je suis à toi… répond-elle en se penchant en avant, tout en se tenant au mur avec ses mains.

J’approche mon sexe de la chatte de Claire. Mon gland tellement gonflé qu’il me fait presque mal. Cependant, il rentre sans difficulté à l’intérieur de ma cousine. Petit à petit, c’est tout mon pénis qui s’enfile dans son vagin. Je commence à bouger. Au premier mouvement, Claire commence à gémir doucement. J’ai l’impression de sentir son vagin se contracter autour de mon sexe, plus fortement que d’habitude. Je crois qu’elle est encore très sensible à cause, ou grâce, à l’après-midi qu’elle vient de passer. C’est l’occasion pour moi de la faire jouir à nouveau…

J’essaye de faire remonter mes doigts depuis ses hanches jusqu’à ses seins mais le corps de ma cousine est encore partiellement couvert de savon si bien que mes mains glissent sur sa peau. Le jet d’eau continue de couler à côté de nous, étouffant le bruit de nos mouvements et les gémissements de ma cousine.

- Han han ! Continue c’est… han… c’est trop bon !

Claire se laisse aller au plaisir et gémit de plus en plus fort. Je sens tout son corps frissonner sous mes doigts. Mon bassin claque en cadence contre ses jolies fesses, à chacun de mes coups de rein. Je n’ai qu’une envie, c’est de la faire jouir encore une fois, comme tout à l’heure au lycée.

- Han Cyril ! Plus fort, plus fort !!

J’attrape ses hanches plus fermement et j’essaye de pénétrer plus profondément encore à chaque coup de rein. A chaque mouvement, mon gland vient buter contre le fond de son vagin, lui arrachant des petits cris de plaisir. Moi aussi je cris. Je ne m’en rendais pas compte jusqu’à maintenant mais je pousse des gémissements. C’est comme si mon pénis allait exploser. Chaque mouvement me fait un bien fou.

- Ahh ! Ahhhhhh !

Claire essaye de bouger d’avant en arrière pour accentuer la pénétration. Ses seins balancent dans tous les sens et font des petits bruits en s’entrechoquant. Elle passe une main sous son ventre et commence à se masser le clitoris, d’abord doucement puis de plus en plus énergiquement. Son plaisir a l’air d’augmenter encore. Claire se contorsionne et tourne la tête un peut vers moi. Nos regards se croisent.

- Oh Cyril, prends moi ! Fais-moi jouir par pitié ! crie-t-elle.

Je la fixe droit dans les yeux et je ne détourne pas le regard. Elle non plus. J’ai envie de tout donner pour elle. Ses yeux bleus verts sont écarquillés, sa bouche grande ouverte, elle a l’air dans un état second. Nos cris de plaisirs se mélangent et remplissent la pièce.

- Oh oui !! répète-t-elle
- Ah Claire !!

Le plaisir est tellement intense ! Je sens que je ne vais plus pouvoir tenir. Ma cousine a l’air prête à jouir elle aussi. Le regard toujours plongé dans le sien, je décide de tout donner dans un dernier assaut. Je mets toutes les forces qu’il me reste dans ces derniers coups de reins. Mon sexe rentre et sort de la chatte de Claire à une vitesse folle. Soudain, une explosion de plaisir dans mon sexe me paralyse. Au même moment, Claire frissonne et ouvre la bouche encore plus grande. Nous crions comme jamais !

- Cyril je vais jouir ! Non, je jouis !!!
- Ah Claire tu es trop bonne ! Ahhh !

Claire et moi nous jouissons au même moment, en nous regardant droit dans les yeux comme pour ne pas perdre une miette du plaisir de l’autre. Nos corps se mettent à trembler d’une manière incontrôlable. C’était encore plus fort que toute à l’heure au lycée. C’était mille fois meilleur. Nous nous effondrons, terrassés par l’orgasme.374


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

Claire et moi nous nous effondrons. Notre respiration est sifflante. Quand je reprends mes esprits, je sors délicatement mon pénis du vagin de ma cousine. Je lui passe la main dans les cheveux mais elle est recroquevillée, les yeux fermés, toute frissonnante. Pas en état de me parler. Quant à moi, je suis complètement vidé de mes forces ; je coupe le jet d’eau de la douche, je m’assois en tailleur à l’autre bout de la baignoire et je ferme les yeux.


