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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 03-09-2020

Moi, je voie plutôt une main droite.

Sympa cette histoire. De Louklouk ?


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 05-09-2020

(03-09-2020, 02:54 PM)bech link a écrit :Moi, je voie plutôt une main droite.

Sympa cette histoire. De Louklouk ?

Merci Bech,

Je craignais d’être le seul à la voir ainsi, j’ai envoyé un avis au modérateur rédigé en ce sens, on verra bien, j’agirais selon sa réponse à mon envoi.

Surtout que j’y fait attention. Sur Docti, je demandais en MP aux nouveaux la photo pour donner mon aval avant de demander ; XX c'est ton tour, nous attendons ta photo !
. (je n’ai refusé qu’une seule fois -dans l'incertitude-, les joueurs étant disciplinés)

j’ai dû rétrécir mon message, l’espace [signalé au modérateur] est très, très, limité.

Voici ce que j’avais préparé au départ : 

Sans vouloir engager la polémique, même en gros plan je vois un personnage légèrement de biais qui tient le pistolet de la pompe. (J’avais vérifié avant sa publication) C’est son pouce et une partie de sa main droite sur la photo, pas son sexe, sinon il est vraiment mal foutu le pauvre homme ! 



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 05-09-2020

Troisième "pompette"

masque à gaz

[Image: 11361530.jpg]

Evan voulait entrer à la célèbre société d’étudiants Verdania, qui, comme son nom ne l’indiquait pas, était surtout réservée aux sodomites. Afin d’être politiquement corrects, on acceptait les 58 nuances de genres disponibles sur Facebook, en espérant que les candidats se renseignassent avant et ne rejoignissent pas la société s’ils étaient non-gays.

Evan se définissait surtout par « c’est compliqué », était naïf et puceau. Il pensait que Verdania était une allusion à l’écologie. Comme il voulait sauver la planète, il envoya donc le bulletin d’inscription (il avait quand même du mal à trouver Greta sexy, elle ne le faisait pas bander). On lui répondit fort poliment que sa demande serait acceptée lorsqu’il se serait livré à une formalité administrative. On lui donnait rendez-vous le vendredi suivant à 20 heures au local de la société situé près d’une station-service.

À l’heure dite, Evan entra dans le local et constata avec surprise que les autres étudiants avaient non seulement le masque antiviral réglementaire mais aussi des lunettes à soleil pour qu’on ne les reconnût pas. L’un d’entre eux se présenta comme le maître de cérémonie et l’informa qu’il avait 30 secondes pour quitter les lieux s’il ne voulait pas qu’on le bizutât. Evan n’avait pas de turboprocesseur dans le cerveau, ayant plus été gâté par la nature au niveau de l’entrejambe, il ne comprit pas immédiatement et il resta.

Les étudiants l’immobilisèrent, le déshabillèrent, lui enfilèrent un masque à gaz muni d’un long tuyau, lui enserrèrent le cou avec un collier clouté, l’affublèrent d’autres accessoires. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il se retrouva à côté d’une pompe à essence, la bite à l’air (désolé pour les censeurs).

Une voiture s’arrêta, le conducteur descendit, ouvrit le hayon d’où sortit un berger allemand qui vint flairer la bite d’Evan avant d’uriner contre ses jambes. Non, cela ne se passa pas comme cela, le conducteur remit son chien à l’ordre avec un coup de pied et lui intima d’aller pisser ailleurs.

— Le plein de super ! dit l’homme en allumant une cigarette.

Evan s’exécuta, pensant que le nouvel arrivant était un comparse. Il n’avait pourtant pas l’air d’un étudiant, il avait largement dépassé le quintal et la cinquantaine, allure de rocker à la retraite.

— Vous connaissez l’histoire du pompiste pompé ? demanda l’homme avec un rire gras.
— Non, balbutia Evan.
— Vous avez une belle queue. Vous permettez ?

L’homme s’agenouilla et s’empara du membre flasque d’Evan. Il était doué : malgré la situation assez incongrue, il réussit à provoquer une érection chez notre bizuté, et même à le faire jouir.

