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En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Version imprimable

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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

J’arrive dans ma chambre qui est très jolie. A droite de l’entrée, une pièce qui fait toilettes et salle de bain. En face du lit, un meuble à tiroirs avec une petite télévision dessus. Quelques tableaux aux murs. Le tout baigné dans la lumière du jour qui pénètre grâce à une grande fenêtre au fond de la pièce. Fenêtre qui donne sur la piscine. Je pose sur le sol mon sac à dos où j’ai entreposé mes affaires de voyage, j’enlève mes chaussures et je m’allonge sur le lit. Le matelas est confortable, j’en profite pour faire une sieste. Je regarde un moment la télé puis vers 16h30, je décide d’aller boire quelque chose à la terrasse du restaurant.


Visiblement je ne suis pas le seul à avoir eu cette idée parce que la terrasse est noire de monde. Je trouve cependant une petite table à laquelle je m’assois. Deux serveurs s’activent pour apporter leurs commandes aux clients. Un homme, et une fille que je remarque tout de suite. Elle est grande, fine et élancée un peu comme une mannequin. Elle a les cheveux bruns et des traits de visage assez doux ainsi qu’un beau sourire quand elle répond aux clients. Et pourtant, il me semble qu’elle a l’air triste.


- Puis-je prendre votre commande ?


Je sors de ma rêverie. Zut ! C’est le serveur qui va s’occuper de moi et pas la fille… Je commande un chocolat chaud et un gâteau qui me sont apportés assez rapidement, accompagnés d’une serviette en papier et d’un prospectus qui vante les nombreuses qualités de l’hôtel. Je lis la liste des services proposés : salon de massage, piscine extérieure, piscine couverte, sauna et j’en passe. Une fois mon goûter terminé et la note réglée, je décide d’aller faire un tour dans le village pour passer le temps. Dans une boutique de souvenirs, j’achète un cadeau que j’offrirai à ma sœur pour la remercier.

De retour à l’hôtel, je décide de profiter un peu des infrastructures. J’enfile mon maillot de bain et je me rends à la piscine où je reste un bon moment, tantôt à faire des longueurs, tantôt à me reposer sur les transats. Il est un peu tard pour bronzer malheureusement. Puis je vais dans le salon de massage attenant et c’est donc très détendu que je remonte à ma chambre pour finir de me sécher les cheveux et pour me préparer pour le repas du soir. Je me sens vraiment bien ici, très calme et très à l’aise. Un peu avant 20 heures, je rejoins le restaurant. Un bref coup d’œil me suffit pour voir que la jolie brune de tout à l’heure assure le service en salle avec un collègue tandis que deux autres serveurs s’occupent de la terrasse. Comme vous vous en doutez, je décide donc de manger à l’intérieur !

Je m’installe à une table et, par bonheur, la belle brune s’approche de moi pour me donner la carte du restaurant et me proposer une boisson. Elle porte un mini short en jeans qui met en valeur ses jambes fines et un débardeur gris. Ses cheveux bruns qui tombent dans son dos, sa petite poitrine, son visage que je peux enfin voir de près : j’aime tout chez elle. Je lui fais mon plus beau sourire pour commander une carafe d’eau et un bœuf bourguignon. Quand elle revient avec mon assiette, je la remercie plus que de raison. Elle me fait un beau sourire et pourtant, j’ai la même impression que tout à l’heure. Comme si elle était triste… Je savoure la nourriture mais en fin de repas, un événement vient troubler ma quiétude. En débarrassant mon assiette, ma jolie serveuse donne un coup dans mon verre d’eau qui tombe et s’explose par terre en m’arrosant copieusement.


Aussitôt, son collègue vient à son secours et essaye de me sécher avec des serviettes en papier tandis que, ne sachant quoi faire, elle répète : « je suis désolée, je suis désolée ». La situation est un peu embarrassante vu que tous les clients nous regardent mais ce n’est pas dramatique non plus ! Le serveur s’excuse platement à son tour et m’offre un dessert gratuit que je mange en vitesse avant de remonter dans ma chambre dans le but de me changer et de mettre des vêtements secs. Mais voilà que, arrivé devant la porte de ma chambre, je ne trouve plus la clé pour l’ouvrir. En partant tout à l’heure, j’ai dû la laisser à l’intérieur…


- Soirée de merde ! pensé-je.


Je file à l’accueil pour demander un double des clés. La réceptionniste consulte ses dossiers sur l’ordinateur, me regarde suspicieusement de haut en bas pour finir par dire :


- La réservation a été effectuée au nom d’une certaine Justine.
- Oui, c’est ma sœur…
- Et où est-elle votre sœur ?
- Chez moi, enfin non, elle est repartie à Marseille… Mais qu’est ce que ça peut bien faire ?
- Et bien la réservation n’est pas à votre nom… Je ne sais pas si je peux vous donner les clés.
Et j’entame une longue négociation avec cette dame qui finit par appeler sa responsable, celle qui m’avait accueilli à mon arrivée ce matin, pour qu’enfin je puisse obtenir un double des clés et rentrer à ma chambre.


- Soirée de merde !


Il est presque 21h30. J’ai bien envie de tester le sauna ce soir. Je ressors de ma chambre et je suis les panneaux pour m’orienter. Un escalier me conduit au sous-sol. Le sol et les murs sont couverts de carrelage vert foncé, l’air est humide : je sens que je me rapproche. Je traverse un dédale de vestiaires et de petites pièces avec des jacuzzis jusqu’à, finalement, atteindre mon objectif. Je me déshabille et pose mes affaires dans un casier prévu à cette effet puis je me drape dans une grande serviette blanche et je rentre dans le sauna. Il y fait moins chaud que ce que j’aurais cru mais la première chose que je remarque est le panneau « fermeture à 22h00 ». Je m’assieds sur le long banc en bois, bien décidé à profiter des quelques minutes qu’il me reste… Je ferme les yeux.
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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-01-2021

Un bruit me réveille en sursaut. Décidemment, c’est une vraie manie chez moi de m’endormir dès que je ferme les yeux… La porte du sauna s’est ouverte, une silhouette avance vers moi.


- Je suis désolé Monsieur, le sauna ferme à 22h00, dit une voix de femme.


C’est surement un membre du personnel de l’hôtel. L’heure de la fermeture est passée. Je reprends mes esprits et je lève les yeux pour voir qui me parle. Surprise, c’est la jolie serveuse du restaurant !
Elle me reconnait. Normal, elle m’a quand même renversé un verre d’eau sur la figure!


- Oh c’est toi ! dit-elle, visiblement gênée. Désolée pour tout à l’heure…
- Pas de souci, réponds-je, surpris moi aussi. Mais qu’est-ce que tu fais là dans cette tenue ? demandé-je en m’apercevant qu’elle est enroulée dans une serviette blanche comme la mienne et non pas dans son uniforme de serveuse.
- Les membres du personnel ont un accès privé aux installations après la fermeture ! Alors je suis venue profiter du sauna !
- Je comprends… Je vais te laisser alors, dis-je avec regret.
- Ecoute, c’est bon, tu peux rester. Ca sera ma façon de me faire pardonner pour tout à l’heure !
- Ouah, c’est cool ! Merci… euh…
- Charlotte !
- Merci Charlotte. Moi c’est Cyril !
- Tu peux te retourner une seconde, le temps que je m’installe ? demande-t-elle en s’approchant du banc en bois.


Je m’exécute et lui fais dos tout en regardant mes pieds. Je devine aux bruits que j’entends qu’elle pose sa serviette sur le banc et qu’elle s’allonge dessus. J’avoue que l’envie est grande de me retourner mais j’attends son signal.


- C’est bon ! s’exclame-t-elle.


Je la trouve allongée sur le ventre sur sa serviette, elle se sert de ses mains comme d’un oreiller pour poser sa tête. Logiquement, son dos, ses fesses et l’arrière de ses cuisses sont nues… Je détourne immédiatement le regard, pas question de passer pour un mateur !


- Par contre, il va falloir que tu fermes les yeux le temps que je m’allonge moi aussi, dis-je


Elle me fait un signe affirmatif et ferme donc les yeux. Je me découvre de ma serviette que je pose sur le banc, en face de la jolie Charlotte. Profitant qu’elle ne puisse pas me voir, je glisse un coup d’œil vers ses petites fesses ce que déclenche chez moi un début d’érection. Après tout, je suis complètement nu dans un sauna, seul avec une belle jeune fille qui a les yeux fermés et qui me laisse sans le savoir tout le loisir de la contempler. Je grimpe sur le banc et dans l’opération, mon sexe un peu gonflé passe à quelques dizaines de centimètres de son visage. « Heureusement qu’elle a les yeux fermés » ,pensé-je. Je m’allonge donc sur le ventre, en face d’elle et je lui donne le signal. Ses yeux s’ouvrent. Nos visages sont très proches et je peux en admirer tous les traits.Elle a de grands yeux marrons surmontés de sourcils fins, des cheveux bruns, longs et lisses. Elle me fait un large sourire de toutes ses dents blanches. Je me réjouis de la chance que j’ai. C’était inespéré de tomber nez à nez avec elle comme ça ! Et en plus elle est sympa ! Que demander de plus ?


- Dis moi Charlotte, tu bosses ici depuis longtemps ?
- Non. Enfin depuis le début des vacances d’été. Pour payer mes études et faire des petites économies à côté, tu vois. Et toi, tu es là en touriste ?
- Ouais on peut dire ça ! Mais je rentre chez moi, à Orange, dès demain midi.
- Ca va tu habites pas très loin. Moi je viens de Paris !
- Cool ! Et alors, tu fais quoi comme études ?
- Je voudrais devenir prof.
- Prof de maths ?
- Non ! dit-elle en rigolant. Prof dans une école primaire. Maitresse d’école quoi !
- Oh… ça te va bien, dis-je. Tu as l’air très douce alors tu dois savoir t’y prendre avec les enfants.


Elle me remercie pour ce compliment et nous discutons comme ça pendant de longues minutes. Je suis surpris de trouver dans cette fille quelqu’un de profondément gentil et d’ouvert. J’apprends que la belle a 21 ans, qu’elle aime lire, qu’elle aime les fleurs, que étant petite elle rêvait de devenir mannequin mais qu’elle était beaucoup trop timide pour ça. Le courant passe vraiment bien entre nous, du moins c’est l’impression que j’ai. Alors que survient un blanc dans la conversation, elle soupire et je vois dans ses yeux cette lueur de tristesse que j’avais remarquée plus tôt dans la journée.


- En fait… commence-t-elle. C’est pas vraiment pour payer mes études ni pour mettre de l’argent de côté que je suis venu ici. Il fallait que je quitte Paris et que je change un peu d’air, que je m’occupe.
- Il s’est passé quelque chose ? demandé-je, inquiété par sa mine sombre.
- Tu vas peut-être trouver ça bête…


Je l’encourage du regard à poursuivre. Alors les yeux baissés, parfois larmoyants, elle me raconte comment elle a rencontré son ex-petit copain, les premiers temps de leur relation, les premières disputes jusqu’à ce qu’il la quitte pour une autre quelques mois auparavant. Elle m’explique comment cette rupture l’a anéantie, comment elle s’est isolée, éloignée de ses amies et de sa famille. Jusqu’à ce qu’elle décide de reprendre sa vie en main et qu’elle vienne travailler à l’hôtel pendant les vacances pour se changer les idées. Quand elle a fini, elle pousse un long soupir.


- Pfffffff… Je n’avais encore jamais pu me confier à quelqu’un… Ca fait un bien fou je me sens plus légère…
- Si ça a pu te soulager te parler alors je suis content, dis-je.
Elle me répond par un sourire radieux.
- Ca te dirait d’aller à la piscine maintenant ? enchaine-t-elle. Il commence à faire chaud et puis de toute façon, il ne faut pas rester trop longtemps dans un sauna !
- Bonne idée, je te suis ! réponds-je en me levant.


