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Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - Version imprimable

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Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 24-12-2020

Je ne sais plus qui est l'auteur ni le vrai nom mais voila :

Chapitre 1 : Retrouvailles

Je m'appelle Hervé, 16 ans, je suis un ado comme les autres, et je vais vous raconter comment j'ai découvert le plaisir des sens avec ma meilleure amie.
Certains penseront que ce genre de choses avec sa meilleure amie est dangereux pour la relation, laissez-moi vous démontrer qu'il n'en fut rien.

Comme chaque année début juillet, les vacances arrivent, et nous allons passer deux mois chez des amis à mes parents, loin du Nord, et bien sûr ma meilleure amie sera là.
Nous nous connaissons depuis tous petits, ces vacances sont pour ainsi dire traditionnelles, nous nous voyons uniquement lors de ce séjour, et durant celui-ci, nous en profitons un maximum pour nous raconter nos vies, elle devient alors une sorte de sœur pour moi, qui suis fils unique.
Marie, pour la nommer. C'est une jeune fille gaie, de mon âge, très jolie au demeurant.
Notons que nos relations jusqu'alors étaient on ne peut plus normales, la villa est agréables mais un tout petit trop petite pour 2 familles, ce qui a fait qu'elle et moi partageons la même chambre à l'étage, une pièce destiné certainement à de grandes choses mais qui fait office de chambre d'amis, et de grenier le reste du temps.

Jour du départ, mes parents sont bien sur présents et je suis heureux car je vais enfin revoir Marie après ces quelques mois de séparation, nous allons pouvoir de nouveau nous raconter nos vies pendant deux semaines, parler de tout de rien, manger des chamalows sous les draps en pleine nuit... Je suis mort d'impatience.
Nous arrivons quelques heures plus tard, après cette longue route pour rejoindre la côté. Nous saluons nos hôtes, et du premier coup d'œil, je sais que Marie attendait elle aussi depuis des semaines.
Les amis de mes parents ont cette petite villa adorable, quelques kilomètres nous séparent de l'urbanisation, et comme je l'ai souligné plus tôt, elle manque de chambres. C'est donc tout naturellement que nous sommes allés nous installer à l'étage avec Marie pendant que mes parents prenaient sa chambre. Nos parents sont bien entendu au courant de la complicité qui nous unit depuis l'âge de trois ou quatre ans, ils sont conscient que cette relation se rapproche plus de celle d'un frère avec sa sœur que celle de jeunes amants, même à notre âge. Ils avaient raison, jusqu'à cet été.
Je dois reconnaître que Marie est magnifique, il y a encore deux ou trois ans c'était une enfant, mais là elle est devenue une vraie petite femme. C'était encore plus vrai cette année.
- Hé salut Hervé ! me lança-t-elle en me faisant la bise. Dis donc, ça ne fait qu'un an depuis juillet dernier, mais tu as drôlement changé ! Un vrai homme !
- Je me dois de te signaler que tu as bien vieilli aussi, soufflai-je avec un sourire.
C'était amorcé, un nouvel été démarrait, et notre complicité étaient toujours intacte, on se laissait fin août pour se retrouver juillet de l'année suivante, et rien ne changeait, malgré les huit cents kilomètres qui nous séparent.
- Alors pas de bêtises les gamins là-haut ! lança ma mère.
Mon père et les parents de Marie rirent, elle et moi aussi.

Pendant le repas, je ne pus m'empêcher de jeter des regards en coin à Marie, et je crois que ces regards furent réciproques.
Après le repas, nos parents s'installèrent à la télé, trop fatigués pour aller faire un tour.
- Bon je vais me coucher, dis-je.
- Oui moi aussi, ajouta Marie
- Bonne nuit ! répondirent en cœur nos géniteurs.
- Monte ta valise Hervé, dit ma mère.

Nous montons, Marie derrière moi, je n'arrête pas de lui jeter quelques regards, elle me montre notre chambre, très belle, comme à l'accoutumée, elle l'a préparée comme chaque année, toujours cette petite télé, et et deux lits placés côte-à-côte pour nos discussions nocturnes.
- Je vais me brosser les dents, installe-toi, me dit Marie avec un petit sourire.
- OK, acquiesçai-je en lui rendant ce sourire.
Quelques petits aménagements plus tard, je décide de mettre mes habits dans une armoire, je me trompe de porte, et je sur les habits de mon amie,je reste quelques instant en arrêt devant ses soutiens-gorge et ses petites culottes, mais me repris rapidement. Je les ai déjà vu pour la plupart, ce tabou n'existe pas entre nous, et je sais qu'elle s'habille comme beaucoup de filles de son âge, sexy mais juste ce qu'il faut, jamais vulgaire. Je referme donc l'armoire avant qu'elle ne me surprenne (et rie de moi !), et pris la porte qui la jouxtait pour y déposer mes propres affaires.
Marie revient quelques minutes plus tard : 
- Voilà, tu peux y aller ! 
- OK, merci, j'en ai pour cinq minutes.
- Prends le temps que tu veux ! me lança-t-elle dans un rire.
Après quelques petites minutes, je ressortis et la vis devant son l'armoire, sortir de celle-ci sa robe de chambre, et sa petit chemisette pour dormir.
Je me vautre sur mon lit, et je regarde commence à sortir mes magazines quand tout à coup, Marie, se déshabilla, resta en sous-vêtements et mit sa robe de chambre par-dessus.
Je reste un petit moment interdit en la fixant, elle est vraiment très belle... Elle s'en aperçut et me lança :
- Bah quoi ? Tu m'as jamais vue en culotte et soutif ? Ca fait bien 4 ans que j'en mets, qu'est-ce qui te met dans cet état-là ? Ça te gêne en fait ?
Me rendant compte du ridicule de la situation, je parvins à lui articuler :
- Non non ! ne t'inquiète pas, mais je te l'ai dit, toi aussi tu as changé, tu es un vrai bout de femme maintenant, j'ai cru que tu aurais été plus pudique avec moi maintenant que tu es devenue presque adulte...
- Haha, je vois, oui je t'avoue que je ne ferais pas ça avec n'importe quel garçon, mais toi tu es Hervé, je te connais depuis toute petite donc honnêtement ça ne me gêne pas. J'espère que tu en es conscient ?
- Oui ! lui dis-je en souriant.
Alors pour donner le change, je me levai, et je me dirigeai vers la ma parcelle d'armoire, je pris mon short qui me servait de pyjama, enlevai mon haut, et mon pantalon devant elle, en restant en boxer.
- Et bien tu vois c'est pareil, toi aussi tu pourrais être plus pudique !
Je reçus la remarque sans sourciller.
- Mais, ajouta-t-elle en souriant, c'est vrai que t'es pas mal !
Je rougis. Touché.
- Merci.
Et à ma grande surprise, son regard ne quitta pas la bosse de mon short, et je vérifiai prestement que je n'étais pas en érection, sinon cette histoire commençait à déraper sérieusement. Mais tout allait bien. Les canons sont prêts mon Général. Repos. A quoi pensait-elle ? A la taille de mon engin ?
Après quelques instants elle se retourna un petit peu rouge, consciente à son tour que je voyais son manège, et ramassa mon magazine, s'installa sur son lit, et se mit à lire.


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Je fis de même. Chapitre 2 : Première soirée

Marie brisa enfin un silence qui s'était installé de façon gênante après cet échange.  
- Haha, je vois dans le magazine que 90% des 15-18 ans ont une copine ou  un copain.
- Et alors ? répondis-je.  
- Et alors ? Je me demandais si tu faisais partie des 90%.
Touché. Deuxième fois.
- Non plutôt des 10% depuis pas mal de temps...
- Sans déconner ? Moi qui te trouve plutôt mignon...
C'est gentil, et je rougis encore un peu plus.
- Ne t'inquiète pas, s'empressa-t-elle d'ajouter devinant ma gêne, moi non plus je ne trouve personne, enfin... personne ne veut de moi.
- Et pourtant ! Toi aussi tu es mignonne Marie ! Pourquoi tu ne trouves personne, tu n'as que l'embarras du choix !
Première torpille dans son camp, deux à un pour elle du coup.
- T'es un amour de me dire dire ça, mais bon soit ils sont cons, soit ils ne sont pas mon genre.
- Ah, et c'est quoi ton genre ? demandai-je.
Je sentis la discussion déraper.
- Et bien en fait... Un peu ton genre ! me dit-elle en souriant.
Elle avait dérapé.
Sans comprendre vraiment pourquoi, cette remarque me fit un bien fou, comme si de nouvelles portes s'ouvraient en moi.
- Je peux allumer la télé ?  
- Oh oui, je laisse tomber ce magazine qui me fait déprimer, soupira Marie.
Les émissions n'étaient pas vraiment pas fameuses et finalement Marie me dit :
- Tu te souviens la dernière fois ? On avait regardé un porno.
Et comment que je m'en souvenais.
- Oui, je m'en souviens très bien.
Observer et attendre ce qu'elle me propose.
- T'en as regardé d'autres depuis ? continua-t-elle.
- Ouais... Enfin vite fait, c'est pas dur avec internet maintenant.
- J'en étais sûre ! Enfin si ça peut te rassurer, moi aussi, et j'en ai ramené un si ca te dit...
Coincé. L'an dernier elle était allé le chaparder tout en haut de la bibliothèque de la chambre de ses parents, un porno classique, mais très excitant pour les novices que nous étions. Nous l'avions regardé toute la nuit les yeux grands ouverts. Le DVD devait avoir des petits copains là-haut.
- Oui, ca sera toujours plus intéressant que ce documentaire sur les félins, répondais-je en guise d'excuse.
- Oui bien sûr !  m'ajouta-t-elle innocemment.
Elle me sourit, se leva, et sortit le DVD de dessous son matelas.
- T'en as d'autres trucs cachés là-dessous ? la taquinai-je. C'est une super planque pour tous les trucs pas propres que tu subtilises.
- Si tu savais.
Elle inséra le DVD dans le lecteur sous la télé et revient s'assoir sur son lit, à côté du mien.
Le gros avantage de la pièce ou nous étions, c'était qu'elle était calfeutrée et nous isolait complètement du reste de la maison, ce qui avait bien sûr facilité nos discussions la nuit ou nous n'étions pas très discrets par nos rires.
- Et voilà !
- Tu l'as déjà regardé ? lui demandai-je.
- Non, j'ai attendu que tu sois là, c'est pas marrant toute seule.
Elle semblait très excitée, le sentiment d'interdit sans doute. Ouais ça devait être ça.
Le film se lança, Marie la télécommande à la main sur son lit, et moi comme un idiot sur le mien, prêt à affronter Dame Nature.
A plat ventre, c'était le mieux. c'était le plus simple pour cacher une érection qui arriverait bientôt, et me mettre sous la couette aurait attiré l'attention, mais la position se révéla vite inconfortable pour des raisons anatomiques évidentes. Je mis sur le côté en espérant pouvoir me contrôler.
La scène débuta avec un scénario des plus classiques. L'actrice, belle, blonde, avec une magnifique poitrine, commença à se déshabiller, de façon langoureuse. Bon sang qu'elle en jetait. L'érection se fit plus forte.
Je jetai un coup d'œil à Marie, qui elle, dévorait des yeux l'acteur, qui avait sans doute passé son casting avec succès niveau mensurations. Ça y est ils étaient nus, la fille se lança dans une fellation en très gros plan.
- Pas mal les acteurs, soufflai-je.
- C'est vrai, enfin pour ce qu'ils font j'en sais rien, j'ai jamais été aussi loin, par contre, si tu parles du physique, c'est vrai ils sont pas mal, le mec me plait, il en a une bien belle, répondit-elle sans quitter l'écran des yeux.
Première confidence.
- Oh moi aussi, je suis encore puceau, tu sais j'ai jamais été plus loin que les bisous...
- Ha ça me fait plaisir ! s'écria-t-elle en se tournant vers moi, je vais pouvoir en parler avec toi, on est sur un pied d'égalité. Et puis mes copines sont soit trop coincées, soit elles l'ont déjà fait refusent d'en parler.
- C'est dommage quand même.
Pendant ce temps, les choses sérieuses avaient débuté, la fille était en levrette et l'homme semblait ne plus pouvoir s'arrêter de lui rentrer son sexe, le ressortir, le remettre, et ainsi de suite.