Il remonta dans sa voiture avec son clébard sans payer l’essence, Evan ne le remarqua même pas, il était encore troublé de la première fellation qu’on lui avait faite.

Les plaisanteries les plus courtes étant les meilleures (contrairement aux bites, enfin il y en a qui aiment les petites bites ou qui en ont à leur plus grand désespoir), les autres étudiants virent chercher le malheureux pompiste pompé, on lui enleva son accoutrement mais on oublia de lui rendre ses habits. Le maître de cérémonie le proclama membre à part entière de Verbania et nota la longueur de son membre sur le tableau d’honneur. Le crémant coula à flots.

Evan, lorsqu’il fut gris, osa demander au maître de cérémonie :

— C’était qui le type qui s’est arrêté ?
— Sais pas, un automobiliste.
— Ce n’est pas vous qui l’avez engagé ?
— Non, pourquoi ?


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 05-09-2020

Le pompeur rocker a toutes les qualités :
:o
il martyrise son chien (qu’il a mal élevé, une jambe n’est pas un réverbère)
fumeur (à proximité du super)
voleur (des sens et d’essence)

bon point : il n’est pas homophobe !!!  ;D

(le quintal, musclé ou adipeux ?) Wink



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 06-09-2020

Amusant ce texte.

Je pense à Lange128 comme auteur.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 06-09-2020

Evan est décidément très naïf, il ne faut pas 30’’ pour réaliser qu’un groupe écolo qui tient ses réunions dans les locaux d’une station-service, ce n’est pas très cohérent  :o  Mais bon, pdt les journées d’intégration, on a tous fait de mauvais choix, et parfois mis trop de temps à les corriger, hein… (¬‿¬) 
On se souvient de toutes nos premières fois, et hormis celui du carburant, celle-ci aura longtemps un petit parfum de légèrement glauque  O.O  Il ne lui reste qu’à se tourner vers le club de volley pour séduire sous les douches après-match, ou soumettre sa plastique surdimensionnée à l’intérêt du club de photo, et y rencontrer un garçon plus délicat, plus attentionné, à tous les coups plus respectueux… bref, plus ‘lui’, quoi  Smile
Je me dis que le crémant est un faux indice pour impliquer (le pas tjs si innocent) Louklouk, et je mise 100 kopecks sur Lange



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 09-09-2020

quatrième,


masque à gaz

[Image: 11361530.jpg]


Henry, prononcez NRI, car Henry est un anglais de pure souche. Il est même le dernier rejeton d'une famille noble. Il est même le 483ème candidat au trône d’Angleterre. Mais ça Henry s'en moque.

Henry n'a que 2 passions dans la vie :
- le sport en général mais le foot en particulier
- la deuxième est le sexe, le sexe sous toutes ses formes autant avec les garçons qu'avec les filles.

Dès sa puberté, sa sexualité exacerbée par ses hormones et son enfermement dans un collège privé de haut standing fit qu'il se renseigna auprès de ses compagnons de chambrée plus âgés qui se firent un malin plaisir de l’instruire.

Et comme tout le monde dans l'internat faisait comme lui, il n'en éprouva aucune honte malgré les mises en garde de son confesseur contre les choses du sexe.
C'est au cours de vacances à Ibiza, dans une des propriétés de sa famille qu'il gouta aux plaisirs féminins. Et là aussi il aima ce qu'il faisait.
Si bien qu'au fil des ans, il pratiqua les 2 sexes et devint un expert dans l'art de la séduction mais aussi celui de la pratique sexuelle.

Henry ne ferait jamais rien de sa vie, non pas qu'il était un incapable non, mais sa famille était si riche qu'elle lui versait une rente mensuelle qu'il n'arrivait pas à dépenser tellement elle était importante !
Henry était entré l'an dernier dans la fameuse université de Cambridge où tous les hommes de sa famille avaient usé leur pantalon sur les bancs de la faculté et lui par tradition familiale faisait comme eux.