J’en oublie un détail : je suis nue comme un ver. Charlotte rougit et détourne pudiquement la tête en rigolant. Puis elle se lève à son tour et me fait signe de la suivre. Nous quittons le sauna. Je marche quelques pas derrière elle et, silencieusement, elle me guide à travers le dédale de couloirs. Nus dans cet endroit désert… J’admire la courbe de son dos, l’empreinte de sa colonne vertébrale qui descend harmonieusement jusqu’au début de ses jolies fesses. Plus bas, ses jambes fines de mannequin. Mon sexe commence à durcir et à se redresser. Merde ! Qu’est ce qu’elle va penser si elle se retourne maintenant ? J’essaye de penser à autre chose ce qui, croyez moi, est très difficile ! Mon sexe finit par retrouver sa taille normale, juste à temps. Nous arrivons en face d’une porte en verre, verrouillée. Charlotte rentre un code à 4 chiffres dans un petit boitier et la porte s’ouvre.


- Voilà la piscine ! dit-elle en tournant la tête vers moi. Par contre, je ne peux pas allumer la lumière, même avec le code.


La piscine est plutôt grande pour une piscine d’hôtel en intérieur. Et surtout, un des côtés de la pièce donne sur l’extérieur par une grande baie vitrée qui nous offre une vue sur un petit jardin plongé dans l’obscurité et surtout, qui laisse passer la lumière de la lune grâce à laquelle nous arrivons à voir où nous mettons les pieds. Toujours dos à moi, Charlotte s’avance, s’assoit au bord, les pieds dans l’eau puis se jette complètement dans un grand bruit d’éclaboussures. Elle fait quelques mouvements de brasse pour s’éloigner du bord puis se retourne vers moi :




Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-01-2021

- Viens vite ! L’eau est bonne !
- Tu as pied ?
- Oui, ce n’est pas très profond.


L’eau lui arrive quand même juste au dessus de la poitrine si bien que je ne peux pas voir ses seins… En revanche, elle a tout le loisir de voir mon pénis. Je décide de ne pas m’en soucier je la rejoins dans l’eau. L’eau est fraiche, très agréable après la chaleur du sauna. Voilà Charlotte qui commence à faire des longueurs en brasse. Je nage doucement derrière elle, profitant de la vue qu’elle m’offre sur son corps. A chaque mouvement de ses jambes, je crois pouvoir deviner ses grandes lèvres dans l’eau. Je ressens en moi grandir l’envie de poser mes mains sur ce corps si beau. De la caresser, d’y poser mes lèvres. Mais je suis interrompu dans mes pensées par la bataille d’eau qui commence. Charlotte rie de bon cœur, elle a vraiment l’air heureuse en ce moment. Après avoir reçu de l’eau dans les yeux, je dois battre en retraite et je remonte sur le bord. Elle me rejoint. Au moment où elle se hisse à son tour sur le bord et où elle sort de l’eau, elle a vraiment l’air d’une sirène. Elle ne cache plus l’avant de son corps, de l’eau ruissèle le long de ses cheveux, glisse sur sa poitrine, sur son ventre plat. Sa petite chatte est parfaitement épilée, ses seins sont comme je l’imaginais : petits et bien ronds, avec des tétons un peu foncés.


Elle s’approche de moi. Nous sommes face à face, entre le bord de la piscine et la baie vitrée. La lumière de la lune semble beaucoup plus forte maintenant que nos yeux se sont habitués à l’obscurité et baigne e la scène dans une lueur bleuâtre, soulignant tous les reliefs de nos corps.


- C’est malin… dis-je. Maintenant j’ai froid.
Charlotte pose ses deux mains à plat sur mon torse :
- Laisse-moi te réchauffer alors…

Charlotte pose ses mains à plat sur mon torse. Elle me jette un regard, semble hésiter un peu puis doucement, elle fait glisser ses mains vers le bas. Elle s’agenouille. Sa bouche est au niveau de mon bassin. Elle me regarde en contre-plongée et je lis dans ses yeux un mélange d’inquiétude et d’excitation. De dessus, j’aperçois nettement ses tétons qui pointent au bout de ses petit seins. A cause de l’eau froide de la piscine, mon sexe n’a jamais été aussi petit. Soudain, elle le prend en bouche entièrement. Un grand frisson me parcourt le dos. Je reste debout, immobile les bras le long du corps, sans trop comprendre se qui m’arrive. Je sens mon sexe commencer à gonfler lentement. Charlotte fait des cercles autour de mon sexe avec sa langue. Je sens mon pénis s’allonger, gonfler, devenir trop gros pour tenir dans la bouche de ma partenaire. Elle s’arrête un moment, libère mon pénis, le regarde comme pour en évaluer la taille puis elle le décalotte entièrement. Je bande au maximum mais je n’ose toujours pas bouger. Charlotte prend mon gland en bouche et sa langue se remet à tourbillonner autour. Je ne sens plus du tout le froid. Au contraire, une douce chaleur commence à m’envelopper. Charlotte s’active sur mon sexe avec de plus en plus d’énergie avec des grands mouvements de tête d’avant en arrière. Avec sa main droite, elle tripote mes testicule, elle les caresse, tire dessus parfois ce qui a pour effet d’envoyer des vagues de plaisir dans tout mon corps. Les fourmillements dans mon ventre sont de plus en plus intenses. Mais je ne veux pas jouir tout de suite, pas avant de lui avoir rendu la pareille.


Je pose doucement mes mains sur ses épaules pour qu’elle s’arrête et je lui demande de se coucher sur le dos. Je m’agenouille alors face à elle et je positionne ses jambes sur chacune de mes épaules. Je me retrouve la tête entre ses cuisses, sa petite chatte épilée juste au niveau de ma bouche. Doucement, avec ma langue, je commence à lécher les petites lèvres de Charlotte. Ma langue fait des allers-retours de haut en bas. La belle brune ne reste pas insensible à se traitement, elle commence à caresser ses seins avec ses mains, à les malaxer dans tous les sens. Sa respiration s’est accélérée. Du bout de ma langue, je m’attarde sur son clitoris gonflé de plaisir. Charlotte pousse de petits gémissements maintenant, à peine audibles mais bien réels. Du bout des doigts, elle caresse ses tétons qui pointent plus que jamais. Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.


Je retire ses jambes de mes épaules et j’approche mon sexe de sa fente. Je l’interroge du regard. Pour toute réponse, elle prend mon pénis dans sa main et le guide à l’entrée de sa grotte. Je donne un léger coup de bassin vers l’avant et mon gland pénètre à l’intérieur. Puis bientôt, mon pénis tout entier remplit le vagin de Charlotte. Je suis assez serré, la sensation est délicieuse. Je commence un va et vient d’abord lent mais qui s’accélère. Ma brune s’agite, gigote sous l’effet du plaisir. Elle gémit de plus en plus fort : « Han, han ! Vas-y continue »


Sous ses encouragements, je m’efforce de garder la cadence tout en enfonçant au maximum mon sexe dans son orifice. Le visage de Charlotte est rouge de plaisir. Avec une main, elle caresse son clitoris en même temps que je la pénètre. Soudain, son vagin se contracte autour de mon pénis, tout son corps se met à trembler. Elle pousse un dernier cri, plus fort que les autres : « Ahhhhhhhhh ! ». Elle retombe lourdement, épuisée par son orgasme. Je me retire, le sexe toujours dressé et je m’allonge doucement sur elle pour pouvoir prendre ses seins entre mes mains et lui mordiller les tétons du bout des dents. Après quelques minutes, la respiration de Charlotte s’est calmée.


- C’est à ton tour de jouir, Cyril… me murmure-t-elle à l’oreille.


A sa demande, je m’allonge sur le dos. Le contact entre ma peau et le carrelage froid du bord de la piscine me fait frissonner et a pour effet de raidir ma bite qui commençait à ramollir. Charlotte se positionne au dessus de moi, un genou de chaque côté de mon bassin. Avec sa main, elle guide mon sexe à l’intérieur d’elle et s’empale dessus. Puis elle commence à bouger ses fesses tout doucement. Dans cette position, c’est elle qui mène la danse. Les pénétrations sont profondes et mon sexe, plus dur que jamais trésaille de plaisir. Charlotte me chevauche avec de plus en plus de vigueur. Je vois à l’expression de son visage qu’elle apprécie ce moment autant que moi. Tout la scène est baignée dans le halo bleuté de la lune. La lumière rasant me permet d’observer touts les détails du corps de ma partenaire. La grain de sa peau sans imperfection, ses seins petits mais bien fermes et ronds, ses tétons tous durs qui pointent. Elle a les yeux fermés et savoure chaque mouvement de ses fesses autour de mon sexe. Je pose mes mains sur ses deux seins, je les malaxe fort, je les pousse vers le haut. J’adore leur forme, leur texture. Je les pétris doucement et fermement à la fois


- Ah Charlotte, tu es si bonne ! dis-je.
- Pour moi aussi c’est trop bon… répond-elle toujours les yeux fermés.


Je place mes mains sur ses cotes et j’accompagne le mouvement de son corps. De haut en bas. A chaque mouvement, une décharge de plaisir se déverse dans tout mon corps. Les fourmillements caractéristiques apparaissent dans mon bas ventre. Je n’ai plus qu’une envie : c’est de jouir. Je pose mes mains sur les faces de Charlotte. Et j’amplifie ses mouvements en la faisant monter plus haut et descendre plus vite sur mon sexe. Elle s’empale de plus en plus fort sur mon pénis ; mon plaisir est à son
paroxysme.


- Ah Cyril ! Ahhh !
L’entendre crier ainsi décuple mes sensations.
- Ah Charlotte, je vais jouir !


A ses mots, Charlotte se retire, empoigne mon pénis gonflé dans sa main droite et commence à me masturber avec une grande douceur. Les mouvements son amples, sa main vient taper contre mes testicules à chaque fois. Il suffit de quelques allers-retours pour que je me vide enfin, avec un cri de jouissance…


- Ahhhhhhh !


Je suis dans un étant second tandis que mon sexe expulse quatre grosses saccades de sperme qui retombent sur mon torse.
Nous restons allongés sur le sol de la piscine pendant plusieurs minutes avant d’aller, toujours un peu tremblants, nous laver dans les douches de la piscine. Je propose à Charlotte de passer la nuit dans ma chambre. Là, sur le lit, nous avons fait l’amour encore une fois avant de nous endormir blottis l’un contre l’autre…


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-01-2021

Quand je me réveille le lendemain, Charlotte n’est plus là. Elle a probablement du se lever tôt et descendre au restaurant pour assurer le service. Je me douche, je m’habille et je descends donc prendre mon petit déjeuner. Je m’assieds à une table et Charlotte vient prendre ma commande. Elle me demande si j’ai bien dormi, repart, puis revient quelques minutes plus tard avec un café et des croissants. Tout en mangeant, je l’observe courir de table en table pour s’occuper des différents clients du restaurant. Quand j’ai fini de manger, la jolie brune revient vers moi, arborant sur son visage une mine un peu trop sérieuse.


- Cyril… Est-ce qu’on n’aurait pas fait une bêtise tous les deux ?
- ….
- Je veux dire… On s’est laissé porter par les circonstances mais peut-être aussi qu’on est allé un peu loin…
- C’est surement vrai. Mais en même temps je ne regrette rien.
- Non moi non plus au fond je ne regrette pas. Tu sais, hier, toi et moi, c’était super….
- Alors c’est ici que nos routes se séparent, dis-je après un moment de silence.
- Bonne chance Cyril.
- Toi aussi Charlotte.


Sur ces paroles, je quitte le restaurant. Comme convenu, je retrouve mon père en fin de matinée. Il me ramène à la maison. Je ne suis pas trop d’humeur à discuter avec lui mais j’essaye de faire bonne figure malgré tout. Ainsi s’achève cette parenthèse du week-end. L’air de rien, la rentrée à la fac approche à grand pas !