Marie fit une pause sur le pénis de l'acteur, bien gros, le pénis standard d'acteur porno.
- La vache c'est quand même gros une bite !  
- Bah toutes ne sont pas comme ca, là le mec c'est un professionnel, y en a de toutes les tailles, on est pas tous montés comme ça, faut pas que ça te fasse peur !
- J'ai pas peur ! dit-elle sur un ton de défi.
Elle s'empressa de remettre le film en route, et l'acteur continua tranquillement ses va-et-vient.
- Tu te branles ? me lâche-t-elle soudain.
Elle eut alors l'air de la fille qui a le sentiment d'être allée trop loin, je répondis très rapidement :
- Oui. Et toi tu te masturbes ?
Reçu, renvoyé.
Ce fut à moi d'avoir l'impression d'être allé trop loin.
- Oui.
L'atmosphère se fit plus électrique. Chapitre 2 (bis) : Première soirée (bis)

Marie me regarda en biais.  
-J'ai jamais vu un garçon se branler...
Il y avait une question dans cette affirmation. Elle voulait voir mon sexe, et me voir m'en servir. C'était la première fois qu'on me demandait ça, c'était Marie. Merde.
C'est à partir de là que ça a commencé à déraper. La porte s'était grande ouverte, et l'exitation me la fit franchir, mais bien sûr, j'allais moi aussi en profiter...
Cette fois ci, j'allais jouer le jeu de Marie :
- Bah si tu veux... J'te montre, mais ça serait injuste que ça soit à sens unique... dis-je d'un ton innocent.
Marie se retourna, un sourire au lèvre, le même qu'elle affichait au moment de mettre le porno sur "play", j'avais l'impression qu'elle savourait ce moment alors qu'elle n'avait encore rien vu.
Elle répondit simplement :  
- Si tu montres je te montre aussi.
C'était honnête. Elle avait le même ton innocent, on aurait dit deux personnes parlant de la pluie et du beau temps... Ça devenait dingue.

Après cette phrase Marie mit de nouveau sur pause le film porno, nous nous regardions, sans nous quitter des yeux pendant un petit moment, personne n'osant initier la manœuvre.
-Bon alors, ca te dis ? finit-elle par demander.
Bien sûr que ça me disait. Une appréhension m'envahit, juste le temps d'être chassée par l'excitation qui était bien plus forte, j'avais confiance, c'était Marie, je répondis calmement :
- Honneur aux dames !  
Autant voir en premier, mais Marie me regarda d'un air bizarre.Oui elle avait raison, mon attitude était très étrange, j'eus soudain honte d'avoir proposé ça, mais après tout c'est elle qui avait commencé !
- Ah non en même temps alors ! me dit Marie avec un grand sourire.
Le marché était équitable. J'opinai du chef.  
- 3, 2, 1 !  
Marie et moi nous déshabillâmes, je calais mon rythme au sien pour qu'elle enlève sa robe de chambre et ses deux sous vêtements de le même laps de temps qu'il me fallut pour retirer mon short short et mon boxer.
Quand elle enleva sa robe de chambre, je ne fis pas mine de détourner le regard.
Nous fûmes en sous-vêtements, prêts à franchir la frontière interdite.
- Oh Oh, ca a grandi depuis tout à l'heure, s'exclama-t-elle en voyant la bosse de mon boxer, c'est moi qui te mes dans un état comme ca ?
Je ne répondis pas, car en même temps elle venait d'enlever son soutien-gorge, je devenais rouge, mais à cause de sa question, ou à cause de ses magnifiques seins ?
Nous enlevâmes nos bas restants en même temps.
Nous restâmes debout pas mal de temps, sans quitter le sexe de l'un ou de l'autre des yeux.
Puis je dis :
- Tu es très belle !  
En effet, ses seins, étaient magnifiques, et son sexe était rasé en "ticket de métro", si j'en crois les sites spécialisés, moi qui n'en avait jamais vu, en vrai, me voilà comblé, à à peine un mètre devant moi, le paradis à une longueur de bras.
Marie me regarda enfin dans les yeux et me répondit :
- Merci, t'es pas mal, c'est vraiment grand, c'est mieux en vrai que sur les films !  
Elle ne le quitta pas des yeux, je fis de même pour elle, d'un coup elle s'assit, et je fis de même.  
Rien de plus ? Elle quitta enfin mon corps des yeux, et remit le film en route. Elle avait surement une autre idée, car après trente secondes, elle me demanda :
- D'habitude tu te masturbes devant un porno ?
- Oui ca m'arrive.
- Moi aussi, ca serait pas mieux de le faire ensemble pour tester ? Comme ca je verrai comment tu fais et vice versa...
Ben voyons.
- Bah oui, c'est d'ailleurs ce que j'allais te proposer !



Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 26-12-2020

Nos regards pointaient vers le sexe opposé.
Quand il faut y aller... Cette fois ci, j'avais pris les initiatives, et je pris mon sexe dans ma main en érection, et commençai mes mouvements de va-et-vient doucement, pour quelle ait le temps de voir, Marie ne bougea pas d'un poil, trop attirée par mon sexe, et je pense que l'effet lui faisait beaucoup de bien.
Après un long moment à me regarder, elle démarra enfin ses petits gestes.
Oh mon dieu, que c'est beau une femme qui se caresse. Au début elle commença par des petites caresses sur son intimité, c'était humide, très humide même, la preuve de son excitation. Après quelques secondes elle mit enfin un doigt et fit des va et vient avec celui-ci.
C'est vraiment magnifique, si délicat pas comme dans les films pornographiques, j'étais à deux doigts d'éjaculer.
Pour elle c'était pareil, chacun de mes mouvements attirait son attention.
Comme nous étions tous les deux débutants, des tas de questions me vinrent à l'esprit, je pense qu'elle aussi, mais nos mouvements répondaient à chaque question informulée.
Notre excitation était vraiment au maximum, j'eus envie de toucher, d'aller plus loin, mais j'avais peur de sa réaction, et je pense que c'était pareil de son côté.

Bruit dans l'escalier. Une alarme retentit dans ma tête.
- Merde ! ca doit être ma mère, dit-elle d'un souffle.
Elle coupa rapidement la télé, et sans nous rhabiller, nous nous couchâmes sous nos couettes totalement nus, frustrés.
Les bruits continuèrent. Ca papotait dans les pièces du dessous. On entendait tout sans qu'on nous entende. Une parfaite planque. J'entendis la mère de Marie quelques minutes plus tard, elle venait s'assurer que nous étions biens installés, et nous trouva endormis, nos couvertures remontées jusqu'à nos mentons. Le sommeil avait eu raison de moi, le voyage m'avait fatigué.
 
Ce n'était que partie remise après tout, il nous restait deux mois.
Ma meilleure amie et moi (découve
Chapitre 3 : La plage

Le lendemain matin, je me réveillai très lentement, et à question "Ai-je rêvé ?", la réponse fut non. C'était très beau, elle avait la couverture à hauteur de son ventre, couchée sur le côté, j'avais une magnifique vue sur sa poitrine toujours aussi belle que la veille.
Je restai à la regarder se réveiller, avec un petit sourire rêveur. Elle le cueillit en ouvrant les yeux, sourit à son tour. Mais nous n'avions pas le temps de reprendre nos découvertes là ou nous les avions laissées car le petit-déjeuner nous attendait la matinée était déjà bien entamée.
Marie se leva en premier, j'étais encore sous la couette, elle s'approcha de moi, et déposa un doux baiser sur ma bouche .
- Secret ?
- Bien sûr.
Elle tira la couette et regarda mon sexe pendant quelques secondes, m'offrant une vue d'ensemble de son corps. Jamais je n'aurais voulu quitter cette vision, mais elle me ramena à la raison en me chuchotant :
- Il faut descendre.
- Oui, je vais me préparer.
J'enfilai mon short et T-shirt, et elle sa nuisette avec une petite culotte.
Nous descendîmes. Bonjour, oui bien dormi, très bien même. La chambre est parfaite la vue est splendide. Marie pouffa discrètement.
Le programme de la journée était plage, tous ensemble. Nous montâmes nous préparer. L'avantage de notre petite soirée de veille était que nous ne devions plus attendre l'autre dans la salle de bain, une sorte de naturel s'installa entre nous, nous nous déshabillâmes tranquillement, mais sans aller plus loin.
 