Je crois que j’ai du m’assoupir quelques minutes. Quand je rouvre les yeux, Claire est penchée sur moi, les épaules et la poitrine en avant dans une pause des plus lascives. Elle me fait un petit sourire et m’embrasse fougueusement. Je passe ma main gauche dans son dos et avec ma main droite, je caresse ses seins moelleux. Notre baiser dure un bon moment. Enfin, ma cousine se blottit contre moi et murmure :


- Tu m’as donné beaucoup de plaisir Cyril tu sais… Cet après-midi déjà mais là c’était encore mieux. J’ai cru que j’allais devenir folle.
- Tu as joui, pas vrai ?
- J’ai joui comme jamais… C’est grâce à toi, merci…
- Tu sais Claire, toi aussi tu m’as donné du plaisir. Tu m’as fait découvrir des choses inimaginables.


Nous nous embrassons à nouveau. Puis nous sortons de la douche, nous nous séchons et c’est complètement nus dans le couloir que nous nous séparons pour rejoindre nos chambres respectives. Quant vient l’heure du repas du soir, nous descendons ensemble. Pour ce dernier repas en famille, la conversation est animée et l’ambiance est bonne. Mais je ne peux m’empêcher de penser que demain nous ne serons plus là. Nous partirons tôt, pour arriver à destination dans l’après-midi. Il nous faut traverser toute la France pour rejoindre Orange…


Arrive l’heure d’aller au lit. Claire et moi sommes épuisés par la journée intense que nous venons de vivre. Je me glisse dans mon lit et je m’endors presque immédiatement. Le lendemain, je suis réveillé par la sensation d’une main qui me caresse les cheveux. Ma cousine se tient debout devant mon lit, entièrement nue.


- Ta mère m’a demandé de te réveiller, dit-elle. Il est 7h00.
- Tu es très belle… murmuré-je en me redressant.
Elle sourit. J’approche ma main de son sein gauche mais Claire me repousse gentimment.
- Pas maintenant, Cyril. Il faut vraiment que l’on rejoigne les adultes en bas. Ils prennent déjà le petit-déjeuner.


Claire tourne les talons et quittent ma chambre. Je la regarde s’éloigner. Son dos, ses jolies fesses qui se dandinent achèvent de me faire bander. Mais c’est résigné que je me douche et que je m’habille, en vitesse, avant de rejoindre les autres. Une heure plus tard, les valises sont dans le coffre de la voiture et tout le monde fait la bise à tout le monde dans la petite cour en gravier à l’extérieur de la maison.


- On se reverra vite Cyril, j’espère ! me glisse malicieusement ma cousine à l’oreille au moment des adieux.
- J’espère aussi…


Je monte dans la voiture. Celle-ci démarre. Un dernier regard en arrière. Nous sommes déjà partis…
SAISON 2 :


Je m’appelle Cyril. J’ai les cheveux bruns, les yeux vert, 18 ans et j’ai passé mon bac cette année, avec succès puisque j’ai obtenu la mention Bien. J’ai passé les deux premières semaines du mois d’Août chez ma cousine Claire, en Bretagne. Elle m’a fait découvrir de nombreuses choses. J’ai aussi rencontré son amie Marianne, une fille timide mais charmante… Mais tout ça vous le savez déjà !


Pour l’instant, nous sommes dans la voiture et nous allons à vive allure sur l’autoroute qui nous ramène chez-nous. Nous habitons à Orange, dans le Sud de la France. Autant dire que le trajet est long depuis la Bretagne et même si ça fait plusieurs heures que nous roulons, nous sommes encore loin d’être arrivés. Mon père conduit, ma mère dort et moi, à l’arrière, je lis pour passer le temps. Les vacances arrivent tout doucement à leur terme. Reste la fin du mois d’Août avant la reprise des cours, début Septembre. Je vais en fac de Droit à la rentrée prochaine, mais j’aurai l’occasion de vous en reparler.


- Il est midi et demi, dit mon père. Qui a faim ?
-Moi… réponds-je avec lassitude.
- Déjà midi et demi ? s’étonne ma mère en ouvrant les yeux.
- On s’arrêtera sur la prochaine aire de repos.


