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Novices dépravées - Muck88 - 16-04-2021

Roxana et Cassandra vont être jetées en pâture à douze mâles pervers à qui ces trous à bites d'à peine seize ans serviront de vide-couilles et de chiottes humaines lors d’une outrageante orgie sexuelle.
Roxana, Eurasienne germano-irano-japonaise, longue chevelure raide noir de jais et peau mate, a un visage en ovale aux traits démoniaques : yeux bridés vert émeraude, sourcils arqués, nez aquilin, lèvres pulpeuses et fossette au menton. Elle a une silhouette râblée (1m66, 62 kilos) dotée de muscles saillants et de courbes opulentes : biceps gonflés, cuisses robustes, abdos ciselés, énormes seins aux tétons bruns (95E) et gros cul bombé. Élevée dans un austère chalet du tréfonds de la forêt de Bavière, cette gamine taciturne a forgé son corps vigoureux dans cet environnement rigoureux.
Cassandra, Blanche germano-brésilienne, longue chevelure ondulée blond doré et peau rosée, a un visage en diamant aux traits angéliques parsemé de taches de rousseur : pommettes saillantes, yeux ronds bleu marine, sourcils courbés, nez concave et lèvres pulpeuses. Elle a une silhouette svelte (1m69, 56 kilos) dotée de muscles fuselés et de courbes harmonieuses : taille fine, chute des reins vertigineuse, abdos esquissés, gros seins aux tétons roses (85D) et petit cul rebondi. Élevée dans une luxueuse villa des hauteurs de Rio de Janeiro, cette gamine tempétueuse a façonné son corps dynamique dans ce cadre idyllique.
Roxana et Cassandra sont camarades de classe et de chambre dans un prestigieux gymnasium de Munich où ces adolescentes solitaires et déracinées ont été ostracisées par une influente sororité de bourgeoises hautaines. La belliqueuse Roxana et la narquoise Cassandra, redoutées en raison de leurs tempéraments abrupts et de leurs aptitudes en arts martiaux (judo pour Roxana, jiu-jitsu brésilien pour Cassandra), affrontent ensemble cette atmosphère hostile et fortifient leurs corps irrigués par une sève vivace (crossfit pour Roxana, fitness et yoga pour Cassandra).
Elles se sont initiées aux délices du saphisme il y a quelques mois. Munies d’une panoplie de godes et de plugs, harnachées de godes-ceintures, ces férues de facesitting, de deepthroating et de squirting pilonnent leurs chattes et leurs culs, dilatés lors de torrides sessions de fisting vaginal et anal. Ces fougueuses lesbiennes s’empalent en duo sur un massif double gode, l’imprègnent de leurs effluves intimes et l’avalent par chaque extrémité afin d’échanger, leurs gorges comblées, un fugace baiser.
Roxana et Cassandra sont les muses de Bianka, trente ans, artiste subversive dont les œuvres macabres et scabreuses scandalisent autant que sa personnalité atypique. Celle qui était autrefois un longiligne dandy androgyne (visage anguleux, yeux vert de gris, longue chevelure raide roux acajou, peau laiteuse) s’est métamorphosée en sulfureuse transsexuelle. Roxana et Cassandra ont succombé au charme diabolique de cette sculpturale créature à la féminité exacerbée, dégustant ses énormes seins siliconés aux tétons roses (90G) et sa longue queue lisse et circoncise (24 cm).
Bianka, inspirée par la pétillante Cassandra et par l’énigmatique Roxana, dessine et peint ses muses sous les traits de guerrières sanguinaires, de nymphomanes insatiables et de midinettes torturées. Elle les a persuadées d’assouvir les obsédants fantasmes de gangbangs qui tourmentent leurs nuits lors d’une orgie filmée puis diffusée sur le net.
Elles courent le risque d’être reconnues. Affublées d’une épouvantable réputation et exclues du gymnasium pour leur conduite licencieuse, les excellentes élèves et sportives émérites Roxana (prodige de l’alpinisme) et Cassandra (navigatrice hors pair) devraient alors renoncer à leurs espoirs de bourses d’études dans de célèbres universités anglo-saxonnes. Ces baroudeuses intrépides pourraient ainsi s’éloigner de leurs destins tout tracés et s’aventurer hors des sentiers battus afin d’explorer les contrées les plus inhospitalières. Elles ont néanmoins insisté pour utiliser des pseudonymes, Scheherazade pour Roxana, Anastasia pour Cassandra.
Roxana et Cassandra ont quitté Munich en matinée pour rejoindre Berlin en train. Ces lycéennes se sont transformées en femmes fatales. Leurs peaux, celle de Roxana basanée et celle de Cassandra hâlée par le soleil estival de Rio, sont quasi-intégralement épilées. Le khôl et le mascara subliment leurs regards. Leurs lèvres pulpeuses scintillent et leurs ongles manucurés (carrés pour Roxana, en amande pour Cassandra) rutilent. La ténébreuse Roxana a choisi le sombre grenat tandis que la lumineuse Cassandra a opté pour le vif fuchsia. Cassandra, quelques mèches blond cendré éparpillées dans sa crinière blond doré lâchée, resplendit. Roxana, adepte des coupes extravagantes (mulet, bol très court, mohawk), a sacrifié sa chevelure et arbore un crâne lisse, rasé à blanc par Cassandra.
Roxana et Cassandra parviennent en taxi en fin d’après-midi dans un faubourg malfamé de Berlin. Elles se changent dans une ruelle lugubre entre deux bennes à ordures, au milieu de préservatifs usagés et de cadavres de bouteilles. Roxana troque son crop top blanc minimaliste, son jean destroy et ses sneakers blanches, Cassandra sa combishort safran décolletée et ses bottines noires, contre les sobres uniformes à dominante bleu marine du gymnasium (blazers, chemise à manches courtes, cravates, jupettes, bas et mocassins). Roxana se pare d’un turban assorti. Elles avertissent Bianka de leur arrivée imminente et éteignent leurs téléphones. Elles observent l’endroit du tournage, un sinistre entrepôt désaffecté au sol jonché de détritus et dont émane une odeur nauséabonde, écrin approprié pour ces sacs à foutre ambulants.