Bon. Comme je vous l’avais expliqué il y a un moment, cette année, je rentre en fac de droit. Je vais à Montpellier. Du coup il a fallu gérer tout un tas de problèmes et notamment la location d’un appartement pour moi vu que j’habite à Orange. Comme on s’y est pris très en retard, on a trouvé un apart beaucoup trop grand pour moi, assez loin de la fac et avec un loyer pas donné. Mes parents m’ont donc suggéré de trouver une collocation une fois que je serai sur place. On verra tout ça en temps voulu. En attendant, me voilà dans le train qui m’amène dans ma nouvelle ville. Et la rentrée c’est dans deux jours.


Arrivé à la gare, je prends un taxi qui m’amène au pied de l’appartement. Je monte au 4ème étage et je rentre dans mon nouveau chez moi. C’est la première fois que je viens ici. Ce sont mes parents qui ont géré les recherches. Mais j’avais bien sûr vu des photos et je reconnais les différentes pièces et surtout le petit salon très lumineux sous le soleil de l’après-midi où je m’imagine bien travailler par la suite. Tout est déjà meublé mais avec le strict minimum. Je ne m’attarde pas plus longtemps sur la description du lieu parce que les événements à venir de notre histoire ne se dérouleront pas ici de toute façon !


Après m’être installé et avoir rangé mes affaires dans les différents placards, je profite de ma première soirée ici. Et sans télé s’il vous plait ! La journée du lendemain est essentiellement consacrée à faire du repérage aux alentours. Je me ballade dans la ville pour trouver les commerces et les activités qui pourront m’être utiles dans les jours à venir. De toute façon, mes parents m’ont accordé un budget assez serré pour les repas qui ne me permettra pas beaucoup d’extras.


Arrive enfin le jour de la rentrée, Lundi. Je me lève de bonne heure pour avoir le temps de me préparer, je sors de chez moi et après une demi-heure de tram, j’arrive devant la fac. Il y a évidemment beaucoup de monde et les élèves suivent les différents couloirs pour rejoindre les amphis correspondant à leurs filières d’étude respectives. Je trouve mon chemin et j’atteins finalement un grand amphi d’au moins 600 places dans lequel vont vraisemblablement se dérouler mes cours jusqu’à la fin de l’année. Le placement est libre, c’est à dire que chaque matin c’est « premier arrivé premier servi ». Il y a intérêt d’être à l’heure si l’on ne veut pas se retrouver tout au fond !


L’entrée se fait par le haut de l’amphi. En contrebas on a le bureau du prof. Je repère assez vite, de loin et de dos, une jolie jeune fille qui attire mon regard grâce à son débardeur bleu ciel qui laisse voir de belles épaules bronzées et donc la couleur, celle du débardeur, tranche agréablement avec ses cheveux longs et châtains clairs.. Je décide de m’assoir à côté d’elle… Elle ne fait pas trop attention à moi pendant que je sors mes affaires de mon sac. A vrai dire, elle n’a pas l’air très bien réveillée et elle regarde dans le vide en baillant de temps en temps.


- Hey, tu sais ce qu’on va faire ? Je vais prendre en notes la première moitié du cours pendant que tu fais la sieste et après, on échange les postes ! dis-je pour entamer la conversation.


Elle se tourne vers moi et me fait un grand sourire. Elle a des taches de rousseur sur le visage et de grands yeux bleus… Je crois que ma remarque l’a surprise et elle me répond en rigolant.


- Ahah oui c’est une bonne idée ! J’ai presque pas dormi cette nuit, je suis crevée !
- Moi aussi je fais toujours de l’insomnie les veilles de rentrée, le stress sans doute.
- Oh moi c’était pas à cause du stress…
- Je m’appelle Cyril, enchanté ! dis-je en lui serrant la main.
- Clémence.


Sur ces belles paroles, notre premier cours commence. Après une brève introduction sur le programme de l’année, le prof se lance dans une description passionnée du droit français. A la pause, la discussion avec Clémence porte essentiellement sur la fac et nos premières impressions. Je ne peux pas m’empêcher de remarquer que son débardeur dissimule une poitrine très prometteuse et que ses yeux clairs se marient parfaitement avec la couleur de ses cheveux. Elle a aussi un tatouage à l’intérieur du bras droit qui lui donne un côté « bad girl ».



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 15-01-2021

La fin de la matinée signe également la fin de cette première journée de cours. Je salue ma voisine par une bise et je rentre chez moi. En fin d’après midi, j’appelle mes parents pour les rassurer. J’ajoute aussi Clémence sur Facebook et je fais un petit tour dans ses photos… Entre les photos de soirées en robes sexy et ses vacances d’été au bord de la plage, j’ai l’occasion de voir qu’elle est aussi jolie habillée qu’en maillot de bain !

Je m’endors paisiblement, en nourrissant l’espoir secret de croiser Clémence à la fac demain… Je dois aussi vous préciser que j’ai eu quelques nouvelles de Claire et de Marianne par sms il y a peu de temps. Ma cousine a emménagé dans un studio, qu’elle occupe en collocation avec une étudiante américaine, pour se rapprocher de l’école de commerce qu’elle a intégrée et Marianne s’est lancée dans une prépa littéraire intégrée à son lycée, du coup elle habite toujours chez ses parents.


Quand mon réveil sonne le lendemain, je me lève de bonne humeur et après m’être préparé, je mets mon sac sur le dos et je pars en direction de la fac. Le tram s’arrête à mi-chemin au motif d’un incident technique et quand, de nombreuses minutes plus tard, j’arrive enfin à destination, je suis furieusement en retard ! Quand je rentre dans l’amphi, le prof a déjà commencé son cours et je m’assieds sur un siège tout au fond en essayant de ne pas trop me faire remarquer… Pour m’assoir à côté de Clémence, c’est raté… De toute façon, je n’arrive pas à la repérer en jetant un regard périphérique sur la foule et il faut que je me concentre sur le cours.


A la fac, les emplois du temps sont un peu particuliers. On n’a pas énormément d’heures de cours mais elles sont réparties de manière chaotiques, tantôt le matin, tantôt l’après-midi. S’ajoutent à cela les Enseignements Dirigés ou ED qui sont en fait des travaux par petits groupes dans des salles de cours à part. Et les emplois du temps changent toutes les semaines donc c’est difficile de s’organiser à l’avance. Ce Mardi, car nous sommes Mardi, je n’ai pas cours en amphi l’après midi mais une heure d’ED à 17 heures… Je rentre donc chez moi pour manger puis je vaque à mes occupations jusqu’à 17 heures. C’est l’occasion de découvrir mon groupe d’ED, composé de personnes que je ne connais pas. Je discute avec quelques personnes. On a intérêt à créer des liens d’emblée vu que l’on va devoir travailler ensemble jusqu’à la fin de l’année.


Le lendemain, j’arrive bien à l’heure à la fac et je me pose au milieu de l’amphi. Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’assoit à ma gauche en me lançant un « salut ! ». Je me tourne, c’est Clémence. Elle me fait un joli sourire en s’installant. La discussion commence et je lui raconte comment je suis arrivé en retard hier. A la fin de la matinée, elle me dit :


- Je vais aller manger avec un pote dans le petit parc derrière la fac. Tu veux te joindre à nous ?Reprise du message précédent :
Je m’endors paisiblement, en nourrissant l’espoir secret de croiser Clémence à la fac demain… Je dois aussi vous préciser que j’ai eu quelques nouvelles de Claire et de Marianne par sms il y a peu de temps. Ma cousine a emménagé dans un studio, qu’elle occupe en collocation avec une étudiante américaine, pour se rapprocher de l’école de commerce qu’elle a intégrée et Marianne s’est lancée dans une prépa littéraire intégrée à son lycée, du coup elle habite toujours chez ses parents.


Quand mon réveil sonne le lendemain, je me lève de bonne humeur et après m’être préparé, je mets mon sac sur le dos et je pars en direction de la fac. Le tram s’arrête à mi-chemin au motif d’un incident technique et quand, de nombreuses minutes plus tard, j’arrive enfin à destination, je suis furieusement en retard ! Quand je rentre dans l’amphi, le prof a déjà commencé son cours et je m’assieds sur un siège tout au fond en essayant de ne pas trop me faire remarquer… Pour m’assoir à côté de Clémence, c’est raté… De toute façon, je n’arrive pas à la repérer en jetant un regard périphérique sur la foule et il faut que je me concentre sur le cours.


A la fac, les emplois du temps sont un peu particuliers. On n’a pas énormément d’heures de cours mais elles sont réparties de manière chaotiques, tantôt le matin, tantôt l’après-midi. S’ajoutent à cela les Enseignements Dirigés ou ED qui sont en fait des travaux par petits groupes dans des salles de cours à part. Et les emplois du temps changent toutes les semaines donc c’est difficile de s’organiser à l’avance. Ce Mardi, car nous sommes Mardi, je n’ai pas cours en amphi l’après midi mais une heure d’ED à 17 heures… Je rentre donc chez moi pour manger puis je vaque à mes occupations jusqu’à 17 heures. C’est l’occasion de découvrir mon groupe d’ED, composé de personnes que je ne connais pas. Je discute avec quelques personnes. On a intérêt à créer des liens d’emblée vu que l’on va devoir travailler ensemble jusqu’à la fin de l’année.


Le lendemain, j’arrive bien à l’heure à la fac et je me pose au milieu de l’amphi. Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’assoit à ma gauche en me lançant un « salut ! ». Je me tourne, c’est Clémence. Elle me fait un joli sourire en s’installant. La discussion commence et je lui raconte comment je suis arrivé en retard hier. A la fin de la matinée, elle me dit :


- Je vais aller manger avec un pote dans le petit parc derrière la fac. Tu veux te joindre à nous ?
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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 16-01-2021

J’accepte volontiers son invitation et je la suis donc jusqu’au fameux parc. Aujourd’hui, elle porte un débardeur noir et une petite jupe plissée. Sans doute profite-t-elle des derniers jours de beau temps avant le début de l’automne pour s’habiller en tenues estivales. Nous arrivons à un banc où nous attend son pote.


- Salut Clem ! dit-il.
- Salut Guillaume ! Je te présente Cyril.


Guillaume est un garçon plutôt petit en taille, avec des cheveux noirs et des traits fin.


- On se connait depuis longtemps ! m’explique Clémence. Et en plus on est dans le même groupe d’ED !


Nous discutons tous les trois en mangeant nos sandwichs. Clémence et Guillaume ont l’air de vraiment bien s’entendre et ils sont assez tactiles l’un avec l’autre. J’en viens à me demander s’ils ne sortent pas ensemble et étonnamment, à cette pensée, je ressens comme une forme de jalousie. Mais la discussion se passe bien et j’échange mon numéro de téléphone avec mes nouveaux amis. Au bout d’un moment, Clémence se lève et déclare :


- Bon les mecs, il faut que je vous laisse, à demain peut-être !


Je me retrouve donc seul avec Guillaume. J’avais peur de ne rien trouver à lui dire mais au final, le courant passe bien. Il m’explique qu’il se passionne pour la photographie et qu’il a un blog sur le net. Je lui promets d’aller y jeter un coup d’œil. Je finis même par lui poser la question que me taraude :


- Et alors, toi et Clémence… vous sortez ensemble ? dis-je d’une petite voix.
- Non non, c’est pas ça ! Ahah ! répond-il visiblement amusé.


La discussion prend fin peu après et nous rentrons chacun chez nous. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens comme frustré que ce garçon soit si proche de Clémence. Même s’il m’a affirmé qu’ils ne sortent pas ensemble, je me sens comme jaloux… Le soir, je retourne sur le profil Facebook de Clémence. Sur une photo d’elle en maillot de bain, de dos, je vois qu’elle a un joli grain de beauté au bas de la cambrure de son dos, juste au dessus du maillot. Malgré moi, je sens mon sexe gonflé dans mon pyjama. J’éteins Facebook et je me promets qu’un jour ou l’autre, je verrai ce grain de beauté de mes propres yeux !