La voiture bifurque donc pour rentrer dans ce qui ressemble à un petit parc ombragé à côté de l’autoroute. Nous nous garons sur un emplacement libre et sortons. Je suis bien heureux de pouvoir enfin me dégourdir les jambes et faire quelques étirements. Nous nous asseyons sur une petite table à pique-nique, un peu à l’écart. Il fait particulièrement chaud aujourd’hui et le grand arbre au dessus de nos têtes qui nous fait de l’ombre est particulièrement bien venu ! Nous savourons les sandwichs préparés pour nous par mon oncle et ma tante. Après avoir bien mangé et bu ma petite bouteille d’eau, je déclare :


- Je vais aux toilettes…



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

Les toilettes en question se trouvent, comme par hasard, à l’autre bout de l’aire de repos. C’est donc d’un pas rapide que je traverse les étendus d’herbe et de goudron qui me sépare du bâtiment des toilettes que j’aperçois au loin. En route, je rattrape deux jeunes filles qui marchent côte à côte, dans la même direction que moi. Elles ont toutes les deux les cheveux bruns et des vêtements légers puisque, j’ai déjà dû vous le dire, il fait très chaud. La fille de droite porte un débardeur noir et une jupe bleue assez courte, la fille de gauche à un débardeur blanc et une jupe presque identique à celle de sa camarade. Elles ont l’air très jolies, en tout cas c’est l’impression que j’ai en les voyant de dos.


Je calque mon allure sur la leur pour ne pas les dépasser et je marche donc à quelques mètres derrière elles. Je suis trop loin pour entendre ce qu’elles se disent mais leurs éclats de rire me parviennent aux oreilles. Mon regard se pose sur leurs jambes fines et remonte jusqu’à leurs fesses dont j’essaye de deviner la forme à travers le tissu.

Brusquement, un grand coup de vent secoue les arbres et soulève les deux jupes. Les jeunes filles ont le reflexe de les rabattre avec leurs mains mais trop tard : de là ou je suis, je n’ai pas perdu une miette du spectacle. La petite culotte de la demoiselle de droite et surtout, l’absence de culotte de celle de gauche. Pendant une seconde, j’ai aperçu ses jolies fesses qui avaient l’air bien fermes. Elles se retournent pour voir si quelqu’un avait été témoin de la scène. Nos regards se croisent. Elles se ressemblent énormément, des sœurs, surement des jumelles ; à peines plus âgées que moi je pense. Elles sont rouges de honte. Je suis un peu rouge moi aussi mais je leur fait un demi sourire. Elles accélèrent le pas et s’éloignent, surement un peu contrariées.


J’atteins les toilettes et je m’y engouffre. Puis, une fois fini, je retourne vers mes parents. Sur le chemin, je ne peux m’empêcher de penser que la fille au débardeur noir devait ignorer que sa sœur ne portait pas de culotte. Elle devait donc penser qu’elles avaient été vues en sous-vêtements mais pas plus… C’est un peu comme un secret partagé entre cette jolie inconnue et moi.377


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

J’atteins les toilettes et je m’y engouffre. Puis, une fois fini, je retourne vers mes parents. Sur le chemin, je ne peux m’empêcher de penser que la fille au débardeur noir devait ignorer que sa sœur ne portait pas de culotte. Elle devait donc penser qu’elles avaient été vues en sous-vêtements mais pas plus… C’est un peu comme un secret partagé entre cette jolie inconnue et moi.



Avant de remonter dans la voiture, nous profitons encore quelques minutes, mes parents et moi, de l’air presque pur et, assis à notre table, nous discutons joyeusement. Puis nous nous dirigeons vers le parking. Mon père et ma mère monte dans la voiture et alors que je m’apprête à faire de même, j’aperçois les jumelles à quelques mètres seulement, accompagnée d’une dame qui doit être leur mère, occupée à ranger des sacs dans le coffre de son auto. Mon regard croise celui de la fille aux si jolies fesses. Je la reconnais à la couleur de son débardeur. Elle a un petit geste de recul puis, à ma grande surprise, elle s’approche de moi. Quant elle arrive tout prêt, elle me dit à voix basse :


- Tu n’as rien vu pas vrai ?
- Euh… non… rien du tout…
- Je suis rassurée alors !