Re : Novices dépravées - Muck88 - 16-04-2021

Cassandra, sa bouche bée et ses yeux écarquillés, et Roxana, son visage renfrogné, s’immobilisent, effarées d’apercevoir face à elles, au lieu des trois à quatre séduisants éphèbes espérés, douze mâles mûrs et nus, affichant une allure féroce et braquant sur elles des regards acérés, des sourires carnassiers et des calibres tendus.
Elles sont accueillies par Bianka, équipée d’une caméra d’épaule, juchée sur des bottes noires à talons aiguilles, irrésistible dans sa minirobe noire décolletée en cuir, ses lèvres gonflées et ses longs ongles pointus d’un vermeil flamboyant. Elles reconnaissent Maximilian, trente-six ans, torse et pieds nus, lui aussi muni d’une caméra d’épaule. Sous la houlette de leur maîtresse, elles l’ont dominé, expérimentant le pegging et le fisting anal avec un homme. Elles se remémorent que, bardées d’imposants godes-ceintures, elles ont simultanément sucé et enculé, puis sucé et fisté, ce filiforme don juan (visage efféminé, yeux bleu ciel, longue crinière raide blond platine, peau pâle), esthète raffiné doté d’une queue lisse (19 cm), lui assénant finalement une magistrale double pénétration anale alors qu’il honorait sa maîtresse Bianka d’une fellation. Bianka l’a sollicité pour qu’il l’assiste afin que ses muses soient toujours devant l’objectif d’une caméra.

Les mâles encerclent les lycéennes. Bianka les a manipulées et les a données en offrande à cette douzaine de mâles dont les trognes sont aussi hideuses que leurs corps sont rebutants. Elle a constitué pour ces beautés naturelles une ahurissante galerie des horreurs, réunissant une meute d’hommes appâtés par ces alléchantes élèves d’un établissement élitiste.
Roxana et Cassandra repèrent cinq comparses. Attila, Hongrois de quarante-neuf ans au cuir tanné, visage taillé à coups de serpe et tignasse noire hirsute, longue queue veineuse (24 cm), a un faciès effrayant qui contraste avec son élancé corps d’Apollon à la musculature ciselée. Ce gladiateur des temps modernes a passé vingt ans derrière les barreaux et participe à de sanglants combats illégaux à mains nues. Jürgen, cinquante-trois ans, visage hâve et crâne dégarni, cheveux bruns raides et moustache drue, et Dragan, Serbe de quarante-six ans, visage balafré et crâne chauve, barbiche brune entortillée, son torse et ses cuisses affreusement brûlés, sont des éboueurs gringalets aux queues tordues (16 et 18 cm). Otto, quarante-trois ans, visage allongé au teint livide et cheveux noirs très courts, et Bodo, quarante-quatre ans, visage émacié sous des lunettes en écaille, cheveux blond doré drus et moustache fournie, sont des marginaux efflanqués aux queues lisses (19 et 18 cm) vivant de menus larcins. Ces cinq acolytes évoquent aux deux adolescentes une horde de hyènes affamées.
Les lycéennes distinguent à leurs côtés deux bibendums ventripotents et poilus aux queues boudinées (15 et 16 cm) et aux énormes culs flasques. Konrad, cinquante-six ans, visage rougeaud joufflu et crâne chauve, et Karsten, cinquante-quatre ans, visage bouffi au teint cireux sous des lunettes rondes et crâne dégarni, cheveux noirs frisés et moustache drue, sont des petits commerçants, l’un boucher, l’autre tavernier, dont les cinq autres sont des habitués. Ces petits patrons criblés de dettes d’un quartier populaire de Berlin se pourlèchent les babines devant les appétissants morceaux de viande fraîche et ferme au menu.
Roxana et Cassandra identifient enfin une bande de cinq clochards dégingandés et décharnés. Igor, Russe de quarante-neuf ans, visage grêlé au teint cireux et longs cheveux châtains gras, barbe broussailleuse, son dos zébré et sa main droite sectionnée remplacée par un crochet, est Raspoutine réincarné avec son immense queue veineuse (26 cm). Vlad, Roumain blafard de cinquante-deux ans, visage anguleux et crâne chauve, yeux globuleux et langue tranchée, a une longue queue lisse (22 cm). Ce gigantesque squelette a été enfermé durant vingt-cinq ans dans de sordides asiles d’aliénés soviétiques. Lothar, cinquante-trois ans, visage grêlé et longs cheveux gris clairsemés attachés en queue de cheval, barbe éparse, son œil gauche crevé, a une queue tordue (19 cm). Heinrich, satyre de cinquante-neuf ans, visage balafré et longs cheveux blancs raides, barbe broussailleuse, a une queue veineuse (18 cm). Mohamed, Somalien de quarante-huit ans à la peau d’ébène, visage émacié, longues dreadlocks noires et barbiche hirsute, a une longue queue noueuse et circoncise (24 cm). Ces vagabonds rongés par la frustration sexuelle scrutent avidement les affriolantes lycéennes, égarées dans leur glauque repaire, antre de leur débauche autofinancée.
Roxana et Cassandra, figées, sont des proies tentantes pour ce gang de prédateurs affamés qui avancent d’un pas déterminé vers elles. Leur cercle se referme autour des lycéennes. Sa surprise initiale surmontée, Cassandra est consumée de désir. La malice animant son regard et son sourire trahit sa frénésie. La téméraire Cassandra zieute Roxana, ses sourcils froncés et sa mâchoire serrée, émoustillée malgré les apparences. Elle décide d’attiser les braises ardentes sur lesquelles tâtonne sa farouche amie afin qu’elle libère ses pulsions refoulées. Cette allumeuse provoque l’étincelle qui déclenche les hostilités quand, empreinte d’une colère feinte, sa voix suave et chuintante rompt le silence.
« Vous avez de sales gueules, les gars ! On s’est ruinées pour se faire baiser par des beaux gosses ! On mérite pas mieux ? »
Elle ouvre son sac en bandoulière et le jette d’un geste théâtral. Des billets volètent et tapissent le sol. Cette comédienne née simule la colère.
