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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 01-08-2023

Sans nier qu’il y ait parfois des problèmes, il y a 175 ans que la Suisse fonctionne de cette manière, alors que l’État fédéral belge est beaucoup plus récent.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 01-08-2023

Bonne fête nationale Suisse.

Ça me rappelle à l'adolescence dans un camping où il faisaient une soirée pour les fêtes nationales française, belge et suisse.
Pour cette dernière, il y avait tous les ans une question qui revenait au micro de l"animateur :
- Comment ou fait des petits suisses ?
et certains répondaient :
- Comme les petits français !

Je ne sais pas si cet intermédiaire entre le yaourt et le fromage existe en Suisse sous ce nom là.

En tout cas, effectivement, avec le 4 juillet que Fab avait signalé, ça fait pas mal de fêtes nationales regroupées en moins d'un mois d'été. À croire que même avant les congés payés, c'était la saison où es gens sortaient le plus pour faire des trucs à l'extérieur. Toutefois, en regardant l'ensemble des fêtes nationales de tous les pays, il semble qu'il y en a en toute saison.

Pour les auteurs Suisses, j'ai moi aussi pensé d'abord au rouquin frisé qui arrive en 2ème position pour le nombre de messages sur ce forum, mais effectivement Klo7514 me fait penser aussi à l'auteur des alpages.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 02-08-2023

Notre royauté ne tient probablement qu'à la météo favorable de juillet qui a amené Léopold-le-premier tranquillou à Ostende (et à un Parlement surtout catho et anti-républicain)
Les Suisses avaient p-ê tout compris plus tôt...


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 02-08-2023

(01-08-2023, 10:51 PM)bech a écrit : Je ne sais pas si cet intermédiaire entre le yaourt et le fromage existe en Suisse sous ce nom là.

Oui, on peut aussi trouver ce produit en Suisse sous le nom « Petit Suisse » (je ne le savais pas, je n’en mange jamais). Ce sont des noms liés à une localisation qui deviennent universels, on avait déjà parlé une fois du gruyère et de l’emmental. Il y a aussi les capotes anglaises, que les Anglais attribuent plutôt aux Français (French letters)...


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 02-08-2023

[Image: image_10195_1-Vikings.jpg]
Second "viking"