Elle me fait un clin d’œil puis tourne les talons. Quant à moi, je monte dans la voiture et mon père démarre. C’est reparti pour des heures de route…


- Tu la connaissais cette fille ? demande ma mère.
- Pas vraiment…
- Elle est mignonne en tout cas… Dis Cyril, quand est-ce que tu nous présenteras une petite copine ?
- Ne l’embête pas ! intervient mon père en rigolant.
- Oui, ne m’embête pas… ajouté-je.

Et nous roulons encore et encore. En regardant par la fenêtre, je vois défiler à toute allure des paysages de campagnes, des champs de maïs ou de blé. Mon père a allumé la radio puis l’a éteinte. Moi, j’ai fini mon livre et je m’ennuis… Le téléphone portable de ma mère sonne. Elle décroche et je l’entends discuter d’un ton enjoué avec la personne à l’autre bout du fil.


- C’était Justine ! annonce-t-elle une fois sa conversation terminée. Elle nous confirme qu’elle arrivera à la maison demain.


Justine, c’est ma sœur. Je vous ai déjà parlé d’elle il y a longtemps. Fine, brune, aujourd’hui elle a 21 ans. Elle a fait une classe prépa avant d’intégrer une école de commerce à Marseille. Elle vit dans un petit appartement étudiant, pas très grand mais pratique d’après ce qu’elle en dit. Probablement pas un truc très cher même si mes parents ont une bonne situation. Comme ses études lui ont pris beaucoup de temps durant l’année, elle n’est pas revenue souvent à la maison. Et elle ne nous a pas accompagné non plus en Bretagne parce qu’elle a préféré rester à Marseille pour travailler à mi-temps comme caissière dans un magasin et se faire un peu d’argent. Pour profiter de ses amies aussi j’imagine. Je peux la comprendre, elle ne se serait probablement pas amusée autant que moi si elle était venue avec nous. Bref, tout ça pour dire que nous ne nous étions pas vu depuis longtemps et que ça me faisait plaisir de la revoir.



Finalement, en fin d’après midi, nous arrivons à la maison. Ca fait du bien de retrouver son chez-soi après un long moment d’absence et une si longue route. Nous habitons au 4ème étage d’un petit immeuble du quartier résidentiel. J’aide à monter les valises puis je file dans ma chambre que je retrouve dans l’état où je l’avais laissée : bien rangée comme d’habitude. Je remets mes affaires de voyage à leur place puis je prends une douche pour me détendre. Après un repas du soir frugal, je me couche et je m’endors rapidement.


Quand je me réveille le lendemain, ma mère est déjà sur le pont depuis longtemps, à laver le linge sale et à repasser le linge propre. Je mange mon petit déjeuner en vitesse.


-A quelle heure arrive Justine ? demandé-je.
- Aux alentours de midi, pour le repas. Tiens Cyril, viens m’aider à faire le lit de ta sœur, je vais lui mettre des draps propres.


Je suis donc ma mère dans la chambre de ma sœur, voisine de la mienne. Chacun d’un côté du lit, nous installons les draps et la couverture.


- Je vais finir tout seul si tu veux, dis-je à ma mère.
- Merci, je retourne à mon linge alors.


Une fois seul dans la chambre, je mets en place l’oreiller et le traversin, je donne la touche finale en arrangeant les draps et le lit est parfait. J’ouvre la fenêtre pour aérer puis par curiosité, je jette un coup d’œil dans le placard de ma sœur. Celui-ci est plutôt vide. Normal, elle a dû emporter la plupart de ses affaires dans son appartement à Marseille. Dans un des compartiments, je découvre ses sous-vêtements. Des culottes et des soutifs assortis, plutôt sobres. Je me souviens qu’il y a quelques années en arrière, je m’introduisais parfois en douce dans sa chambre pour regarder les sous-vêtements. Je referme le placard et je retourne dans ma chambre.

Aux alentours de midi, ma sœur finit par arriver. C’est un grand plaisir de revoir la famille au complet, autour du repas. Et ce n’était pas arrivé depuis un bon moment maintenant. Ma sœur est égale à elle-même, très souriante, agréable à regarder avec son corps de jolie jeune fille de 21 ans qui, autrefois, ne me laissait pas indifférent. Nous prolongeons le repas par un café puis je retourne dans ma chambre alors que Justine reste discuter avec mes parents.