Le lendemain, Jeudi donc, je me rends à la fac. Au moment de choisir, une place dans l’amphi, impossible de trouver Clémence. Je la cherche des yeux un moment, sans succès et je finis par m’assoir, juste avant le début du cours. Je pense beaucoup à elle pendant la journée et en rentrant chez moi, je me retrouve très frustré de ne pas l’avoir vu. En plus demain, nous n’avons pas cours et le week-end non plus. Ca veut dire qu’il faudra que j’attende au moins jusqu’à Lundi prochain. C’est bizarre mais je suis vraiment frustré de ne pas pouvoir la voir…


Cette nuit, Clémence s’invite dans un rêve. Elle se déshabille lentement jusqu’à n’être plus qu’en sous-vêtements. Elle se met dos à moi et me demande de l’aider à dégrafer son soutien-gorge. Je tends la main et aux moments où mes doigts effleurent sa peau, mon réveil se met à sonne. Dommage… Mais je crois que je commence vraiment à fantasmer sur cette fille.


Je profite de la journée pour retravailler tous les cours et les ED de la semaine. Au moment où je commence à m’ennuyer, je reçois un sms. De Clémence. Mon cœur se met à battre à toute allure !


- Salut Cyril ! Tu as tout compris au dernier ED ?
- Ouais, à peu de choses près, pourquoi ? réponds-je immédiatement.
-Moi j’ai un peu de mal à comprendre certaines notions… Tu crois que tu pourrais me donner un coup de main ?
A ce moment, je suis vraiment super heureux et excité ! Je ne m’attendais pas à ça mais les choses se passent vraiment super bien !
- Sans problème ! Tu veux qu’on se voie ce week-end ?
- Ca serait parfait si ça te dérange pas ! Tu veux venir chez moi ou bien je viens chez toi ?
- Je viens chez toi plutôt, tu habites où ?
- Juste à côté de la fac ! On n’a qu’à se donner rendez-vous devant l’entrée principale de la fac et après on marchera jusque chez moi. C’est bon pour demain, à 15h00 ?
- OK, à demain alors !
- A demain ! Merci Cyril, tu es adorable !


Je pousse un long soupir d’extase ! Non seulement je vais pouvoir voir Clémence demain, mais en plus je vais pouvoir rentrer chez elle ! Je me pose un tas de questions : à quoi ça ressemble chez elle ? Comment elle sera habillée ? Je me rends compte que mon sexe est devenu dur le temps de l’échange de sms. Oui, vraiment, je crois que je fantasme sur elle ! La bonne nouvelle, c’est que demain on sera juste elle et moi !

Le lendemain, je profite de la matinée pour bien réviser l’ED que je vais devoir expliquer à Clémence l’après-midi même. Après manger, je me douche, je mets ma plus belle chemise ainsi qu’un jeans et j’attends impatiemment 14h30, heure à laquelle je mets mon sac sur mon dos et je pars pour rejoindre le lieu de rendez-vous. Une fois sur place, j’attends Clémence qui arrive quelques minutes plus tard. Elle me fait la bise et me guide jusque chez elle. Sur le trajet, nous parlons de choses et d’autres sur un ton détendu. Mais le dit trajet se révèle très court, elle habite bel et bien juste à côté de la fac. Elle habite au dernier étage de son immeuble mais l’ascenseur ne monte pas jusqu’en haut. Il y a donc un étage à monter à pied. Elle passe devant dans l’escalier en colimaçon et mon visage se retrouve au même niveau que son petit cul, bien moulé par le jeans. Un régal pour les yeux ! Sans parler de son débardeur noir moulant et très décolleté.


Quand je pénètre dans son appartement ma première pensée est qu’il est très lumineux et surtout très grand pour une étudiante vivant seul.


- C’est vachement grand chez toi ! dis-je.
- Ouais… En fait je cherche un colloc. Y a largement la place de vivre à deux ici et puis c’est tellement près de la fac ! C’est un super endroit ! Mais en attendant je suis toute seule et ça a parfois des avantages.
-Ahah oui je connais ça ! Moi aussi je cherche un colloc.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 16-01-2021

Elle me propose quelque chose à boire puis installe une deuxième chaise à son bureau pour que je puisse m’assoir à côté d’elle. Nous nous mettons alors au travail et je commence à lui réexpliquer les points difficiles du cours. Mon regard est attiré sans cesse par son décolleté. Juste en tournant la tête j’ai une vue superbe sur la courbure de ses seins et je dois me concentrer intensément pour ne pas perdre le fil de mon explication ! Au bout d’un moment, Clémence déclare :


- C’est l’heure de la pause ! Qu’est ce qu’il fait chaud ici, j’en peux plus ! Attends-moi une minute, je reviens.


Dans sa penderie, elle attrape un mini short puis sort de la chambre en fermant la porte derrière elle. C’est vrai qu’en cette fin d’après-midi, le soleil tape fort à travers la vitre et que moi aussi je commence à avoir chaud et soif. Clémence revient quelques minutes plus tard vêtue de son mini short avec à la main un verre d’eau fraiche qu’elle me tend. Je la remercie et la leçon reprend. Maintenant je dois me retenir et de plonger mon regard entre ses deux jolis seins et de dévorer des yeux ses jambes fines. Je commence à bander et je prie pour qu’elle ne s’en aperçoive pas.
Aux alentours des 18h30, nous avons fini de revoir le cours. Elle me raccompagne jusqu’à la sortie et sur le pas de la porte elle me fait une bise chaleureuse.


- Bon Cyril, on a bien bossé aujourd’hui ! Merci beaucoup et revient quand tu veux !
- Je peux revenir Vendredi prochain alors, on n’aura pas cours non plus, dis-je en plaisantant.
- OK, Vendredi prochain ça me va ! Même heure, même lieu de rendez-vous !


Je suis un peu surpris par sa réaction ! Moi je voulais juste faire une blague mais après tout si elle me propose de revenir chez elle la semaine prochaine, je ne vais pas refuser ! C’est donc très content que je retourne chez moi, près à profiter de ma soirée et du week-end qui arrive ! Je me prends à imaginer la vie que nous aurions Clémence et moi si nous emménagions ensemble dans une collocation… Mais je chasse bien vite cette idée saugrenue de mon esprit !


Voilà une nouvelle semaine de fac qui commence ! Rien de palpitant… Le matin en arrivant dans l’amphi, si je vois Clémence je m’assois à côté d’elle, sinon je rejoins un groupe de gars avec qui j’ai sympathisé. Mercredi, je vais manger avec Guillaume. La veille, je suis allé faire un tour sur son fameux blog de photographie et j’ai été agréablement surpris. Pour ce qui est de la qualité des photos je ne saurais pas dire. En revanche, la qualité des modèles… Des jeunes filles d’une vingtaine d’années, toutes plus jolies les unes que les autres, parfois relativement dévêtues… Il ne doit pas s’ennuyer… A midi, je lui en fais d’ailleurs la remarque :


- Dis donc elles sont plutôt mignonnes les filles que tu prends en photo !
- T’as vu ça !
- Tu les recrutes comment ?
- Bah des filles qui veulent poser devant l’objectif y en a beaucoup ! Et depuis le temps j’ai un petit réseau de connaissances !
- Quelle chance ! ajouté-je avec un clin d’œil.
- Et encore tu ne sais pas tout…
- C'est-à-dire ? demandé-je, ma curiosité piquée à vif.
- Disons que parfois, certaines filles me font des faveurs après la séance photo… Si tu vois ce que je veux dire…


Je vois ce qu’il veut dire mais j’ai du mal à y croire… Je lui fais part de mes doutes et il a l’air un peu vexé :


- Je t’apporterai une preuve un de ces jours ! dit-il avant que la discussion se porte sur un autre sujet.


Arrive le Vendredi, enfin ! Je l’attendais avec impatience ! Hier soir, Clémence m’a envoyé un sms de confirmation et j’étais aux anges. Me voilà donc devant la fac à attendre ma jolie camarade. On n’a pas prévu de programme de travail pour l’après midi alors je sais pas ce qu’on va faire exactement. Peut-être qu’il y aura des choses qu’elle voudra que je lui explique, ou bien peut-être qu’on révisera nos cours de la semaine tout simplement. La voilà qui arrive ! Même scénario que la semaine dernière, elle me guide jusque chez elle, nous discutons de bon cœur sur le trajet ; arrivés dans l’appartement, elle me propose une boisson comme la dernière fois. Et nous voilà chacun d’un côté de la table de la cuisine, sirotant un vers de grenadine.


- Tiens je te resserre, dit-elle en approchant la carafe d’eau pour remplir à nouveau mon verre presque vide.


Mais là, catastrophe ! Clémence percute mon verre avec la carafe et le verre se renverse, m’arrosant copieusement de grenadine juste au niveau de l’entre-jambe. Je pousse un petit cri de surprise et Clémence un grand cri. Elle saisit un torchon propre dans un tiroir, se précipite vers moi et commence à frotter doucement la tâche. Je vous laisse imaginer la scène : elle est devant moi, penchée en avant, m’offrant une vue incroyable sur le haut et les contours de ses seins fermement maintenus par un soutien gorge blanc. En plus elle me frotte doucement l’entre-jambe. Il ne m’en faut pas plus pour commencer à bander, surtout que ces caresses involontaires me font le plus grand bien et que je commence à ressentir cette chaleur caractéristique dans le bas ventre.


- C’est bon, je vais le faire moi-même ! dis-je par politesse.
Mais au fond de moi je pense « vas-y continue c’est bon ! »
Heureusement pour moi elle répond, très gênée par sa gaffe « non non, laisse-moi te sécher ».


Alors que mon pénis est devenu bien dur dans mon short, Clémence se met à frotter plus fort et plus vite. Je me relaxe sur la chaise pour profiter du moment. Mes yeux sont rivés sur son décolleté. Ses deux seins bougent un peu, autant que le soutien-gorge le leur permet. Ils sont beaux, bien lisse et d’une bonne taille. Je dois retenir ma main pour qu’elle ne s’envole pas toute seule vers eux. Clémence finit son travail par des moments circulaires. S’en est trop pour moi ! Si ça continue, tout ça va finir d’une drôle de façon. J’attrape doucement le bras de Clémence et je la repousse en disant sur un ton enthousiaste : « c’est bon je suis sec ! ».Elle pose alors le chiffon sur la table et retourne à sa place. Je me demande si ses caresses auraient finies par me faire jouir. Et surtout, je me demande ce que signifiait ce petit sourire en coin qu’elle avait…




Après cet événement troublant, nous nous installons dans sa chambre et nous révisons studieusement jusqu’en fin d’après-midi. Au moment de nous séparer, sur le pas de la porte, Clémence dit :

- Bon, du coup tu reviens Vendredi prochain, Cyril ?
- Euh… Oui… Avec plaisir ! réponds-je en ayant du mal à contenir ma joie.
- Rendez-vous devant la fac, comme aujourd’hui ?
- Bah, je commence à connaître le chemin maintenant. J’irai directement chez toi.
- On fait comme ça !


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 16-01-2021

Je passe donc une très bonne soirée et à fortiori un très bon week-end, sachant que je pourrai retourner chez Clém vendredi prochain. Durant la semaine, je passe le plus clair de mon temps libre avec Guillaume qui, décidemment, est devenu un très bon pote en peu de temps. Un jour, il me dit :

- Ce week-end j’ai organisé un shooting photo avec une fille que je connais bien. Je pense que je vais pouvoir t’apporter la preuve que je t’avais promise. Enfin, si tu es toujours intéressé…

Cette histoire m’était complètement sortie de la tête. Mais bien sûr que je suis toujours intéressé ! En même temps, je suis surpris qu’il en reparle. Il a vraiment l’ai décidé à me prouver qu’il avait raison.

- Ahah ! Oui je la veux bien, ta preuve ! rigolé-je.
- Dans ce cas il faut qu’on organise ça. Viens chez moi cet après-midi.