Le Beau Viking

On était au Musée de la Marine... qui avait été choisi pour sa proximité avec le logement étudiant où la classe passerait trois jours, en guise de voyage de fin d'année : c'était la tradition de cette boîte chic.
— C'est une vision romantique, mais qui me semble assez réaliste d'un drakkar, dit le prof d'histoire, qui drivait cette jeune troupe.
— Pff ! Il sait même pas que les drakkars, ça n'existe pas ! entendit souffler derrière lui Kévin.
Qui se retourna sur Quentin, le premier de la classe, mais aussi un insupportable prétentieux.
— Tu dirais quoi, toi qui sais tout ?
— Ça s'appelle un knörr. Drakkar est une invention idiote du XIXème.
Une tête à claques, mais qu'il était beau, nom de dieu ! songea Kévin. Grand et fin mais musclé, blond cendré à l'œil bleu, il ressemblait d'assez près à un dieu scandinave. Et si Kévin ne l'avait regardé que de loin pendant l'année, ce n'était pas le cas de toutes les filles, dont il se disait que cette beauté faisait grande consommation...
— Et comment tu sais ça ?
— J'ai lu tout Régis Boyer, moi ! Sûrement pas lui !
— C'est qui, çui-là ?
— J'te dirai. [Régis Boyer, 1932-2017 : grand spécialiste de la chose scandinave]
Kévin laissa tomber, et une fois la visite terminée, on regagna les chambres, qui n'avaient pas encore été attribuées, car on était arrivé tôt le matin, en car. Et là, surprise ! Car ce fut avec Quentin que Kévin dut partager sa carrée...
— Bon ! J'espérais qu'on pourrait se caser avec une meuf, ronchonna Quentin, mais bof... j'ai toujours pensé que t'étais moins con que les autres, mon pote, alors banco !
Il avait débité ça dans un sourire... à tomber par terre. Disons ici que Kévin était un genre de puceau qui se demandait bien par où commencer... vu qu'il fantasmait un peu à droite et à gauche... mais fuyait soigneusement toutes les avances que lui offrait son joli minois.
— Bon, j'me douche ! déclara Quentin en se déloquant.
Kévin dut avaler sa salive, car s'il avait aperçu mainte fois Quentin sous la douche à la piscine, il l'avait là... en vrai !
— Eh ben ! Fais pas cette tête-là ! Tu viens ?
Kévin se désapa donc, et suivit Quentin à la petite douche italienne. Où il ne tarda pas à bander...
— Ouaouh ! Il est chaud, le Kévin ! C'est moi, ou t'as pas baisé depuis trois jours ? s'exclama Quentin.
— Si on te le demande...
— Oh, excuse-moi, je voulais pas te gêner ! Juste un mot : elle est super belle, ta queue et... Oui, super belle ! P'tain... j'vais avoir du mal à assurer, moi !
— Rassure-toi, je te demande rien !
— T'es gentil... et beau, Kévin. Content d'être avec toi dans la chambre, tiens !
On se sécha vite fait, car le temps était compté, et l'on enchaîna les visites de la grand ville. Mais maintenant, Quentin était toujours près de Kévin, même quand iceluy se rapprochait de ses potes...
Et il ne manquait pas de lui sourire, voire de lui toucher la main. Kévin se demanda ce qu'il avait dans le citron, ce mec-là. On ne lui savait pas de copinages, dans la classe, et apparemment, nul ne le connaissait vraiment. Et là... il paraissait que cette beauté locale — les nanas n'en pouvaient plus ! — s'intéressait à lui...
Où il se laissa faire, rendant à Quentin ses sourires, et restant toujours près de lui. Étrange sensation, que celle de croire plaire ! Il en était là, le timide Kévin.
Le dîner était prévu dans une brasserire « typiquement parisienne » et bien sûr, ces garçons y furent l'un contre l'autre... Où Kévin sentit plus d'une fois la main de Quentin se poser sur sa cuisse, tandis que ce garçon lui offrait un sublime sourire !
On réintégra la chambre... où Quentin sortit de son sac une bouteille de vodka.
— Hein ? Mais t'as trouvé ça où ? demanda Kévin.
— En douce, chez l'Arabe du coin, pendant que tout le monde écoutait le prof !
Kévin éclata de rire : trop, ce mec ! On picola donc gentiment... et comme Quentin avait ordonné la douche, autant vous dire que la quéquette à Kévin s'y montra sous son meilleur profil !
Quentin, lui, l'avait à demi dure, et il prit la main de Kévin pour se l'y apposer :
— Aide-moi, garçon, il faut comparer ! susurra-t-il.
Kévin branla donc doucement le bel objet... qui crût aussitôt de la belle manière ! Et Quentin constata que sa bite était moins longue que celle de Kévin... mais aussi belle. Kévin confirma le jugement.
— Content de t'avoir rencontré, mec ! J'ai toujours pensé que tu étais différent des autres... Et boum ! On se retrouve ensemble !
— Alors pourquoi on s'est jamais parlé ?
— Ben... tu sais... je pense beaucoup aux nanas...
— T'en as besoin ?
— Ouais, j'aime le cul... et toi ?
— Oh, moi... J'y connais rien, avoua Kévin sans réfléchir.
— Tu voudrais que... je te donne des conseils, des trucs ?...
— Ben... ouais, ce serait sympa.
On sirota encore un peu avant de dormir. Mais au mitan de la nuit, Kévin s'éveilla, et il ouit un bruit... caractérisque.
— Tu dors ? souffla Quentin.
— Non... Toi ?
— J'me branle. Allume ta lampe... Tu viens avec moi ?
Le cœur battant, Kévin alla rejoindre Quentin et se colla contre lui. Dans la faible lumière, le chibre de ce mec lui semblait... magnifique. Et l'on se palucha de concert un joli temps, avant de déborder de la belle manière.
Et l'on n'alla même pas se doucher avant de se rendormir.
— Ouaouh... souffla Quentin au matin. Première fois que je dors avec un garçon !
Et de saisir la roide quéquette d'un Kévin qui se crut obligé d'en faire autant, et dieux que ce lui fut agréable !
— P'tain ! Première fois que je paluche un mec, bébé ! souffla Quentin. Ouais, c'est bon, plus fort !... Oh, tu m'excites à mort, là ! Tu veux quoi, toi ?
— Pareil, oui... Plus fort !
— Oh, bébé ! T'es bon, t'es doux, t'es parfait, va, va !
Inutile de vous conter la suite : après qu'on eût explosé ensemble, Quentin se saisit vivement de Killian et murmura :
— P'tain ! Je délire, là ! T'es génial, mec !
Kévin sourit doucement, et Quentin continua :
— Mais toi ! Dis quèque chose !
— Ben... oui, c'est super, mais... on n'est pas des mecs, tous les deux ?
— Ah ! Ah ! J't'adore, toi ! Ah ! Ah ! Oui, des mecs... et alors ? Ah ! Ah ! Ah ! Quand il s'agit de jouir, on n'a pas besoin de sortir son pédigree, ah ! ah !
— T'es cool, toi !
— Y a le feu nulle part... sauf à ma bite, ah ! ah ! Oh, Kévin, je veux pas te choquer, là : mais... j'aime le cul, et s'y a pas de chatte... on est bien obligé de s'amuser tous seuls, non ? S'tu veux, je t'en cause plus du tout !
— Oh si, si... t'as raison, oui... fit un Kévin un peu dépassé... mais finalement intéressé par cette soudaine et bizarre relation avec l'incomparable Quentin.