Je m’allonge sur mon lit et le café ne m’empêche pas de faire une petite sieste. J’avoue que même si nous sommes rentrés depuis hier à peine, je m’ennuie déjà. La torpeur de la maison contraste avec les événements des dernières semaines. J’aimerais bien sortir avec des amis pour me distraire mais la plupart d’entre eux sont indisponibles. Soudain, on frappe à ma porte.
Soudain, on frappe à ma porte. Ma sœur entre et s’assoit sur le lit près de moi. Elle porte un t-shirt blanc avec un décolleté assez important et vu que je suis allongé, elle incline légèrement le buste pour me parler ce qui m’offre une vue très appréciable sur le haut de ses petits seins et sur la vallée qui les sépare.


- Alors Cyril, bien passées ses vacances en Bretagne ?
- Oui, c’était sympa !
- Tu as passé mon bonjour à Claire ?
- Euh… bafouillé-je en rougissant. Je crois bien que j’ai oublié…
- Pffff, on ne peut pas te faire confiance, pas vrai ? répond-elle avec un sourire qui prouve qu’elle n’est pas vraiment fâchée.
- Comment ça se passe à Marseille ? demandé-je pour changer de sujet.
- Pas trop mal ! Les exams de fin d’année, c’est dans la poche et puis bosser au magasin ça me permet de me faire un peu de sous. J’ai pris quelques jours de congé pour revenir vous voir mais je ne vais pas tarder à devoir y retourner. Et toi alors ? Avec les filles, ça avance ?
- Pas trop… dis-je évasivement avec un petit geste de la main pour montrer que je n’ai pas très envie d’aborder le sujet. Et toi Justine, tu es toujours avec ton copain ?
- Oui, toujours avec Thibaut ! Ca va faire deux ans et demi maintenant alors c’est du sérieux ! répond-elle en souriant avec enthousiasme.
- Vous allez bientôt habiter ensemble alors ! dis-je en plaisantant.
- Ca serait déjà fait si Papa et Maman ne me payaient pas un appartement aussi petit ! répond-elle sur le même ton.
Elle rit. Je souris moi aussi en essayant de le regarder dans les yeux même si mon regard redescend inlassablement vers le décolleté.
- C’est vrai que les rares fois où je l’ai vu à la maison, vous aviez l’air de bien vous entendre !
- Oui, et je sais que tu as bien vu ! ajoute-t-elle énigmatiquement.
- Quoi ?
- Laisse tomber. Bon… Je m’étais réservé un chambre dans hôtel avec spa pour la nuit de Lundi à Mardi prochain. Mais avec mon emploi du temps au magasin, je ne vais pas pouvoir y aller. Alors je me suis dit que tu pourrais t’y rendre à ma place. Enfin, si tu es d’accord !
- Waouh c’est génial merci sœurette !
- Contente que ça ta plaise ! J’ai déjà vu avec Papa, c’est lui qui t’emmènera en voiture.


Bien, bien ! Il semblerait que j’ai finalement trouvé une occupation pour ces prochains jours ! Une nuit à l’hôtel, tranquille, ça va être sympa !


Le jour J arrive enfin. Justine est retournée à Marseille avant-hier déjà. Me voilà dans la voiture avec mon père qui me conduit jusqu’au fameux hôtel. J’ai hâte d’y être. Après une bonne demi-heure de route, nous atteignons notre destination. Mon père me souhaite une bonne journée et me donne rendez-vous pour demain à 11 heures. Je descends de la voiture qui démarre et disparait au loin.


Je suis agréablement surpris par l’hôtel, ma sœur ne s’est pas moquée de moi. Il se trouve à l’entrée d’un petit village tranquille, la façade est belle, moderne. Je rentre dans le hall et j’annonce à l’hôtesse d’accueil que j’ai une réservation. Elle me remet les clefs, tout se passe pour le mieux. En me dirigeant vers l’ascenseur, je note le bar-restaurant de l’hôtel avec une salle à l’intérieur qui se prolonge par une terrasse où quelques clients finissent leur repas. Il est maintenant 14 heures.