Après quelques minutes de marche, nous fûmes enfin arrivés à une petite crique vide, difficile d'accès et donc extrêmement agréable.
Nos parents préparèrent un véritable camp pour la journée, serviettes, crème... Tout pour profiter un maximum de la bronzette.
Mais Marie demanda :
- Maman, j'aimerai montrer la petite plage plus loin à Hervé, qui est vraiment jolie, on peut y aller ?
Je crois qu'on avait eu la même idée. Pas envie d'attendre le soir.
- Bien sûr, vous pouvez y rester si vous voulez, nous on reste là, on a nos habitudes. Attention aux rochers chérie ! acquiesça sa mère, prenez juste de la crème solaire, sinon vous allez brûler.
Pour ça on allait brûler oui.
 
Marie et moi nous dirigeâmes alors vers les rochers avec nos serviettes et la crème.
Après quelques minutes de marche, nous avions dépassé les rochers qui nous cachaient des regards indiscrets. Une parfaite petite crique.
J'étais très content d'être avec mon amie, et elle aussi.
- C'est ici.
- C'est vraiment magnifique ! répondis-je impressionné.
En effet, elle avait raison, il y avait quelques rochers, la mer, et le sable, et bien sur un magnifique soleil, et le plus important : nous étions seuls.
- C'est ici l'endroit où je vais seule l'année, m'avoua-t-elle, c'est calme.
Cela m'alla droit au cœur. Je souris à cette remarque.
- Je suis content de passer les vacances avec toi.
Elle me rendit mon sourire, et nous nous étalâmes sur nos serviettes.
Mais pas pour longtemps, car Marie se redressa :
- Je vais te mettre de la crème solaire, faut faire très attention avec ce soleil, dit-elle.
Bien entendu.
Sans aucune objection, je me tournai sur le ventre, en lui offrant mon dos.
Ce fut divin, ses mains douces enduites de crème glissant sur mon corps, un vrai délice, et elle en profita aussi pour en étaler absolument partout, jusque sous mon short de bain. Je n'avais rien contre cette initiative, si ce n'est qu'une erection arriva rapidement. Mais le sable n'était pas le matelas de la chambre, ainsi je fis mine de rien.
Elle termina enfin son massage, après m'avoir procuré un bien fou.
C'était donc mon tour à présent, elle l'avait compris, et je lui demandai :  
-Couche toi sur le ventre s'il te plait, lui dis-je d'un air de majordome, et enlève ton haut s'il te plait.
Elle n'obéit pas, et en me regardant, elle se retourna, l'air malicieux. Elle voulait que je l'enlève moi-même, tâche à laquelle je fis honneur sans broncher, dévoilant sa magnifique poitrine à nouveau.
Elle se coucha sur le ventre.  
Je mis de la crème solaire sur mes mains, et commençai mon massage très délicatement, en profitant de tous les recoins de sa peau, son corpsétait très doux, aussi doux que ses lèvres, j'en profitai moi aussi, en touchant ses fesses d'une main curieuse.
Après quelques minutes, elle se retourna, c'était le tour de son ventre de subir mes caresses.
Je commençai par les épaules, puis continuai sur son ventre, et bien sur le plus important : sa poitrine !
Enfin je pouvais la toucher, mes mains huilées lui procurèrent de nouvelles sensations, sa respiration était haletante, et quand je touchai ses tétons qui étaient durs, elle poussa un petit gémissement. Je terminai par le pubis, en prenant bien soin de passer plusieurs fois ma main sur la repousse. Elle gémit plusieurs fois selon mes caresses qui visitaient son corps. Je m'arrêtait et m'allongeai à côté d'elle.
On se reposa un peu, puis soudain je m'aperçus qu'elle ne regardait pas le ciel, mais belle et bien mon érection que j'avais oublié en me redressant.
Cette fois encore, elle prit les initiatives, et baissa mon short et s'offrit une vue plus qu'acceptable sur mon sexe qui bandait fermement, je n'émis aucunes objection, et je la regardai droit dans les yeux.
Elle détacha son regard du mien, et elle osa enfin ! Elle prit mon pénis en main, et répéta les gestes que j'avais moi-même fait la veille. Au début le contact de mon membre avec sa main, me fit sursauter, elle prit peur, et y alla maladroitement, je la rassurai en me relevant, et je déposai un long et doux baiser sur ses lèvres.
J'eus la réaction que j'attendais, car elle fit les bons mouvements, cela me procurait un bien énorme, je la guidai, pour lui montrerdifférents points sensibles propices à mon plaisir, et elle suivit tous mes conseils.
Je ne voulus pas être égoïste. J'embrassais ses seins, elle gémit au moindre contact de mes lèvres avec ses tétons, et je donnai des coups de langues, qui lui provoquèrent le même bonheur qu'elle me procurait avec ses caresses sur mon sexe.
On pouvait voir entre sa main, ressortir mon gland décalotté, qui était bien humide à présent. Nous continuâmes nos caresses pendant un petit moment jusqu'à ce que :
- Je vais bientôt éjaculer, prévins-je.
Je venais de quitter ses seins, tandis qu'elle continuait ses mouvements devenus habiles sans rien dire. Son regard me disait "Tant mieux". Elle semblait vraiment excitée, c'était nouveau pour elle, et de même pour moi.
Je me contractai, un grand jet de sperme sortit de mon membre, et elle redoubla d'efforts pour continuer à me procurer du plaisir. Quelques secondes plus tard, mon sexe n'en demandait pas plus, et Marie comprit qu'il fallait stopper ses caresses.
Elle enleva sa main de mon sexe, regarda le sperme dans sa main, et sa curiosité l'emporta enfin, elle lécha son doigt couvert de ma semence.
Même moi je n'avais jamais oser faire ce quelle venait de faire. Un pote se vantait de l'avoir fait au lycée, j'avoue que ça me laissait perplexe. je lui demandai :
- C'est bon ?  
- Oh tu es un vrai petit sucre Hervé !
Elle se recoucha avec le doigt en bouche. C'était mon tour. Je baissai le bas de son maillot délicatement, elle était à présent nue devant moi.
Je m'apprêtais à lui rendre se magnifique plaisir, je me penchai et touchai son sexe humide de ma main, le contact la fit gémir, et je découvris le bonheur de pouvoir donner autant de plaisir, je continuai mes petites caresses sur son sexe qui devenait de plus en plus humide, avant de décider d'insérer un doigt dans son vagin pour lui procurer encore plus de bien être.
La réaction ne se fit pas attendre, Marie poussa un grand gémissement et elle fut parcourue de frissons, heureusement que nous nous étions suffisamment éloignés...
J'insérai donc un doigt supplémentaire dans son orifice, et je fis des va-et-vient de plus en plus vite, ce qui la fit gémir de plus belle.
Quelques secondes plus tard, elle bougea dans tous les sens, le souffle court, mit sa serviette dans sa boche pour étouffer un hurlement de jouissance.
Elle avait donc eu son premier orgasme en ma compagnie, c'était une belle victoire pour moi d'avoir fait jouir une autre personne que moi.
J'avais stoppé mes mouvements après qu'elle ait joui, son intimité était à nouveau sensible aux moindres caresses.
Nous restâmes allongés sur nos serviettes pendant un bon moment, le temps s'était arrêté. Je lui proposai d'aller se baigner et elle accepta, nous avions encore une respiration saccadée grâce à ce bonheur partagé.

Nous nous dirigeâmes donc vers cette mer d'un bleu magnifique, l'eau était chaude et douce, on pouvait voir très facilement le sable dorée au fond de cette eau claire.
Nous pouvions voir nos corps dans l'eau,  nous échangeâmes un doux et long baiser en nous caressant délicatement, l'eau nous permit de rendre ces caresses encore plus magnifiques qu'elles n'étaient, j'en profitai pour explorer à nouveau son corps au toucher sans lâcher ses lèvres.
Elle fit de même, en me caressant le dos, et appuya mon sexe sur le sien à travers nos maillots, ce contact était vraiment sensationnel, mon membre explosa de bien être, et Marie gémit.
Nous sommes restés comme ca pendant quelques secondes, en fait je venais de passer les meilleurs moments de ma vie.
La journée s'écoula soudain plus vite, entre baignades et séances de caresses, et nous dûmes rentrer rejoindre nos familles.
Après avoir pris les serviettes, nous nous sommes échangés un dernier baiser avant de prendre la route pour rejoindre le campement.
Quelques instants plus tard, nous rentrâmes à la maison, direction notre petite chambre tant adorée.
1.

rte sensuelle hétéro)Chapitre 3 : La plage

Le lendemain matin, je me réveillai très lentement, et à question "Ai-je rêvé ?", la réponse fut non. C'était très beau, elle avait la couverture à hauteur de son ventre, couchée sur le côté, j'avais une magnifique vue sur sa poitrine toujours aussi belle que la veille.
Je restai à la regarder se réveiller, avec un petit sourire rêveur. Elle le cueillit en ouvrant les yeux, sourit à son tour. Mais nous n'avions pas le temps de reprendre nos découvertes là ou nous les avions laissées car le petit-déjeuner nous attendait la matinée était déjà bien entamée.
Marie se leva en premier, j'étais encore sous la couette, elle s'approcha de moi, et déposa un doux baiser sur ma bouche .
- Secret ?
- Bien sûr.
Elle tira la couette et regarda mon sexe pendant quelques secondes, m'offrant une vue d'ensemble de son corps. Jamais je n'aurais voulu quitter cette vision, mais elle me ramena à la raison en me chuchotant :
- Il faut descendre.
- Oui, je vais me préparer.
J'enfilai mon short et T-shirt, et elle sa nuisette avec une petite culotte.
Nous descendîmes. Bonjour, oui bien dormi, très bien même. La chambre est parfaite la vue est splendide. Marie pouffa discrètement.196


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

Le programme de la journée était plage, tous ensemble. Nous montâmes nous préparer. L'avantage de notre petite soirée de veille était que nous ne devions plus attendre l'autre dans la salle de bain, une sorte de naturel s'installa entre nous, nous nous déshabillâmes tranquillement, mais sans aller plus loin.
 