Où ce garçon vint lui mettre un bisou dans le cou, et même plusieurs...
— Je trouvais ça un peu ringard, ce voyage de fin d'études, mais finalement... j'vais encore apprendre des choses !
Kévin regarda le garçon : Quentin était une beauté, rien d'autre à dire. Et il eut envie de lui faire confiance.
Visites et visites, tel était le programme du jour, évidemment. Et Kévin eut plaisir à y être toujours accompagné du beau Quentin... qui ne pouvait s'empêcher de ramener sa science, mais qui désormais faisait pouffer Kévin en douce. On sortait d'un musée quand Kévin entendit :
— Jamais sucé un mec, moi... Je commence ce soir.
— Hein ? sursauta Kévin, mais...
— Chut ! J'te mettrai un gant de toilette dans la bouche, pour pas que tu gueules trop fort, bébé, tellement que tu vas jouir comme un dément !
Il en resta coi, le supposé futur sucé ! Mais ne cessa d'y penser toute la fin de l'après-midi. Après le dîner, on avait quartier libre, avec couvre feu à onze heures. Mais Quentin driva vite fait Kévin vers leur chambre... et sortit une bourteille de gin de son sac.
— Faut que j'me donne un peu de forces avant de me faire ma première queue, bébé ! Tu sais que t'es vraiment le premier, hein, p'tit gars ? Me déçois pas !
Kévin se croyait sur une autre planète, mais la beauté et le naturel de Quentin le rassuraient. Ce mec disait des énormités — pour lui, en tout cas ! — avec la grâce innocente d'un enfant de chœur. Douche prise, on se posa nu l'un contre l'autre pour siroter.
— Je vais te sucer, bébé... Ça m'étonne moi-même... mais je vais le faire. Dès que j'ai vu qu'on était ensemble ici... je me suis dit que... il se passerait des choses. J't'adore, Kévin.
On avala encore quelques gorgées, et Quentin passa à l'action. Kévin l'avait déjà à demi dure, et il n'eut point d'effort à faire pour se la sentir roidir... Quentin n'y alla pas par quatre chemins, qui pompa comme un pro dès l'abord, faisant immédiatement gémir un Kévin vite propulsé vers des horizons intersidéraux ignorés de ses services !
Ayant oublié le gant de toilette, Quentin releva le museau :
— Ho ! Ça te plaît ?
— Putain, oui... C'est génial ! feula Kévin.
La séance fut chaude, et longue avant que, Kévin gémissant un peu trop fort, Quentin s'en inquiétât :
— C'est pas bien ?
— Si, si, mais... je vais jouir, là... On change !
Alors Kévin se mit en devoir d'organiser un soixante-neuf, sous le regard épaté de Quentin. Qui s'y remit avec ardeur !
Ce fut enfin lui qui prit en premier le petit jus blanc de Kévin sur le museau, et en rigola. Mais Kévin continuait à le pomper avec vivacité... et lorsqu'il déborda, il eut l'incroyable surprise de voir ce mec l'avaler en entier.
— Oh ! Oh ! Mais, Kévin... Bébé !
— Miam !
— Mais, Kévin ! Y pas une meuf qui te fait ça !
— Kévin est pas une meuf. Mais... maintenant que tu m'as fait un bébé, tu vas être obligé de m'épouser !
Quentin resta un temps sidéré, et bien incapable de parler.
— Pourquoi ? murmura-t-il enfin.
— Toi aussi, t'es mon premier garçon. Et peut-être que tu seras aussi le plus beau, et le plus gentil de ma vie, voilà.
Il ne s'attendait pas à ça, le fringant Quentin, ah non ! Il resta un temps hébété, et Kévin finit par souffler :
— Il nous reste deux nuits ici, et après t'as toutes les chattes du monde à ta disposition, Quentin !
— Non ! s'écria le garçon, non ! Pas toutes les chattes !
— Est-ce que... je t'ai choqué ?
— Mais non, non, Kévin, non ! Mais c'est si... si...
— Bon ! On picole, on dit des conneries et on rigole, et voilà... tu crois pas ?
Quentin opina et l'on fit ce qu'annoncé. Mais après qu'on eut éteint, vers onze heures et demie, Quentin murmura :
— Ça t'embête si je viens dormir avec toi ?
— Ça m'embêterait que tu viennes pas, surtout !
Couvre-feu ou pas, on eut du mal à s'endormir. Le moment fut doux, tendre et plein d'une émotion qui prenait ces garçons à la gorge. Il parut qu'en ces moments de silence et de caresses, on en disait des choses !
Ce fut Quentin qui éveilla Kévin en le suçant, et qui tint à en avaler la substantifique moelle, évidemment. Kévin, lui, désira se faire arroser le museau, les yeux en ceux du Beau Viking — ainsi l'avait-il surnommé entretemps.
Nouvelles visites, et des photos par centaines... et pas seulement des monuments historiques !
— Ce soir, on se prend aussi la queue ! souffla soudain Quentin après une énième séance de selfies sur fond de Tour Eiffel.
Kévin était sur un nuage : lui qui ne savait à quel sexe se vouer, il avait là plus qu'un début de réponse !
— Je commence à gamberger sur un truc, Bébé ! déclara Quentin avant de rentrer. Tu fais quoi, en juillet ?
— Rien de prévu.... La famille, sans doute...
— Mes vieux en font autant : et si je leur disais que je reste ? Tu pourrais venir chez moi, et hop ! Y sont pas chiants, et me font confiance... Alors ?
— Et si... je finis par t'ennuyer, au bout d'une semaine ?
— Vu comme c'est parti, ça m'étonnerait, Bébé ! Et puis... je crois qu'on sait pas encore tout... de c'qu'y faut savoir !
Réplique assortie d'un sourire à faire tomber les murailles ! Ça allait un peu loin tout ça, mais... comment résister à cette beauté, et à ce charme... surnaturels ?
Les temps restant au logis fut naturellement consacrés à des pipes sans fin, et des léchouilles qui se firent de plus en plus précises... Au matin du retour, Quentin osa mettre la langue entre les petites fesses de son nouveau pote... qui gémit délicieusement...
Dans le fond du car, on était assez tranquille pour avoir la main sur le paquet de l'autre pendant tout le voyage : deux heures d'excitation garantie ! Le projet de Quentin était bouclé : les parents des deux étaient d'accord, et l'on s'arrangerait pour la pension de Kévin... encore que Quentin eût soufflé :
— Je leur ai pas dit que tu paierais ta pension en nature !
Le magnifique appartement de Quentin parut être à Kévin une sorte d'Éden... Comme annoncé par Quentin, on alla jusqu'au fond des choses... si vous me suivez. En pas plus de deux jours !
— Quand je pensais que tu valais mieux que les autres, j'imaginais pas être autant en dessous de la réalité ! affirma Quentin, après qu'il se fut fait déflorer. Kévin... Je t'aime !
— Mais, Quentin, tu... Les nanas...
— Chut ! Dis pas de bêtises : depuis qu'on s'est rencontrés, on n'a pas eu un seul point de désaccord... Oh, Bébé ! Tu vois pas qu'on va dans la même direction, ensemble ? Moi, je veux essayer, et je vais réussir, avec toi !
— Oh, Quentin... bêla Kévin, mais... moi aussi, je t'aime !
Tableau final. Ces jeunes gens furent dans la même fac, puis dans la même vie, heureux.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 02-08-2023