L’après-midi même, je me retrouve donc chez Guillaume dans son petit studio.

- Là, c’est ma chambre me dit-il. Juste à côté il y a la salle de bain. Voilà ce qu’on va faire. J’ai un double des clés de l’appartement que je vais te prêter. On va rentrer du shooting vers 15h00. Toi Cyril, tu vas venir ici un peu avant et te cacher dans la salle de bain. Quand on rentrera avec Léa, oui elle s’appelle Léa, on ira directement dans la chambre. Toi reste bien caché ! Normalement tu devrais avoir ta preuve…

Je suis assez enthousiasmé par son plan même si je nous trouve complètement fous de comploter un truc pareil… Rendez-vous est donc pris pour Samedi et je repars chez moi avec le fameux double des clés. Vendredi, je me rends chez Clémence. Je sonne à l’interphone et je monte. Nous nous asseyons à la même table que la dernière fois et buvons les même boissons ( qui ne seront pas renversées cette fois ).

- Ecoute Cyril, j’ai un projet et l’aimerais t’en parler. C’est un peu gênant alors laisse moi finir et tu me donneras ton avais à la fin… Tu m’as dit un jour que tu cherchais un coloc et je t’ai dit que moi aussi. Alors comme on s’entend bien et que tu viens ici souvent, je me suis dit que, peut-être, tu pourrais carrément venir emménager ici. On deviendrait colocs ensemble quoi…

Elle rougit un peu en disant cela mais je suis bien plus rouge qu’elle. Je reste bouche bée devant sa proposition et quand la joie reprend le dessus sur le choc, je parviens à articuler :

- Oui bonne idée. Je t’avoue que j’y avais déjà pensé… Il faut qu’on voit les détails avec mes parents et les tiens mais je pense qu’on pourrait faire ça…

Elle a l’air assez contente et nous nous serrons la main, comme pour conclure le deal.Le lendemain, à 14h00, c’est le cœur battant que je me rends chez Guillaume. Je passe la porte d’entrée de l’immeuble en regardant fébrilement autour de moi, de peur de les voir débarquer plutôt que prévu, lui et sa belle. J’ai du mal à croire ce que je suis entrain de faire. Excité et apeuré à la fois, je prends l’ascenseur qui m’amène au bon étage. Je glisse la clé dans la serrure de la porte, un tour, deux tours, la porte s’ouvre. L’appartement est vide. C’est déjà un soulagement. Je referme soigneusement à clé la porte derrière moi. Ils vont arriver dans moins d’une heure et je ne dois laisser aucune marque de mon passage d’ici là. Comme convenu avec Guillaume, je rentre dans sa chambre, j’ouvre son placard, j’y range mes chaussures puis je le referme. En chaussette sur le sol, je ne ferai pas de bruit à chacun de mes pas.


Je jette un dernier coup d’œil sur le lit où, dans peu de temps, Guillaume devrait amener la jolie Léa… Vraiment, plus j’approche du but et plus j’ai du mal à croire que je vais assister à la scène, planqué dans la salle de bain. Les minutes passent et 15h00 approchent. Je me mets donc à mon poste d’observation en laissant la porte très légèrement entrouverte. Quelques minutes après, une clé tourne dans la serrure et la porte d’entrée s’ouvre puis se referme. J’entends distinctement deux voix, celle de Guillaume et une voix de femme.


- Waouh, rien n’a changé ici depuis la dernière fois ! dit la voix inconnue.
- La dernière fois que tu es venue, c’était juste avant les vacances d’été, répond Guillaume. Tu m’as manqué tu sais…
- Moi aussi, j’ai pensé tout l’été à nos petits moments… d’intimité.
- Reprenons où on s’était arrêté la dernière fois, dit Guillaume sur un ton taquin.
- Mmmh où est-ce qu’on en était exactement ? Oh, ça y est, je me souviens…


Depuis mon poste d’observation, je ne peux qu’imaginer la scène. Des bruits de vêtements froissés me font penser qu’ils se déshabillent dans l’entrée. « Ils ne perdent pas de temps », me dis-je.


- Ahhh Léa, pas ici. Allons dans ma chambre !
- Hihi ! Je te suis !


Par l’embrasure de la porte, je vois deux silhouettes complètements nues passer devant moi et rentrer dans la chambre. Le lit craque quand ils s’y allongent tous les deux.


- Laisse-moi te faire du bien, dit Guillaume.


Quelques minutes après, j’entends les premiers gémissements monter de la gorge de Léa. Cette fille… Je ne sais même pas à quoi elle ressemble mais elle est entrain de prendre son pied dans la pièce d’à côté et ça m’excite terriblement… Mon sexe se retrouve à l’étroit dans mon jeans. Pour être plus confortable, je prends le risque de l’enlever. Je procède le plus doucement possible pour ne pas faire de bruit et je me retrouve en caleçon. Les gémissements continuent.


- Je vais la mettre dedans maintenant, dit Guillaume.
- Oh oui s’il te plait ! gémit Léa.


A ces mots, mon excitation atteint son niveau maximal, comme si elle s’était adressée directement à moi. Je commence à caresser mon sexe à travers le caleçon en imaginant Léa se faire pénétrer par Guillaume.


- Ahh c’est bon ! J’aime te sentir en moi ! gémit la jeune fille.


Le lit craque de plus en plus fort et à intervalle régulier, signe que Guillaume a du passer aux choses sérieuses. J’entends la respiration rapide de Léa qui s’entremêle de gémissements aigus.


- Ahhh, Ahhh plus vite ! gémit-elle soudain !


Guillaume a du accélérer la cadence car à partir de ce moment, elle se met à pousser des gémissements forts et aigus. Elle pousse alors un cri plus fort que les autres :


- Ahh ja vais jouir ! Non, je jouis ! Ahh c’est bon !!!


Et puis tout s’arrête. Plus de craquements du lit. On n’entend plus que la respiration haletante de Léa qui se remet de ses émotions. Après quelques instants, elle finit par déclarer :400



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 17-01-2021

- C’était merveilleux Guillaume ! Tu crois que tu pourrais me faire jouir encore comme ça ?
-Ma chérie, il y a quelques chose que j’aimerais essayer avec toi… répond-il.
- Qu’est ce que c’est ? Un foulard ?
- Ouais, j’aimerais te bander les yeux si tu es d’accord.
- Mmmh je suis toute à toi !
- Voilà c’est fait. Tu ne vois rien ?
- Rien de rien !
- Je reviens dans une seconde, ma chérie.


Soudain, la porte de la salle de bain s’ouvre et je sursaute jusqu’au plafond en me retenant de crier. Mais ce n’est que Guillaume. Il se retient de rire en voyant ma réaction, pose son doigt sur sa bouche pour me faire signe de me taire puis fait un geste de la main pour que je le suive. Mon cœur bat la chamade que je rentre à sa suite dans la chambre. Je découvre alors la jolie Léa. Elle est allongée sur le dos, au centre du lit, le sourire aux lèvres. Le bandeau noir enroulé autour de ses yeux l’empêche de voir ce qui se passe. C’est une brune avec, me semble-t-il, un très joli visage, comme on l’imagine pour une modèle photo. Ses seins sont d’une belle taille avec des tétons qui pointent vers le haut sous l’effet de l’excitation. En la voyant ainsi, mon sexe, qui s’était un peu calmé, se remet à bander immédiatement. Les volets de la chambre de Guillaume sont à moitié fermés et nous sommes dans la pénombre.


- Tu es prête ma chérie ? demande Guillaume.
- Au oui, fais moi du bien…


Léa est toujours sur le dos et Guillaume se place entre ses cuisses écartées. Il rentre sa bite d’un seul coup dans le vagin de sa partenaire. Je remarque que la sienne est plutôt fine mais il vient de m’apporter la preuve que la taille ne compte pas... Il s’équilibre en posant ses mains sur le lit, de chaque côté du corps de Léa et commence ses va-et-vient. Cette dernière s’exclame :


- Mmmh c’est encore meilleur avec les yeux bandés ! J’ai l’impression d’être dans un rêve !


Elle place ses deux mains sous sa tête pour se faire un oreiller ce qui a pour effet de tendre sa poitrine et de lui donner une forme superbe. Je suis comme attiré par ses deux seins, j’ai une envie irrésistible de les toucher… Le ventre de Léa se soulève et s’abaisse au rythme de sa respiration. Très vite, elle se remet à gémir et à crier.


- Han, han ! Encore !


Guillaume garde le rythme. Moi je m’approche au plus prêt du lit pour profiter de la vue de cette jolie jeune fille entrain de se faire baiser devant moi. Elle s’agite sous l’effet du plaisir, de sa bouche s’échappent des gémissements de plus en plus aigus, son corps est luisant de transpiration. Mes yeux son rivés sur ses deux seins qui ont l’air si fermes avec ses tétons roses qui pointent vers le ciel. Ma main droite s’élance, traverse l’espace qui me sépare de Léa et en une seconde, avant que je me rende compte de ce que je viens de faire, elle se pose sur le sein de Léa. La jeune fille pousse un cri de surprise. Je me fige et je réalise soudain ce que je viens de faire…


- Ha Guillaume ! J’aime quand tu me caresses les seins comme ça ! Continue !!!


Alors seulement je me tourne vers Guillaume dont, l’espace d’un instant, j’avais carrément oublié la présence. Il me fait un sourire d’encouragement. Alors je commence à malaxer doucement le sein de Léa dans ma main. Je savoure le contact de ma paume avec son globe si ferme et si doux à la fois.


- C’est trop bon Guillaume ! C’est trop bon d’être avec toi !


Léa crie son plaisir. Et je suis heureux de pouvoir participer à ce moment. Mais quand je ferme les yeux, ce n’est pas à Léa que je pense… J’ai l’impression d’avoir le sein de Marianne sous mes doigts. Je ne sais pas pourquoi je pense à elle à ce moment là. Mais c’est son sein, c’est ses cris de plaisir que j’ai l’impression d’entendre. En caressant la poitrine d’une autre, je réalise à qu’elle point j’ai été marqué par cette fille et à quel point j’aimerais la revoir.
Je sors de ma rêverie et je me rends compte que j’ai malaxé de plus en plus fort le sein de Léa qui est devenu rouge. Je maltraite son téton tout dur en le pinçant entre mes doigts. Elle se met à crier :


- Mon Dieu je vais jouir ! Je vais jouir encore Guillaume !
- Moi aussi… répond-il dans un souffle.


Je retire ma main et au même moment, Léa pousse un véritable hurlement de plaisir. Tout son corps se soulève puis retombe sur le lit, vidé de son énergie. Guillaume attrape les hanches de Léa avec ses mains, lui assène deux coups de reins profonds puis retire son sexe. Avec un gémissement, il jouit en grosses saccades sur le ventre de Léa…


Epuisé et haletant, Guillaume me fait signe que je dois retourner me cacher.
Sur la pointe des pieds, je file à la salle de bain. J’entends les deux amants reprendre leurs esprits.


- Tu m’en as mis partout, idiot ! dit Léa en riant.
- Excuse moi, ma chérie.
- Merci pour tout Guillaume… Je vais aller me nettoyer un peu maintenant. Je vais à la salle de bain !
- Attends une minute, reste encore un peu avec moi, répond habilement Guillaume.


En entendant ça, je saute au plafond puis, le plus rapidement possible et sans bruit, je sors de la salle de bain et je file me réfugier dans la buanderie : toute petite pièce où se trouve la machine à laver et où Guillaume m’avait suggérer de me cacher si notre plan devait tomber à l’eau. Me voilà donc en slip, à côté de la machine à laver. En slip… Merde !!! J’ai oublié mon jeans dans la salle de bain !


- Regarde Guillaume ! Tu laisses trainer tes affaires partout ! Ahah tu aurais vraiment besoin de faire le ménage.
- Ahah oui c’est vrai, répond Guillaume un peu crispé. Je vais ranger ce jeans pendant que tu te laves.