Après quelques minutes de marche, nous fûmes enfin arrivés à une petite crique vide, difficile d'accès et donc extrêmement agréable.
Nos parents préparèrent un véritable camp pour la journée, serviettes, crème... Tout pour profiter un maximum de la bronzette.
Mais Marie demanda :
- Maman, j'aimerai montrer la petite plage plus loin à Hervé, qui est vraiment jolie, on peut y aller ?
Je crois qu'on avait eu la même idée. Pas envie d'attendre le soir.
- Bien sûr, vous pouvez y rester si vous voulez, nous on reste là, on a nos habitudes. Attention aux rochers chérie ! acquiesça sa mère, prenez juste de la crème solaire, sinon vous allez brûler.
Pour ça on allait brûler oui.
 
Marie et moi nous dirigeâmes alors vers les rochers avec nos serviettes et la crème.
Après quelques minutes de marche, nous avions dépassé les rochers qui nous cachaient des regards indiscrets. Une parfaite petite crique.
J'étais très content d'être avec mon amie, et elle aussi.
- C'est ici.
- C'est vraiment magnifique ! répondis-je impressionné.
En effet, elle avait raison, il y avait quelques rochers, la mer, et le sable, et bien sur un magnifique soleil, et le plus important : nous étions seuls.
- C'est ici l'endroit où je vais seule l'année, m'avoua-t-elle, c'est calme.
Cela m'alla droit au cœur. Je souris à cette remarque.
- Je suis content de passer les vacances avec toi.
Elle me rendit mon sourire, et nous nous étalâmes sur nos serviettes.
Mais pas pour longtemps, car Marie se redressa :
- Je vais te mettre de la crème solaire, faut faire très attention avec ce soleil, dit-elle.
Bien entendu.
Sans aucune objection, je me tournai sur le ventre, en lui offrant mon dos.
Ce fut divin, ses mains douces enduites de crème glissant sur mon corps, un vrai délice, et elle en profita aussi pour en étaler absolument partout, jusque sous mon short de bain. Je n'avais rien contre cette initiative, si ce n'est qu'une erection arriva rapidement. Mais le sable n'était pas le matelas de la chambre, ainsi je fis mine de rien.
Elle termina enfin son massage, après m'avoir procuré un bien fou.
C'était donc mon tour à présent, elle l'avait compris, et je lui demandai :  
-Couche toi sur le ventre s'il te plait, lui dis-je d'un air de majordome, et enlève ton haut s'il te plait.
Elle n'obéit pas, et en me regardant, elle se retourna, l'air malicieux. Elle voulait que je l'enlève moi-même, tâche à laquelle je fis honneur sans broncher, dévoilant sa magnifique poitrine à nouveau.
Elle se coucha sur le ventre.  
Je mis de la crème solaire sur mes mains, et commençai mon massage très délicatement, en profitant de tous les recoins de sa peau, son corpsétait très doux, aussi doux que ses lèvres, j'en profitai moi aussi, en touchant ses fesses d'une main curieuse.
Après quelques minutes, elle se retourna, c'était le tour de son ventre de subir mes caresses.
Je commençai par les épaules, puis continuai sur son ventre, et bien sur le plus important : sa poitrine !
Enfin je pouvais la toucher, mes mains huilées lui procurèrent de nouvelles sensations, sa respiration était haletante, et quand je touchai ses tétons qui étaient durs, elle poussa un petit gémissement. Je terminai par le pubis, en prenant bien soin de passer plusieurs fois ma main sur la repousse. Elle gémit plusieurs fois selon mes caresses qui visitaient son corps. Je m'arrêtait et m'allongeai à côté d'elle.
On se reposa un peu, puis soudain je m'aperçus qu'elle ne regardait pas le ciel, mais belle et bien mon érection que j'avais oublié en me redressant.
Cette fois encore, elle prit les initiatives, et baissa mon short et s'offrit une vue plus qu'acceptable sur mon sexe qui bandait fermement, je n'émis aucunes objection, et je la regardai droit dans les yeux.
Elle détacha son regard du mien, et elle osa enfin ! Elle prit mon pénis en main, et répéta les gestes que j'avais moi-même fait la veille. Au début le contact de mon membre avec sa main, me fit sursauter, elle prit peur, et y alla maladroitement, je la rassurai en me relevant, et je déposai un long et doux baiser sur ses lèvres.
J'eus la réaction que j'attendais, car elle fit les bons mouvements, cela me procurait un bien énorme, je la guidai, pour lui montrerdifférents points sensibles propices à mon plaisir, et elle suivit tous mes conseils.
Je ne voulus pas être égoïste. J'embrassais ses seins, elle gémit au moindre contact de mes lèvres avec ses tétons, et je donnai des coups de langues, qui lui provoquèrent le même bonheur qu'elle me procurait avec ses caresses sur mon sexe.
On pouvait voir entre sa main, ressortir mon gland décalotté, qui était bien humide à présent. Nous continuâmes nos caresses pendant un petit moment jusqu'à ce que :
- Je vais bientôt éjaculer, prévins-je.
Je venais de quitter ses seins, tandis qu'elle continuait ses mouvements devenus habiles sans rien dire. Son regard me disait "Tant mieux". Elle semblait vraiment excitée, c'était nouveau pour elle, et de même pour moi.
Je me contractai, un grand jet de sperme sortit de mon membre, et elle redoubla d'efforts pour continuer à me procurer du plaisir. Quelques secondes plus tard, mon sexe n'en demandait pas plus, et Marie comprit qu'il fallait stopper ses caresses.
Elle enleva sa main de mon sexe, regarda le sperme dans sa main, et sa curiosité l'emporta enfin, elle lécha son doigt couvert de ma semence.
Même moi je n'avais jamais oser faire ce quelle venait de faire. Un pote se vantait de l'avoir fait au lycée, j'avoue que ça me laissait perplexe. je lui demandai :
- C'est bon ?  
- Oh tu es un vrai petit sucre Hervé !
Elle se recoucha avec le doigt en bouche. C'était mon tour. Je baissai le bas de son maillot délicatement, elle était à présent nue devant moi.
Je m'apprêtais à lui rendre se magnifique plaisir, je me penchai et touchai son sexe humide de ma main, le contact la fit gémir, et je découvris le bonheur de pouvoir donner autant de plaisir, je continuai mes petites caresses sur son sexe qui devenait de plus en plus humide, avant de décider d'insérer un doigt dans son vagin pour lui procurer encore plus de bien être.
La réaction ne se fit pas attendre, Marie poussa un grand gémissement et elle fut parcourue de frissons, heureusement que nous nous étions suffisamment éloignés...
J'insérai donc un doigt supplémentaire dans son orifice, et je fis des va-et-vient de plus en plus vite, ce qui la fit gémir de plus belle.
Quelques secondes plus tard, elle bougea dans tous les sens, le souffle court, mit sa serviette dans sa boche pour étouffer un hurlement de jouissance.
Elle avait donc eu son premier orgasme en ma compagnie, c'était une belle victoire pour moi d'avoir fait jouir une autre personne que moi.
J'avais stoppé mes mouvements après qu'elle ait joui, son intimité était à nouveau sensible aux moindres caresses.
Nous restâmes allongés sur nos serviettes pendant un bon moment, le temps s'était arrêté. Je lui proposai d'aller se baigner et elle accepta, nous avions encore une respiration saccadée grâce à ce bonheur partagé.

Nous nous dirigeâmes donc vers cette mer d'un bleu magnifique, l'eau était chaude et douce, on pouvait voir très facilement le sable dorée au fond de cette eau claire.
Nous pouvions voir nos corps dans l'eau,  nous échangeâmes un doux et long baiser en nous caressant délicatement, l'eau nous permit de rendre ces caresses encore plus magnifiques qu'elles n'étaient, j'en profitai pour explorer à nouveau son corps au toucher sans lâcher ses lèvres.
Elle fit de même, en me caressant le dos, et appuya mon sexe sur le sien à travers nos maillots, ce contact était vraiment sensationnel, mon membre explosa de bien être, et Marie gémit.
Nous sommes restés comme ca pendant quelques secondes, en fait je venais de passer les meilleurs moments de ma vie.
La journée s'écoula soudain plus vite, entre baignades et séances de caresses, et nous dûmes rentrer rejoindre nos familles.
Après avoir pris les serviettes, nous nous sommes échangés un dernier baiser avant de prendre la route pour rejoindre le campement.
Quelques instants plus tard, nous rentrâmes à la maison, direction notre petite chambre tant adorée. Chapitre 4 : La douche

Nous montâmes dans notre petite chambre, Marie et moi, des images plein la tête. Nous avions décidé de regarder un peu la télé.
Comme il n'y avait qu'une seule salle de bain avec une douche (la nôtre ne disposant que d'un lavabo), nous avions décidé de laisser nos parents la prendre en premier pour enlever le sel et le sable.
Nous étions fatigués, le soleil avait tapé fort. La télé passait un film monotone, mais nous étions bon public. On frappa. Mon père passa la tête dans l'entrebâillement de la porte et nous proposa une petite ballade avec eux, après notre douche.