Autant j'ai encore un léger doute pour attribuer le premier à Lange, celui-ci est du Louklouk AOC ! L'hétéro 'retourné', la gâterie inédite (normalement maladroite) qui se termine en explosion, les moments de doux câlins, tous les éléments sont réunis Smile

Tout mec à chattes qu'il soit, le Quentin justifie vraiment très facilement par leur absence son plan B par défaut et enchaine les propositions de découvertes, pour le plaisir de Kévin, mais surtout le sien (où était mon Quentin en voyage scolaire à Paris à 15 ans, dont le point culminant a été une branlette de groupe que j'avais hypocritement prétendu ne pas pouvoir conclure car "nan, mais c'est trop bizarre, les mecs''... ¬_¬ )


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 06-08-2023

(24-07-2023, 12:24 AM)lelivredejeremie a écrit : De drôles d’expressions m’ont fait penser à un auteur québécois, mais des caméras de surveillance dans les toilettes et une exclusion d’un an si on pisse dans la piscine, des conventions hygiène internationales, des combis de bain aussi couvrantes que des combis de plongée, sérieux ? Ca se passe où ? Et surtout quand ? C’est Orwellien :’/

Heureusement, il y a le régulier effet de balancier autorise à nouveau presque tout, ils auront dû attendre l’âge de la retraite pour le voir… ¯\_(ツ)_/¯
Maintenant qu'on est passé à la série des bateaux vikings, je peux répondre à la question "Ça se passe quand ?" bien que pour moi, la réponse était évidente.

La 2ème partie se déroule 5 ans après un changement de siècle alors que le plus jeune des deux approche l'âge de la retraite à 70 ans (il en a donc 69).

Dans la première partie, il y a des allusions à des évolutions de youtube dont certaines se sont réellement produites. Pour que le grand-père ait pu récupérer des vidéos un peu osées sur youtube, il faut qu'il les ait trouvé vers 2010 ou 2015 quand il en avait.

Le changement de siècle de la 2ème partie est donc celui de 2100 et en 2105, Gaël a 69 ans.

S'il en avait 18 lors de la rencontre avec l'arracheur de serrures, leur rencontre s'est déroulée en 2054.