Il y était entré sous la recommandation de plusieurs membre illustres de la haute société pour son adresse au foot et surtout son coup de rame reconnu en aviron.
On lui fit comprendre que ses notes seraient proportionnelles au nombre de buts qu'il mettrait et aux victoires qu'il remporterait en aviron.
Et comme je vous l'ai laissé entendre Henry est très doué en sport. C'est ainsi qu'il obtint toutes ses UE haut la main.

Mais, dans cette vie idyllique, Henry qui maintenant avait son chez lui s'ennuyait !
Il savait déjà qu'il avait obtenu suffisamment de bons résultats sportifs pour avoir son année. De plus ses amants ou ses maitresses l'ennuyaient par leur routine.

Aussi Henry s'offrait de temps en temps des escorts garçon ou fille pour pimenter ses soirées.
Et c'est au cours de l'une d'elle que discutant avec le garçon qu'il avait fait venir pour la nuit qu'il décida de devenir escort lui aussi pour s'occuper et varier les plaisirs.

Coaché par le garçon avec qui il avait parlé, il se créa une clientèle rapidement. Une clientèle de choix car Henry était très cher ! pas moins de 1000 livres pour une nuit plus les frais ! Et encore il n'acceptait pas tout le monde !

Les plans sexe traditionnel ne l'intéressait pas ! Il demandait à ses clients de se montrer originaux dans leurs demandes.
Il avait accepté celle-là qu'il trouvait originale. L'homme qui le louait pour la nuit voulait l'exhiber nu dans divers endroits de la ville.
Henry y avait mis un bémol. Il avait demandé à ne pas avoir le visage apparent. Son client avait accepté.

Rendez-vous fut pris sur un parking où le client demanda à Henry de se mettre nu. Il lui enfila le masque à gaz sur la tête, lui attacha un collier de chien autour du cou ainsi que des liens de bondage aux 4 membres. Puis il le fit monter dans une voiture de location dont il avait plié les sièges arrière et l'attacha avec des mousquetons aux fixations prévues dans le plancher de la voiture.

Cette photo est la première de son exhibition. Son client avait stoppé la voiture dans une station-service, était descendu, avait ouvert le coffre, avait retiré les mousquetons qui le tenait attaché au sol et lui avait demandé d'aller faire le plein pour lui.
Henry avait obéi et j'en ai profité pour faire cette photo.

Qui suis-je allez-vous me demander ?
Je suis le tapin avec qui Henry avait discuté. Et par mesure de sécurité Henry m'avait embauché pour la nuit et le suivre.
Et pour payement il me donnera ce qu'il touche plus un avantage en nature à définir entre nous quand on y sera !


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 09-09-2020

Idée intéressante.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Tonton Tim - 11-09-2020

Bonjour à tous,

Je ne comprends pas cette histoire de censure... la photo est toujours visible sur le premier pos5 et tellement floue que je ne vois pas où est le problème ...

J’aime bien l’histoire du pompiste pompé. Que j’attribue aussi à L’ange
Celle du gâte tapin aussi, celle-ci pourrait être de louklouk

Tonton Tim



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 13-09-2020

Je ne savais pas que les colleges de Cambridge accordaient des crédits d’UE sur base de mérites sportifs, c’est plus le fait des universités américaines, mais ok  Smile 
Pour le reste, récit léger, décalé et amusant, assez British du coup  Smile  J’ai souri à l’idée du mec qui devient escort par ennui, puis un peu aux pratiques bdsm light, qu’on peut être amené à tester pour la même raison, j’imagine  O.O
‘’Henry n'a que 2 passions dans la vie‘’  C’est un détail, mais Louklouk aurait écrit ‘deux’ en toutes lettres, je pense Smile



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-09-2020

le cinquième pompon,

masque à gaz

[Image: 11361530.jpg]