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 31-12-2020

- Ho, si ça ne t'embête pas, je pense que je vais rester regarder la fin du film. Je suis vannée, je crois que j'ai trop pris le soleil. Mais profitez-en, allez à la pointe sur la falaise, le coucher de soleil est magnifique.
Marie mentait à la perfection. Je fis un signe las pour indiquer que j'étais du même avis. Mon père sourit, nous regarda l'un et l'autre. Je tressaillis. Merde, on avait peut-être manqué de discrétion.
- Je vois, répondit-il. Une soirée sans vos vieux ça vous dit ? Vous pourrez discuter tout votre saoul, même si je me demande ce que vous avez encore à vous raconter !
- Attends, Franck, reprit Marie dans un rire, tu ne crois tout de même pas que 10 mois se résument en à peine un jour et demi tout de même ? Et puis Hervé a dormi comme un bébé cet après-midi à la plage.
Je feignis un sourire coupable. La mécanique était parfaite. Mon père partit d'un grand éclat de rire.
- Et bien j'espère qu'il ne va pas s'effondrer ce soir encore alors !
Et il sortit. Nous avions notre soirée, tranquilles.
La ballade allait durer plusieurs heures, sans compter qu'il était fort possible qu'ils restent dîner à l'extérieur, nous laissant le soin de préparer le nôtre à la maison.
Dernière proposition pour les accompagner, dernier refus poli, et ils partirent. "On reviendra quand on en aura assez" nous lancèrent-ils en cœur. Tant mieux.
Nous remontâmes à la chambre. Le sel commençait à me gratter. Marie aussi.
- Bon, qui passe en premier ?
Marie fit les yeux ronds.
- En premier ? Il faut la prendre à deux ce type de douche, le sel dans le dos est difficile à enlever tu sais...
La pire excuse du siècle. La meilleure aussi pour moi.
- Et puis tu sais, la douche est grande, il y a de la place pour deux, ajouta-t-elle en souriant.
- Je crois bien que oui.  Allez je vais te frotter le dos mon abricot.
Nouveau regard amusé. Jamais je ne lui avais donné de surnom, jusqu'alors c'était Marie. Gare à ne pas l'employer sans y réfléchir, devant les autres.
On se leva, Marie éteignit la télé, qui passait un film définitivement nul, et nous nous dirigeâmes vers la salle de bains. La douche était en effet très grande, quand j'étais petit, je pouvais m'y coucher en travers. Quoique une petite ne m'aurait pas dérangé pour celle que nous allions prendre...
Ma cousine me regarda, et me fit le geste "J'ai pas de mains". Elle était vraiment joueuse. Je lui retirais son haut. Elle se retourna et je la serrai contre mon corps, ses seins au creux de mes mains. Le bas glissa le long de ses jambes. Elle se retourna à nouveau vers moi et déposa un tendre baiser sur mes lèvres. Pendant ce temps, elle fit glisser ses mains sur mon dos, et les descendit le long de celui-ci, jusqu'à buter sur l'elastique de mon short, qu'elle élimina de la liste des obstacles jusqu'à mes fesses.
- J'adore ces petites fesses rondes.

Ses caresses étaient douces, et j'avais un début d'érection. Elle baissa mon short. Nous fûmes nus face à face.
Tout en se caressant, mon pénis entra en contact avec sa peau, et son sexe, nos corps furent parcourus d'un courant éléctrique de bien-être. Nos respirations étaient saccadées par ce plaisir intense.
Mais mes lèvres quittèrent les siennes, et je répondis à son compliment en l'embrassant dans le cou, en descendant vers sa poitrine.
Je m'occupais à présent de ses tétons, aussi durs qu'à la plage, et ma langue continua vers son ventre.
Marie me fit relever.
- Pas avec tout ce sel.
Et elle m'entraîna vers la douche.

Elle me plaqua tout de suite contre le mur de la cabine, elle voulait dominer l'instant, je la laissai faire.
Elle commença par de petits baisers, sur mes lèvres, dans mon cou, sur mes tétons, et descendit vers mon ventre, je ressentis le plaisir que je lui avais donné juste avant.
Elle prit mon sexe dans ses mains, et commença à me masturber, elle me procura un bien fou, j'étais aux anges.
Concentrée sur mon pénis, qui devenait de plus en plus dur, elle s'appliquait à astiquer son sexe d'une main devenue experte.
Mais elle stoppa soudainement, me laissant échapper un soupir de frustration, j'étais à deux doigts d'éjaculer. Elle était la maîtresse de mon corps, elle l'avait décidé.
Elle fit couler l'eau chaude, prit du savon, et commença à me laver.
C'était merveilleux, cela faisait longtemps qu'on ne m'avait plus lavé, et jamais de cette manière ! Ses mains délicates me donnait énormément de plaisir, passant le savon sur chaque millimètre de ma peau, sans oublier mon sexe bien entendu, elle passait du temps sur lui, elle me masturbait avec les mains pleines de mousse, plus doucement, c'était chaud et tendre.
Mais je n'en pouvais déjà plus, et j'éjaculai dans ses mains.  J'étais plié en deux, mon sexe, qui pourtant n'avait pas chômé depuis hier, lâchant des grands jets de sperme.
Après quelques secondes d'extase, je pris les commandes.
J'inversais nos positions, elle prit donc ma place, j'amenai délicatement le jet vers elle, pris le savon, et commençai à caresser son corps doucement. Je lui déposais un petit baiser sur ses lèvres, lui murmurai "Merci", et lui demandai de se retourner.
Elle s'exécuta, et fit un demi-tour, je voyais ses petites fesses, je souhaitais lui faire un maximum de bien, donc je commençai par un massage, et le savon arrangeait les choses.
Je descendis de plus en plus, jusqu'à atteindre ses fesses, en pris le plus grand soin en frottant doucement son intimité. Elle aimait ça, sa respiration se fit saccadée.
Je descendis vers ses jambes, je massais ses cuisses jusqu'à arriver à ses pieds, j'y déposai des petits baisers avant de les masser.
Je la sentais languir, les pieds c'était bien, mais il y avait bien plus top. Je me vengeais de sa petite domination de tout à l'heure. Cependant j'arrêtai le supplice et remontai vers son sexe. Je m'étais redressé complètement, et elle faisait de nouveau face à moi, je l'embrassais doucement dans le cou, sur ses seins pendant que me main explorait son pubis, caressait, frottait. Elle échappa de mon étreinte, déposa mes lèvres sur les siennes pendant un long moment.  
Je recommençais mes caresses, en commençant par le haut, sans décoller ses lèvres des miennes.
Et je repartis pour une descente vers son ventre, je caressais cette zone tellement douce, mais je me dirigeai à présent vers son sexe.
Je commençai par son clitoris, je savais qu'il était devant, apparent, et pas au fond, comme beaucoup de garçons de ma classe croyait. Il suffisait d'ouvrir et de LIRE une encyclopédie pour ça. Regarder quelques... documentaires aussi. Elle adorait ca, elle gémit, et fut secouée de tremblement, un vrai bouton à plaisir.
Même en dépit de l'eau, je voyais ce doux petit liquide s'echapper de son sexe, la cyprine.
J'insérai directement deux doigts débarrassés du savon dans son vagin, elle tressaillit, je commençai mes va-et-vient, de plus en plus rapidement.  
Je me relevai, et en même temps l'embrassai, ce qui étouffa ses cris de jouissance, même si cela était inutile, nous étions seuls.
Elle attrapa mon sexe, qui s'était relevé, et me branla en même temps.  Cela fit un peu mal mais c'était bon.
Nous étions tous les deux tellement excités, que l'orgasme ne tarda pas. En première, Marie, je libérai ses lèvres des miennes, et elle lâcha un hurlement de jouissance, je stoppai mes caresses pour lui laisser le temps de récupérer.  
Elle reprit ses mouvements sur mon membre, et elle allait de plus en plus vite, je lâchai moi aussi quelques giclées de sperme, mais beaucoup moins que la première fois, j'éjaculais pour la troisième fois de la journée.
Fatigués, mais heureux, nous nous embrassions, et l'eau enleva les dernières bulles de savon sur nos corps brillants.  
Nous sortîmes de la douche, je pris une serviette, et essuya le corps de Marie, chaud, mais doux, elle se laissa faire, j'effleura délicatement ses zones érogènes.  Mais elle était trop sensible et se soustrayait à ces caresses en riant.
Une fois sèche, elle fit de même avec moi, nous étions secs, nus, et nous échangions un dernier câlin, et un dernier baiser.
Nous quittâmes la salle de bain, en direction de la cuisine. Nous restâmes nus, guettant le retour des parents pour ne pas nous faire surprendre. Je l'aidai à préparer le dîner, qui fut frugal, notre faim avait déjà été assouvie... C'était drôle de la voir déambuler comme ça, et moi de même à ses côtés. Nous mangeâmes, fîmes la vaisselle et remontâmes dans notre chambre. Il ne se passa rien d'autre ce soir là, nous avions eu notre compte. Elle s'endormit presque immédiatement, j'essayai de lire, mais bientôt les yeux virent flou et je sombrai à mon tour. Nos parents durent être surpris de nous trouver endormis en rentrant...

Chapitre 5 : Caresses nouvelles202



Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Quelques jours passèrent et nous continuions la découverte de nos corps Marie et moi. Au-delà du plan physique, une nouvelle complicité, plus solide que celle qui nous unissait déjà, se créa. Elle m'expliqua le cycle des règles, les siennes étaient irrégulières et douloureuses. C'est pourquoi elle prenait la pilule. "Mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi" lui avait glissé sa mère en lui donnant sa première plaquette. Marie était une fille sage. Ce que nous faisions tous les deux était complètement nouveau pour elle. Et pour moi aussi. Elle me raconta qu'une fois un de ses ex l'avait harcelé pour coucher avec elle, elle n'était pas prête, trop jeune.
J'eus une pique de jalousie pendant qu'elle me rapportait cette histoire.
Je lui confiai également que j'étais novice. Beaucoup de mes copains de classe se vantaient d'avoir couché avec leur copine ou avaient fait des choses. Je préférais garder le silence, après tout, ça ne regardait que moi. Et Marie bien entendu.
Elle était arrivé au bout de sa plaquette cette semaine, et ses règles débarquèrent. Elle me montra ses tampons et comment elle les mettait, ça me faisait rire et elle aussi. Durant ces quelques jours où elle était indisposé, nos petites masturbations s'interrompirent. Elle n'avait rien contre me le faire, mais je ne pouvais pas lui rendre la pareille convenablement, cela me gênait un peu. Simplement quelques jours...