Ça se passe ou ? Ben, étant français,je verrai bien que ça se passe en France, mais sur ce point, d'autres pays d'Europe pourraient convenir.
Dans les propos de l'auteur, il est dit : "des sociétés américaines ont réussi, en pratiquant la censure, à imposer la pudibonderie américaine comme norme mondiale". Ce qui laisse supposer que l'auteur du récit n'approuve pas cette évolution et que celle-ci est vue de l'extérieur des États-Unis d'Amérique.

Effectivement, la situation est Orwellienne. Mais 50 ans plus tard, elle s'améliore avec le retour à la nudité dans les piscines et la réapparition des gay-prides.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 07-08-2023

(06-08-2023, 08:46 PM)bech a écrit : ... je peux répondre à la question "Ça se passe quand ?" bien que pour moi, la réponse était évidente. La 2ème partie se déroule 5 ans après un changement de siècle alors que le plus jeune des deux approche l'âge de la retraite à 70 ans (il en a donc 69).
Dans un avenir relativement proche, donc, après la vague de 'wokism', effet de balancier, retour des valeurs morales, puis que... Bien pensé  Smile

J'espère que nous ne prendrons jamais que les à-côtés marrants de la 'culture' américaine, et pas leur 'pudibonderie', assez hypocrite au final.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 08-08-2023

[Image: image_10195_1-Vikings.jpg]

troisième "viking"


Bong, bong, bong, bong, bong, bong !
— Pffoouuu ! OOOUUUUUUUUUUUh !
Bong, bong, bong, bong !
— oooooooOOOOOOOUUUUUUUUUUUuuuuuuh !
— Je sens que l'écume va arriver.
— Oh oui, envoie l'écume, plein d'écume sur ma coque ...
Bong, bong !
— aaAAAAAAAAAAAAHHHHHhhhhh !
— oouuuuuu ...... !
— Ça y est, la mer se calme.
— À mon tour !
BONG ! BONG ! B...
CRAAAAK ! BLAAAAAM !
— OUILLEE ! ARRRRG ! MON PIIIIIEEEEEED !
— Fais voir ! Ah oui, tu t'es pris un sacré coup.
— Et ça fait maaaaal ! Putain, comment je vais faire maintenant pour rejoindre le bateau ?

Bon, vous nous avez vu en pleine action, mais on ne s'est pas encore présenté. Moi, c'est Björn et lui c'est Linus. Nous faisons tous les deux partie de la marine de notre roy Gustave II Adolphe. Ce dernier après de nombreux revers de notre marine, il faut dire composée d'embarcations assez légères comparées aux bateaux Polonais et même Danois a décidé de faire construire les plus grands navires de guerre de tous les temps. Sur une série de 5 bateaux, le premier va prendre la mer cet après-midi. Il est équipé de 72 canons comme l'a demandé notre roy, alors qu'au départ, le constructeur n'en prévoyait que les 2/3. Face à telle puissance de feu, nos ennemis vont faire pâle figure et ça permettra à notre royaume de récupérer sa place légitime au niveau du contrôle des mers.

Sinon, nous deux, on a une autre particularité. Alors que beaucoup de marins attendent une occasion de débarquer pour prendre du plaisir (et plus si affinité même provisoire) avec des jeunes filles, nous, on se suffit à nous-même. J'aime Linus et Linus m'aime. Et comme on est deux hommes, on peut rester ensemble en mer. C'est sûr qu'il ne faut pas trop compter sur nous pour agrandir le royaume avec de nombreux petits suédois. Certains nous le reprochent. Mais d'un autre coté, on leur fait remarquer qu'à chaque escale, on laisse toutes les jeunes filles pour eux.
D'autre part, si en début de traversée, beaucoup de marins nous montrent leur hostilité teintée de jalousie, certains finissent ensuite par se calmer et nous envient. À ce moment là, lorsqu'ils redeviennent sympa avec nous, on n'est pas salauds, et un leur enseigne des trucs qu'ils peuvent pratiquer avec les moyens du bord. Et au bout de quelques semaines de traversée, un marin en manque n'a pas de difficulté pour trouver un moyen du bord dans le même état que lui.

Néanmoins, comme on va inaugurer un nouveau bateau, l'équipage est nouveau lui aussi et nous savons par expérience que prendre du plaisir entre mecs peut être très mal vu les premiers jours. Alors on prend un acompte avant de partir. J'habite Södermalm et dispose (enfin, je disposais il y a encore une ou deux minutes) d'un grand lit alors que Linus est de Norrmalm, plus près du port qu'on doit rejoindre, mais sa couchette est deux fois moins large. Donc, c'est chez moi comme d'habitude qu'on a choisi de prendre l'acompte et se disant qu'en deux heures de marche, on arriverait largement à temps pour embarquer. Lorsqu'on se donne du plaisir à terre, on aime imiter le bruit du vent lors d'une tempête ainsi que le roulis et le tangage du bateau. Vous avez pu le constater en nous observant, je crois qu'on est resté un peu gamins.