Un bruit d’eau se fait entendre puis, un quart d’heure plus tard, les deux se rhabillent dans l’entrée avant de se séparer.


- Cyril ! crie Guillaume.
- Je suis là ! dis-je en sortant de la buanderie.



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 17-01-2021

Je me retrouve face à Guillaume. Il est juste vêtu de son caleçon et je peux constater qu’il est plutôt musclé, malgré sa relative petite taille et sa finesse. Pas étonnant qu’il ait réussi à être aussi endurant et régulier tout à l’heure !


- Ouf, c’était chaud ! Elle a bien failli te trouver ! Ahah !
- Ouais c’était moins une ! dis-je en rigolant à mon tour.
- Et le jeans, c’était pour quoi ? T’es vraiment pas doué mec ! plaisante-t-il.
- Toi tu es doué par contre ! dis-je avec un clin d’œil.
- Tu vois, je ne t’avais pas menti ! Mais je crois qu’elle a bien apprécié que tu lui touches les seins, je ne l’avais encore jamais entendu crier aussi fort !
- J’ai pas pu m’empêcher de la toucher, je suis désolé…
- C’est pas grave je te dis ! Elle a vraiment pris son pied c’est l’essentiel ! Ca aurait été plus grave si elle m’avait dit « Guillaume, tu à trois mains ! » ahah. On a formé un beau duo sur ce coup là ! Tu sais quoi, la prochaine fois que je n’arrive pas à faire grimper une fille au rideau, je t’appelle et tu pourras lui faire ton truc.
- Ahah pas de problème ! dis-je sans comprendre si Guillaume est vraiment sérieux ou pas.
- Bon, ça reste entre nous cette histoire !
- C’est clair !


Après ça, Guillaume et moi sommes devenus des amis très proches. Ce qui est compréhensible vu le secret que nous partagions. En rentrant chez moi, je conclue cette bonne journée par une douche, je mange et je me couche. Dans mon lit, avant de m’endormir, je réfléchis aux arguments que je vais développer devant mes parents, pour les convaincre de me laisser partir en coloc avec Clémence…Les jours d’après, j’ai passé des heures au téléphone avec mes parents pour les convaincre de me laisser prendre une colocation avec Clémence. Je vous épargne le contenu des tractations mais disons que mes parents n’étaient pas ravis de me voir m’installer avec une fille qu’en plus ils ne connaissaient pas. Finalement ils se sont laissé convaincre par l’argument financier, trop contents qu’ils étaient de pouvoir diviser par 2 le coût du loyer… J’ai donc rassemblé toutes mes affaires dans mes valises et je suis parti m’installer chez Clémence. Chez Clémence et moi, du coup. Nous avons fêté le soir de mon arrivé par un bon repas auquel nous avons convié Guillaume.


Et puis a commencé la vie à deux. Pas facile de perdre ses mauvaises habitudes de « célibataire ». Avoec Clém, nous avons établi tout un tas de règle pour faciliter la cohabitation : horaire d’utilisation de la salle de bain, respect de l’intimité, des choses comme ça… En parlant d’intimité, un soir après les cours, Clémence vient me voir en rougissant un peu :


- Ecoute Cyril, samedi soir, j’ai un copain qui devrait venir… Un garçon… Enfin tu vois où je veux en venir. Ca serait cool si tu pouvais…
- Sortir en ville pour te laisser la soirée libre à l’appartement, dis-je en terminant sa phrase.
- Exactement !
- Je peux faire ça pour toi, dis-je avec un sourire.
- Merci Cyril, tu es chou ! s’exclame-t-elle en me déposant un bisou sur la joue. Rentre vers Minuit ça sera bon je pense.


Le fameux samedi, je sortis donc en ville pour la soirée. Au fond de moi, j’étais très énervé que Clémence passe sa soirée avec un garçon. La savoir chez moi entrain de faire vous savez quoi avec un autre, ça m’agace prodigieusement. En même temps, je savais que ça arriverait : une fille comme ça ne peut pas rester bien longtemps sans petit-ami. Et puis ce n’est pas comme si j’étais amoureux d’elle après tout, donc ça ira. Mais quand même… Cette mauvaise soirée aurait pu en rester là, sauf qu’en rentrant à Minuit comme convenu, j’allais faire une découverte…


J’ouvre la porte de l’appart puis je la referme doucement derrière moi sans la claquer, comme à mon habitude. Entrée furtive… Sauf que j’entends clairement des cris qui viennent de fond de l’appartement, des cris de jouissance… Je vous laisse deviner de quelle chambre ils proviennent. Je décide de ne pas y prêter attention et je vais dans ma chambre ou je me mets en boxer avant de m’allonger sur mon lit avec un livre : respect de la vie privée quoi. Mais les cris sont vraiment forts et c’est impossible de se concentrer sur la lecture. Malgré moi, je commence à bander. Je passe la main sur mon boxer et de petites décharges de plaisirs se font sentir. Alors impossible de résister, je me relève et sur la pointe des pieds et je vais jusqu’à la chambre de Clem. La porte est fermée bien sûr mais je m’accroupis pour regarder par le trou de la serrure. La situation est un peu grotesque mais ce que je découvre me fait oublier tout le reste.

On ne voit pas bien. Mais quand même, je distingue clairement Clémence à quatre-pattes sur son lit. Derrière elle, une silhouette masculine dont je ne vois que le bas du corps est entrain de la prendre violemment en levrette. Clémence a la bouche grande ouverte et de véritables hurlements sortent de sa gorge. Elle crie comme une actrice porno.


- HAN ! HAN ! PLUS FORT !!!


Je fais tomber mon boxer jusqu’à mes chevilles, j’attrape mon sexe et je commence à me branler doucement. Les cris de plaisir de ma coloc m’excitent au plus haut point et mes mouvements se font de plus en plus rapides!


-HAN C EST TELLEMENT BON ! VAS Y ENCULE MOI PLUS FORT !! AHHH !!


Je me suis peut-être trompé quand j’ai dit qu’il la prenait en levrette... En tout cas Clém à l’air de prendre son pied comme jamais. Tout son corps est agité de tremblements. C’est comme si le plaisir allait la faire exploser. La chaleur et les picotements autour de mon sexe sont devenus intenses. Je me rends compte que c’est moi qui vais bientôt jouir. Je jette un dernier coup d’œil par le trou de la serrure, j’admire le corps nu de Clémence, secoué par les coups de reins de son partenaire et je file dans ma chambre où quelques va-et-vient suffisent à me finir…


Quelques minutes après, les cris cessent. Dans le couloir, j’entends Clémence remercier son étalon. Puis la porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Pour ma part, je me demande qui est ce garçon qui vient de baiser Clémence comme moi je n’aurais jamais osé la baiser, même dans mes rêves les plus fous. Je suis curieux de découvrir son identité.


Le lendemain matin, alors que nous prenons notre petit déjeuner, je regarde Clémence de travers. Difficile d’oublier ce que j’ai vu et entendu la nuit dernière… Mais même si je suis de plus en plus jaloux de l’inconnu qui a eu la chance de faire grimper ma colocataire aux rideaux, j’avoue que l’idée de pouvoir la surprendre à nouveau dans cette situation compromettante n’est pas pour me déplaire. Ça m’excite carrément en fait. A la fac, au lieu de suivre le cours, je passe la matinée à imaginer des plans et des scénarios tous plus invraisemblables les uns que les autres où j’épie Clémence par le trou de la serrure de sa chambre… Bah, si j’arrive à l’observer à la sortie de la douche, ça sera déjà pas mal !


En plus, elle doit savoir que je l’ai entendu baiser hier soir… Elle n’a fait aucune allusion mais elle a forcement remarqué la lumière dans ma chambre quand elle a raccompagné son étalon jusqu’à la porte… Je me demande ce qu’elle a pensé.
Dans l’après-midi, j’ai une conversation avec Guillaume :


- Tu préfères les brunes ou les blondes ?


Je réfléchis une seconde et des images de Marianne, de Charlotte et de Claire me viennent en tête. Surtout de Claire pour le coup…


- Les blondes ! réponds-je avec assurance. Et toi ?
- Je n’ai pas de préférence. Toutes les femmes sont belles pour moi.
- C’est ton côté artiste ça ! lui dis-je, amusé par le genre qu’il essaye de se donner.
- Bon, euh, en vrai je préfère les brunes, ajoute-t-il. Mais tant mieux pour toi si tu préfères les blondes parce que Samedi prochain, j’ai un coup prévu avec une blonde justement. Ça te dirait de venir comme la dernière fois ?


Mon cœur commence à battre plus fort à cette idée. Les souvenirs de la dernière fois affluent.




Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 17-01-2021

- Oui… finis-je par articuler.
- Bien ! Il faudra qu’on améliore notre stratégie parce que la dernière fois, tu as failli te faire griller ! Encore que je suis pas sûr qu’elle t’en aurait voulu, elle avait l’air de vraiment apprécier ce que tu lui as fait !


Je rougis, très gêné d’avoir cette conversation dans un couloir de la fac. Même si nous parlons à voix basse, il y a des gens tout autour de nous et je préférerais qu’on ne nous entende pas, si vous voyez ce que je veux dire…


Le soir, je retrouve Clémence à l’appartement. Sur le coup des 18h30, elle déclare :


- Bon, pendant que tu prépares à manger, je vais me doucher !


Cette phrase me fait comme un déclic et je me souviens de ce que je me disais ce matin : « la surprendre à la sortie de la douche ». Elle quitte le salon et rentre dans la salle de bain. Je me lève à mon tour et sur la pointe des pieds je marche jusqu’à la porte fermée. Pas de trou de la serrure ici malheureusement. Rien qui pourrait me permettre de voir de l’autre côté. En tendant l’oreille, j’entends des bruits de vêtements qu’on froisse. La belle se déshabille à quelques centimètres de moi. Quel dommage qu’une cloison de bois nous sépare. Mon sexe commence à gonfler alors que je l’imagine entrain de retirer son tee-shirt puis son jeans. D’un geste habile, elle dégrafe son soutien gorge qui tombe à ses pieds. Elle se regarde dans le miroir pendant quelques secondes, elle contemple le reflet des ses deux seins bien ronds puis se penche en avant et fait glisser sa culotte jusque à ses pieds. Quand elle se redresse, sa poitrine s’agite dans tous les sens. Elle avance jusqu’à la baignoire…


Le bruit du jet d’eau me ramène à la réalité. Toujours sur la pointe des pieds, je marche jusqu’à la chambre de Clémence dont la porte est ouverte. Son pyjama n’est pas sur son lit. J’en déduis qu’elle l’a emmené avec elle dans la salle de bain et qu’elle en sortira donc toute habillée… Je retourne devant la salle de bain.


- Clémence ?
- J’ai bientôt terminé !
- En fait, j’allais te dire de prendre ton temps. J’ai pris du retard sur la préparation du repas.


Il faut que je m’y mette, à éplucher ces légumes…





Il m’a fallu quelques jours, mais j’ai trouvé un plan pour arriver à mes fins. Je compte le mettre en œuvre ce soir, en espérant que tout se passe bien. Il me faudra sans doute un peu de chance. Mais avant ça, dans la journée, j’ai discuté un peu avec Guillaume et nous avons peaufiné les détails de l’opération de Samedi. J’aurai l’occasion de vous en reparler le jour venu mais pour l’instant, disons que nous avons rendez-vous avec Sarah, une jolie mannequin de 20 ans qu’il doit prendre en photo… Pas seulement en photo… si j’osais ce jeu de mot.


Comme tous les jours, vers les 18h30, Clémence m’annonce qu’elle compte se doucher. Elle va à sa chambre chercher son pyjama et sa serviette qu’elle dépose dans la salle de bain avant de fermer la porte. Mais aujourd’hui, à peine a-t-elle fermer la porte que je crie :


- Clémence !


Elle ressort bien sûr toute habillée.