Un soir, ses règles terminées, je sentis Marie dans un état d'excitation familier. Nous nous couchâmes tôt ce soir-là, enfin, officiellement.
Marie et moi et moi marchions dans le couloir qui menait à notre chambre, elle était habillée avec son grand Tee-Shirt qui lui servait de pyjama, je trouvais cela très sexy, dès qu'elle se baissait, je pouvais voir sa magnifique poitrine, ou ses petites fesses rondes.
Moi j'étais en short, tenue décontractée et adéquate par ces temps de fortes chaleurs. Nous sommes entrés dans la chambre, et les parents étaient partis en ville, nous étions donc décidés à en profiter.
Je la pris dans mes bras, la déposai doucement sur le lit, nous étions couchés côte-à-côte, et je l'embrassais tendrement, nous nous partagions quelques câlins. Cela faisait déjà une semaine d'abstinence !
Nos mains visitaient le haut de nos corps, redécouvraient à tâtons, puis je m'aventurai vers sa cuisse et continuai ma montée vers son sexe, fis une brève halte vers celui-ci qui était très humide, elle gémit lorsque j'effleurai son clitoris, déjà gonflé de plaisir, elle était très très chaude. Je ne voulais pas m'arrêter là, ma main chatouilla son ventre pendant quelques instants, et elle continua en direction de sa poitrine.
Je pouvais à présent voir son sexe et sa poitrine, ma main se posa sur son sein et commença à le masser, doucement de la base vers son téton durci.  
Nous continuâmes nos caresses dans cette position pendant une bonne dizaine de minutes qui furent magnifiques.
Ensuite ma main fit le chemin inverse, elle descendit vers son sexe, et elle commença une masturbation en règle, histoire de rattraper tout ce temps perdu. J'insérai un doigt, puis deux dans le vagin de Marie qui gémit de plus belle.
Elle se redressa et me regarda. Elle non plus ne voulait pas se limiter à une simple masturbation, nous voulions aller plus loin.
Mes lèvres quittèrent les siennes, parcoururent son cou, son torse en caressant ses seins. Ma langue joua quelques secondes avec son téton et continua à descendre... Son nombril, son bas-ventre, son pubis.
Je descendis du lit et plaçai ma tête entre ses jambes que j'écartai , m'offrant son sexe humide. Je pus sentir l'arôme qui s'en dégageait, c'était divin.
Elle avait préparé son coup, ses poils pubiens étaient taillés à la perfection, juste cette petite bande le long de sa vulve, coquette jusque dans son intimité, c'était excitant.
Ma langue arriva vers son clitoris, se rapprocha dangereusement. Marie respirait à peine. Quand ma langue toucha son sexe, elle poussa un gémissement si intense que j'eus l'impression que son orgasme était déjà arrivé.  Ca n'aurait pas été du jeu. Elle était surexcitée. Elle commençait à se torpiller, ma langue ne faisait que l'effleurer et ça la rendait folle, elle prit ma tête dans sa main et plaqua mon visage contre son sexe.
Je plongeai.
Le gout était vraiment délicieux, et je visitais son sexe avec ma langue, chatouillant son clitoris. J'insérai un doigt dans le vagin de Marie, qui était bouillant, le retirai pour y mettre ma langue, pour visiter cet endroit si chaud.
Elle prenait un plaisir intense, rien qu'à voir la quantité de liquide qui sortait de son sexe, Elle resserrait ses cuisses autour de mon visage, appuyait toujours ma tête, elle en redemandait. Je léchai, suçai, caressai de ma langue chaque recoin, et chaque contact la faisait tressaillir. J'entrepris d'aspirer son clitoris, en le mordillant très légèrement. Elle hurla, je mis deux doigts dans son sexe à ce moment-là pour sentir les vibrations de l'orgasme provoqué, c'était bon, très bon.
Il fallait qu'elle se calme sur quelque chose... Elle était en nage et son sexe ultra-sensible, elle me libéra de l'étau de ses cuisses, je me redressai et elle me fit basculer sur le lit. Inversion.
Elle vint entre mes jambes, fit face à ma verge, qui montrait toute sa puissance. Elle la regarda pendant un petit moment, elle avait un regard de gamine affamée en face d'un chocolat.
Elle toucha le bout de mon gland avec sa langue. Cela me donna une sensation jamais ressentie jusqu'alors. Mais elle ne s'arrêta pas là, elle contre-attaqua en mettant mon sexe entièrement dans sa bouche, elle l'aspira et fit quelques va-et-vient avec sa bouche. C'était délicieux, le contact de ses lèvres autour de ma verge m'envoyait au septième ciel. Je fermai les yeux. C'était ma première fellation, et j'aimai ça. Elle pompait avec efficacité mon membre qui n'en pouvait plus, je laissais le plaisir monter, monter...
Je ne pus plus me retenir, et la prévins que j'allais jouir à mon tour. Elle stoppa net.
- Ca te gêne si tu jouis dans ma bouche ? J'adore ton petit goût sucré...
J'acquiesçai, si cela lui plaisait, alors moi encore plus, je ne me retins plus. Elle reprit son affaire, j'étais au supplice, sa langue passait et repassait sur mon sexe décalotté. Le point de non-retour fut atteint, je la prévins de nouveau pour la forme, elle ne bougea pas...
Je laissai le plaisir prendre possession de moi, et éjaculai dans la bouche de Marie, des jets de semence vraiment longs et puissants. Je crois que je m'étais retenu exprès.
Je crus qu'elle allait recracher, mais elle avala jusqu'à la dernière goutte, en me regardant, mon sexe toujours en bouche. Elle appréciait, j'étais aux anges.
Elle se releva pour atteindre mes lèvres, m'embrassa. Elle avait le goût de mon sperme dans sa bouche et moi celui de sa cyprine, nos langues s'enroulèrent dans un baiser fougueux.

Cette nuit nous la passâmes dans le même lit, serrés l'un contre l'autre malgré la chaleur, épuisés par ce moment de bonheur
. Chapitre 6 : Pente glissante




Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Quand nous nous réveillâmes le lendemain matin, mon érection matinale collait aux fesses de Marie. Je caressais sa peau douce en rêvant. Que m'arrivait-il ? Tout allait vite, très vite. Marie ne m'avait jamais fait cet effet là, d'habitude, nos jeux restaient des jeux d'enfants, mis à part le porno de l'an dernier, nos activités restaient sages. Et cette année, tout avait dérapé. Elle avait changé, j'avais changé.
Nous étions le 15 juillet, encore un mois et demi avant de devoir la laisser pour dix autres. Je préférais ne pas y penser et la resserrai encore contre moi, elle grogna un peu dans son sommeil et se tourna, vers moi. Son joli visage baigné par un rayon de soleil...
Je crois bien que j'étais amoureux.

Des pas dans l'escalier. Merde, on était nus et dans son lit. Une chance, parce que je n'avais pas le temps de la réveiller et lui expliquer avant que quelqu'un arrive. Je sautais du lit en prenant soin de recouvrir Marie jusqu'au menton, et fonçais dans le mien, froissant les draps. J'avais relevé juste le drap quand ma mère entra. Une très vilaine habitude qu'elle a, entrer sans prévenir. Maintes fois elle a manqué de peu me surprendre à des activités très personnelles...
- Et bien les marmottes, on dort encore ? Vous avez vu l'heure qu'il est ?
Feignant un réveil difficile, je me redressai et regardai mon réveil. 9h45. En effet. Dans le lit d'à côté, Marie faillit se redresser complètement et trahir sa nudité, elle reprit ses esprits juste à temps.
- Ouais je sais, on a bavardé un peu tard hier Marie et moi.
- Je vois, répondit ma mère d'un air narquois. Mais on part dans une demie-heure, on va visiter le Château des Bruisses. Dépêchez-vous !
J'ai bien crû qu'elle allait rester sur le pas de porte à attendre que nous sortions du lit, avant de nous demander pourquoi nous ne portions rien.
- Pas de souci, on arrive, marmonnai-je.
Je jouais ma dernière carte, si je ne me levais pas, elle pouvait bien venir et tirer sur le drap. Marie me jetait des regards éloquents. On était piégés.
- Jacqueline ! Viens voir une minute s'il-te-plaît, j'ai perdu ma montre !
Mon père. Penser à augmenter mon budget pour son anniversaire. Ma mère nous intima l'ordre de nous presser un peu sinon nous allions manquer le début de la visite, et sortit.
Pas le temps pour un débriefing avec Marie, nous nous levâmes comme des bombes, enfilant nos affaires en vitesse pour descendre avaler notre petit déjeuner.

Nous partîmes à deux voitures, mes parents avec moi, Marie avec les siens. Ma mère se tourna sur son siège face à moi.
- Qu'est-ce que vous avez à vous raconter avec Marie ?
- Ça te regarde pas.
- Non mais moi moi personnellement avec ton père, on s'en moque. Mais vous avez seize ans elle et toi et vous n'avez plus l'âge d'enfiler les perles,
(ça c'est sûr)
je veux juste m'assurer que vous ne faites pas de bêtises.
- Maman ! Bon sang, tu veux savoir si je couche avec elle c'est ça ?
- Je ne veux pas être aussi directe, mais oui, et les parents de Marie se posent les mêmes questions.
Mauvais point. Nous avions pourtant pris soin de ne pas éveiller les soupçons, l'attitude en public etait la même que pour les autres années, les câlins, et nos petites activités ne sortaient jamais de la chambre du haut. Hormis la fois à la plage, mais j'étais sûr que personne ne nous avait vu.
- Et bien dis aux parents de Marie la même chose qu'elle leur affirmera s'ils se livrent au même interrogatoire sur elle en ce moment, la réponse est non.
Et c'était vrai. Techniquement en tout cas. Nous étions bel et bien vierges.
Ma mère fit une moue dubitative.
- OK, je te crois. Mais je crois que tu ne vois pas où je veux en venir. On ne veut pas empêcher deux jeune de faire des choses, les parents de Marie sont d'accord avec moi, et même s'il devait se passer quelquechose entre vous, nous n'y voyons aucun inconvénient...
- Je te dis qu'il ne se passe rien.
Là je mentais.
- OK OK. En tout cas si ça devait se produire...
- Maman !
- Laisse-moi finir, si ça devait se produire, avec elle ou n'importe quelle autre fille...
- Ouais je sais, maman j'ai 16 ans, je sais ce que c'est un préservatif. J'en ai dans mon porte-feuille, tu veux les voir ? Vérifier la date de péremption ?
J'avais la main à ma poche.
- Non ça ira, tant mieux si mon fils est un être intelligent me dit-elle dans un sourire.
La discussion était close.