« Dix mille euros pour vous ! On les a empruntés à un maquereau ! On va devoir faire le trottoir pour le rembourser !  »
Cassandra, fille unique d’un banquier d’affaires et d’une avocate d’affaires, a pioché dans son argent de poche mais les bêtes fauves croient à son cinéma et, s’estimant offensés par cette gamine, se ruent à l’assaut. Acculées, Roxana et Cassandra ne peuvent plus reculer et sont condamnées à être enculées. Roxana, subjuguée par la témérité de son amie et enthousiasmée par cette charge conquérante, renchérit de sa voix grave et éraillée.
« Vous savez vous servir de vos queues, au moins ? »
Les joues des insolentes adolescentes sont zébrées par des gifles cinglantes. Cassandra et Roxana, à qui son turban est enlevé, sont submergées et dépouillées de leurs blazers. Leurs gros tétons pointent ostensiblement sous le tissu de leurs chemises. Leurs boutons sont arrachés, confirmant l’indécent oubli de leurs soutiens-gorge. Elles sont débarrassées de leurs jupettes, dévoilant aussi l’absence de culottes de ces jeunes aguicheuses que les mâles imaginent bientôt obligées de faire le tapin pour des crève-la-dalle. Leurs pubis soigneusement entretenus ne sont pas glabres mais leurs culs (taille 34/36 pour Cassandra, taille 38 pour Roxana) attirent davantage l’attention des mâles. Leurs mocassins éloignés et leurs bas déchirés, leurs corps dénudés sont maintenant exposés aux regards inquisiteurs.
La naïade Cassandra à la voix onctueuse irradie de sensualité innée. Les mâles admirent son visage envoûtant, sa silhouette athlétique aussi fine que ferme, sa cambrure et son galbe irréprochables, ses gros seins en pomme d’une rondeur parfaite. sa toison taillée en foisonnant cœur blond miel, soyeux buisson à butiner, et sa vulve charnue et lisse. L’exceptionnelle beauté de son corps élancé s’avère sans égale. Jürgen la complimente de sa voix nasillarde.
« Tu f’rais une bonne pute de luxe, la blondasse ! »
L’amazone Roxana à la voix râpeuse déborde de virile féminité. Les mâles contemplent son crâne tondu, ses yeux bridés, son nez busqué, sa silhouette à la fois musculeuse et plantureuse, ses lourds seins en cloche, sa toison taillée en touffu triangle noir, rêche forêt noire à brouter, et sa chatte dodue et lisse. L’attrait bestial exercé par son corps hors normes est ahurissant. Jürgen lui décoche pourtant une flèche empoisonnée.
« T’as une gueule de morue ! Tu s’ras mise à l’abattage sur les chantiers pour que dalle ! »
Roxana, invisible dans l’ombre de la magnifique Cassandra sans cesse draguée, reste hermétique à la brimade de ce minable mais elle est contrariée quand Bianka la toise et, de sa voix suave, s’exclame sur un ton acerbe.
« Messieurs, aussi moche soit-elle, vous serez à l’aise dans son gros cul ! »
Cassandra, volontiers narcissique, l’accable dans la foulée pour mieux se valoriser.
« Messieurs, oubliez cette moins-que-rien et matez le mannequin ! »



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Roxana, agacée par cette tempête d’injures et frustrée d’être traitée comme un faire-valoir, s’apprête à répliquer quand les mâles survoltés se lancent dans la dépravation effrénée des lycéennes. Douze queues se frottent contre leurs croupes. Vingt-trois mains calleuses aux ongles crasseux palpent leurs seins, leurs chattes, leurs culs et leurs cuisses. Leurs peaux frémissent, égratignées par la pointe aiguisée du crochet d’Igor. Leurs tétons durcis sont pincés, léchés, aspirés, mordillés et tordus. Leurs chattes sont tripotées, leurs clitoris triturés et leurs vagins doigtés. Les narines des adolescentes embaumées d’un parfum fruité sont agressées par les haleines fétides et les émanations pestilentielles se dégageant de ces ivrognes répugnants. Roxana et Cassandra s'embrasent pourtant comme jamais auparavant. Leurs corps frissonnent, leurs cœurs palpitent, leurs lèvres tremblent et leurs respirations sont saccadées. Elles soupirent et gémissent sous les viriles caresses. Leurs langues se hasardent dans des bouches édentées et sur des chicots jaunis et pourris, enlacent les rugueuses langues mâles et le tronçon de langue de Vlad. Leurs mains astiquent les chibres et tâtent les bourses remplies. Leurs langues titillent, et leurs dents d’une blancheur immaculée mordillent, les tétons des mâles. Cassandra effleure du bout de ses ongles la peau craquelée de Dragan et s’accapare sa queue, ultime vestige de chair qui y subsiste. Cassandra agrippe la chevelure grasse du manchot Igor, puis la queue de cheval du borgne Lothar, et embrasse voracement ces deux mutilés.
Roxana, son gros cul malaxé et ses mamelles pétries, empoigne l’épaisse tignasse d’Attila et les dreadlocks de Mohamed, mordille leurs lèvres et les embrasse goulûment. Heinrich, dont le dernier coït remonte à une époque où les adolescentes n’étaient même pas nées. dévore si gloutonnement sa moite forêt noire que sa barbe est luisante de mouille. Igor insère la pointe de son crochet dans son anus. Elle darde sur lui un regard foudroyant mais ce dégénéré, une expression démente sur son visage, ordonne d’une voix gutturale marquée d’un fort accent slave.
« À genoux, salope ! »
Roxana et Cassandra, agenouillées pour le blowbang, sont cernées par douze queues bandées aux couilles remplies de jus. Les fantasmes obnubilant ces lesbiennes se matérialisent et, affamées de grosses queues, elles se jettent sur le festin composé de saucisses juteuses. Leurs langues lèchent les glands et leurs bouches pompent les queues pendant que leurs mains les branlent. Roxana ébahit les mâles quand leurs dards traversent sa langue bifide dont les deux portions fendues enlacent les glands. Le minois de Cassandra est couvert par cinq glands posés dessus simultanément, puis la titanesque queue d’Igor masque tout son visage. Roxana taille une pipe, chacune de ses paupières aveuglée par un gland posé dessus, puis elle lustre avec ses épais biceps les queues couronnant son crâne lisse.