Il était un peu dans les vapes, le jeune Oscar, ce vendredi soir-là… Et qu’il avait envie d’aller se coucher !
Par chance, la Valérie était chez ses parents ! Car il eût été bien en peine de lui faire son affaire, à cette mangeuse d’hommes !
Il était donc onze heures vingt-cinq, et la relève arrivait dans cinq minutes. Quand… Quand… Il écarquilla les yeux… à la taille de roues de charrette : il y avait un mec à poil sous ses yeux, là, à la pompe numéro trois !
C’est qu’il tenait la caisse d’une station-essence en libre-service, le soir, pour financer ses études.
Courant août, il n’y avait guère de chalands, et le mec était seul à se servir mais… Ayant un peu affûté son regard embrumé, Oscar vit que le mec n’était pas à poil, à proprement parler…
Le type n’avait rien sur lui, fors une cagoule de cuir avec de gros yeux de verre, comme un scaphandrier, et, lui tombant du nez, un tube flexible qui allait jusqu’à sa bite, laquelle était enserrée dans une sorte de string ne couvrant que l’avant… Et un genre de grosses godasses militaires. Oscar croyait rêver, mais non : le mec raccrocha le tuyau, et revint à sa place, montrant son cul…
Il se gara juste à côté de la caisse, et ressortit ; au guichet, il tendit sa carte de crédit… et Oscar bafouilla :
— Monsieur ?
— Oui, c’est Monsieur ! fit le mec en se prenant le paquet. Ah ! Ah ! T’en vois pas tous les soirs, des mecs comme moi, hein, p’tite tête ?
— Heu…
— T’es mignon, toi !... T’as pas envie de te vider les couilles dans une ambiance sympa ?
— Ha… Euh… Non, non, ça ira ! Voilà, c’est fait, c’est payé, merci !
À ce moment la porte de la cabine s’ouvrit de l’autre côté, et son collègue de relève entra. Affolé, Oscar vit l’autre regagner sa tire, et il salua son successeur.
— Bonne nuit ! J’en peux plus, moi !
— Dors bien, mon pote !
Oscar sortit et alla quérir son vélo, et il allait sortir de la station quand une auto lui barra le passage. La vitre descendit, et il aperçut le mec à poil :
— Allez, tu mets ta bécane dans le coffre, et tu viens boire un coup !
— Non !
Alors le mec ôta son masque, et Oscar aperçut, dans la lueur blafarde de l’auto, un visage d’une trentaine d’années, et pas plus effrayant que ça, non !
— Viens ! Tu bosses, demain ?
— Euh… Non.
— Viens.
Le mec sortit de la voiture et en un tournemain le vélo d’Oscar se retrouva dans le coffre. Et Oscar à côté du mec qui démarra en trombe.
— Moi, c’est Martin. Toi ?
— Oscar…
— Génial ! Y a que toi au monde pour t’appeler comme ça… en dehors des rois de Suède !
— Hein !
— Oui. Et bien sûr de notre reine à tous… Oscar Wilde ! D’ailleurs filleul d’Oscar II de Suède.
Oscar se demandait où cet enlèvement le mènerait… Mais le mec continuait à pérorer, d’une voix calme… et il finit par apprendre ceci :
— Je me promène pas tous les soirs comme ça ! mais… là je me suis laissé piéger comme un con par mes potes… à qui je vais bien baiser la gueule !
— Heu… Je comprends pas tout, là, osa enfin Oscar.
— L’idée était de sortir comme ça, et de ramener un mec à la soirée où je t’amène.
— Mais… gémit Oscar, je peux pas, moi !
— Me dis pas que t’as un coup de prévu, ce soir ?
— Non, non, mais… je vais dormir !
— Ah ! Ah ! On va te remonter, p’tit gars ! J’te jure que mes potes sont équipés, ah ! ah !
— Ooooh…
On stoppa devant une belle villa d’un quartier tranquille, et Martin parut nu, ayant ôté son attirail.
— Vire tout, toi aussi ! ordonna-t-il.
— Mais… Non, non !
— Tu voudrais pas me faire perdre mon pari, mon bel Oscar ? fit le mec, en regardant Oscar dans les yeux, puis en lui posant un bisou sur la joue. Sois gentil, Oscar.
Oscar regarda le mec… qui avait effectivement l’air gentil, lui aussi.
— C’est… quoi, exactement ?
— Une soirée entre potes et potesses, un peu chaude, évidemment, mais sympa aussi ! Et si tu me fais gagner mon pari, je te remercierai bien, je te le promets !
— Et si tu le perds ?
— Ben… Dix mecs doivent m’enculer devant les autres.
— Mais… si tu le gagnes ? osa encore Oscar.
— Toi seul me le feras. Si tu veux. Sinon, on fera ce que tu veux, Oscar. Ah ! Si !... Je les baise tous… ou on se partage le boulot. Voilà.