La visite du château fut plus intéressante que ce à quoi je m'attendais. Les couloirs étaient encore richement décorés, et je m'attardais un peu derrière le groupe, pour tenter de rester avec Marie. Juste avec elle.

L'occasion se présenta à la salle à manger, le groupe s'éloignait tandis que nous manifestions un intérêt certain à la grosse marmite de l'âtre.
- Tes parents t'ont questionné aussi sur nous ? me demanda-t-elle furtivement.
- Ouais, enfin ma mère, ils voulaient savoir si j'avais des présos au cas où je couchais avec toi.
- Et tu leur a dit quoi ?
- Qu'on avait jamais couché ensemble, mais que oui j'avais des munitions.
- Parfait.
- Parfait ?
- Ouais, je leur ai dit que je t'aimais comme un ami, et que tu pensais pas qu'au cul toi au moins.
- Merci.
- C'est vrai.
Petit silence mesuré. Le groupe allait s'apercevoir de notre absence. Une question me brûlait les lèvres.
- Marie, je...
- Oui, moi aussi, j'ai envie.
- Hervé ! Marie ! vous venez ou bien ?
Fin de l'intermède. Il n'y en aurait pas d'autre de la visite, trop risqué.
Nous emboîtâmes le pas au reste des visiteurs.

Elle avait envie de quoi ? J'étais à deux doigts de lui avouer mes conclusions de ce matin, avant que ma mère n'entre.Chapitre 7 : Prises de risques



Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Quelques jours passèrent encore. Nous avions discuté avec Marie et convenu de ne plus dormir dans le même lit, et habillés. En revanche nos petits moments tendres se multipliaient dangereusement.

Un après-midi ensoleillé où tout le monde bronzait tranquillement sur la terrasse de la villa, j'étais parti à l'arrière de la maison pour me rafraîchir au robinet du jardin, qui était dans le mur, à l'ombre.
Je mouillai ma nuque, mon visage, je sentis mon corps baisser son thermostat, quand soudain une main prit la mienne. Marie.
- Chut ! me souffla-t-elle.
Et elle me poussa contre le mur.
Elle entreprit de baisser mon short. Personne aux alentours mais n'importe qui pouvait avoir envie de la fraîcheur du robinet.
- Arrête, t'es folle ! On va nous surprendre.
- Je vais être discrète alors...
Elle avait déjà pris mon sexe, j'avais le short aux genoux.
- Ça te plaît ?
- Bien sûr, mais si on nous choppe ?
- On verra alors. Laisse-toi faire, j'en meurs d'envie depuis midi.
Et elle enfourna ma verge. Elle était à genoux, moi debout contre le mur arrière de la maison, la forêt devant moi, mes parents et ceux de Marie derrière à 15 mètres.
Ça me surexcitait.
Marie suçait, léchait mon sexe, en effet elle était appliquée à sa tache.
- J'ai envie d'essayer un truc.
- Quoi donc ? lui demandai-je à demie-voix.
- Tu vas voir.
Elle prit mon sexe, et le mit entièrement dans sa bouche, l'enfonça, loin, loin, ses lèvres touchaient mes couilles, mon gland touchait quelquechose, sa gorge, s'y enfonçait, c'était magique.
Puis elle retira mon sexe dans un hoquet. Je l'étouffais.
- Alors ? C'était comment ?
- Énorme.
- J'ai envie d'un autre truc.
- Encore ?
- Éjacule-moi sur le visage...
- Là ? Avec nos parents pas loin ? Pas ce soir plutôt ?
- J'ai envie maintenant... Ça ne prendra pas longtemps, je vais bien m'appliquer, préviens-moi quand tu vas jouir...
Elle reprit sa fellation, refit une gorge profonde, puis revint aux va-et-vient conventionnels, en me branlant doucement. Elle n'avait pas menti, au bout de trois minutes je n'en pus plus.
- Vite je vais jouir...
Elle dirigea prestement mon sexe vers son visage et continua à me branler.
Je jouis.
De longs jets de sperme atterrirent sur s abouche, son nez, ses yeux... Elle se délectait. Elle lécha la semence autour de ses lèvres et entreprit de nettoyer celle qui restait sur ma verge, vite, avant que je ne supporte plus la caresse.
- La vache, t'as eu ces idées où ?
- Je t'ai dit que je matais des pornos des fois, j'ai vu une nana faire ça, je voulais voir comment ça rendait en vrai.
- Et ?
- Ça rend très bien.
- J'ai adoré aussi.
- Tant mieux alors !

Restait le sperme sur son visage. Je n'avais rien pour la nettoyer. Mais déjà elle avait la main à sa poche, en tira un paquet de mouchoirs. Elle avait tout calculé.

- J'ai une dette envers toi du coup...
- Et je compte bien être dédommagée.
- Marché conclu.
Nous retournâmes à nos chaises longues. Chapitre 8 : Sauter le pas




Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

1er août. Plus qu'un mois. Et un mois que cette histoire folle durait. Nous aimions ça, pourquoi s'en priver ?

Je m'étais acquitté de ma dette envers Marie un soir où nos parents étaient en ville. Après la vaisselle, nous allâmes nous installer devant la télé de notre chambre, pas celle du salon pourtant plus grande, mais parce que cela nous donnait un raison de rapprocher les lits et de regarder n'importe quoi en mangeant des chips. Ou faire autre chose dans le domaine du n'importe quoi d'ailleurs.
Ce fut un de ces soirs. Film nul, comme ceux de l'été. Marie en nuisette, moi en boxer.
Il fallait que ça se fasse par surprise. Doucement, je m'approchai d'elle, mes mains vinrent prendre ses jolis seins. La nuisette ne tarda pas à glisser le long de son corps. Ces courbes que je connaissais maintenant par cœur, je ne me lassais pas de les regarder...
Je l'allongeai sur le dos, comme la première fois, avec son étau entre ses cuisses pour fouiller de ma langue son intimité et lui arracher des cris de plaisir. Mais cette fois ce serait différent. Pour solder cette dette, je devais faire quelquechose de nouveau pour elle aussi.
Et j'avais mon idée.

Au bout de quelques instant de caresses buccales, je me mis nu à mon tour, et m'allongeai sur le lit, sur le côté, ma bouche vers son sexe, mon sexe vers sa bouche, et repris ma manœuvre tranquillement, comme si de rien n'était.
Elle ne fut pas longue à comprendre, et très vite, je la sentis empoigner mon sexe et y appliquer quelques coups de langue bien pensés. Je roulais alors sur le dos, l'entraînant sur moi, toujours dans la même disposition. Elle était alors assise sur moi, son sexe sur mon visage, son sexe que je léchai avec ardeur. Elle s'occupant du mien avec délectation, me faisant un bien fou. Cette position inversée lui permettait de faire coulisser ma verge tout le long de ses lèvres, rapprochant l'éjaculation chaque fois un peu plus. Je m'appliquai de mon côté, titillant à la fois le clitoris et l'anus de ma partenaire.
La jouissance intervint en même temps pour nous deux.

- Alors, satisfaite ?
- Ho que oui, je vais continuer à t'accabler de dettes...
Je l'embrassai.
- Je t'aime.
Elle ne répondit pas, mais me sourit. Un sourire pur.
C'était dit. La balle était dans son camp.

1er août. Je repensais à cette soirée où je lui avais finalement avoué mes sentiments. J'en étais sûr, c'était elle, l'ami d'enfance que je voyais tous les étés, c'était elle que j'aimais. Tant pis pour le reste.