Les orgueilleuses adolescentes rivent leurs regards sur les mâles qui, s’estimant défiés, raclent leurs gorges et crachent d’immondes mollards sur leurs frimousses. Les mâles distribuent aux lycéennes des volées de gifles et de bifles et déforment leurs joues avec leurs glands turgescents. Les lycéennes prennent en étau les queues entre leurs seins et prodiguent de sensationnelles branlettes espagnoles, léchant à l’occasion les glands. Certaines tiges sont portées disparues entre les imposants melons de Roxana. Les mâles baisent leurs aisselles, leurs bites effectuant des va-et-vient entre leurs bras et leurs bustes. Ces jeunes salopes transies crachent sur les glands qu’elles tètent, massent les bourses poilues et s’empiffrent de queues humectées dans ce gargantuesque buffet à volonté. Les mâles pelotent leurs poitrines, claquent leurs culs et doigtent leurs chattes trempées. La facétieuse Cassandra joue avec la caméra de Bianka et, sa bouche pleine, lui adresse un clin d’oeil taquin puis lève ses deux pouces en signe de satisfaction. Roxana et Cassandra, duo fusionnel, agissent en symbiose, leurs poitrines collées l’une contre l’autre, les queues coulissant entre leurs lèvres collées. Elles honorent les mâles à tour de rôle, la lèche-couilles Cassandra gobant leurs bourses et la bouche à pipe Roxana pompant leurs queues.
Cassandra et Roxana démontrent leur extraordinaire maîtrise de la gorge profonde. Elles absorbent les tiges de chair parcourues de secousses de plaisir et aplatissent leurs nez contre les bas-ventres et les toisons écoeurantes des mâles. Cassandra les fascine quand le bout de sa langue s’insinue hors de sa bouche pleine pour continuer à lécher leurs couilles et quand elle avale en même temps la queue et les bourses de Jürgen. Cramponnée à leurs fesses, elle achève de les ensorceler en ingurgitant à la suite les trois colossales matraques d’Attila, de Mohamed et d’Igor. Elle masse fièrement sa gorge qui se gonfle lors de ces intrusions massives et réitérées, et semble sur le point d’être transpercée.
Roxana peine en revanche à l’imiter et échoue sur le mastodonte d’Igor. Cassandra, son visage déformé par une expression rageuse et ses muscles fuselés bandés, embroche sans pitié la tête de son amie et fulmine.
« Bouffe sa bite, connasse ! »
Igor enserre la nuque de Roxana avec son crochet et accentue encore la pression jusqu’à ce que sa queue soit entièrement engloutie. Cassandra tapote le crâne tondu de son amie et glousse avant de relâcher son étreinte alors que Roxana est au bord de l’évanouissement. Alors que la jeune métisse aspire de grandes goulées d’air, l’espiègle Cassandra mordille le lobe de son oreille puis lui susurre.
« T’es une bonne salope, Roxy. »
La pin-up Cassandra plaque d’une main la tête tondue de Roxana contre sa poitrine, se trémousse et glisse sa main dans ses cheveux ondoyants alors que son amie, déjà réconciliée avec elle, lèche avidement ses gros seins.



Re : Novices dépravées - Muck88 - 16-04-2021

Les mâles ont laissé ces gamines batifoler et jugent le moment venu de prendre les commandes. Agrippant Cassandra par ses cheveux, comprimant leurs crânes, serrant leurs cous, ils laminent les gorges des adolescentes et leurs couilles heurtent leurs mentons. Les obscènes gargouillis émis par les adolescentes lors de cette session de gagging galvanisent les mâles. La bave coule à flots et de longs filets de salive s’étirent entre les glands et leurs lèvres. Les mâles les insultent et rougissent leurs joues, leurs seins et leurs culs. Jürgen, branlé par Roxana, pince ses narines, enfourne quatre doigts dans sa bouche et malmène sa luette avant de barbouiller son minois avec sa main enduite de salive. Les bites s’introduisent par paires dans leurs bouches accueillantes et déforment leurs lèvres. Roxana pompe la queue d’Attila tandis que la tonique Cassandra, de lèche-couilles, se mue en lèche-culs, et fait reluire sa pastille fripée. Les adolescentes échangent fréquemment leurs places et lèchent les rondelles velues des mâles en train de limer la bouche amie. Cassandra et Roxana, gorges investies par les bites, suffoquent. Cassandra, facétieuse, pince ses narines et s’étrangle elle-même. Leurs mâchoires sont meurtries et leurs gorges sont saccagées. Leurs visages sont souillés de leurs salives, de crachats et de traînées de khôl et de mascara le long de leurs joues. Cassandra a des mèches de cheveux collées sur ses joues et sur son front.
Les camarades sont séparées. Cassandra est installée sur un canapé éventré où Bodo butine sa chatte pendant que son comparse Otto lui délivre une savoureuse feuille de rose. Elle couine de plaisir et écrase leurs têtes contre ses trous. Les mâles lui font ensuite subir une éprouvante séance de facefucking. Ils coincent sa tête entre leurs cuisses, harcèlent sa gorge et doigtent sa chatte trempée. Cassandra, qui a perdu de sa superbe, halète, étouffe et émet des borborygmes qui font ricaner les mâles. Allongée sur son dos, ses cuisses contre le dossier du canapé et sa tête à l’envers, sans aucune échappatoire, les queues forcenées bombardent sa gorge alors qu’elle astique les bites. Ses yeux exorbités, elle échoue à réprimer un énième haut-le-cœur. Le vomi éclabousse sa gueule d’ange déchu et s’entremêle dans ses blonds cheveux. Lothar étale avec sa bite cette dégoûtante substance et applique un immonde masque de beauté sur son minois. Les mâles fourrent sa gorge anéantie et le vomi se déverse à maintes reprises sur sa face. La beauté de la ravissante auriverde s’est évaporée maintenant que son visage luisant de gerbe a viré à l’écarlate, que ses yeux sont embués et que son nez est morveux. Cassandra, son regard vitreux, semble éteinte mais la caméra de Bianka capte de furtifs et mystérieux sourires.
Karsten enfouit la tête de Roxana sous un sac en papier gras empestant le burger et les frites, fait un trou au niveau de sa bouche et se gausse d’elle de sa voix rauque.