- Oui ?
- Il faut que j’aille vérifier une recette sur internet. Est-ce que tu peux remuer la sauce béchamel pour moi le temps que fasse ça ?
- Oui pas de souci ! Je me demande ce que tu nous prépares de bon !
- Je reviens dans une minute. Fais bien gaffe à ce que ça n’attache pas au fond de la casserole !


J’ai un merveilleux prétexte pour m’absenter et je sais que de là où elle est, elle ne peut pas voir ce que je m’apprête à faire. Au lieu d’aller dans ma chambre sur l’ordinateur, je vais directement dans la salle de bain dont la lumière est toujours allumée. Sur le sol, le pyjama et la serviette. J’attrape la serviette et je vais la déposer sur le lit de Clémence. En moins d’une minute, je suis de retour dans la cuisine.


- Tu es très douée pour remuer les sauces ! dis-je.
- Merci ! Mais j’ai dû beaucoup m’entrainer pour atteindre un tel niveau ! répond-elle en riant. Bon cette fois, je vais me doucher. A tout de suite Cyril !


Elle rentre dans la salle de bain et referme la porte derrière elle. Quand je vous disais que j’allais avoir besoin de chance. Si elle se rend compte que la serviette a disparu, tout va tomber à l’eau ( encore un jeu de mot décidemment… ). Mais non, j’entends le bruit du jet. Jusque là, tout fonctionne comme sur des roulettes. Pendant que Clémence profite de sa bonne douche chaude, je m’approche du compteur d’eau et d’électricité. D’une simple pression sur un bouton, je lui coupe l’eau chaude. L’effet est immédiat.


- Ahhhh ! C’est froid !!!! hurle-t-elle depuis la salle de bain. Ma serviette ? Merde !!!


Je me précipite vers la porte de la salle de bain, en faisant semblant d’être inquiété par les cris. La porte s’ouvre brusquement et Clémence, toute nue et trempée, sort de la salle de bain, passe devant moi sans me regarder et court dans le couloir jusqu’à sa chambre. Je jette un regard plein d’envie sur son dos brillant où l’eau ruisselle et sur ses fesses bien galbées. Il devait avoir une vue incroyable sur son joli cul, cette inconnu qui l’avait prise si fort par derrière le week-end dernier.


Je retourne au compteur et je réactive l’eau chaude histoire de camoufler mes méfaits. Puis je me précipite dans la chambre de Clémence où j’entre sans frapper et en prenant un air inquiet.


- Est-ce que ça va ? Qu’est-ce qui s’est passé ?


La pauvre est toute frigorifiée. Assise au bord de son lit, enroulée dans la grande serviette blanche, elle tremble comme une feuille. Je commence à lui frotter énergiquement le dos et les bras pour la réchauffer. Quel dommage que la serviette nous sépare. Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est toute nue en dessous. J’imagine ses tétons durs à cause du froid. Hélas, je ne peux pas les voir… Quand elle cesse de trembler, je vais lui préparer une tasse de thé bouillante.


- Tiens c’est pour te réchauffer ! dis-je.
- Merci Cyril, tu es un ange. L’eau est devenue glaciale d’un seul coup et en plus j’avais laissé ma serviette dans ma chambre. J’espère que je n’ai pas crié trop fort, j’ai du te faire peur.
- Ne t’en fais pas. Ca va mieux maintenant ?



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 17-01-2021

Je décide de prendre une initiative. Vous me direz, c’est ce que je vais depuis le début de la soirée. Elle est toujours assise au bord du lit et je me mets à genoux derrière elle. Puis, tout doucement, je commence à lui masser les épaules. C’est comme ça que les choses avaient commencé avec Claire, si vous vous souvenez bien… Au début, Clémence ne dit rien. Je pense qu’elle est surprise. Puis :


- C’est vraiment agréable Cyril ! Continue s’il te plaît. C’est vraiment gentil de t’occuper de moi. Tu es vraiment adorable.


Si elle savait… Pour toute réponse, je continue mon massage en m’appliquant encore plus. Si vous vous représentez la scène, vous verrez que je suis en position idéale pour jeter des regards plongeants sur son décolleté. Au début, elle est bien enroulée dans la serviette et je ne vois pas grand-chose. Mais plus elle se détend et plus elle oublie de maintenir la serviette en place. La serviette sert de moins en moins sa poitrine et le haut de ses seins s’offre à mon regard. Je commence même à apercevoir le début de ses tétons bien roses. Je bande comme un fou et je ne sais pas qui profite le plus : elle du massage ou moi de la vue.
Mais une odeur de brulé commence à me piquer le nez…
- La sauce !! m’écrié-je.


Clémence sort de sa torpeur, resserre la serviette autour de sa poitrine et me regarde avec incompréhension.


- La sauce ! dis-je à nouveau en bondissant du lit. Et je cours à la cuisine… trop tard.


On ne peut pas tout avoir, et ce soir on n’aura pas de bon repas… Quand Clémence me rejoint quelques minutes plus tard, elle a revêtu son pyjama… Mais je crois qu’elle n’a pas pris la peine de mettre un soutien gorge parce que j’aperçois la marque de ses tétons à travers le tissu. La soirée se termine autour d’un plat de pâtes à l’eau. Mais Clémence n’arrête pas de répéter à quel point elle est désolée de me causer autant de problèmes et à quel point elle m’a trouvé adorable. Je lui réponds en rougissant que c’est bien normal… Si elle savait.


Arrive Samedi. Aujourd’hui, si vous vous rappelez bien, j’ai rendez-vous chez Guillaume. Et Guillaume a rendez-vous avec Sarah, une fille blonde qui a notre âge. Je me demande comment les choses vont se passer. Aussi bien que la dernière fois, j’espère. En arrivant chez Guillaume, je fais usage de mon double des clés et j’entre dans l’appartement vide. Je referme soigneusement derrière moi. On a un peu modifié notre stratégie par rapport à la dernière fois : la salle de bain n’est pas une planque assez sûre. Du coup, je vais devoir attendre dans la buanderie, là où je m’étais caché in extremis la dernière fois. Je vais y attendre le début des festivités et m’y cacher à la fin. Il y a peu de chances que la petite Sarah ait envie de voir le lave-linge, donc je devrais être en sécurité.


J’enlève mes chaussures et je m’assieds par terre, adossé contre un mur. Et comme j’ai un peu d’avance, je ferme les yeux et je fais une petite sieste. Petite… Aucune idée de combien de temps j’ai dormi. En tout cas, je suis réveillé par des grincements et des gémissements étouffés qui viennent de plus loin dans l’appartement. Je mets du temps à réaliser ce qui se passe mais mon sexe, lui, a tout de suite compris. Je me déshabille en vitesse. Tout nu et la bite en l’air, je sors de ma cachette. J’arpente le couloir et plus je me rapproche de la chambre de Guillaume et plus les gémissements deviennent audibles. La porte est grande ouverte. En jetant un coup d’œil, je découvre Sarah. Des cheveux blonds avec des mèches plus sombres, des yeux bleus et un nez retroussé. Elle a un visage très doux, un petit corps très fin avec deux petits seins qui pointent sous l’effet de plaisir. Sur le flanc gauche, elle a un tatouage en forme de losange, dessiné par quatre lignes fines.


A ce stade, je dois rester le plus discret possible pour ne pas me faire repérer par la jeune fille. Mais je commence à me caresser le sexe pour me soulager. Comme la dernière fois, Guillaume sort un foulard qu’il nous délicatement autour des yeux de sa partenaire.


- Mets toi à quatre pattes s’il-te-plait, dit-il. Et pendant que Sarah se met en position au bord du lit, il se lève et vient à ma rencontre.


- Tu es en retard, murmure-t-il avec amusement.


Puis il retourne se positionner derrière Sarah. Je rentre à sa suite dans la chambre et je dévore la jolie blonde du regard. Elle est très fine comme une mannequin et au moins aussi belle. Guillaume rentre en elle d’un seul coup et commence à la prendre énergiquement en levrette. Sarah ne tarde pas à gémir d’une voix aigüe. Je m’approche et je pose ma main sur son dos que je caresse doucement. Puis je passe à ses seins qui pointent vers le bas et qui dansent au rythme des coups de rein de Guillaume.


- Mmhhh c’est bon… gémit la jeune fille. Guillaume, fais moi le cul, j’en ai envie !


A ces mots, Guillaume se retire de la chatte de Sarah et introduit le bout de son gland dans son petit trou. Il s’enfonce progressivement en elle et on dirait que la jeune fille à l’habitude. Moi, c’est la première fois que je vois ça en vrai… Sarah crie de plus en plus fort. Avec une main, elle vient se caresser le clito tandis qu’elle essaye de ne pas perdre l’équilibre.


- Han ! Han, c’est encore meilleur que la dernière fois ! Ahhh !


Sarah jouit en poussant un dernier hurlement puis c’est le silence. Guillaume s’est retiré d’elle, le sexe toujours en érection. On n’entend plus que le bruit de la respiration de la jolie blonde qui essaye de reprendre son souffle.


- Je n’en ai pas encore fini avec toi ma chérie, dit doucement Guillaume. Mais tu peux enlever ton bandeau maintenant, j’aimerais te présenter quelqu'un…

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Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - Arnoc1972 - 18-01-2021

Bravo pour cette capacité a relancer l'ensemble des récits la ou on ne les attends pas....
Je prends beaucoup de plaisir a les lire et a les apprécier.
Hâte de lire les suites Smile


Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Je me fige instantanément. J’ai peur de comprendre… Sarah retire le foulard de devant ses yeux et son regard se pose sur moi. Elle n’a pas du tout l’air surprise, comme si tout cela avait été prévu de longue date… Elle me dévisage puis son regard descend vers ma bite toujours en érection. Il rit et me fait signe de m’assoir devant elle. Je n’ose rien dire et je m’exécute. Sarah est toujours à quatre pattes et Guillaume reprend se place derrière elle. Quand à moi je suis assis sur le lit, le sexe tendu, tout près de la tête blonde de Sarah. Guillaume reprend ses va-et-vients dans le cul de la jeune fille qui se met à gémir. Elle me regarde en souriant puis d’un seul coup, elle prend mon gland dans sa bouche. Je ne m’y attendais pas du tout et un frisson de plaisir parcourt mon corps. J’ai du mal à y croire. Elle s’applique à me sucer tandis que Guillaume continue de la limer par derrière. Elle pousse des gémissements de plaisir un peu étouffés par mon sexe dans sa bouche. C’est une sensation extraordinaire. Soudain, avant même que je réalise ce qui se passe, ma tête bascule en arrière et je pousse en gémissement de plaisir en jouissant directement dans la bouche de Sarah.


Je lui lance un regard d’excuse, honteux de n’avoir pas réussi à me contrôler. Mais elle ça n’a pas l’air de la déranger : elle continue de me sucer et de bien nettoyer mon gland.


- Je vais jouir en toi maintenant ma chérie, déclare Guillaume.
- Vas-y, je veux sentir ton sperme en moi… gémit-elle.


Il accélère le rythme de ses coups de rein et mets de petites fessées sur le joli cul de Sarah. Cette dernière libère mon sexe, et se mets à crier de plaisir sans se retenir. Je vois ses yeux s’écarquiller, tout son corps se mettre à trembler alors qu’elle se rapproche de l’orgasme. Eet elle finit par jouir tandis que Guillaume se vide dans petit cul en soupirant. Epuisée, elle s’effondre sur le lit. Nous restons un moment comme ça, à caresser son corps pendant qu’elle reprend son souffle. Puis vient l’heure de nous séparer. Nous nous rhabillons tous en passant par la case salle de bain. Je quitte en premier l’appartement de Guillaume. Sur le pas de la porte, Sarah me dit :


- La prochaine fois c’est ton sexe bien dur que je veux sentir en moi.


Elle me fait un clin d’œil et Je lui rends son sourire. J’adresse un regard de gratitude à Guillaume puis je rentre chez moi. J’ai encore du mal à réaliser ce qui s’est passé. Et quand, de retour à l’appart, Clémence me demande si j’ai passé une bonne après-midi, je lui réponds simplement :


- Pas trop mal.