Oscar resta baba. Il avait une fois réussi à sodomiser une de ses copines… mais il n’avait pas dans ses fantasmes de le faire à un mec ! Et là, c’était de la folie pure !
— Je te cache pas que je te préfère à cette bande d’ahuris !
— Oh… souffla Oscar, incertain. Mais là… qu’est-ce qui…
— Rien : tu parais à poil sous mon bras, et ils ferment leur gueule… évidemment, vu ce qui les attend. Après… c’est la suite de la partouze qu’ils ont déjà commencée en m’attendant ! Tu viens ?
— Je… Oh… Ben… S’tu veux…
— T’es un amour ! fit Martin, qui lui donna derechef un bisou… dans le cou. On sonne, et tu te déloques dans l’entrée.
Bien qu’un peu dépassé par ces étranges événements, Oscar commençait à être excité, tout de même : car la vie avec la Valérie n’était pas si agitée que ça !
On vint ouvrir, et un grand mec nu, fin et poilu eut un immense sourire :
— Oh p’tain !
— Tu me prenais pour une cloche, toi aussi ? fit fièrement Martin.
— Non, non… Venez.
Oscar se déloqua… ce qui lui valut un compliment discret de Martin :
— T’es super joli, toi, p’tit gars !
Un cri immense accueillit les mecs, dans le vaste salon… où tout le monde était à poil. Il y avait là autant de mecs que de nanas, soit une vingtaine de loupiots au total. Et d’aucuns semblaient ne pas s’ennuyer…
Le maître de maison, nommé Pierre-Luc, servit aussitôt des flûtes de champagne pleines à ras bord aux garçons… et Martin présenta Oscar à cette dépravée société… qui sur ordre de Pierre-Luc applaudit tout de même Martin, pas peu fier.
La vue des minettes ne cachant rien de leur intimité profonde aiguisa la curiosité d’Oscar… comme les bulles l’excitèrent aussi…
C’était la première fois qu’il était dans une partouze, à quoi il avait bien fantasmé… sans jamais oser s’arranger pour y participer. Et là, ça lui tombait tout cru dans le bec !
Pierre-Luc le prit par le cou d’une main… tandis que l’autre se saisissait de son kiki.
— Tu vas bien trouver à l’employer ici, ta jolie p’tite bite !
— Petite… t’en sais rien ! réagit Oscar, rieur.
— C’est vrai, ça ! Voyons donc…
Et Pierre-Luc de s’agenouiller devant Oscar pour lui prendre la quéquette en bouche, à l’intense stupéfaction du sucé. Car s’il avait largement fantasmé sur les partouzes, il n’avait nullement pensé à cette possibilité…
Alentour, la vie reprenait son cours… et il vit avec stupéfaction son ravisseur aller se poser entre les cuisses d’un grand noir pour le sucer aussi !
Il ne tarda pas à bander : son suceur était de première force… Mais aussi il vit un couple s’approcher de lui, et tandis que le mec, joli garçon d’ailleurs, lui mettait la main aux fesses, la fille, très belle rousse, lui saisit la bouche tout en lui prenant les mains pour les poser sur ses petits seins fermes et pointus… qui électrisèrent un Oscar friand de ces beautés-là.
Bref, Oscar se laissa aller sans autre forme de procès… et ne s’en trouva pas mal : il bandait comme un fou, et Pierre-Luc se releva pour lui demander à l’oreille :
— Tu veux fourrer ?
— Ben… Oh oui !
— Moi, ou une meuf ?
— Plutôt une chatte…
— D’accord, mais… tu me le feras aussi ?
— Euh… Oui, oui ! fit un Oscar un peu dépassé par l’urgence du moment.
— Tu veux la rouquine ?
— Ouiii !
— Fifine ! Tu t’occuperais pas de notre nouvel ami ?
— Et moi ? fit le mec.
— Tu me baises gentiment, mon poussin !
Ainsi fut fait. Les petits seins pointus de Joséphine, comme sa mignonne chatte auréolée de feu mirent Oscar en transe, et il ne tarda pas à la baiser avec ardeur.
Tandis qu’il matait du coin de l’œil le maître de maison se faire défoncer par le joli châtain qui lui pelotait le cul tantôt ! Et, à son étonnement, il fut excité par ce spectacle, nouveau pour lui… Bref, il en donna à la Joséphine plus qu’elle n’en aurait sans doute attendu du joli mecton, nommé Kévin, qui fourrait Pierre-Luc comme un damné, à cinq centimètre d’eux…
La proximité d’ailleurs fit perdre à Oscar toute notion des bonnes manières et… sans même y penser, il alla poser la main sur le petit cul pâle de Kévin, qui feula un « Ouais ! » assez encourageant…