Mais là, si Linus ne peut plus marcher, les 4 heures qui nous restent pour rejoindre le port risquent d'être courtes. Linus me propose d'y aller tout seul, mais je ne veux pas l'abandonner. Je passe chez l'apothicaire pour expliquer le problème, il me vend une pommade des planches de bois et de la ficelle pour les attacher. Mais il propose aussi qu'on aille voir Ingvar le charretier pour nous faire transporter. C'est une excellente idée.

Plus que 3 heures pour rejoindre le port, mais grâce à la charrette, en moins d'un heure, ce sera fait. Nous quittons Södermalm en direction de Gamla Stan mais au fur et à mesure qu'on y arrive, il y a de plus en plus de monde sur la route. Visiblement une grande partie de la population de Stockholm a décidé de grimper sur les collines de Gamla Stan pour voir passer notre bateau. Bon, après tout, il suffit de contourner la colline pour continuer en direction du port. Mais il y a tellement de monde qui circule dans l'autre sens qu'on ne peut plus avancer. En fait, comme une charrette est plus large que 2 piétons, c'est même pire pour la faire avancer à contre sens et Ingvar nous conseille de descendre et nous souhaite bonne chance.

Nous voila à pied après avoir fait seulement un tiers du trajet. Dans un peu plus de 2 heures, notre bateau devrait partir et même à pied, on n'arrive plus à remonter les piétons qui marchent dans l'autre sens et trouvent qu'on les gêne en leur bloquant le passage. Perdu pour perdu, on finit par suivre un peu la foule pour s'approcher des rives de Gamla Stan. Il y a même une charrette qui nous prend en chemin et finalement, on dispose d'un beau point de vue pour voir le bateau sortir du port sans nous alors que la foule qui nous entoure est en liesse. Nous faisons notre possible pour cacher notre détresse. Nous somme déserteurs de l'armée du roy et peut-être que nos jours sont comptés. Linus aura peut-être une excuse avec son pied endommagé. Mais moi, comme mon compagnon me l'a dit, j'aurai pu rejoindre tout seul le bateau et je ne l'ai pas fait espérant qu'on puisse y arriver tous les deux.

Il faudrait mettre au point un scénario. Du genre, j'ai rencontré Linus en chemin, mais il avait tellement de difficulté à marcher qu'en l'aidant, ça nous a fortement ralenti tous les deux. Et lorsqu'à quelques centaines de mètres du bateau, on a vu qu'il retiraient la passerelle, on était tellement désespérés qu'on est resté sur place plutôt que de penser à faire la centaine de mètres manquante pour signaler notre retard. Si on est crédibles, j'aurai peut-être la vie sauve.

Le bateau passé, alors que les spectateurs continuent à le regarder partir, nous choisissons de continuer notre chemin vers Norrmalm pour rejoindre le logement de Linus. La circulation est beaucoup plus fluide et une charrette finit par nous prendre. Arrivés chez Linus, nous passons du temps à nous câliner étant donné que nous ne savons pas pendant combien de temps nous en aurons encore la possibilité. Et puis, au bout de quelques heures, alors que je décide de sortir pour chercher de la nourriture, Linus décide de m'accompagner. De toutes façon, maintenant, on n'est plus à la bourre. En chemin, des nouvelles arrivent à nos oreilles : notre bateau, le Vasa n'a parcouru qu'un peu plus d'un kilomètre avant de chavirer et de sombrer.

Quelques jours plus tard, on annonce de nouveaux recrutements dans la marine de notre roy. Est-ce une bonne ou une mauvaise idée d'y aller ? De toutes façon, marin artilleur est le seul métier que nous connaissons. Donc, on va tenter notre chance. Il y a une foule de jeunes qui attendent déjà. Il faut dire qu'après le naufrage, ils ont annoncé une hausse de 50 % du salaire des débutants pour encourager les volontaires. On se met dans la file d'attente comme tous bons suédois. Tien, c'est le capitaine de bateau qu'on voit sortir d'un bureau et plus moyen de se défiler, il vous a reconnu.

— Björn Larson et Linus Rygberg, quelle bonne surprise ! Je pensais que vous faisiez partie des disparus. Venez directement dans mon bureau, je prends 10 minutes de pause et je m'occupe de vous. Ça ne retardera pas beaucoup les autres candidats.

Bon, il avait l'air content de nous revoir, le capitaine. Peut-être que finalement, on va pouvoir s'en tirer. Au bout d'un certain temps, il revient.