Le temps passe l’air de rien et nous voilà déjà arrivés aux vacances de la Toussaint. A la fac, nous n’avons pas vraiment de vacances mais plutôt un grand week-end de quatre jours. J’ai décidé de rentrer chez moi pour l’occasion : ça fait longtemps que je n’ai pas revu mes parents après-tout. Mon billet de train est réservé. Départ en fin d’après-midi. Avec Guillaume, nous n’avons pas reparlé des événements de ces derniers jours, à la fac il vaut mieux rester discret ! Avec Clémence, nous nous entendons de mieux en mieux depuis l’incident avec la douche, bizarrement. Une bonne complicité s’est établie. Elle a prévu de rester ici ce week-end. Tout va bien dans la coloc.

Sur le coup des 15 heures, Clémence quitte l’appartement pour faire des courses. Comme elle ne rentrera pas avant mon départ, elle me fait la bise, me souhaite un bon voyage et s’en va. Une demi-heure plus tard, alors que je boucle ma valise, la pluie se met à tomber. Je suis à peu près sûr que Clém est partie sans parapluie… Mon train part dans trois quarts d’heure mais c’est maintenant un vrai orage qui s’abat sur la ville. La pluie tombe en grosses gouttes, il fait très sombre. Foudre et tonnerre se succèdent dans un vacarme assourdissant. Inquiet, j’essaye d’appeler ma Clémence sur son portable mais impossible de la joindre. Je consulte ensuite le site internet de la gare où j’apprends que tous les départs de trains sont annulés en raison des intempéries…

J’appelle mes parents pour les prévenir que mon séjour chez eux est compromis puis, un peu dégouté, je m’enferme dans ma chambre. Je me mets en caleçon, t-shirt et je m’allonge sur mon lit avec un livre. Vers 18 heures, La porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Clémence vient de rentrer. Elle ne peut pas se douter que je suis encore là. Bah… ça lui fera une surprise. Le temps de finir mon chapitre, j’entends un peu de remue-ménage dans la maison, d’abord dans la salle de bain puis dans la cuisine. Je referme mon bouquin, je me lève et je me dirige donc dans la cuisine.

En entrant dans la pièce, mon cœur manque un battement. Je découvre Clémence comme je ne l’avais encore jamais vue… Dos à moi elle ne m’a donc pas encore remarqué. Ses vêtements son posés en chiffon dans un coin, elle a une serviette à la main avec laquelle elle se sèche les cheveux. Elle est totalement nue… Je reste figé, incapable de bouger ou de dire un mot. Je contemple son joli dos, la marque de sa colonne vertébrale qui creuse un sillon descendant jusqu’à ses fesses. Elle se penche en avant pour se sécher les jambes, m’offrant ainsi une vue divine son sont petit cul bien ferme. Mon sexe en érection fait une bosse énorme sur mon boxer, mais c’est bien la seule partie de mon corps qui est capable de bouger… Après de longue secondes, Clémence se retourne et réalise ma présence. Elle pousse un petit cri, sursaute et de surprise, elle lâche sa serviette qui tombe à ses pieds. Par réflexe, elle se couvre la poitrine avec son bras droit replié et cahce sa petite chatte avec son autre main.

- Cyril ! Qu’est-ce que tu fais là ! s’exclame-t-elle, rouge de honte.

J’aimerais répondre mais seuls des bouts de phrase sortent de ma gorge. Mon regard fait et refait le tour de son corps, des ses cheveux mouillés qui tombent sur ses épaules nues, de sa poitrine qui déborde, de ses jambes fines…

- Je… Orage… train annulé…
- Mon pauvre Cyril, qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu as pris la foudre ou quoi ? dit-elle avec ironie, en reprenant peu à peu une contenance. Je ne comprends rien de ce que tu marmonnes. Enlève ton t-shirt pour voir ?

Sans réfléchir et tout tremblant, je retire mon t-shirt. Clémence me sourit.

- C’est bien ce qu’il me semblait, tu bandes comme un cheval !

Je réalise que mon t-shirt cachait un peu mon érection. Mais maintenant que je suis en boxer, impossible de cacher la bosse au niveau de mon entre-jambe… Je deviens tout rouge.

- Alors Cyril, tu étais entrain de me mater et maintenant tu fais ton timide ? Ce sont mes fesses qui t’ont mis dans cet état là ?
- Oui… Enfin… Non… euh, Désolé… balbitué-je lamentablement.
- C’est trop tard pout t’excuser ! Je te laisse deux possibilités, soit tu retourne tranquillement dans ta chambre, soit on se met à égalité et tu enlèves ton boxer.

Clémence est maintenant passée maître de la situation. Comme elle voit que je reste figé, incapable de comprendre le choix qu’elle me propose, elle ajoute :

-Allez, au point où tu en es, montre la nous cette belle queue !

Je n’ai pas d’autre choix que d’obéir et je retire mon boxer, libérant ainsi mon sexe qui ne demandait que ça.

- Bah dis donc… Si c’est mon cul qui t’a mit dans cet état là, voyons quel effet vont avoir ses deux là !



Re : En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Et disant ça, elle laisse tomber ses bras le long du corps, me dévoilant ses deux seins aux tétons roses et crispés. Mon sexe est plus tendu que jamais. Je reprends peu à peu le contrôle de mon corps et je m’approche de Clémence. Je veux rentrer dans son jeu alors je tends doucement une main vers sa poitrine… mais elle me repousse !

- Ah non, Cyril. Tu ne pourras pas toucher, c’est ta punition pour m’avoir maté toute à l’heure ! dit-elle avec une lumière féroce dans les yeux.

Puis d’un geste autoritaire, elle me fait signe de m’assoir sur une des chaises de la cuisine. Je m’exécute et je m’installe, le sexe toujours tendu. Clémence s’assied en face de moi, sur une deuxième chaise. Je ne perds pas une miette de la vue que m’offre son corps. Ses seins ressemblent un peu à ceux de Marianne : d’une bonne taille, bien ronds et fermes. Le teint de sa peau est plus pâle. Elle me fixe intensément de ses yeux bleus puis, sans crier gare, elle passe une main sous mes testicules qu’elle masse doucement. Le contact me fait frissonner. Puis avec sa deuxième main, elle entoure mon sexe et se met à me branler doucement d’abord puis de plus en plus énergiquement. Je ressens comme une douce chaleur monter de mon sexe et des vagues de plaisir traversent mon corps.

- Mmh Clém c’est bon !
- Tais toi ! Tu vas te vider les couilles maintenant, dit-elle en accélérant encore le mouvement.

Je tend un main vers l’avant et j’attrape un de ses seins. Cette fois, elle se laisse faire et je malaxe se poitrine doucement. Je suis sur le point de jouir. Clém s’en rend compte et brusquement, elle prend mon sexe en bouche. Quelques coups de langues et j’éjacule en grosses saccades, en poussant un gémissement de plaisir. Elle me garde en bouche pendant encore quelques secondes, le temps de bien me nettoyer. Puis quand elle a fini, elle me dit assez froidement :

- C’est tout de que je peux faire pour toi Cyril… Je vais dans ma chambre, ne m’attend pas pour diner ce soir.

Et elle me laisse là, assis sur une chaise de la cuisine, la bite pendante entre les jambes. Essoufflé, sans savoir si je dois être content ou pas…Je me réveille en sursaut dans le train. Est-ce que je viens de rêver ? Je ne sais plus très bien… et j’ai mal à la tête. Un coup d’œil par la fenêtre du wagon m’indique qu’il fait beau temps. Et surtout, il est à peine 17h00. J’ai dû rêver finalement. Un rêve perturbant. D’ici peu de temps, je serai chez moi pour passer ce grand week end de 4 jours en famille. Qu’est ce que Clémence est mignonne à poil, pensé-je, même si ce n’est que dans mon imagination ! Et je souris bêtement à cette idée.


Le week end se passe bien. C’est l’occasion de revoir mes parents, de retrouver ma chambre. Avec un pote du lycée que je n’ai pas vu depuis longtemps, on va manger au resto. J’aurais bien voulu revoir ma sœur mais Justine n’est pas rentrée à la maison : trop de travail. Et finalement, le Dimanche après-midi, je prends le train en sens inverse. J’arrive à la coloc en début de soirée. Clémence m’attend, visiblement de très bonne humeur. Entre temps, les images de mon rêve me sont sorties de la tête et je n’ai pas de gêne particulière à me retrouver avec elle dans la cuisine.


- Tu as fait quoi ces derniers jours, demandé-je curieux.
- Oh pas grand-chose. J’ai invité un ami à la maison samedi soir, dit-elle en rougissant légèrement.


Je reste de marbre. Je déteste quand Clém invite des « amis » à la maison. Je sais très bien ce qui se passe dans la chambre et ça m’énerve. C’est bête, c’est pas comme si on sortait ensemble après tout… Mais ça m’énerve alors je m’arrange toujours pour quitter la maison avant que l’ami arrive et pour rentrer tard afin de ne pas avoir à lui dire bonjour.


- Et j’ai une grande nouvelle ! ajoute Clémence.
- Quoi, tu vas te marier ?
- Non c’est pas ça, idiot, dit-elle en rigolant. Je vais recommencer l’équitation.
- Tu fais du cheval toi ?
- Je te l’avais déjà dit !
- Ah oui ça me revient…


Elle m’avait en effet dit qu’elle faisait du cheval dans les premiers jours de notre rencontre. Elle avait arrêté en entrant à la fac, pensant sans doute que l’emploi du temps serait incompatible.


- Ca sera le Samedi. Je ferai des compétitions et tout ! Tu m’accompagneras par fois ?


Malgré tout, je suis heureux qu’elle me demande de l’accompagner. Alors, avec un grand sourire, j’accepte et je lui dis que c’est formidable et qu’elle doit avoir fière allure sur un cheval. La conversation continue sur nos week-end respectifs, nous mangeons et au dodo ! Demain, une dure journée de travail nous attend.


La semaine se déroule sans incident. Vendredi soir, Clem ne parle que de son cours d’équitation de demain. Elle a hâte de rencontrer son nouveau cheval ( elle en parle comme d’un être humain ) et blablabla. De ce que je comprends, ça dure toute la journée comme un stage. De 10h à 17h en périphérie de la ville. Elle se débrouille pour y aller, elle a le permis. Si ça vous intéresse, le permis je le passe dans quelques mois !


Il me vient l’idée géniale de me lever plus tôt Samedi matin pour préparer son petit dèj à Clémence qui sera forcément à la bourre. Je règle donc le réveil et au matin, je vais sur la pointe des pieds dans la cuisine pour préparer diverses choses : chocolat chaud, biscuits, fruits. Je suis vraiment un gars sympa… Je pose tout ça sur un plateau et je lui apporte le petit déjeuner au lit. Je frappe à la porte de sa chambre et une voie toute ensommeillée me répond.


- Oui ?
- C’est moi, je t’apporte le petit déjeuner !
- Oh c’est gentil ça ! Entre !


Je trouve Clémence dans son lit, les couvertures remontées jusqu’au menton. Elle me fait un grand sourire.


- Je me suis dit que j’allais te simplifier la vie se matin, dis-je en posant le plateau sur le bord du lit.
- Ca a l’air délicieux ! répond-elle.


Mais elle ne bouge pas d’un pouce et un silence gênant s’installe.


- Tu n’as pas faim ? finis-je par demander.
- Si si, c’est juste que tu vois, euh… euh…enfin… j’ai dormi seins nus cette nuit alors… Ecoute, ferme les yeux. Ferme les yeux !


Je m’exécute. Je comprends pourquoi elle remontait ses couvertures aussi haut maintenant… Un bruit de tissu m’indique qu’elle enfile un vêtement. Je ne vous cache pas que j’ai très envie d’ouvrir les yeux…