Tout en bourrant une Joséphine fort satisfaite (eu égard aux décibels rugis par la belle), il était excité par ce qu’il voyait à côté et… il alla jusqu’à pousser une phalange dans le petit trou de Kévin. Puis deux, puis… un, et deux doigts.
Bref, Oscar parut s’intégrer à l’ambiance générale. Et avec le sourire ! La petite chatte rousse se trémoussait fort gentiment autour de sa bite ; il pelotait un téton de la belle d’une main et lui suçait l’autre, avec deux doigts bien fichés dans la rondelle du baiseur limitrophe… Oui, un bon p’tit moment, qui le porta à des incandescences inconnues du Réchauffement lui-même !
Il fallut bien jouir, enfin… Et ce ne fut pas sans ameuter le voisinage par quelques excès vocaux.
Ces quatre loupiots se retrouvèrent à la douche, italienne mais peu large, avant de s’aller rerincer le gosier aux bulles ici omniprésentes. Et l’on papota, entre garçons… Oscar eut la surprise de rencontrer là des mecs sympa et bien élevés. Fifine ayant quitté les lieux, elle fut remplacée par Martin… et tandis que Pierre-Luc saluait tout son monde… dans une ambiance de rut sauvage — il fallut ouvrir tout grand les écoutilles pour revenir à la saine pollution urbaine — on finit par se retrouver à quatre, Pierre-Luc le bras passé sur l’épaule d’un Oscar qui n’y voyait pas malice.
— Bref ! fit enfin Martin, Oscar s’est pas fait baiser… et il a baisé aucun de nous ! C’est-y pas louche, ça ?
— Il me l’a promis, à moi ! s’écria Pierre-Luc.
— Et nous ? demanda le gracieux Kévin.
— Je… Je suis pas gay, vous savez ? fit Oscar, timide.
— T’as une super belle queue, pourtant et… oui, tu mériterais vraiment de l’être ! affirma Martin, tout sourire.
— Si tu me le fais, peut-être que t’auras aussi la gentillesse de le faire à mes amis ? souffla Pierre-Luc.
— Et puis… il y a ce putain de pari ! reprit Martin.
— C’est pas nous qui sera les plus navrés ! fit Kévin sur un ton comique, qui fit éclater de rire.
— Je sais pas tout, là, murmura Oscar en buvant une gorgée de bulles. M’en veuillez pas si…
— Tu baises la Fifine autant que tu veux… mais tu nous baises aussi… sinon on raconte tout aux journaux ! affirma Martin, sérieusement.
— Hein ? Mais quoi ?
— Tout !
Les autres éclatèrent de rire, et l’on poursuivit sur ce mode avant qu’Oscar acceptât de dormir céans, comme les deux autres. Il partagerait le paddock de Pierre-Luc.
Ce fut la bouche de Pierre-Luc qui réveilla ce gentil garçon. Au milieu des soupirs, qui durèrent, il finit par ouïr des voix, et sûrement pas celles de la police des mœurs !
Il se sentit poser sur le museau un fort élégant mandrin, tandis qu’une langue délicate lui entreprenait les parties sacrées. Ouh ! Le bel ensemble de sensations qu’il subissait là ! Il osa ouvrir la bouche et pour la première fois connut un gland sur la langue. Bizarre, mais chaud, ferme et doux… Dès lors, il décida de garder les yeux fermés… et comprit qu’on avait compris, justement, alentour ! Dès lors, les choses prirent un côté tournant qui pouvait en remontrer aux valses de Vienne !
Il dut se soulever un peu, afin qu’on lui broutât la rondelle… avec là encore une réelle alternance des compétences… qui se complétaient si bien !
Enfin, il sentit qu’on s’empalait sur son roide vit. Sans qu’on cessât de se faire sucer, ni de lui titiller la rondelle. Et l’on changea donc : on lui offrit donc trois queues un peu mouillées, certes, mais si douces à sa bouche ! Et autant de langues sur sa fraîche rondelle…
Il se sentit, l’œil toujours clos, nettoyer la quéquette, qu’on resuça avec ardeur, en alternance… Enfin, il annonça devoir déborder… un gosier avala son entier plaisir.
— Je t’aime ! dit alors une voix… celle de Pierre-Luc.
Oscar ne répondit pas. Enfin, pas ce matin-là. Mais…
Mais il resta, ce matin-là, chez Pierre-Luc. Qui ne dit rien. Et qui fut lui-même en toutes choses. Lorsque enfin Oscar décida de quitter les lieux, il savait qu’il ne pourrait faire autrement qu’y revenir, et vite, encore !
Là, il vient de sentir en lui la longue beauté de son amoureux. Et de lui dire enfin son amour.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 18-09-2020