— Oui, je disais que je pensais que vous faisiez partie des disparus. Je ne me souviens pas de vous avoir noté sur la feuille d'embarquement qui a de toutes façon disparue en mer. Linus, j'ai remarqué que tu sembles avoir assez mal au pied.
— Oui, mais ça s'améliore. J'avais beaucoup plus mal le jour du départ du bateau (oh la gaffe !).
— Oui, il a chaviré très violemment dès qu'il y a eu un coup de vent un peu fort. Avec le constructeur, on pense tous les deux qu'il y avait trop de canons à bord, ce qui a déséquilibré le navire. Mais son équipement a été réalisé conformément aux ordres de notre roy. D'autres marins ont été blessés à cette occasion. Ceux qui s'en sont sorti sont ceux qui se sont retrouvés à l'eau lors du basculement du navire ou qui ont pu plonger peu après. En gros ceux qui étaient sur le pont supérieur. Mais vous étiez affectés au pont inférieur et vous faisiez partie des disparus, une manière de qualifier les marins morts noyés dont on n'a pas retrouvé les corps. Content d'apprendre que finalement deux de mes disparus ont refait surface. Et je présume que toi, Björn, tu as aidé ton compagnon Linus après qu'il se soit blessé au pied.
— C'est évident, je n'allais pas l'abandonner dans cet état !
— Encore une fois, vous avez bien mérité votre surnom : les deux inséparables. Pour l'instant, je recrute de nouveau marins, sachant que même parmi les survivants du naufrage certains souhaitent quitter l'armé du roy. Je suis content que ce ne soit pas votre cas. Je vous note parmi les rescapés afin que vous continuiez à percevoir votre salaire qui a été augmenté de 20 % pour limiter les candidatures au départ. Pour les prochains mois, il n'y a pas vraiment d'autres sortie en mer de prévues puisque la construction des autres gros navires de guerre est en cours. Ça te laissera du temps, Linus, pour bien te remettre de ton accident du travail. Mais peut être qu'on vous reconvoquera pour un travail d'instructeur des nouveau marins. Vous le faisiez déjà un peu à bord sur un point précis qui concerne les longs séjours en mer. Mais ce point ne fera pas partie du programme d'instruction officiel et il ne sera temps de l'aborder qu'après une ou deux semaines sur les bateaux. Sur ce, je vous libère afin de ne pas trop retarder les candidats qui sont dans la file d'attente.

Bon, finalement, ça c'est très bien passé. Je n'ai plus qu'à rentrer chez mon accidenté du travail. Et plus tard, on reviendra chez moi à Södermalm. Il faudra juste que je me procure un nouveau lit très solide pour bien supporter les tempêtes en mer que nous simulons entre deux traversées.

Épilogue : 3 siècles plus tard, le Vasa a été sorti de l'eau comme l'indique la photo utilisée dans "À chacun son histoire" en février 2023.
[Image: epave-abandonnee-animee-plages-sable-cal...1-3421.jpg]


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 08-08-2023

Très mignon !

J'ai visité le musée du Vasa... Impressionnant.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 09-08-2023

La scène d’intro est amusante, l’allusion au jet d’écume élimine vite la possibilité qu’ils montent un meuble, même si la mésaventure du lit va imposer à Björn une visite à l’IKEA de l’époque.
Aussi, c’est très documenté, les noms de lieu, le contexte historique, jusqu’au naufrage du Vasa, et son renflouage, vraiment intéressant !
Surtout pour le côté léger et les persos peu sérieux (sinon dilettantes), par élimination, je reste avec Bech (qui aurait donc écrit deux récits) et stuka132…


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 11-08-2023

Coucou les gens,

Pour la fin septembre, après les différents défis, voici le choix de @bech !


Voila l'image que je comptais proposer :
[Image: MHlqCegVLra_change-voiture.jpg]
et qui m'avait bien fait marrer ce lundi là, alors que je faisais des heures supplémentaires imprévues sur mon lieu de travail sans savoir à ce moment là si je devrai y passer la nuit.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 12-08-2023

[Image: image_10195_1-Vikings.jpg]


Quatrième "viking"


— Ouiii ! Juste là, encooooore, a haleté Hadrien, alors que je tentais de me retenir de jouir.
Tristan l’a muselé d’un baiser baveux, avec un regard en coin sur mon membre qui défonçait notre assistant de cours d’Histoire des Sociétés.
Hadrien a convulsivement serré les cuisses sur ma taille en agitant la main sur son sexe, avant d’envoyer des gouttelettes nacrées sur son bas-ventre, alors que je jouissais dans la capote.
Avec une résilience que je n’aurais jamais trop imaginée chez un mec taillé comme un haricot, il a sauté sur la suggestion de Tristan de prendre une douche, où mon coloc et amant lui a proposé de lui frotter le dos, et plus si…
Non, mais normalement, on ne copine jamais avec les profs, et pas trop avec leurs assistants ! C’est juste que là, il y a un contexte…
 
 
 