« J’me sens mieux quand j’vois pas ta sale gueule de trans’ ! »
Toujours agenouillée, ses bras bloqués derrière son dos, les mâles misogynes baisent sa bouche anonyme avec une intensité inouïe, s'acharnent sur sa gorge et engouffrent leurs queues jusqu’aux couilles. Ses retentissants gargouillis couvrent les entêtants froissements du sac en papier. La coriace Roxana, cible de rafales de gifles sur ses seins et sur sa vulve, affaiblie par ce déferlement ininterrompu de chibres dans sa gorge, lutte elle aussi en vain contre un haut-le-coeur et dégobille. Les mâles dégénérés, leurs toisons saupoudrées de gerbe, continuent à labourer sa bouche alors qu’elle baigne dans d’infects relents de vomi et lui font rendre tripes et boyaux. Le vomi grumeleux nappe ses seins et ses abdos, et imbibe sa dense forêt noire. Dragan l’installe en levrette, claque son cul et introduit sa queue à sec. Il s’égosille et lui vrille les tympans de sa voix stridente.
« J’vais t’démolir l’trou d’balle, pétasse ! »
Les mâles négligent sa chatte touffue tandis que son anus non lubrifié encaisse une alternance de percutants coups de boutoir et de vifs va-et-vient qui chauffent à blanc ses entrailles. Entre deux sodomies, sa gorge toujours limée, son anus supplicié est écartelé par des doigts osseux et potelés.
Les indissociables adolescentes sont livrées à elles-mêmes, leurs gorges saccagées par des mâles aussi hargneux que haineux. Les bites, à peine extraites de l’une des deux bouches ou du cul de Roxana, sont replongées dans l’anus de l’Eurasienne ou dans le gosier ami, gavé à distance.
Les mâles s’essuient avec le crop top de Roxana et avec la combishort de Cassandra, récupérés dans l’un des sacs en bandoulière et profitent du réfrigérateur en enquillant des bouteilles de bière fraîche afin de se désaltérer. Ils récupèrent aussi les billets éparpillés sur le sol, récompense amplement méritée pour ces forçats du sexe, et fouillent dans les portefeuilles des adolescentes pour s’emparer des quelques billets et pièces s’y trouvant encore. Les caméras immortalisent chaque instant de la spectaculaire dégradation des lycéennes qui s’abstiendront à l’avenir de se targuer d’être lesbiennes et féministes radicales. Bianka a oublié de les informer que le tournage est retransmis en direct, leurs numéros de téléphones fréquemment divulgués. Lothar brandit sournoisement devant la caméra de Maximilian leurs pièces d’identité et met en péril les adolescentes qui ne sont plus protégées par leurs pseudonymes.
Roxana est libérée du sac en papier en lambeaux. Son visage trempé de bave et de gerbe, une veine pulsant sur son front, est dégueulasse. La coriace Roxana soutient les regards de ses bourreaux, essuie son visage d’un revers de main et, rancunière, caresse ses seins et mime une masturbation. Effrontée, un sourire moqueur aux lèvres, elle fustige les mâles.
« Si j’avais une queue, je vous montrerais comment vous en servir, enfoirés ! »
Les mâles furieux matent immédiatement ce début de rébellion et sévissent. Elle récolte des baffes en guise de représailles. Les mâles la bousculent, dévastent sa gorge déjà martyrisée, l’enculent avec de véhéments coups de reins et font un carnage. Roxana hurle, a de violentes quintes de toux et crache de la bile sur le sol.
Roxana et Cassandra sont décontenancées quand elles aperçoivent quatre nouveaux visages. Friedrich, quarante-quatre ans, visage allongé au teint cireux et cheveux jaune paille coiffés en mulet, très courte frange, sa jambe gauche amputée au-dessus de la cheville et qui se déplace à l’aide de béquilles en bois, et Ulrich, quarante-cinq ans, visage blême scarifié et crâne chauve, sa peau quasi-intégralement tatouée et abondamment piercée, sont des grands échalas décharnés aux queues tordues (16 et 19 cm). Osman, Somalien de cinquante ans à la peau d’ébène, visage bouffi, cheveux noirs crépus et hirsutes et bouc grisonnant, queue épaisse et circoncise (21 cm), et Uwe, cinquante-deux ans, visage rougeaud bouffi et longs cheveux gris raides, moustache grisonnante drue, queue boudinée (17 cm), sont des mâles trapus et bedonnants. Ces quatre clochards rendaient visite à leurs compagnons d’infortune et, conviés par Bianka, ont quitté leurs fripes pour se joindre à la fête rémunérée.
Seize mâles, qui ne se sont pas embarrassés de préservatifs, sont désormais regroupés pour user et abuser des corps des deux adolescentes de seize ans. Cassandra, agrippée par sa crinière maculée de gerbe, est traînée sur le sol jusqu’à une table basse vermoulue. Dragan nettoie sommairement son visage souillé avec l’une des chemises réduites en lambeaux. Ses seins aplatis contre le bois et sa splendide croupe cambrée offerte aux regards lubriques, les mâles se focalisent maintenant sur son cul. Vlad, cadavre sorti d’outre-tombe, son regard possédé, force lui aussi son anus sans aucune lubrification. Le rictus de souffrance de Cassandra, son regard larmoyant, ses lèvres tremblantes et ses doigts crispés, est filmé par la caméra de Maximilian. Elle est à son tour mise à l'abattage anal. Cassandra, ballottée dans tous les sens, ses seins malaxés et sa bouche toujours baisée, ses mains fourbissant les bites, se fait sauvagement pilonner. Cette expressive forniqueuse grimace de douleur, gueule et profère des jurons dans son portugais natal.



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Roxana, balancée sur un matelas taché, se fait marteler le cul, les mâles refusant toujours de pénétrer sa chatte. Ses mains branlent à tout-va et elle suce des queues en provenance directe de son anus ou de celui de Cassandra.
Pendant que Bodo l’encule en levrette, Cassandra branle son clitoris et quémande.
« Baisez ma chatte, j’vous paie pour ça ! »
Otto se positionne devant Bodo et, surplombant Cassandra, crache sur son visage, introduit également sa bite dans son anus et la houspille de sa voix grasse.
« Tu t’prends deux bites dans l’cul, le mannequin ! Tu vas boiter sur l’podium ! »
Le duo Otto-Bodo inflige à cette blondinette de seize ans une double pénétration anale, imprime un rythme effréné et malaxe ses seins alors que s’illumine le visage de Cassandra, transcendée. Elle réalise qu’elle a été enculée puis doublement enculée alors qu’aucune bite n’a encore franchi ses lèvres vaginales. Otto et Bodo accordent ensuite un traitement similaire à Roxana en s’allongeant l’un en face de l’autre, leurs cuisses entremêlées. Roxana s’accroupit et, penchée en avant, subit, souvent fessée, une rude première double pénétration anale.