Coucou les gens,

Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" :

Le retardataire – Anonymous

1 - [member=168]lelivredejeremie[/member]
2 - fablelionsilencieux
3 - [member=28]Lange128[/member]
4 - [member=206]gaetanbg[/member]
5 - [member=87]Louklouk[/member]


Renardeau, c'est ton tour, nous attendons ta photo !



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 18-09-2020

Merci à ceux qui ont commenté mon texte, je n'arrive pas à écrire sans qu'on me reconnaisse, je ne cherche pas à me camoufler non plus. J'ai eu de la peine à trouver une idée avec cette photo et mon histoire n'était pas très réaliste, comment faire autrement ?




Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 18-09-2020

(18-09-2020, 05:14 PM)Lange128 link a écrit :Merci à ceux qui ont commenté mon texte, je n'arrive pas à écrire sans qu'on me reconnaisse, je ne cherche pas à me camoufler non plus. J'ai eu de la peine à trouver une idée avec cette photo et mon histoire n'était pas très réaliste, comment faire autrement ?

Pour ma part, c'est le coté surréaliste de ton récit que j'ai trouvé savoureux ! Mais Daniel reste lange et inversement, même sans signature tu fais partie des auteurs "à pattes " puis à force, on se repère aux détails. (aussi minime que l'orthographe d'un chiffre, pour un petit rusé)


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 18-09-2020

(aussi minime que l'orthographe d'un chiffre, pour un petit rusé)

Ca devient compliqué de retrouver les auteur, chacun essayant de se défaire de ses 'gimmicks', mais il y a des trucs qui, inconsciemment, retourneraient l'estomac d'un vrai littéraire, et là, sauf le respect dû à tout le monde, ça dirigeait forcément vers Loukouk ou Lange Wink

Comme le dernier était du Louklouk pur jus (mais merci pour la confirmation) Wink