Cette soirée allait être une première à sa manière aussi.
Nous nous étions couchés tard, mais le sommeil ne venait pas. Nous discutions avec Marie, nos lits étaient rapprochés, comme lorsque nous étions petits.
- Dis Marie...
- Oui ?
- Ce qu'on fait là, tu crois que c'est mal ?
- T'as honte ?
- Non absolument pas. Je me demandais si c'était normal.
- Moi j'ai pas de regrets pour ce qu'on fait, on se fait du bien, on est d'accord. Pour un peu nos parents aussi !
- Ouais c'est vrai.
- Il y a un truc qu'on a pas fait...
- Ouais je sais.
- Ça te fait peur ?
- Non.
- On le fait ?
Au moins c'était direct.
- Heu, posé comme ça... Tu y as bien réfléchi ?
- Je n'arrête pas d'y penser depuis que nos parents nous ont interrogés en fait.
- Ouais moi aussi.
- Alors tu veux le faire ?
- Je sais pas, là ça fait très "c'était prévu", j'ai peur qu'on regrette...
- Alors fais comme si j'avais rien dit...
Elle avait envie. Elle était prête. Moi je ne sais pas. Avec une autre fille c'est sûr je ne serais pas fait prier, mais là c'était Marie, et j'allais être "sa première fois".
- Faut que je t'avoue un truc quand même.
- Oui ?
- En fait, avec ma mère... J'ai bluffé, j'avais pas de capotes.
- Hihi j'en étais sûre. Quel joueur de poker !
- Mais du coup pour ce qu'on veut faire... Ça craint un peu. Tu prends la pilule OK, mais quand même...
- Hé qui t'a dit qu'on devait le faire sans capote ?
Elle souleva son matelas. Une boîte de Durex toute neuve. Douze, ça devrait faire l'affaire. Décidément ce matelas...
- T'as eu ça où ?
- A la pharmacie monsieur, me répondit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.
- Fermons à clé...
- La chambre ? Et s'ils essayent de venir ?
- Je préfèrent qu'ils supposent plutôt qu'ils nous surprennent.
- Pas faux.
Elle se leva, alla à la porte et fit tourner la clé sans faire de bruit. Elle retira sa nuisette et sa culotte en revenant. J'avais retiré mon boxer. Elle vint s'assoir à côté de moi, nue.
- Tu as envie ?
- Arrête de me demander où je te sautes dessus, lui répondis-je en la renversant sur le lit.
Je l'embrassai, ma peau devenait moite, la sienne aussi. Je caressai son corps sans discontinuer, partout. J'avais envie d'elle.
Bisous dans le cou, sur les seins, sur son ventre, j'étais déjà à son sexe, qui était déjà trempé.
- Je veux que tu me le fasses maintenant.
Sa voix tremblait.
J'attrapai la boîte de préservatifs, en sortis un. Facile à ouvrir, j'avais déjà essayé d'en enfiler un chez moi. C'est marrant, et très excitant.
Mais ce soir, j'avais une autre idée.
- Tu me la mets ?
- J'ai jamais fait.
- On en a douze, on a de la marge... Et je pense que tu vas très bien te débrouiller...
Elle sourit à ma remarque, se redressa, me prit la capote des mains et ouvrit le sachet. Odeur de caoutchouc lubrifié. Odeur de sexe.
Elle étudia rapidement le petit anneau, le réservoir et le déposa sur mon gland. J'eus peur une seconde que ce fut le mauvais côté, mais non, elle fit dérouler l'enveloppe le long de ma verge, délicatement, en prenant soin de ne pas l'abîmer. Pour ce qui était des préliminaires, Marie m'avait sucé plus tôt dans la soirée, au sortir de la douche, fellation que j'avais rendu discrètement à table en passant ma main sous sa jupe pour caresser son sexe. Fous que nous étions.
J'introduisis un doigt dans son intimité, elle était chaude et douce.
Marie se mit sur le dos, genoux repliés, jambes légèrement écartées, m'offrant son sexe, m'offrant sa virginité. Je vins me glisser entre ses jambes, tout en l'embrassant, je sentais mon sexe encapoté frotter contre son pubis. Puis, d'une main leste, Marie prit mon sexe, et le guida à sa vulve.
- Promets-moi que c'est la première fois.
- Je te le promets.
Elle poussa mon sexe en elle. Doucement d'abord, je sentis mon pénis s'enfoncer doucement dans son vagin, rencontrer une légère résistance, puis plus rien. Marie gémit un peu, une petite grimace de douleur sur son visage.
- Pardon, m'excusais-je, je t'ai fait mal ? Tu veux arrêter ?
- Surtout pas ! gémit-elle dans un souffle, juste... mal... début...
Elle se laissa aller, et moi aussi, elle prit mes fesses dans ses mains et poussa davantage mon sexe en elle. Nous ne faisions qu'un.


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 21-01-2021

Je lui fis l'amour encore un peu, en missionnaire, le temps pour elle de se lasser de cette position, elle me fit basculer.
Elle était sur moi, ne tarda pas à s'empaler sur mon sexe et à opérer des mouvements rapides, ses beaux seins en avant, à portée de main. Je ne me privai pas. Je la caressai, pris ses fesses pour accompagner ses mouvements et la faire gémir un peu plus. Je la sentais vraiment bien. Elle se pencha vers moi, toujours pénétrée de mon sexe, et m'embrassa.
- Tu regrettes ?
- Pas du tout mon abricot.
Longtemps que je l'avais pas sorti celui-là. Le moment n'était pas mal choisi j'avais trouvé.
Elle se redressa encore, cette position favorisait son orgasme, qui ne tarda pas à venir. Même à travers la capote, je sentis ses vibrations vaginales.
Elle se retira. Je n'avais pas encore joui. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses.
- C'est pour toi cette fois.
J'avais compris le message. Je viens me placer derrière elle, et la pénétrai une troisième fois. Cette levrette fut délicieuse, je prenais ses hanches et guidait la pénétration, le mouvement, elle se redressait parfois pour m'embrasser, je lui prenais les seins. Enfin dans un ultime coup de reins, je plaquai mes mains sur ses fesses douces, et éjaculai, dans la capote, mais en elle. Elle ne bougea pas. Le temps se suspendait.
Nous restâmes quelques instants dans cette position, moi en elle avec mon sexe qui se dégonflait progressivement. Elle fermant les yeux et profitant de l'instant. Je me retirai.
Le réservoir de la capote était gonflé de ma semence, je retirai le préservatif.

Marie s'était allongée près de moi, une main sur son ventre, les yeux perdus dans ses pensées.
- A quoi rêves-tu ? lui demandai-je doucement.
- Je pense à nous.
Silence. Elle le brisa rapidement.
- Tu sais je ne t'ai pas répondu la dernière fois...
- Pour ?
Mais je savais très bien de quoi elle me parlait.
- Pour ta déclaration. Ça me fait mal, mais moi aussi je crois bien que je t'aime...
Feux d'artifice dans ma tête.
- ... mais ça me fait souffrir car dans un mois, on va se quitter encore plus liés que d'habitude et nous ne nous verrons plus...
- Je sais.
Une vague venait d'éteindre les pétards. Cette évidence qu'elle venait d'énoncer, j'essayais de me la dissimuler depuis des jours et des jours.
- Profitons de ce qu'il nous reste alors, proposai-je.
- J'y compte. Tu crois qu'on doit le dire à nos parents ?
- Ils s'en doutent un peu de toute manière non ? Autant leur dire après. Chapitre 9 : Les jours se suivent...

Le lendemain de cette nuit magique, le temps sembla s'accélérer. Nous avions refait l'amour après notre discussion, fait l'amour pour oublier que notre histoire serait sans doute éphémère, pour le plaisir aussi. Une nouvelle capote fut utilisée. Puis une autre, puis une dernière.
Nous nous étions endormis l'un contre l'autre, nus, transgressant la règle de sécurité, mais la porte était fermée, et puis je crois que nous nous en moquions un peu.

La semaine passa, nous faisions l'amour tous les soirs, c'était un besoin, à se demander pourquoi nous avions attendu un mois pour commencer. Marie découvrait son corps avec moi, et nous trouvions cela parfaitement... parfait.

Puis revint sa semaine menstruelle, nous imposant une abstinence totale, enfin presque.
Nous en avons profité pour tester la sodomie, elle eut mal, et j'avoue que cela ne me plut guère.
A la fin de cette semaine de vache maigre, elle était plus excitée que tout, comme la dernière fois. Le soir-même nous refîmes l'amour, et j'ai honte à le dire, sans préservatif.
- S'il-te-plaît, m'avait-elle presque supplié, faisons sans ! Je prends la pilule, tu n'as pas d'antécédents et moi non plus, tu es propre...
- Je sais tout ça, j'ai un peu peur c'est tout.
J'avais très envie aussi, mais c'était l'encourager à une bêtise commune. Finalement je craquai, la sensation était trop tentante.
Et elle fut sensationnelle. Sentir mon sexe nu en elle décuplait les effets. Nous étions en missionnaire. Elle me regarda dans les yeux, m'embrassa, resserra son emprise.
- Jouis en moi.
- Sûre ?
- Sûre.
Je l'embrassais à mon tour, baiser fougueux et passionné tandis que nos corps transpirant se mêlaient davantage, nos coups de reins rythmant le tout.
J'éjaculai.
Et elle jouit.
Sentir les contractions de mon sexe en harmonie avec ceux du sien me remplit de bien-être, j'étais cambré, profondément enfoncé en elle, tandis qu'elle me maintenait dans ce coït à n'en plus finir. C'était merveilleux.
- Je t'aime.
- Je t'aime.
- Promets-moi que tu ne feras pas ça à une autre fille.
- Promets-moi de ne pas le faire avec un autre garçon, lui décochai-je dans un clin d'œil.
Elle rit, m'embrassa.


Fin août. Jour du départ.
Marie a beaucoup pleuré cette nuit. Moi aussi. Nous avons fait l'amour, parlé de l'avenir, pleuré encore, ri de notre tristesse.
Ce matin, ma valise était prête. Prête pour l'an prochain, quand je retrouverai Marie.

Elle m'a donné une bague à elle, sa plus jolie. Je la porte autour de mon cou. En échange, mon pendentif en H autour du cou. Ça se verrait forcément, mais tant pis. De toute façon, on avait les yeux rougis.

Dernières embrassades. Marie n'est pas là. Ses parents l'appellent, elle ne répond pas. Je dis que je vais voir.
Je la trouve dans la chambre. Elle ne dit rien. Elle me regarde et sourit.
- Au revoir Hervé.
- Au revoir Marie.
- Je t'aime, bordel, tu le sais ça ?
- Je le sais. Je t'aime aussi Marie.
Je l'embrassai sur le bout du nez. Dernier échange avant dix mois.

Je sors, je sais qu'elle va pleurer, peut être bien que moi aussi.
Ses parents et les miens me voient revenir seul. Ils ont compris. Ils ne sont pas idiots.
Ma mère me fait un bisou dans les cheveux, mon père me fait une petite tape virile.
Poignée de main yeux dans les yeux du père de Marie, étreinte rapide de sa mère.
Au revoir vacances. Au revoir Marie. Une partie ma vie se met en pause. Épilogue

19 Octobre.
Lettre de Marie.
Citation :


Cher Hervé,

Je crois que j'ai une super nouvelle pour nous deux !
Mes parents déménagent. Ma mère a eu un nouveau poste à 50 kilomètres de chez toi.
J'ai [beaucoup] insisté pour être inscrite dans ton lycée,peut-être que je pourrai venir dormir chez toi... J'espère que ton lit est assez grand pour moi.

A sujet de ta dernière lettre, je voulais te dire que [...]

Je crois que les histoires qui devaient avoir lieu ont lieu



Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - Nostalgique - 30-01-2021

Une très belle histoire d'amour qui se déroule lentement, découverte après découverte, pour se terminer comme il se doit. Cela fait du bien de lire ce récit qui colle parfaitement avec la vie normale. BRAVO


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - pinmaritime108 - 25-03-2021

Merci à l'auteur !


Re : Ma meilleure amie et moi(reprise docti) - admirateur17 - 25-03-2021

merci à l'auteur, mais également merci à toi qui a su faire revivre cette histoire.