Les sodomies s’enchaînent sans aucun répit, virulentes ou saccadées en fonction de l’endurance des mâles. Les bites défilent dans les culs dilatés. Les mains des lycéennes sont mobilisées pour branler les queues et leurs bouches pour les pomper. Cassandra, debout et inclinée vers l’avant, aide Friedrich appuyé sur ses béquilles, et guide sa queue dans son cul qu’il laboure par à-coups malhabiles. Il s’époumone en postillonnant de sa voix aiguë.
« Tu prends ton pied, pétasse ! »
Cassandra le fixe d’un regard malicieux et réplique par un trait incisif qui provoque l’hilarité des mâles, Friedrich compris.
« Tu sais de quoi tu parles, cul-de-jatte ! »
Cassandra, tournant son dos à Dragan dans sa position favorite de reverse cowgirl, est pliée en deux par son partenaire qui passe ses bras sous ses genoux et joint ses mains derrière son crâne, immobilisant la contorsionniste improvisée. Pendant que Dragan squatte son cul, les mâles obnubilés par les doubles pénétrations anales se relaient dans son cul éclaté et lui octroient une double ration de bites. Cassandra, au bord d’un premier orgasme qui la fuit, gueule à outrance.
Les mâles présentent leurs anus à la besogneuse Roxana, à nouveau allongée sur le matelas, qui s’applique à les faire briller, et les gros culs de Konrad et de Karsten écrabouillent sa gueule. Alors qu’elle est allongée sur son dos, son cul limé par une bite et sa bouche baisée par une autre, la queue de Konrad s'immisce entre ses seins que ce gros lard, assis sur son ventre, comprime durant une branlette espagnole. Roxana, pourtant impitoyablement démolie depuis près d’une heure et tourmentée par une douleur lancinante, son visage contracté et ses ongles enfoncés dans le matelas, frôle elle aussi son premier orgasme en se masturbant mais se frustre pour accroître sa violence.
Cassandra est à son tour jetée sur le matelas, enfin réunie avec sa camarade. Leurs enivrants parfums capiteux sont désormais noyés sous les exhalaisons de leurs sueurs âcres et de leurs infectes gerbes. Elles communiquent par un bref échange de regards. Ces féministes radicales font face aux mâles misogynes qui les maltraitent sans ménagement, assouvissant les fantasmes qui les hantent et qu’elles s’efforçaient d’exorciser dans des tracts militants au langage extrémiste. Leurs solides carapaces, perforées par les mâles honnis, ont implosé. Roxana et Cassandra savourent cette phénoménale orgie anale, assument leurs instincts déviants et s’épanouissent dans la débauche.
Les mâles enculent les lycéennes revigorées, saisissent Cassandra par ses cheveux, distribuent les fessées, broient leurs épaules, déforment leurs bouches avec leurs doigts. L’ancienne gymnaste Roxana bondit sur les queues et la cavalière Cassandra les chevauche. Elles gémissent, couinent et gueulent. Leurs cris sont étouffés par les queues qui se succèdent dans leurs bouches. Les mâles poussent des râles bestiaux et transpirent à grosses gouttes sur les adolescentes qui, transfigurées, s'emparent des bites sorties du cul ami pour s'en goinfrer. La langue de Roxana prodigue un exquis anulingus à Attila alors qu'il démolit l'anus de Cassandra. Cassandra, affalée sous Roxana, fiste énergiquement sa chatte humide délaissée alors que la jeune métisse se fait déjà enculer en levrette. Cassandra se révèle être une performeuse exceptionnelle. Allongée sur son dos, sodomisée par Ulrich et se branlant, elle jouit du cul et éjacule à gros bouillons sous les yeux écarquillés de Roxana qui, elle-même enculée, se désaltère à cette fontaine de mouille. Cassandra est toujours en train de gicler quand elle déclenche un stupéfiant prolapsus rectal qui expulse la queue d’Ulrich. La gourmande Roxana lèche et suce son sublime bouton de rose. Jürgen s’écrie.
« T’as l’fion détruit, pouffiasse ! »
Cassandra, encore en reverse cowgirl, empale son cul sur la longue queue dressée de Vlad. Des mâles la surplombent et liment sa bouche. Roxana, plus que jamais enculée, lèche d’un même mouvement les couilles de Vlad et sa chatte, extrait la bite du cul de Cassandra pour s’en régaler avant de l’y replonger puis fiste la chatte longtemps ignorée de son amie. Igor se débarrasse de son crochet, éloigne Roxana et enfonce son moignon dans la chatte moite de Cassandra. Une expression de béatitude surgit sur le visage de Cassandra qui, enculée par Vlad et fistée par le moignon d’Igor, stimule énergiquement son clitoris et rive son regard sur le détraqué Igor. Ses yeux révulsés et son corps secoué de spasmes, elle atteint enfin l’orgasme et hurle. Le moignon est expulsé par un puissant geyser de mouille qui fuse hors de sa chatte. Elle saisit le moignon et le lèche avec ferveur. Les mâles ramonent ensuite la chatte trempée de Cassandra et impulsent des doubles pénétrations classiques. Pénétrée de toutes parts, Cassandra exaltée claque leurs culs et braille quand la cadence diminue.
« Défonce-moi plus fort, enfoiré ! »
Roxana est de son côté enculée en levrette, sa bouche laminée par les queues. Ses épaules sont plaquées contre le matelas par Attila qui la sodomise et écrase brutalement sa face avec son pied. Elle lèche et suce les orteils qu’il fourre dans sa bouche puis, avilie, poursuit sa dégoûtante mission avec les orteils aux ongles souvent jaunis de ses acolytes barbares. Konrad fait preuve d’une cruelle franchise quand il lui annonce gaiement de sa voix rauque.