— Finalement, les sociétés scandinaves du VIIIè siècle étaient très tolérantes, ouvertes, sinon permissives, à reconnaitre le divorce, à la limite d’admettre des amitiés entre hommes, et peut-être des sentiments plus profond… avions-nous conclu au terme de la présentation de notre TP.
— Et vos sources ? avait demandé Hadrien, méfiant.
— Euh… Ben, Wiki et la série Vikings, ai-je osé.
— Sérieux ? Votre bibliographie se base sur Wikipedia et une série télé ? avait-il claqué.
— La scène où Ragnar Lothbrok pleure son ami Aethelred, le Chrétien, en regrettant qu’ils ne se retrouvent pas au même Paradis, c’est trop tire-larmes, avouez.
— Je n’ai pas Netflix…
— Mais nous bien ! Prévenez votre copine que vous prenez votre soirée, on se fait une pizza et l’épisode sept de la deuxième saison, si ça ne vous émeut pas, je ne comprends rien ! a claqué Tristan.
— Je n’ai pas de copine… pour le moment, a lâché notre assistant de cours. ‘’Je devrais prévenir maman de ce que je serais en retard. Mais vous êtes sérieux ? Pour la série, je veux dire…’’
— Sur mon smartphone, ça ne donnerait rien, c’est mieux sur un écran de télé, a conclu mon coloc.
Hadrien s’est éloigné un moment, pour ensuite revenir vers nous. ‘’OK, mais les pizzas sont pour moi’’.
— Pas pour chipoter, mais le pluriel, c’est pizze, c’est Vittorio, l’assistant de cours d’italien qui me l’a appris, je ne sais pas si vous le connaissez, ai-je dit, avec un regard entendu vers Tristan, qui avait partagé la soirée où nous n’avions pas été trop de deux pour satisfaire l’insatiable Romain.
— J’ai dû le croiser, en effet, a admis Hadrien, les yeux dans le vague…
 


Assis sur notre canapé, il est difficile de dire si c’étai le physique du blond Travis Fimmel, soit Ragnar, ou du brun George Blagden, Aethelstan, sinon le contact de nos cuisses contre les siennes, mais l’érection d’Hadrien, muselée dans son jeans, faisait peine à voir…
— Émouvant, non ? avait demandé Tristan. ‘’Ça met une boule au ventre…’’.
— Et plus bas, avais-je suggéré en posant une main que j’espérais timide sur l’entrejambe de l’assistant de cours.
— Je supposais un peu que vous étiez plus que colocataires, s’était-il trahi, vu que nous ne devions être pour lui que deux étudiants parmi tant d’autres, mais qu’il aurait particulièrement observés… ‘’C’était donc le but de cette soirée ?’’
— Seulement si vous le voulez, avais-je susurré, en détachant sa ceinture, le bouton et la tirette de son jeans, que j’avais tiré, profitant du mouvement de son bassin soulevé spontanément, pour dévoiler un sexe assez court et fin, au gland à demi décalotté dont avait surgi une larme de semence que j’avais léchée.
— Oh ! Je n’ai jamais…, avait-il glapi. Je l’avais pris en bouche, et pressé le doigt sur le périnée du supposé puceau, avant de le glisser dans son rectum à la faveur d’un spasme, pour chercher sa prostate. Très vite, il avait gémi et s’est répandu sur ma langue, que je lui avais exposée. ‘’Je suis désolé, je n’ai jamais…’’
— Et c’est dommage, avait dit Tristan, il y a du plaisir à prendre, là.
— Ce que tu m’as fait, juste là, avec le doigt…
— Ce n’était qu’un doigt, avais-je murmuré en prenant la pochette d’un préservatif dans le pot-à-baise, avant de museler Hadrien d’un baiser, et de profiter de l’accès à son sphincter encore palpitant de plaisir.
C’est là qu’il avait gémi ‘’Ouiii ! Juste là, encooooore’’, les jambes nouées sur ma taille.
 


On a eu un 16/20 peu justifié pour le TP. Hadrien a ensuite tenté le coup avec Vittorio, c’était décevant pour les deux, décidément passifs absolus. Il est revenu vers nous, nous a invités à un diner avec sa mère, avant qu’elle lui suggère candidement de nous faire visiter sa chambre d’éternel ado, que nous avons inaugurée…


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 13-08-2023

(16-07-2023, 03:48 PM)lelivredejeremie a écrit : Supprime la photo 'Vikings' stpl, celle des trois joueurs de cartes semble plus inspirante Wink

À priori, les auteurs de textes n'ont pas été de ton avis.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 17-08-2023

Coucou les gens,

Je livre l'ordre des auteurs par récit de "viking"
Ce qui donne comme "nominationnés" :

1 - @Lange128
2 - @Louklouk
3 - @bech
4 - @lelivredejeremie 


@Lange128, c'est ton tour, j’attends ta photo (en MP) ou tu me dis – Je passe ! et je puise dans mon stock.