« Tu d’vrais nous remercier de t’filer nos morpions et nos champignons, l’Asiate  ! »
Cassandra arrive à la rescousse de Roxana et l’allonge sur son dos. Elle plonge cette fois son poing dans son anus et lui bourre le cul alors que Jürgen est le premier mâle à perforer sa chatte. Extatique, Roxana se masturbe, tressaille et éjacule si puissamment qu’elle éjecte hors de sa chatte la queue de Jürgen. Cassandra, trempée par son jus de chatte, ôte sa main et laisse Roxana se provoquer un éblouissant prolapsus rectal. La langue de Cassandra titille son indécent cul en chou-fleur, réjouissant le volubile Konrad.
« Vous pens’rez aussi à nous quand vous chierez dans vos couches, connasses ! »
Cassandra enfourche, toujours en reverse cowgirl, Lothar qui, après l’avoir sodomisée, empoigne son dard et dirige un jet de pisse sur son minois. La pisse bouillonne dans la bouche ouverte de l'adolescente et dégouline sur son torse. Cassandra, radieuse, en avale plusieurs chaudes gorgées. La bite d’Heinrich pilonne sa bouche noyée de pisse et en fait jaillir le liquide. Cassandra, allongée ensuite sur le matelas imbibé, est étranglée par Jürgen qui vide sa vessie dans sa chatte. Les yeux d'abord écarquillés de stupeur, son vagin simultanément rincé à la pisse et limé dans un ensorcelant clapotis, Cassandra est hilare. Elle s'accroupit et recueille l'urine dans ses mains en coupe. Elle esquisse un sourire facétieux et asperge son visage de pisse avant de lécher ses paumes et ses doigts.



Re : Novices dépravées - Muck88 - 16-04-2021

Roxana, couchée sur le canapé, se fait enculer par Karsten et fourrer la bouche par des queues sans cesse renouvelées. Karsten quitte son cul et, suivant l’exemple de Lothar, vise sa frimousse qu'il arrose de pisse. Elle en ingurgite de grandes rasades. Cassandra surgit et s’accroupit au-dessus d’elle pour l’abreuver. Les mâles pissent sur le visage et la poitrine de Cassandra. Elle recrache l’urine qui dévale le long de son ventre et se déverse sur le visage de Roxana. Roxana est toujours allongée, sa tête à l’envers, quand Attila soulage sa vessie dans sa bouche ouverte, plonge soudainement sa queue entre ses lèvres et continue à pisser dans sa gorge, s’exclamant de sa voix rauque marquée d’un fort accent hongrois.
« Bois mon champagne, salope ! »
Cassandra et Roxana sont une nouvelle fois réunies, agenouillées et entourées par seize mâles, les bières pesant sur leurs vessies. Les ardentes lycéennes sont aspergées de pisse chaude lors d'une fabuleuse douche dorée. L'âpre liquide éclabousse la chevelure de Cassandra, bouillonne dans les bouches des adolescentes, ruisselle sur le crâne tondu de Roxana et le long de leurs corps, et elles en boivent de grandes lampées. Fiévreuses, elles pincent leurs tétons et frictionnent leurs clitoris. Cassandra passe sensuellement ses mains dans sa longue crinière gorgée de pisse et enfin débarrassée des derniers restes de vomi qui s’y accrochaient encore. Roxana empoigne la bite d’Ulrich et dirige son jet vers la bouche de Cassandra. Konrad se moque de ce duo fusionnel.
« Vous avez été finies à la pisse, connasses ! »
La douche dorée leur a cependant permis de se refaire une beauté et leurs visages sont redevenus présentables. La langue de Roxana sillonne le corps brillant de Cassandra qui essore ensuite ses cheveux dans la bouche de son amie. Cassandra, inclinée vers l’avant, lape la mare de pisse alors que Karsten, la surplombant, urine sur ses cheveux imbibés. Roxana l’imite et elles aspirent plusieurs gorgées, échangent la pisse dans leurs bouches et recrachent le chaud liquide sur leurs visages. Uwe pisse sur l’anus de Cassandra, alors à quatre pattes. Roxana intercepte le jet et boit à la source puis lèche le cul arrosé de Cassandra.
Cassandra, insatiable, s’adresse aux mâles.
« Vous attendez quoi pour revenir nous démonter, salauds ? »
Attila l'attrape par le bras et l'emmène sur le canapé où sa chatte est emboutie par Friedrich, plus à son aise dans cette position. Cassandra, à califourchon sur lui, dégoulinante de pisse, ses seins tétés et mordillés, se fait limer sa chatte et sa bouche. Vicieuse impénitente, elle plonge son poing dans son cul et se fiste elle-même devant des mâles interloqués avant d’écarter ses fesses pour faire admirer le cratère béant qu’est devenu son anus. Adossée contre le canapé, sa croupe en l’air et sa tête sur le sol, elle se fait marteler le cul et se pisse dessus, son jet d’urine retombant sur son visage et dans sa bouche ouverte. Une nouvelle salve de doubles pénétrations commence pour Roxana et Cassandra, qui l’a rejointe sur le matelas. Les gifles et les fessées pleuvent. Les mâles baisent et pissent dans leurs orifices, alignent les doubles pénétrations vaginales et les doubles pénétrations anales. Cassandra, deux glands dans sa bouche, réussit à en faire entrer un troisième. Elle plaide pour le droit d’asile quand son cul accueille simultanément les deux tiges africaines de Mohamed et d’Osman avant que leurs dards d’ébène ne s’engagent entre ses dents d’ivoire pour y être vénérés par cette Blanche servile. La cochonne Roxana est prise en sandwich entre les gros lards Konrad et Karsten qui, essoufflés, suent comme des boeufs.
Les premiers mâles vident leurs couilles dans les trous. Les chattes et les culs des adolescentes, poisseux de sperme, restent pourtant martelés sans répit par les mâles qui bénéficient d’un regain d’énergie quand elles sucent leurs queues badigeonnées du foutre de leurs complices. Bodo se répand dans le cul de Cassandra, sodomisée en levrette. Roxana, elle-même enculée et léchant la chatte de Cassandra, en profite pour se délecter du foutre s’écoulant hors de l’anus ami. Friedrich s’assied derrière Roxana, à quatre pattes, et farcit sa chatte avec son moignon effilé. Igor se faufile derrière elle et fiste son anus crépi de foutre dans une époustouflante double pénétration. Roxana, doublement pénétrée par des moignons, se masturbe et, son corps vibrant de jouissance, parvient à un deuxième orgasme tonitruant. Sa mouille asperge le matelas déjà trempé.
Cassandra, déchaînée, exhorte les mâles.
« Mettez-moi en cloque ! Foutez-moi un bâtard dans l’bide ! »
Cassandra s’enflamme quand de nombreux mâles, en concurrence pour l’engrosser, tapissent sa chatte de leurs semences fécondes. Les mâles reprennent les doubles pénétrations dans toutes ses variantes, ponctuées de fantastiques triples pénétrations durant lesquelles les bites coulissent dans leurs orifices pulvérisés. Les adolescentes ont deux bites dans leurs chattes ou dans leurs culs et une troisième dans l’autre trou. Alors que l’anus éclaté de Roxana, à quatre pattes, est déjà baisé par les queues d’Otto et Bodo, Jürgen s'introduit subitement dans son cul. Roxana, deux bites en bouche, chaque main branlant une queue, honorée d'une triple pénétration anale, accapare sept mâles. L’émulation atteint son paroxysme. Cassandra rivalise avec Roxana et est également honorée de tonitruantes triples pénétrations anales. Les pénétrations multiples comblent de plaisir les lycéennes qui, leurs bouches baisées, se synchronisent et jouissent au même moment. Elles expulsent des torrents de mouille de leurs chattes baveuses et poisseuses, arrosant les mâles aux alentours, et font éclore de leurs anus détruits leurs boutons de rose.



Re : Novices dépravées - Muck88 - 16-04-2021

Cette formidable orgie s'achève sur un éblouissant bukkake. Les mâles s'astiquent frénétiquement devant les nymphomanes agenouillées qui caressent leurs seins et stimulent leurs clitoris. Roxana, impétueuse, harangue les mâles.
« Tartinez nos gueules, salauds ! »
Les seize mâles éreintés vident encore leurs couilles sur les lycéennes qui gardent leurs yeux ouverts pour admirer le feu d’artifice. Les giclées fusent sur les visages de Roxana et de Cassandra, s’abattent sur leurs langues tirées, sur leurs joues et sur leurs fronts, dans les cheveux de Cassandra et sur le crâne lisse de Roxana. Un jet s’abat sur l’oeil gauche de Roxana et l’aveugle à moitié. Leurs minois sont maculés de foutre et disparaissent sous la blanchâtre substance visqueuse. Leurs cils sont collés, des filets de foutre gluant pendent à leurs mentons, tombent sur leurs seins et sur leurs cuisses. L'œil gauche de Roxana, irrité par le foutre, cligne sans cesse. Roxana et Cassandra, jeunes vicieuses rayonnantes, enfin rassasiées, lèchent leurs visages et leurs seins, se caressent et s'embrassent passionnément, recueillent le nectar sur leurs doigts et, en duo, les sucent langoureusement. Salives et spermes se mélangent, passent et repassent de bouche en bouche avant d’être ingurgités. Leurs trous sont anéantis, leurs corps puent la sueur, la gerbe et la pisse, mais ces fabuleuses baiseuses méritent tous les éloges. 
Bianka toise cependant ses muses et conclut brusquement.
« Cassez-vous, les putes ! »
Elles hésitent et sont fusillées du regard par Bianka, exaspérée par leur indécision, et qui ne tient pas compte de la débauche d’énergie qu’elles ont consentie. Les regards des lycéennes se croisent et, en accord l’une avec l’autre, elles obtempèrent. Matées par les mâles qui moissonnent les rares billets encore disponibles, elles se relèvent, leurs corps encore vibrants de plaisir, et s’évertuent à récupérer en silence leurs vêtements. Elles abandonnent leurs chemises et leurs bas en lambeaux. Les mâles essuient leurs queues avec leurs blazers et, mesquins, les leur lancent, tachés de suspectes traces blanches et puant la pisse. Ces féministes désormais repenties ne protestent pas et s’inclinent devant la brutale domination masculine. Elles enfilent leurs blazers qui collent à leurs peaux trempées. Les mâles confisquent leurs chaussures, leurs jupes et leurs sacs en bandoulière. Elles tergiversent à nouveau, déconcertées par la tournure des évènements.
Attila, écumant de rage, leur hurle dessus.
« Dégagez ! »
Bodo se contente de leur rendre leurs téléphones portables, dont elles se saisissent. Leurs fantasmes assouvis, Roxana et Cassandra, désorientées et humiliées, quittent l’usine sous les insultes sans oser se retourner, vêtues de leurs seuls blazers et leurs croupes à l’air, toujours filmées. Bianka les empoisonne d’un ultime sarcasme venimeux.
« Ces salopes vont déjà tapiner ! »
Roxana et Cassandra, leurs corps frissonnants et leurs pieds nus, s’éloignent de l’entrepôt dans la nuit froide. Mutiques, elles sont conscientes qu’ainsi habillées, elles n’ont nulle part où aller et cherchent un abri temporaire. Elles errent, épuisées et vacillantes, dans un dédale de ruelles obscures où elles veillent à ne pas marcher sur les éclats de verre. Elles s’introduisent dans un local commercial délabré et s’assoient sur le carrelage froid. Leurs corps tenaillés par la douleur et par la famine, elles rallument leurs téléphones et sont sidérées par les dizaines d’appels et de messages anonymes reçus. Les insultes côtoient les propositions douteuses et leurs boîtes vocales sont pleines. Leurs prénoms et patronymes sont cités. Elles réalisent que Bianka leur a menti et que l’orgie a été diffusée en direct et leurs identités dévoilées. Elles restent plongées durant de longues minutes dans leurs pensées angoissantes avant que Cassandra, désespérée, n’envoie un message à Bianka, à la fois la cause de leurs malheurs et leur unique solution de secours. Elles attendent durant une demi-heure que Bianka daigne leur répondre et leur demande leur localisation. Elles patientent une demi-heure supplémentaire durant laquelle Cassandra s’assoupit, sa tête appuyée sur l’épaule de Roxana. Le vrombissement d’un moteur avertit Roxana, qui réveille Cassandra, de l’approche d’une voiture qui se gare devant le local. Les adolescentes, les batteries de leurs téléphones déchargées, sortent et sont aveuglées par les phares braqués sur elles. Trois silhouettes se détachent dans la pénombre et s’avancent vers elles.